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Demethrogene

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Tout ce qui a été posté par Demethrogene

  1. Mais pour qu'ils le deviennent, il ne faut pas que les moyens humains et financiers soient confisqués par une élite masculine uniquement. Certains sports restent aujourd'hui les représentant d'un virilisme suranné.
  2. En quoi le nombre élevé de spectateurs justifie-t-il des dérives discriminatoires ? Autorise-t-on le hooliganisme sous prétexte que les fans de football sont nombreux ?
  3. Argument d'autorité. Que vous le pensiez n'en fait pas une réalité.
  4. Autres vidéos du Sieur << Le Carnassier >> : "Quel pays viser pour trouver une femme à marier ?" "Obligé de quitter la France pour trouver une femme en 2025" Du bon, du gros, de l'excellent Carnassier, avec odeur de barbecue et reprise en coeur des Lacs du Connemara en fin de soirée !
  5. C'est essentiellement dans le cadre du football que de telles polémiques prennent de l'ampleur. Je n'ai, par exemple, jamais lu d'articles ou de commentaires minimisant les performances des féminines pratiquant le judo en les comparant à leurs pendants (^^) masculins.
  6. Personne ne nie la différence physique entre homme et femme. Mais VOUS estimez que cette différence dans le football est rédhibitoire. Vous avez raison. Donc toute évolution des règlements qui autorise des tenues différentes aux choix de chacune est bénéfique. https://www.lemonde.fr/sport/article/2025/02/25/l-autorisation-du-short-une-petite-revolution-dans-la-gymnastique-francaise_6563215_3242.html https://www.ladepeche.fr/2024/08/04/jo-de-paris-2024-on-joue-comme-on-veut-la-paire-toulousaine-de-beach-volley-richard-placette-repond-a-la-polemique-du-bikini-12123692.php
  7. C'est pour cela que les sportives se battent pour faire évoluer leur tenue dans plusieurs fédérations.
  8. Succulente, cette juxtaposition handicap / féminité ! Au moins le double. Ce (mauvais) exemple revient en boucle sur le net dès qu'on évoque le sport féminin. C'est votre choix. Mais sans la base, sans le sport amateur, impossible de détecter les futurs pros qui vous font rêver.
  9. En règle générale je passe par la porte.
  10. https://www.20minutes.fr/tempo/4113493-20241009-lieux-no-kids-societe-aime-enfants-tout-monde-trouve-ca-normal
  11. Tentative d'inversion de la charge de la preuve. C'est vous seul qui avez introduit cet argument ici. C'est pourtant hautement probable. Une jurisprudence qui n'irait pas dans ce sens ouvrirait la porte à d'autres interdictions liées à l'âge, au handicap, à l'origine ethnique, etc.
  12. Le haut-commissariat à l'enfance s'en inquiète, ainsi que de nombreux parlementaires. Des marginaux eux aussi, sûrement... Des pratiques sont illégales ou légales. Des pratiques légales "le plus souvent" (sic), cela ne veut rien dire.
  13. Votre ironie ne cache pas la réalité : selon les observateurs, la tendance "no kids" est majoritairement un phénomène touchant les classes sociales les plus favorisées.
  14. Citer moi donc ces entreprises qui choisissent leur clientèle en passant outre l'article 225-1 du Code pénal ou le L121-11 du Code de la consommation ! Argumentum ad personam, je remporte le débat par KO technique. Plus sérieusement, si vous pouviez éviter d'en arriver là, je vous en saurais gré.
  15. Non, le choix de la clientèle sur des critères discriminatoires et le refus de vente ne sont pas permis par la loi. Ce n'est pas mon principe (sic), c'est un article du Code pénal. Et si, vous comparez bien les animaux, propriété des clients, avec les enfants, êtres humains possédant les même droits que les adultes.
  16. https://www.huffingtonpost.fr/life/article/les-enjeux-des-espaces-no-kids-en-vacances-vont-bien-plus-loin-qu-un-simple-besoin-de-calme_250244.html Opinion que je partage. Le mépris de classe suinte au travers de ces espaces "no kids".
  17. Ne m'attribuez pas des propos que je n'ai pas tenu, merci. Un commerçant a le droit d'ouvrir l'établissement qu'il souhaite... à condition de respecter les lois, dont celle qui réprime la discrimination. Comparer les enfants aux animaux est osé. Au moins, les animaux remangent leur vomi. Bien, ça l'est. Vous auriez pu citer aussi les créneaux réservés aux femmes dans certaines piscines, ça l'est tout autant.
  18. https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/dans-les-hotels-ou-les-transports-sarah-el-hairy-prone-une-contre-tendance-pro-kids_250446.html Je me suis pris moi-même en flagrant délit d'autocensure.
  19. C'est un non-argument, comme celui des clubs libertins évoqués en début de sujet. Dans ces cas, il y d'autres lois qui prévalent sur la discrimination : protection des mineurs, santé publique (pas de vente de tabac ou d'alcool), règlementation qui prohibe l'usage d'un manège (par des enfants ou des adultes, c'est selon) pour des raisons de sécurité, etc... Rien de tout cela dans un hôtel, un camping ou une boulangerie.
  20. Parce que dans votre imaginaire seule la force impose le respect et suscite l'amour ? Triste mentalité.
  21. L'établissement sera condamné pour discrimination. Un procès pour discrimination est absurde, selon vous ?
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