-
Compteur de contenus
1 786 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Engardin
-
Je t'attendais un peu ! Oui je connais vaguement... Le rasgueado... la descente : La mineur, sol, fa, mi majeur, fa, mi majeur... j'ai un peu fait ça aussi. Le même principe en partie que "les folies d'Espagne". Un thème qui se répète et qu'il faut décliner... Dans le "style espagnol" ou l'esprit espagnol (si on peu dire !), pour la guitare, le morceau que je préfère c'est Aranjuez... Ce qui m'émeut le plus dans la musique je crois, c'est quand elle dit en musique comme une quête de l'impossible. Quand ça monte, ça s'efforce, ça se tend au maximum et puis ça retombe.... Et puis ça repart, ça re-essaie... et ça n'y arrive encore pas... et ça recommence... Comme dans la "cancion del empérador" ! ca c'est vraiment le sommet du désespoir et de la tragédie ! @tison2feu
-
-
J'y ai pensé et du coup j'ai compris pourquoi on l'employait pas ! A la place on va dire... ? ... Plutôt "Gratouiller" ?...
-
Oh oui ! J'ai un exemple.... Pendant longtemps, "les Folies d'Espagne" on été un thème auquel tous les musiciens se sont frottés. Bien connu -forcément : l'Espagne !- des guitaristes Tous les musiciens en ont fait des variations, que je trouvais plus ou moins insipides ! Jusqu'à ce que je tombe sur les variations de Marin Marais... Il jouait de la viole, mais j'en avais fait une version pour guitare. Ecoutez la deuxième variation (à 40 secondes) : là, Marais en a vraiment fait quelque chose de remarquable. Il en a tiré un air qui... dit "autre chose" : Baissez le son à moitié ! MARAIS guitare.mp3 Dans l'original à la viole cette variation que j'admire commence autour de 50 secondes : Et puis un jour je suis tombé sur LA VARIATION DE BACH !!! En une seule variation il a (à mon avis) fait littéralement "EXPLOSER" le thème ! Il y a mis une puissance, une énergie !...
-
Ben oui : on dit bien pianoter : pourquoi pas "gitaroter" ? Ca faisait plus de deux ans que j'avais pas touché ma ou une guitare : une honte ! Alors ?... j'ai pris le taureau par les cornes : Flamenco ! (Non je déconne ! J'aime pas beaucoup ça ! Certains morceaux de guitare, oui... Soleares par exemple, quand on joue des vraies notes de la vraie musique et qu'on se contente pas de gratter : Graaaaaaaaaaaat ! Graaaaat ! Grat ! ) Donc j'ai remis des cordes neuves à ma vieille guitare... Il faut du temps pour qu'elles se stabilisent les cordes en nylon... plusieurs jours... Mais je me suis dit : je vais pas rejouer les trucs que je jouais déjà ! Il me faut du nouveau ! Et j'ai pensé à la "Polonaise" de Bach dont j'avais fait une version pour la guitare mais que je n'avais jamais jouée... J'ai gardé les deux voix extrêmes celle du milieu n'est pas très intéressante... elle complète juste l'harmonie. C'est presque du remplissage. Alors que les deux voix, si on les écoute chacune, chacune se tient d'elle même ! Bach polonaise guitare 2 voix mp3.mp3 D'accord, c'est moche comme son, mais on s'en fout, c'est les notes qui comptent ! Et ça m'a fait bien remarquer que Bach, son génie c'est qu'il joue deux fois de suite la même partie, mais que la seconde fois qu'il l'a joue elle nous semble différente !!! J'avais déjà remarqué ça dans la fameuse Aria. Comment expliquer ça ? Je ne sais pas. Peut-être parce qu'il y a deux voix qui se tiennent chacune ? et qu'une fois on écoute plutôt l'une et la seconde fois plutôt l'autre ? Ce qui est sûr c'est que chaque fois je suis surpris de constater qu'il "rejoue" deux fois exactement le même truc ! Je mets la partition à deux voix que j'avais faite s'il y en a qui veulent suivre en écoutant la musique. Aux deux points verticaux on recommence soit au début soit, la seconde fois au deux points qui commencent la deuxième partie. Si j'arrive à jouer ça correctement, je le mettrai ! Promis ! (Piètre musicien, il faut que j'apprenne par coeur le morceau pour le jouer à peu près !) C'est pas pour dire, mais Bach ça vous met en forme ! C'est une constatation ! On écoute et on se sens bien !
