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Tout ce qui a été posté par Engardin
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Avoue que ce serait quand même génial de faire chanter sur cet air viril à des néo-nazis qui ne pipent pas un mot d'allemand et qui penseraient donc chanter un chant guerrier : Wenn wir schon Grillen fingen In dieser herrlichen Frühlingszeit ? Si nous avons déjà attrapé des grillons En ce merveilleux printemps ?
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C'est le même souvenir que j'ai de "Ils ont traversé le Rhin" Il est possible que ce soit un sergent chef (je revois sa tête !)qui les chantait et nous ne répétions que la phrase "aux rythme des hauts..." Après, commando c'est commando ! Motorisé, héliportés... etc : Et la médaille que j'ai refusée de prendre en partant : Mais j'ai le droit de la porter ! Je peux vous dire qu'à la fin on n'était plus des gonzesses ! Moi aussi c'est tellement à l'opposé !!!
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Je pense avoir trouvé : paroles de Im Frühtau zu Berge Im Frühtau zu Berge wir ziehn, fallera, Es grünen alle Wälder, alle Höh'n, fallera. Wir wandern ohne Sorgen Singend in den Morgen, Noch ehe im Tale die Hähne krähn. Ihr alten und hochweisen Leut, fallera Ihr denkt wohl, wir sind nicht gescheit? fallera Wer wollte aber singen, Wenn wir schon Grillen fingen In dieser herrlichen Frühlingszeit? Werft ab alle Sorge und Qual, fallera Und wandert mit uns aus dem Tal!, fallera Wir sind hinaus gegangen, Den Sonnenschein zu fangen: Kommt mit und versucht es auch selbst einmal Traduction : Aux premières rosées, nous allons dans les montagnes, fallera, Toutes les forêts, toutes les collines sont vertes, fallera. On randonne sans soucis Chanter le matin, Avant même que les coqs chantent dans la vallée. Vous les vieux et très sages, fallera Vous ne pensez pas que nous sommes intelligents ? tombera Mais qui voulait chanter ? Si nous avons déjà attrapé des grillons En ce merveilleux printemps ? Jetez toute inquiétude et tout tourment, fallera Et faites une randonnée avec nous hors de la vallée !, fallera Nous sommes sortis Pour profiter du soleil : Venez essayer vous-même Et grandeur nature :
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Je cherche à en savoir plus. les Lansquenets, je savais que c'était des soldats de l'ancien temps, comme les Gardes Suisses, mais rien de plus... Les lansquenets étaient des mercenaires, le plus souvent originaires des États de langue allemande, opérant du XVe à la fin du XVIe siècle. Ils ont servi dans la plupart des armées européennes de l'époque et ont acquis une grande réputation dans la première moitié du XVIe siècle pour leur efficacité mais aussi leur brutalité. Belle allure ! https://fr.wikipedia.org/wiki/Lansquenet
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Les paroles s'imposent ! 1 - Ce monde vétuste et sans joie, faïlala, Croulera demain devant notre foi, faïlala, Et nos marches guerrières feront frémir la terre Au rythme des hauts tambours des lansquenets (bis) 2 - Que nous font insultes et prisons, faïlala, Un jour viendra où les traîtres paieront, faïlala, Qu'ils freinent donc, s'ils l'osent, notre ascension grandiose Que rythment les hauts tambours des Lansquenets (bis) 3 - Nous luttons pour notre idéal, faïlala, Pour un ordre nouveau et impérial, faïlala, Et à notre heure dernière, nous quitterons la terre Au rythme des hauts tambours des Lansquenets (bis) Demain nous irons au combat ... Ce que j'admire le plus c'est le "Faïlala" ! Qui ne veut strictement rien dire. Bien sûr. Comme "Poum poum tralala". Aller risquer sa vie et mourir pour "Faïlala", autrement dit pour rien, C'est là toute la tragédie humaine ! Pour rien... enfin, "l'ordre nouveau" on a quand même une petite idée...
