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Engardin

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Tout ce qui a été posté par Engardin

  1. J'essayais une absurdité... Mais en "filant" la comparaison, à tourner sur soi-même l'esprit par la force centrifuge devrait se retrouver à l'extérieur... et pourquoi pas hors de soi ?... Ca doit être le cas de beaucoup ! D'où l'expression "être hors de soi"...
  2. Je viens de retrouver cette jolie photo :
  3. Pas du tout ! Moi, je réfléchis sans y faire attention, sans y penser ! Du coup je ne sais pas à quoi j'ai réfléchi Ni donc si j'ai compris quoi que ce soit à quoi que ce soit. Ni même si j'ai réfléchi en fait Exactement comme si j'étais un autre Que je ne connais pas Et qui ne réfléchit pas non plus... C'est un vertige : Des millions de gens, Des milliards Qui ne pensent à rien ! Qu'est-ce qui pourrait leur résister ? Tout ! Ou plutôt rien ! Puisqu'ils s'en foutent ! Je vous le dis : On a pas encore fait le tour de tout ça ! Tourner autour de rien Tourner autour de soi... C'est le syndrome de la toupie. Et du Derviche Tourneur Tant que je vire Je fais des tours...
  4. Oui ! si nous considérons que nous sommes l'espèce supérieure (et ce n'est pas faux à bien des égards) c'est là notre plus beau rôle : celui d'aider les autres espèces... C'est la vraie noblesse, ça...
  5. Là je suis d'accord ! On accuse le plus souvent les autres en fonction ou par rapport à ses propres faiblesses. Et il est difficile de dire où l'inconscient s'arrête et ou commence la mauvaise foi...
  6. Il arrive de temps en temps que des mésanges ou des rouges gorges "s'ensuquent" contre une vitre... On entend un grand boum ! S'ils sont tombés parterre dans l'herbe, à moitié évanouis, je les prends vite de peur qu'un chat passe par là et les bouffe. Je les garde un moment bien au chaud entre les mains et petit à petit ils se "révioutent"... quand je sens qu'il sont bien revenus, qu'ils respirent mieux; j'ouvre les mains et ils s'envolent...
  7. Ce matin, je lisais ce que Nietzsche a écrit sur le rêve et ça m'a décidé à écrire mon rêve que je comptais oublier et qui ne me semblait pas très intéressant : Curieuse cette idée de revivre par nos rêves notre évolution... sur le même mode que nos lointains ancêtres... Ailleurs il dit que "le rêve est une récréation pour le cerveau" ! Je dirais aussi que c'est le cerveau (notre esprit) qui tourne... à vide !... Et pourtant, si la symbolique joue souvent, comme cela semble, ce n'est pas complètement à vide, juste un effet du hasard si les situations sont mises en place ? Il y a des directions privilégiées... presque du sens...
  8. Oui ces tics sont de sales bestioles ! Des vampires !
  9. Oui ! Cette nuit j'ai sauvé un oiseau ! Il s'était pris un plomb ! Sans doute un plomb de chasse... Et ce plomb avait fait un trou dans son petit corps plumeux. Un trou qui s'était agrandi... Elargi... puis ourlé d'une collerette en plastique noir. Je ne sais trop comment. Mais on pouvait voir à l'intérieur de l'oiseau ! Son corps était d'ailleurs à peu près vide en dedans. Comme une petite caverne. J'y ai aperçu au moins un insecte qui semblait déjà squatter cette dite caverne ! Or l'oiseau était encore tout-à-fait vivant ! Même si hélas, et l'on s'en doute, mal en point. Moi ? vous me connaissez ! J'ai dit : "il faut le soigner !" Mais que faire pour ci-ce ? Le nourrir, évidemment ! (Mes notions physiologiques restent assez simplistes !) Certes, j'ai rapidement pensé que la collerette maintenant l'ouverture devrait sauter, et le trou du plomb se refermer... mais ça, c'était l'affaire de processus naturels qui ne dépendaient pas de moi. Que la Nature se débrouille ! Je suis donc revenu au B, A , BA : que lui donner à manger pour qu'il se refasses des forces ? De petits vers, de petites chenilles comme les mésanges récoltes sur les arbres pour nourrir leurs petits ? J'en étais bien incapable ! En tout cas il lui fallait du solide question calories. De la viande donc... (A mon avis). Là j'ai eu un coup de génie : Les croquettes du chat ! J'en ai écrasé une dans les doigts et la lui ai présentée. Ca lui a plu ! Alors je me suis demandé où l'installer ? Sur une étagère haut placée. Et dans un tube de verre pour l'abriter ! Là, l'oiseau m'a dit : -- Tu devrais faire sortir le chat : avec lui dans la pièce, je crains le pire ! Et il avait bien raison ! Les chats sont des tueurs d'oiseaux ! Sans compter qu'ils sautent à des hauteurs incroyables. Dans une pièce jusqu'au plafond rien ne peut leur échapper ! J'ai donc mis Minou à la porte ! La suite s'annonçait au mieux... J'avais mis toutes les chances de son côté pour que l'oiseau perforé (Le Titi) s'en sortît. Fin de l'histoire.
  10. Merci ! Et d'autant plus que tu dis à peu près la même chose : "la philosophie est une théorie qui ne peut que donner une direction , d'autant plus lorsque nous parlons de liberté , qui , je le rappelle , n'a pas d'absolu ." Pour moi, "spirituel" signifie "sans esprit"! Ou disons "sans intelligence".... (Entre autres)
  11. Ce que j'aurais tendance à reprocher à ces formules : "Concernant le libre arbitre : "La pensée ne m'appartient pas, mais il m'appartient de penser " Concernant la liberté : "C'est en libérant l'autre que je me libère moi même " " C'est justement que ce sont des formules ! Et dont le principal mérite est de surprendre... Qu'elles incitent à réfléchir, peut être, mais il ne faudrait pas les prendre pour des vérités absolues. Voilà : je veux dire que c'est comme asséner une pensée figée... Une non-pensée.. je crois que si on gratte un peu ça ne veut rien dire... Comme un dictat aléatoire pour éviter de réfléchir, d'examiner plus finement. Mais c'est juste mon impression !
  12. Absolument pas ! Je m'insurge totalement contre ces formules métonymo-oxymoresques ! Moresque ?... .... .... Cette pensée et m'appartient et me libère !...
  13. Je réalise que trois jours avant j'avais déjà écrit "un jour gris"... je deviens gâteux ! Ou alors c'est tellement étonnant, inhabituel, un ciel gris et couvert qu'à tous les coups j'ai l'impression que c'est la première fois ! Mais tranquillisez vous : aujourd'hui, le ciel... il est d'un putain de bleu ! C'est ma nature poète qui fait que je m'en rends compte de ça... I'm a fucking poet ! Bordel de Dieu, ce bleu... et ce soleil... la vache : on revit... J'ai tapé sur le net "I'm a fubking poet" à tout hasard et... BINGO ! Je comprends pas ce qu'il dit mais ça doit être gratiné !
  14. Engardin