-
En effet ça semble avoir gêné beaucoup de monde mais je me suis bien amusé à dire ça ! Ne dois-je pas en conclure que l'immense majorité sur le forum sont... platistes ?
-
Pépé le Berger. Je ne sais plus qui c'est qui m'a parlé de colline ces derniers jours, mais ce qui est sûr c'est qu'il n'y a pas trois heures, je m'apprêtais à y monter... Il faut vous dire qu' ici, la colline c'est simple. Vous suivez sur 150 mètres la Déviation du côté de Toulon, et vous prenez le petit chemin sur la droite. Il est goudronné sur vingt mètres, mais au lieu de tourner à droite vers la maison qu'il dessert, vous continuez tout droit. Encore dix mètres et vous y êtes dans la Colline ! Là, vous prenez à gauche cette fois et vous suivez le petit chemin creux qui monte légèrement sur une centaine de mètres à flanc de colline jusqu'au Pigeonnier... C'est déjà un autre monde. Au Pigeonnier vous tournez à angle droit à droite et vous attaquez la vraie montée. Vers la Croix de Bérard. C'est assez long et ça monte, ça monte, à vous couper les souffle et les jambes. Mais comme je vous l'ai déjà dit, les mondes se mélangent. Ca c'est celui de maintenant, à la Roque, or cette nuit, c'était en même temps que celui-ci, le monde de quand j'étais petit. Si bien qu'à la place de la Déviation, avant de monter dans la colline, j'étais sur la "Nouvelle Place" de Néoules. Et même avant qu'on y construise l'Ecole et la Nouvelle Mairie de l'autre côté ! Quand ce n'était qu'un grand pré où l'on brulait un grand pin couvert de ravans pour la Saint Jean... Là j'ai rencontré le berger qui sortait du village, accompagné comme il se doit de tout son troupeau. Il s'apprêtait lui aussi à monter dans la colline vers le Plateau d'Agnis. Vers sa Bergerie donc... (Le monde de maintenant !) (Je précise que la Croix de Brérard et le Plateau d'Agnis sont du même côté par rapport à ici et dans le prolongement l'un de l'autre ce qui permet de facilement les confondre !) Ce Berger, je ne le connaissais pas vraiment... ce qui ne m'a pas empêché de le... reconnaître ! Il ressemblait à l'aide du Chevrier Denis, que je connais bien, lui. Qui est un peu un ami. Alors, c'était peut-être son fils ? (Le fils de l'ami de l'ami ?) Je lui ai dit : -- Je comptais aussi monter dans la colline... On pourrait peut-être faire le chemin ensemble ? -- Oui ! Ca me ferait plaisir ! Qu'il m'a répondu ! "On pourrait discuter en chemin, ça paraîtrait moins long !" Il faut dire qu'avec Denis et son copain, on est du "même bord". Genre la Gauche de la Gauche, et plus Anarchistes que Communistes, Confédération Paysanne, Proscrits de 51 *, la République des Paysans, Révolte des Vignerons (putain de Clémenceau !) et tutti quanti ! Bref l'affaire était conclue ! Me restait tout de même à aller récupérer mon appareil photo, en bas à la maison de la Placette. Le moment méritait bien d'être immortalisé ! -- Commence à monter, je te rejoins ! Que je lui ai dit. (Je le voyais mal m'attendre avec tout son troupeau devant le Monument aux Morts, à encombrer l'entrée du Village !...) Je suis donc descendu jusqu'à la Maison de la Placette... Dans la cuisine tout le monde était réuni. Ma femme, les petits et les petits fils qui jouaient derrière la table. -- Je monte dans la colline AVEC LE BERGER, alors je viens prendre l'appareil photo ! Ju m'a tendu son téléphone : -- Tiens ! -- Non, J'ai peur de pas savoir m'en servir ! Je préfère prendre mon appareil qui est sur le Buffet... Bien sûr, Ju a un peu ricané, sous entendu : "Papa n'est toujours pas arrivé au XXI ème siècle !" Mais c'était pas ça le fond du problème. Ce qu'il fallait qu'ils sachent bien, tous, là, autour de la table, et surtout mes petits fils, c'est que Pépé, dans la Noble Gens Bergéromancienne dont on sait qu'elle est particulièrement fermée et exigeante, il ne cherche pas veulement à s'y taper l'incruste ! Il n'y est pas simplement toléré : Il y est SOUHAITé ! RESPECT ! Désormais quand ils penseront à moi il diront : Pépé Le Berger ! Quand je me suis réveillé, j'étais fier, vous pouvez même pas imaginer ! * 1851, bien sûr ! Ouf J'ai fini !