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La mémoire, les souvenirs vous jouent des tours. Un truc, un phrase apparaît dans votre esprit... On ne sais pas pourquoi... Je sais : il y a certainement une raison, une cause précise. Mais où la chercher ? Là il vient de me revenir une phrase d'une chanson. Me revenir n'est pas le mot. Elle m'a carrément envahi l'esprit ! "Au rythme des hauts tambours et lansquenets " C'est à n'en pas douter une chanson militaire ! Mais oui ! D'où me vient elle ? En plus j'ai même l'air ! J'ai donc dû la chanter en marchant au pas !... C'est certain... je cherche sur Internet et bien sûr je la trouve : Grandiose !
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Le point d'achoppement, c'est ... "les ajustements fins " ! Des valeurs si précises qu'on en vient irrésistiblement à penser qu'elles sont été... Pensées, réfléchies, mise au point méticuleusement... j'en conviens. Et donc au départ, un ESPRIT extraordinaire nous semble s'imposer. D'accord ! Mais un esprit c'est quoi ? Nous en avons tous un et on peut toujours tenter d'étudier, de comprendre ce que c'est... Notre esprit... Dont j'ai dit qu'il était une "montée en puissance", une amélioration... Mais une amélioration de quoi ? Faisons simple : DU SINGE !!! (De l'esprit du singe !) Confer, l'évotution. Dès lors, en ce qui concerne Dieu... Et sont esprit supérieur. (J'admets !) Quel était le singe précurseur, ancêtre de Dieu ? Le précurseur "rustique" de son esprit si exceptionnel ? Car il faut le dire, l'ancêtre d'Einstein lui-même était bien un singe aussi, Non ? L'esprit, le nôtre s'est construit pas à pas. Pourquoi pas tout esprit ? Notre esprit en tout cas s'est construit, formaté an regard du monde. Et du monde déjà existant. Je dirai qu'il est comme (notre esprit) une virtualisation du monde. Du monde matériel qui nous entoure. Donc je répète ma question : Quel était le singe ancêtre de Dieu ? Car non, son Esprit n'est pas tombé des... NUES ? MAGIQUEMENT ? Quel était le monde déjà existant qui a permis à l'esprit de Dieu d'en être la/une virtualisation ? (Et l'on comprend alors que l'idée à la mode selon laquelle notre monde ne serait qu'une création virtuelle est un peu le dernier refuge de Dieu !) Pour ce qui est des ajustements très très fins Nous avons un peu trop tendance à imaginer au départ un univers vide... Et si on partait d'un Univers plein ? Sur saturé ? Et puisque aujourd'hui il nous revient de constater que l'Univers NOTRE UNIVERS est quasiment vide... Alors je dirai que seules les extrêmement rares parties qui on bénéficié de ces ajustements fins on survécu. les autres toutes celles qui n'étaient pas bien ajustées à la trentième décimale près... Eh bien n'ont pas tenu !... Implosées! détruite d'elles-mêmes parce que non en EQUILIBRE avec ce qui les environnait... L'équilibre, c'est une notion qui n'est pas assez mise en avant quand on réfléchit à l'Univers... Les étoiles.. par exemple ne tiennent qu'autant qu'elles sont... en équilibre . Equilibre entre la gravitation et de leur pression interne... Sans oublier que tout équilibre reste plus ou moins momentané... Mes arguments sont probablement faux. mais ce n'est pas là la question. La question qui préside ou qui précède l'esprit scientifique toujours, c'est qu'il y a par principe, systématiquement une explication à tout ce qui existe. Et Dieu n'est pas une explication ! Dieu c'est en fin d'analyse le renoncement à toute explication.