    Ma femme' m'a dit...

    Mon père il sortait de ces trucs... hallucinants ! Comme j'ai dit au dessus ! Et quand je pense qu'il avait pratiquement l'âge de mon fils ainé quand il est mort... Du coup en valeur absolue, là, je suis le père de mon père ! N'empêche que je l'imagine toujours au dessus... Plus "vieux" et qui sait mieux que moi... Père pour l'éternité ! Père éternel ! Aucun besoin d'un autre !...
  15. Ma femm' m'a dit... - Il était beau Depardieu quand il était jeune ! - Ah non ! Il était moche, carrément. On va dire que c'était juste la beauté de la jeunesse : Pour nous tous les jeunes sont beaux ! Plus beaux que nous qui sommes vieux ! - Non, moi je trouve qu'il était beau ! - NON ! Alain Delon était beau ! Brad Pitt est beau ! Et même Patric Dewaere était beau ! (D'ailleurs je lui ressemblais un peu ) Mais Depardieu, désolé, il n'était pas beau ! - Si ! - Merde, il avait le menton en galoche, un nez pointu qui d'ailleurs est devenu une patate, des yeux ronds exorbités... c'est ça que tu appelles beau ? - C'est parce que tu n'es pas une femme : tu peux pas comprendre ! - Oh non, je comprends très bien ! c'est son côté petite frappe qui vous fait mouiller vos culottes ! Tiens même une TOUTE PETIE frappe comme Sarko arrive à se décrocher une top modèle ! - Jaloux ! - Désolé, non ! J'envie ni Sarko ni Depardieu ! C'est juste que les gonzesses sont des gourdes ! Le genre malfrat ça leur donne des frissons ! C'est le côté louche, glauque qui les excite ! Tiens; j'aurais mieux fait d'être pédé ! Ca me rappelle mon père... Lui il était beau... comme un dieu ! Louis Jourdan à côté c'était de la gnognotte ! Vous savez pas qui c'était Louis Jourdan ? Cherchez sur le net ! Vous verrez ce que c'est la perfection faite homme ! La perfection des traits, comme les sculptures égyptiennes... Eh bien mon père, il était encore plus beau ! D'accord, moi j'étais un peu beau mais moins que lui ! Lui, c'était la perfection !... Et la perfection, on peut pas plus.... Ni autant ! Il aurait bien pu être pédé tellement qu'il était beau ! Vous avez remarqué, les filles tous ces très beaux... qui ne sont pas pour vous ? (Euphémisme !) Peut-être l'a-t-il été un peu D'ailleurs ? JE VEUX PAS LE SAVOIR ! Et puis il est mort le pauvre... De profundis ! Un jour il me dit : "Les Homosexuels, c'est souvent des gens très intelligents agréables de compagnie, plus subtils, plus fins que le commun des mortels. Leur conversation est un vrai plaisir : c'est d'un autre niveau ! Dommage finalement que toute cette finesse cette culture et cette intelligence, elle "débouche" juste sur s'enculer !" Vache de père ! Et les belles filles qui craquent sur les "petites frappes" ? Ca débouche sur quoi ? Vu qu'avec la culotte mouillée c'est déjà lubrifié ? La même chose ! Y a des jours comme ça, l'humanité me fait horreur ! (Et moi avec !) Moi je suis tellement... tellement... Je me sens tellement, tellement... Tellement... un gros con !
  16. Euh... c'est Action Française ou Anarchie ?
  17. C'est l'histoire d'un homme politique qui a réussi par inadvertance à devenir Président et qui tombe amoureux d'une actrice... Ou d'une top modèle ! Je blague ! Ton histoire est intéressante... J'avais aussi commencé à imaginer en te lisant que s'il l'empêchait de s'épanouir comme diva et qu'il la rendait ordinaire, il se lasserait d'elle... L'histoire est rapide ! tu es allé directement à l'essentiel. Juste un canevas. L'évolution dans le temps, avec la transformation progressive des personnages, et de leur sentiments, mériterait d'être développée. Et la "fille" qui se sacrifie... par amour puis par devoir... pour être ensuite délaissée... Y'a de quoi faire !... Et si elle se vengeait ?