-
Tu m'as fait peur : je craignais que ce ne fût des pieds !
-
@Enchantant @tison2feu A défaut de l'odeur, vous avez le son : My Movie le moût bout !.mp4
-
L'auto construction de l'univers .
Engardin a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Religion et Culte
Mais moi je ne m'intéresse pas à la... VERITE ! Ce qui me motive c'est de décortiquer la symbolique et la mythologie de tout ça... Je pousse, je pousse dans le "bon sens" jusqu'à ce que ça s'écroule de soi-même ! Combien pèse notre monde vivant, la biosphère, et même "intelligent" avec nos 7 milliards d'individus en poids réel ne serait-ce que dans notre système solaire ? A combien de zéros il faudrait pousser la virgule en pourcentage ? Et dans l'Univers n'en parlons pas ! ON N'EXISTE PAS ! Et pourtant qu'est-ce qu'on se la joue ! C'ETAIT DE L'HUMOUR ! -
L'auto construction de l'univers .
Engardin a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Religion et Culte
A ta place, je serais plus catégorique ! Tu dis : "Si l'univers s'est auto construit, l'humain en est alors le fruit ." Tu pourrais dire : 'Si l'univers s'est auto construit, l'humain est là qui l'auto détruit !" Parce qu'il y en a un peu marre de tout cet optimisme ambiant ! -
Non, non, j'ai lu et trouvé très intéressant ! Inattendu, original comme angle de vue... le jour d'après est aussi un jour d'avant !
-
Merci ! Oui ! Le four... et le tour... puisqu'on dit 'le tour du boulanger' même si ce n'est que la planche bâtie dans le mur sur laquelle le boulanger façonne ses pains... et la... pâte on va dire ! L'argile c'est aussi une pâte !
-
Le boulanger de Pompéi ! JE SAIS ! Ce titre à lui tout seul vous a surpris ! Et vous vous attendez sans doute à un saut de deux mille ans dans le passé. Subodorant quelque histoire dramatique, quelque destin inéluctable, car Pompéi c'est ça : l'inéluctabilité du destin ! L'irréversibilité des faits et de la réalité. On ne peut pas s'en échapper de Pompéi : On y meurt ! Peu d'histoire ont cette force. Celle du Titanic l'a aussi par exemple. La leçon à retenir, c'est que nul n'échappe au destin. A son dEstin ! Et pourtant tout au long du récit on lute ! On sait très bien ce qui va arriver mais on garde en toute absurdité dans un coin de l'esprit une petite lumière d'espoir ! Et si... Et si... Eh bien non ! Vous imaginez qu'on vous raconte l'histoire du Titanic, mais que paf ! cette fois-ci il ne coule pas ? Ou Pompéi et que bing ! Le Vésuve il n'explose pas ? Ce serait insupportable ! Inadmissible ! "L'épée de la Dame au clebs" doit tomber ! On est là pour ça ! Mais revenons au boulanger de Pompéi ! Je vous ai supposés surpris, mais attendez ! Ce n'était rien ! Là, vous allez être carrément étonnés. Et que dis-je étonnés, stupéfaits ! Quand vous saurez... Foin de suspense, je me jette à l'eau ! Où à la lave : Ce boulanger de Pompéi... C'est... C'EST MOI ! Pas plus tard que tantôt je me trouvais dans ma maison d'enfance boulangère. Car vous le savez ça aussi : le temps est flou... Et l'on reste petit toute sa vie. On devient de grands petits ou des petits grands tout en restant les mêmes. On cherche à ce convaincre que "maintenant c'est plus pareil"... Peine perdue ! Il me reste malgré tout quelques images bien nettes. Comme ce four trop haut de voûte, comme celui de Pompéi, justement... Et à l'entrée bourrée de flammes pareillement. Des pains énormes entourés de flammes encombraient l'entrée du four, tantôt... Et puis soudain, plus rien ! L'entrée était libre. Est-ce que le four est assez chaud me suis-je demandé ? Et si non où trouver du bois ? Car un four de boulanger, quand j'étais petit à Pompéi, ça se chauffait encore au bois... Toutes ce choses me dépassent... Mais pour l'instant, j'avais un autre problème. Il me fallait trouver la bonne douille pour la poche. La poche pour faire les choux. Je me souvenais de son calibre assez petit par rapport à la taille du chou, mais ma mère appuyait un moment sur la poche et le chou grossissait, enflait quand même en dépit du petit orifice... A la fin elle finissait en arasant chaque chou par un rapide quart de tour en spirale dans les sens inverse des aiguilles d'une montre et la petite pointe de pâte encore trop molle, s’affaissait et finissait par se refondre dans l'ensemble du chou... Je suis allé chercher des douilles dans l'ancienne cuisine. Dans le tiroir où l'on range tous les petits trucs disparates : les épingles, les élastiques, des punaises, de vieilles clés ou des stylos qui marchent plus... En espérant