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Il y a une "montée en puissance" assez évidente dans l'apparition de la pensée, dans l'avènement d'un esprit capable de penser. @zenalphaMais parler d'évolution pour tout dire c'est un peu... court ! Certes c'est le mécanisme général (pas une divinité) mais il y a autre chose qui l'accompagne et est à la fois le moteur et la conséquence : c'est la complexification. Nous tenons pour certain qu' "au commencement" il n'y avait rien de bien défini. Enfin on parle de soupe primordiale ! Puis enfin l'apparition du premier atome, l'hydrogène... le plus simple, le plus léger Par la suite, ce n'est qu'une histoire de complexification. Mais la complexification (minérale) avait ses limites. Une complexification plus grande a été possible par la chimie dite organique, disons à partir et autour du carbone... Il se trouve que cette chimie n'est viable que sous certaines conditions - comme la température. (Quand le carbone brûle, c'est fichu par exemple !) (Je le vois dans mon travail, la céramique : si on dépasse les 500 ° et à fortiori à 1000; la chimie organique disparait.) Aussi étonnant que ça paraisse, un étoile, aussi gigantesque soit-elle, et quand bien même elle va fusionner ses atomes, ne pense pas. Mais une fourmi... oui ! Combien de milliers de fois plus complexe est l'organisation d'un fourmi comparée à celle d'une étoile géante et ses milliards d'atomes et ses millions de degrés ? En arXai en o logos (Au commencement était le verbe !) En arXai thèn inai tipota i poli ligo (au commencement il n'y avait rien ... ou très peu ! )
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Tu me fais peur, là ! Quoi que moi, je descends pas en dessous de 90% vieux et jeunes compris (pas de démagogie ! ) En fait j'ai raté mon histoire ! J'aurais dû dire qu'il y avait vraiment une attaque extraterrestre et c'est petit à petit que les couillons se seraient rendu compte que c'était une fausse, une manœuvre. ça aurait été ça l'intrigue ! Là maintenant, je vais devoir prendre le problème à l'envers et cette fausse attaque extraterrestre va en devenir une vraie. Comment ? Peut-être que le Premier Ministre était de la 5ème colonne extraterrestre ? Puisqu'ils sont déjà parmi nous ! Là je tombe d'un cliché dans l'autre !
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Je pense exactement le contraire ! C'est à partir du minéral que se forme le vivant et c'est à partir du vivant que se forme l'esprit. Ca me semble simple, raisonnable, logique. Si on met l'esprit au départ tout ça n'a plus aucun intérêt. Et est même absurde. J'aime bien le côté bricolage de l'évolution, des mutations imprévues... et quand c'est bon, efficace, "ça se garde" parce que plus efficace. C'est magnifique parce que tout ça se construit laborieusement à partir de pas grand chose. Dieu m'ennuie. Il est magique. Il tient de l'imposture. Pourquoi il ferait semblant de tâtonner s'il a tous les éléments dès le départ ? C'est là qu'est l'absurde. 12 milliards d'années pour en arriver là où l'on en est si c'est à partir de rien, ça a été un peu laborieux, certes, mais bravo quand même ! Si au départ, il y avait déjà tout, et que tout était prévu, c'est carrément minable ! Regarde, nous : couillons comme on est y'a tout juste 200 ans qu'on connaît l'électricité et on en est déjà à l'Intelligence Artificielle !
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2 heures par semaine, tu vas tenir le coup quand même ?
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Dès la première reproduction autrement dit dès le premier être vivant, (qui se divise en un autre). et à fortiori avec la reproduction sexuée, l'Autre est là qui nous permet de nous construire. Aucun besoin de Dieu. Dieu ne sert qu'à nous faire croire que nous pensons plus haut que notre cerveau. Et ça n'est pas le cas. Tiens ? Elle est où là, maintenant l'âme de Socrate ? Joue-t-elle au jeu des Cartes avec celle de Platon ?
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L'an 3000 Le Bonheur ? Oui ! Il était enfin arrivé ! Tous les individus, tous les citoyens recevaient enfin une juste rétribution pour leur travail. Même si ce travail ne leur prenait qu'une heure par jour et deux jours par semaine. Plus personne n'exploitait plus personne ! 