  18. Engardin

    Ontologie éléate

    Je te lis et je m'informe : (Wiki) : Le nominalisme est une doctrine d'après laquelle les idées générales, les catégories, les genres et les espèces, les concepts n'ont d'existence que dans les mots servant à les exprimer. Alors que le nominalisme incite à penser que les idées générales ne sont que des mots, le réalisme pense que les idées générales supposent quelque chose de réel1. Cette doctrine s'oppose aussi à l'essentialisme qui consiste à penser que les objets naturels sont intrinsèquement porteurs d'une essence idéelle qui les transcende. L'idée, ou les concepts, ont une existence indépendante qui préexiste aux objets auxquels ils se rapportent. Il s'oppose davantage au réalisme. Formulé par Roscelin (1050-1121), le nominalisme est né dans la scolastique médiévale en tant que réponse possible au problème des universaux : les mots renvoient-ils à des états d'existence généraux doués d'une existence ontologique réelle ? Le nominalisme soutient que les noms ne sont que des instruments permettant de décrire commodément le réel. Le nominalisme ressemble au conceptualisme de Pierre Abélard, avec lequel il peut être confondu. Le conceptualisme postule des états généraux abstraits, à partir d'une réalité singulière : les concepts. Cette définition des états d'existence généraux[Quoi ?] comme abstractions le rapproche du nominalisme. Mais le conceptualisme s'éloigne du nominalisme au sens où les concepts ne sont pas de simples noms : ils sont des formes réelles, des opérations propres de la pensée. Une fois les étiquettes posées, qu'est-ce qu'on en fait ? Si je prends un exemple simple : l'Injustice. (Ou la Justice) Ou la méchanceté ... (On en revient presque au... "MAL"!) La méchanceté a-t-elle une existence autonome ? Comme une brique ou quasiment personnifiée ? Alors on va dire c'est Satan !... Ou est-ce qu'on a inventé, imaginé dette idée ce concept de méchanceté comme une ressemblance, ou ce qu'il y a de commun à tous les comportement méchants ? Comme une qualité mobile, attribuable à un comportement ou à un autre pour le décrire ou à une "substance" existante par elle-même ? "Ce" qu'il y a de commun. Il s'agit de ce qui qualifie les actes ou les comportements méchants. Le mode sur lequel s'effectuent. Il y a des actes, des paroles méchantes. Comme des objets rouges ou verts. Mais avant, pour les générer avec cette qualité méchante, une intention méchante est nécessaire. Une intention méchante, un besoin de se venger par exemple, de faire du mal. de faire souffrir... Là je commence à comprendre de quoi on parle... Je suis assez nominaliste ! Je revendique quand je suis, quand je serai méchant la paternité de mon acte méchant. Satan (qui n'existe pas) n'y a pas son mot à dire... D'un autre côté je c'était pas ma faute mais la mienne, ça allègerait ma conscience... ça m'ôterait une fière chandelle du pied ! Enfin... Un CIERGE !
  19. Le ciel est bleu-blanc-gris. Tout uni. Le soleil tarde encore. Une floppée d'oiseaux Piaillent aigu Au lointain Et le petit vent frais Qui traverse tout ça En fait un bloc solide. Liquide. L'amandier neige des millions de pétales. Comme une boulle d'eau qu'on secoue en tempête, Le monde entier, Plein de papillons blancs, s'est rétréci à vue... Ce jour est indécis...
  20. Engardin