que peut-être un jour... Il y en avait des quantités de "douilles à poches", dans ce tiroir. Mais jamais celle du bon calibre... Puis j'ai trouvé une poche noire, pliée et à l'intérieur, Bingo ! Pile la douille qu'il me fallait ! Je passerai sur la qualité de la pâte à mettre dans la poche vu qu'elle semblait contenir aussi de la purée de pommes de terre. Est-ce qu'on en met de la purée dans la pâte à choux pour les choux à la crème ? je ne crois pas... Mais c'est à cet instant précis que j'ai fondu en larmes. Toutes ces émotions... J'ai pas su résister. Et j'ai dit à ma femme : -- Excuse moi ! De me retrouver ici, dans ce lieu chargé de souvenirs, dans cette maison, je t'ai confondue avec ma mère ! Je sais que ça ne se fait pas, mais c'était l'émotion ! Pardon ! Pour expliquer cela, je dirai et ce n'est pas à notre honneur qu'au fond de nous les autres sont les autres et un peu semblables. Simplement pas nous. D'ailleurs, ces deux enfants qui tournaient autour de nous, c'était qui ? Mes fils ? Ou mes petits fils ? Les deux indistinctement ! Il faut dire quand même, que d'avoir deux fils puis deux petits fils, c'est un peu fait exprès pour qu'on se trompe, non ? Mais mon histoire s'achève ici. Avec ma poche à choux à la main... Re-revenons à Pompéi ! Ces dernier temps ils viennent de retrouver une autre boulangerie à Pompéi. En tout il y en avait paraît-il 34 !... Les archéologues sont persuadés que toute une foule d'esclaves y travaillaient... Et qu'ils y étaient nécessairement horriblement maltraités... Enfermés dans le fournil comme des prisonniers... J'ai de la peine à y croire... Mais c'est pour faire ressortir qu'aujourd'hui, même si on est toujours plus ou moins des esclaves, on est moins maltraités... Deux boulangers qui connaissent bien leur métier, ils vont facilement vous faire "une balle de farine" par jour ! (C'est cent kilos.) Du pain pour nourrir 600 personnes... C'est du boulot mais pas un esclavage. D'accord, à Pompéi, on n'a pas de pétrin mécanique ! Et on pétrit à la main. Et aussi la farine, elle arrive pas par camions dans des sacs toute prête : il faut broyer le blé sur place ! Mais c'est un âne qui tourne la meule ! Ça fait du monde en plus : quatre ou cinq ? Six ou sept en tout ? Si on est trop nombreux on va finir par se gêner ! Et vu la taille du four et qu'il faut bien le chauffer entre les cuissons on peut guère faire plus de trois fournées par jour. Parce que le pain je l'enfourne pas à côté des flammes : c'est pas une pizza ! Il serait mal cuit d'un côté et brûlé de l'autre. D'abord on rempli de four de feïcines (des fagots de petites branchettes) et on y met le feu. Et croyez-moi, il en faut des feïcines et des feïcines ! Le pin ça chauffe bien. Ou les sarments de vigne. Il faut des flammes pour que ça chauffe ! Quand tout a brûlé, et que le four est redevenu blanc, (que tout le noir de fumée a disparu), il faut le nettoyer ce four. On retire d'abord les braises et les cendres avec le grand crochet, puis on passe l'escoubillon humide pour enlever les cendres qui restent. Et il faut aller vite car le four se refroidit. Il attend pas ! Bien sûr tout le pain doit déjà être prêt. Et façonné. On saupoudre de fleurage sur la pale pour que le pain ne s'y colle pas... On rentre la pale dans le four le plus près possible du pain qui s'y trouve déjà et qui déjà commence à gonfler (il s'agit d'économiser la place) et on tire d'un coup sec sur le côté. Le pain se retrouve au chaud et sur la sole sans s'être rendu compte de rien ! Puis on retire la pale et on referme la porte tout de suite, pour garder la chaleur, puis à nouveau un coup de fleurage sur la pale et on dispose d'autres pains... On est trente quatre boulanger à Pompéi ! Pour 10 000 habitants, ça fait pour chacun de nous une moyenne de 300 clients à fournir. Donc entre une demie balle et un balle chacun. Un travail de quatre personnes quand on pétrit à la main. Maximum. Plus un âne ! Per virar lou mouli'n ! Bien sûr y a des petits boulangers et aussi des GROS... Qui font deux ou trois balles par jour... Mais c'est pas eux qui font le travail ! Y z'ont des esclaves ! Moi, dans une boulangerie comme ça, j'y mets pas les pieds : On doit s'y gêner ! Et puis, mettre le pain dans un four qui brûle... Non ! Et attention !... Le fournil il faut qu'il soit fermé quasi étanche ! Même si c'est pas une prison ! S'il vous vient un coup de Mistral en cours de fournée et qu'il saisit la pâte d'un courant d'air, vous pouvez être sûr que vous allez faire chouille !