4 mois de congés payés, l'avion sans carbone gratuit pour les Seychelles ...Etc. J'en passe et des meilleures. Les riches étaient un tout petit peu moins riches et les pauvres beaucoup moins pauvres. Je le redis : c'était le bonheur ! Et sur toute la planète ! Mais voilà : le bonheur, c'est l'ennui... Et la morosité, une morosité lourde, totale, endémique, indépassable s'était emparée de l'humanité... "Plus d'amour, partant plus de joie". L'oisiveté mais aussi la déprime régnaient en maître : L'humanité était malade ! Plus d'envie, plus de désirs... Le rendement social, industriel, s'en faisait ressentir ! De plus en plus. Or les riches possédants, les dirigeants, les têtes de gondoles couronnées qui eux savaient bien -d'expérience- profiter du bonheur, (C'est toute une culture, tout un entrainement !) eurent vite compris que le lymphatisme des foules n'était pas bon pour eux. Pas du tout ! Ils ont vite compris que la fainéantise qui peu à peu gagnait même les ouvriers les plus bêtes et qui travaillaient pour eux, cette sorte de désabusement général les menait dans le mur. Risquait de les obliger un jour ou l'autre à... Travailler ? Quelle horreur ! Avec peut-être de la sueur ? NON ! Ils se sont donc réunis le 29 juillet 3000 pour tenter de trouver et de prendre les mesures nécessaires, les mesures indispensables afin qu'ils conservassent leur niveau de vie encore nettement supérieur à celui du vulgum populum. Mais que faire ? Comment s'y prendre ? je vous le demande ! La vérité simple, évidente, était que les gens étaient trop heureux. Cela leur ôtait tout envie de... se battre, d'améliorer leur sort ? De vivre. Puisqu'ils étaient déjà au top niveau et avaient tout ce qu'ils voulaient... Il fallait donc faire en sorte qu'il le fussent moins... heureux. Comment faire ? Comment se fabrique le malheur ? Là l'idée surgit d'elle même : Il suffisait de leur inventer une BONNE GUERRE ! Une vraie des vraies. Leur faire croire (au bon peuple qui les nourrissait) qu'on était en guerre sans qu'il n'en fût rien ? Que nenni ! Eût-ce été suffisant ? La supercherie n'eût-elle point risqué d'être rapidement éventée. Il fallait donc qu'il y eût une vraie guerre ! Qu'on la concoctât parfaitement, aussi vraie qu'une vraie. Donc entre autre avec de vrais morts, de vrais héros... énormément de matériel, cela va sans dire, des explosions énormes, des blessés, éventuellement des décorations à distribuer... Il fallait le MOTIVER à fond ce bon peuple de trimards qui flemmardait et s'ennuyait !... Lui donner l'illusion qu'il avait beaucoup à perdre... Puisque de tout avoir à portée de main ne lui suffisait plus... (Je vous répète qu'on est en l'an 3000 et qu'on a vachement plus de moyens à tous les niveau que maintenant...) Pourtant la réalité, c'était qu'un guerre entre soi, d'un point de vue humain, planétaire, n'était plus envisageable. Plus crédible. C'est là que le Premier Ministre du Gouvernement mondial eut cette grande idée de génie : ON VA LEUR FAIRE CROIRE QU'ON EST ATTAQUéS PAR DES EXRATERRESTRES ! à suivre peut-être...
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Peut-être... je dis bien "peut-être" que Descartes n'a jamais douté !!! Et qu'il a fait seulement semblant. Il avait par avance toutes les solutions : Dieu ! On nous parlera de l'époque, des mentalités de l'époque, des difficultés qu'il pouvait y avoir à se détacher de cette pensée hégémonique. Mais vers la même époque on a eu aussi Spinoza qui lui a suffisamment douté pour renvoyer dieu aux oubliettes ... c'est ça la tâche dans la pensée de Descartes : Dieu ! Je pense aussi à la règle de l'évidence. Pour un croyant, Dieu est une évidence ! Et du coup toutes les règles de la méthode tombent à l'eau. Puisqu'on ne peut plus se fier à l'évidence qui est la première des règles de l'esprit... Mais je l'ai déjà dit : c'est comme un virus ! Et l'antibiotique contre Dieu, c'est quoi ? Tant qu'on l'a pas pris toutes nos réflexions sont faussées ! (Je m'amuse !)
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C'est assez extraordinaire ce raisonnement ! Plus tiré par les cheveux tu meurs ! Toutes les prémisses du départ sont toutes fausses ! Pas de Dieu, pas de démon, pas de bien pas de mal... Et avec tout ça ce brave homme nous donne l'impression de savoir, de bien connaître une (la) Vérité ! On est en plein délire ! En imaginant qu'un Dieu existe (qui ait tout créé) qu'est-ce qu'il en aurait à faire que nous soyons libres de choisir un prétendu bien ou mal ? Puisque de toute façon dans quelques milliards d'année la Terre disparaîtra... Et nous n'y serons déjà plus depuis longtemps... Ce sont là de vraies vérités ! Quand au "Démon"... Non ! Ce n'est pas sérieux. Cette personnification... Pff ! Que l'amibe que nous sommes se nourrisse de telle ou telle protéine ? Mais ce qui me déplaît le plus c'est la prétention de tout cela. En gros, nous connaissons un peu -ou nous avons une idée de- ce qu'est l'Univers, de son immensité, et il ressort de ces "arguments" que tout cet univers, (donc parfaitement inutile !) à été conçu uniquement pour nous !!! Uniquement pour que (par exemple) nous ne convoitions pas le bien de notre voisin... Cela confine à un délire absolu. Question : le Malin Génie de Descartes est-il un avatar du Démon ?