    Ontologie éléate

    Je ne comprends pas ! "Pratiquer l'Ontologie" ? Comme on pratique le Yoga, le Tarot ou l'Astrologie ? Quand je vois le mot ontologie, je me réfère à Platon : οι ποιεται ενθεοι "οντεσ". (sous toute réserve !) Les poètes "étant" (des "êtres") divins. L'ontologie signifiant "attribuer l'être à qq chose." Dire qu'une chose existe... Donc qu'elle nous apparaît. Et qu'il nous revient alors d'en tenir compte. Mais c'est déjà dire plus que Platon où "être" (dans l'exemple) ne confère pas un absolu d'existence (to be or not to be !!!) mais sert plus simplement à attribuer une certaine qualité. Là, la qualité de divinité, d'être divins qu'auraient les poètes. (Dont l'existence "brute', le fait qu'ils existent en soi, est antérieur à toute qualité conférée.) En corollaire à cette (son) existence "brute", (aussi difficile à expliquer -en soi- qu'elle relève d'une évidence, d'une apparition) se construit comme une copie de cette même chose mais cette fois "pour nous". Dont son "essence" ou son sens, sa valeur... (qui se veulent alors premières) etc. Dont le résultat est de nous masquer l'opacité de la chose en soi... De lui inventer un être mythologique pour la remplacer. Ce serait à la science de nous la dévoiler à coeur la chose en soi. Mais il y a l'intention, la motivation de la science qui reste bien sûr un "pour soi". Notre regard est orienté. Et pas gratuit.
  21. Et même exceptionnel ! C'est dit c'est dans la boite !
  22. Merci !Je vous le fais pas dire !!!
  23. Je voudrais être exceptionnel... C'est ordinaire que je suis ! Je le constate un peu souvent Tel qui Génial n'est pas Et génial voudrait être... A qui la faute ? "On m'a fait tort !" Mais non ! Du tout ! La faute incombe à moi tout seul ! Faut se laisser aller ! Glisser avec les loups... aboyer à la pente ! Toujours dans le "bon sens" Et a cris et à crocs Et surtout quand il faut A la mode du jour... Et moi qui freine Des quatre fers ! Je ne suis qu'un cheval manchot ! Qui clopine dans son galop, allergique à ce qu'on dit beau ! Pour être exceptionnel, Faut en plus être pulsionnel ! Si t'as tort, rajoute une couche ! Mange l'assiettée du voisin à pleins bouche * Puis écrase le, sautillant Le tout sur air de flamenco ! Au fait, l'ai-je bien descendu ? Je suis trop sage Et bien trop doux Et je dis pis : j'suis doucereux ! C'est comme ça Que J'suis heureux, Dix doigts de pieds en éventail ! J'voudrais bien être exceptionnel... Dire "avec moi, c'est pas pareil" ! .... Mais ça doit être... fatiguant ! * je rime un peu par ci par là ça fait plus genre !
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