-
La Chasteté, La Pauvreté, Le Célibat
Engardin a répondu à un(e) sujet de yacths dans Religion et Culte
C'est le principe des sectes. On le voit aujourd'hui ceux qui entre dans une sectes la secte les coupe de leurs familles. Droit aller, seul Dieu ou le Chef de la secte a le droit de se servir de toutes les femmes voire de tous les hommes... Les autres sont castrés au moins symboliquement (comme la circoncision) Le B, A, BA des religions c'est pour les fidèles un "plan hors-sexe" Ils se rattraperont au... Paradis par exemple ! Là, ici, ce serait un gaspillage d'énergie ! -
J'avais oublié un petit épisode : My Movie fouloir.mp4
-
Je rajoute : ... Ma chance à moi C'est que Maman aime la mer Où je m'évade.
-
L'odeur de quoi ?
-
No comment ! My Movie le bon jus !5.mp4
-
Une vague frappe Le sable de la plage et disparaît Comme aspirée... Ce sont les moments troubles de ma mémoire... D'un côté le Canadel Et de l'autre Saint Elme. (Toulon coupe la mer en deux.) Le Canadel c'est Jean Paul Et la grotte terrible où s'engouffre la mer... Une vague... Le dos brûlé par le soleil : Vaguelette ! Et les méduses comme des tartes blanches qui envahissent la baie. Et la route à minuit, Ses virages en surplomb du cinéma en plein air... Saint Elme c'est Nanan Et les sardines qui défilent ...Le Minot des Trois Pissadous ! Plus un mur d'algues sèches d'un mètre... (Les Sablettes.) Et le canon qui tire sur la saucisse ! Boum ! Boum ! Boum ! J'avais 7 ans, j'en ai 77 ! Le double ! Je me parle là-bas et m'y entends ! Mais je suis tout seul dans ce monde. Ma chance à moi C'est que Maman aime la mer !...
-
Pour ce qui est des formes en "au" et en "al' il y a certainement une liaison/ comme en français le pluriel "chevaux" pour "cheval"... Dans un cadastre du village, daté de 1503, mais encore écris en "provençal classique" -celui du moyen-âge- j'ai trouvé pour le quartier des "Baumes" (les grottes) l'orthographe : "Las Balmas" Et dans la marge par une main que je sais être de vers 1535, il était écrit en face : "las Baumos" !!! Ce qui voudrait dire que le mot ainsi écrit n'était plus ou moins compréhensible. Mais il est possible qu'en 1503 celui qui avait écrit la première version "balmas" devait déjà prononcer : ['bawm{s] ? Difficile à dire.... à plus, là je vais "caouquer "!
-
"Avec le pampre de la vigne un bout de cotillon lui fis Mais la belle était si petite qu'une seule feuille a suffi !" Une des plus belles chansons de Brassens...
-
Tu parles ! Une fois je voulais faire du vin "à l'antique"... Je laissais donc le raisin une fois cueilli à sécher sur des canisses... plus d'une semaine. Résultat; le bois des grappes était tout desséché et j'avais l'impression de marcher sur une planche à clou ! C'était infaisable ! Une torture ! Du coup j'ai mis les bottes... et depuis je continue ! Elle s'annonce bien, il y a quatre jours, j'ai pris quelques grappes, et mesuré le jus... Hyper sucré ! Il nous prévoit un 12,4 degrés !
-
La récolte de cette année : On va fouler le raisin avec des bottes ! Et dans un grand panier pour que le jus coule au travers des mailles ! le tout sur un plan légèrement incliné... On a mis le système au point ! C'est un gitan vannier qui nous l'a fait ! Il est parfait ce panier et hyper solide ! Le... fouloir ? Le... "pressoir" ... à suivre ...