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Non seulement la question sur Dieu ne m'ennuie pas mais j'ai fait un effort pour ne pas "tomber dedans" quand j'ai parlé de Descartes ! Quand il parle de "Dieu infini" cette pensée est-elle sienne ? Il pourrait aller jusqu'à dire qu'il ne s'agit que d'une question d'évidence... Deux autres idées d'une part : La volonté, la décision... Dans quelle mesure elles ne sont pas déjà de la pensée ? Sans doute que dès que le vivant se détache du minéral, l'esprit est "dans les cartons". Dès le départ, le sujet s'oppose au reste du monde. Il y a d'autres étapes. Comme la reproduction "sexuée" qui implique, exige la reconnaissance de l'Autre. (Différent de soi et différent du reste du monde mais nécessaire à soi -à sa reproduction-) D'autre part Il me faut admettre qu'emprunter une pensée d'un autre, ce n'est pas pour autant l'autre qui pense à notre place, en nous ; sauf à le dire poétiquement ou psychanalytiquement. Nous "actualisons", nous rendons effective, alors pour nous cette pensée... Il se passe bel et bien quelque chose ... en plus. De même que si je lis les règles de la méthode, au moment où je les lis, où j'y pense il se passe autre chose ou au moins quelque chose qui ne se passe pas tant que le discours de la méthode reste sur son étagère. Un évènement ! Où il nous revient de réagir. (Ton exemple d'un belle femme est quand mêrme plus sympa !)
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Etonné ! Il m'est arrivé m'ont apparus les mêmes mots par un autre chemin : "Mise en abîme", "ça pense". je me disais que "je pense" était insuffisant ! En fait on n'a "le droit de dire" que "Je pense que je pense !" Et même ... "Je pense que je pense que je pense..." ! ... Etc. D'où la "mise en abîme" ! Dès lors qu'est-ce qui est mis en abîme ? Le sujet ! Le Je. Et donc on en arrive à "ça pense". Puisque le sujet nous échappe, recule. C'est la juste constatation : "il y a une pensée qui est en train de se développer". Mais qui la commet ? On retombe sur le fameux "je est un autre" ou encore le "je suis là où je ne pense pas". Il faudrait admettre que celui à qui l'on doit cette pensée en train de se développer, ne pense pas en fait ! Il se contente d'exister. Et on pourrait rajouter biologiquement. Mais est-ce que le vivant pense en tant que vivant ? Dès lors qu'il est vivant ? Je le vois plutôt comme un ensemble de mécanismes "qui ne peut pas ne pas vivre"... Sur le même modèle, est-ce qu'un esprit (en tant qu'esprit) est tel qu'il ne peut pas ne pas penser ? L'esprit peut-il vouloir ne pas penser ? (Sans doute d'un point de vue psy, on peut vouloir -inconsciemment- être bête (comme papa si papa l'est ?!) Mais je doute que cela aille jusqu'à ne pas penser du tout... ) --A étudier !-- Pour exagérer encore sur le fait de "ne pas penser", et ça a déjà été débattu, mes (ou nos) pensées sont-elles vraiment nôtres ? Ne les a-t-on pas empruntées le plus souvent ici ou là ? Quelles sont les pensées que nous avons, nous, (chacun) vraiment construites ? Et c'est pourtant tout ce que nous avons à nous mettre sous la dent : Des pensée... des idées... qui traînent que nous trouvons là. Ici et maintenant quand nous pensons, dans notre esprit... Peut-on séparer "le moteur qui pense", (la dynamique, la progression du "penser") qui veut penser (forcément), comme un intermédiaire qui s'est invité au dessus du vivant (qui lui par exemple veut marcher ou manger), de la pensée, de l'idée elle-même. Le Je est cet "objet" (vivant) dont nous subodorons l'existence sous notre (cette) pensée ou cette conscience qui nous apparaît vraisemblablement localisée ici et maintenant (dans l'espace, dans le temps) en ce moment-ci. Une fois cette pensée constatée puisqu'elle est là, on (Descartes) va tenter de lui appliquer la règle de l'évidence... C'est un autre problème celui de la pensée entre soi et soi... Presque en résumé, le Malin Génie ne peut-il pas me faire croire que je pense alors que je ne pense pas ?
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J'ai repris deux trois trucs : Une femme allongée En mystère de chair qui résonne En idée de douceur, de plaisir que pour elle ! Un monde lisse qui glisse Et la cuisse. Jouissance inconnue incongrue à portée de la main, De l'hymen, De l'amen. Pour bibi ? Une fin des combats ! Une faim de bonheur De douceur, De moiteur, Une respiration. Un monde parallèle, Un espoir de délire : Absolute évasion ! Sur un air de Polka... (Un verre de Vodka !)
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Une femme allongée En mystère de chair qui résonne En idée de douceur, de plaisir que pout elle ! Un monde lisse qui glisse. Jouissance inconnue incongrue à portée de l'amen ! De l'hymen. Pour bibi ? Une fin des combats ! une faim de bonheur De douceur, De moiteur, Une respiration; Un monde parallèle, Un espoir de délire : Absolute évasion ! Sur un air de Polka... (Un verre de Vodka !)
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Au sens de "par pitié : dégage" ! C'est peut-être plus un sens qu'on donne à "pitié" dans le midi ?
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A mon avis... ce qu'il faudrait --conditionnel-- comprendre (je dis bien à mon avis !), C'est que le "merci" de Villon, n'est pas notre "merci" d'aujourd'hui, genre "remerciement" ! En fait il ne dit pas "merci" à tous ces escogriffes, mais il leur demande : "pitié" ! En d'autres termes : "barrez-vous !" ou : "Que je n'entende plus parler de vous ! " Là on commence à comprendre sa critique... "A ces gens du Rassemblement pestant qu'après les immigrants Je crie à tous ces gens : Merci ! Comme aux bourges de macronistes Qui se la jouent "économistes" Je crie à ces tristes : Merci !
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Je l'ai mise en musique, façon Georges Brassens... Mince j'en ai aucun enregistrement... UNE GRANDE PERTE POUR L'HUMANITé ! J'avais même rajouté un couplet : LA A ces miteux politiciens LA Qui nous tiennent la dragée haute RÉ A ces prétendus musiciens SI7 MI7 Qui barattent leurs quatre notes LA A ces "touche pas à mon pote" RÉ Tous ces faux culs dont le soucis SI7 MI7 N’est que de bien emplir leur hôte, SI7 MI7 Je crie à toutes gens, mercis ! LA MI7 \ LA MI7
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J'ai juste pensé au mot : "baroque" et la première rime qui m'est venue c'est "la Roque" : aucun rapport ! C'était donc déjà baroque ! Mon modèle baroque, c'est Bellaud de la Bellaudière un poète provençal... baroque ( XVIème siècle ) qui étant en prison disait par exemple : (Je traduis :) "Que ne sont les cloisons d'ici toutes de cire De beurre ou bien de sel guère je (ne) resterai !..." Mais le poète qui pète je suis allé le chercher chez... François Villon !!! (Dans la Ballade de merci) "Je fisse pour eux pets et rottes " Je ne puis car je suis assis !..." "
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Vous le savez peut-être ? ...que je ne suis pas prêtre ? Mais je vis à la Roque : Je suis Baroque ! Ma vie même est un drame... J'en ai le vague à l'âme... Mais un drame comique ! J'ai peu le sens pratique... Peu le sens du confort (Encor que con et fort...) Je m'assois à la dure Vets ma robe de bure En ai le cul tanné (D'irritation cutanée). 100 détours inutiles Toujours futiles M'ont mené nulle part : Je m'appelle Ringard ! N'en ai aucune honte. Si demain me refonte C'est Baroque au carré Soit deux fois plus taré Que je me subodore : En poète Qui pète ! J'en ris et le déplore... Le déplore et en ris : ...Chuis pas guéri !
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Merci ! Ouais mais normalement, Super Manu, tu lui attaches la Tour de Londres à une main et quand il tire il la fait tomber ! "Super Manu Réfléchit" (An 2000)
