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Témoudjine

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Tout ce qui a été posté par Témoudjine

  1. C’est à dire que ton comportement est simple et primaire. Tu affirmes une chose qui n’est qu’un slogan vide de sens et dont en réalité le sens réel t’échappe. Tu es complètement incapable d’expliquer le sens de ce que tu affirmes et pourquoi tu le dis. Tu te comportes sur ce point comme la masse des incultes qui ont trouvé des slogans qui leur semblent agréables à répéter, même s’ils en ignorent totalement les tenants et les aboutissants. Ou dont ils ont cru que ceux qui les aboyaient partageaient leurs propres points de vue. Que comme eux ils allaient faire une révolution qui allait transformer la planète. Mais tous ces décérébrés ne se rendent même pas compte qu’ils ne sont que les traditionnels crétins utiles. Quant à rajouter sous tes messages l’expression « je suis juif », tu devrais consulter un psychanalyste. Et plus probablement un neurologue. Tu es tellement convaincu de manquer totalement de personnalité que tu essayes de t’en faire attribuer une autre ? Tu crains que l’on ne te prendrait pas assez au sérieux si tu ne te prétendais pas juif ? Ou tu penses te donner un certificat d’intelligence juive, ce qui à tes yeux serait mieux que de se voir attribuer un qualificatif d’inodore, incolore et sans saveur, et en même temps de stupide ? C’est-à-dire de simple perroquet répétant en boucle des slogans dont il ne comprend même pas la signification réelle, et en outre est dans l’impossibilité d’expliquer le sens de ce qu’il dit ? Que tu sois juif ou non, c’est ton problème et je m’en tamponne, mais il serait bon que tu réalises que cette manière de porter une oriflamme te prétendant juif est préjudiciable pour les Juifs. Les décérébrés qui approuvent tes habituelles slogans militants stupides, approuveront de toutes les manières tes dires, même les pires stupidités. Mais avec pas davantage de réflexions que toi. À l’impossible nul n’est tenu. Mais les autres, juifs, goïm, musulmans, shindoïstes, chrétiens, protestants, mormons et autres, auraient plus de considération pour tes messages si tu ne te croyais pas obligé de brandir en permanence un étendard que par ailleurs et surtout, aucune communauté juive de la planète ne t’attribuerait au vu de la pertinence tes messages. Ou ils demanderaient au Mossad que par pur hasard tu passes sous un autobus. Il faut bien faire travailler les carrossiers de la RATP. Ou voudrais-tu jouer au fils maudit pour te trouver une personnalité actuellement inexistante ? Alors arrête les frais. Tu ne fais pas le poids.
  2. Je vais me permettre de te donner un conseil. Tu en feras ce que tu voudras. C’est celui de changer tes sources d’informations, surtout en matière historique. Il y a toujours une ou des exceptions à chaque règle ou à chaque habitude. Mais elles n’en deviennent pas une chose courante. Qu’une circonstance exceptionnelle ait pu amener un père à exiger de son fils qu’il entre en religion, même à coups de gifles ou de persuasions « extrêmes », c’est possible. Tout est possible. Et il est statistiquement probable que cela ait pu avoir lieu. Et même possible que cela devienne la trame d’un roman de second ordre. Mais sur le plan historique cela n’est pas allé au-delà. Le père qui bat son ou ses fils pour les faire entrer dans les ordres, c’est une blague. Je ne sais où tu as lu cela, mais c’est très fantaisiste. Un enfant ne pouvait entrer en religion, en l’occurrence dans un séminaire ou assimilé, que sur le vœu de sa famille. Mais il n’entrait en religion qu’à sa majorité, après avoir prononcé les vœux de son Ordre. Ou ceux lui permettant de devenir prêtre si c’était le choix voulu. En tant que mineur il n’était que pensionnaire dans l’établissement, si l’établissement enseignait aux enfants. Pas devenu membre de l’établissement. La mère du deuxième lit n’en était pas du tout débarrassée. La mère d’un second lit ne pouvait pas mettre les enfants du premier lit dans un établissement religieux pour leur sucrer leur héritage. Les enfants mineurs du premier lit héritaient aussi bien s’ils étaient pensionnaires en établissement qu’au domicile de la famille. Seule une femme pouvait être maintenue de force dans l’établissement après sa majorité, et n’héritait plus si l’on avait fait prononcer sa « mort civile ». Sous réserve qu’elle soit majeure, et l’âge de la majorité variait selon les époques et les régions. Mais cela ne concernait que les femmes, hors cas folie attestée s’il s’agissait d’un homme. Les hommes « obligés » ( ? - Ils n’y étaient jamais obligés ou contraints quoi que tu aies pu lire) d’entrer en religion, n’avaient pas besoin d’attendre la mort de leur père pour en sortir. Déjà, pour entrer en religion il a fallu qu’ils prononcent les vœux de leur Ordre, ou ceux de la prêtrise s’ils devenaient seulement prêtres. Et ces vœux ils les prononçaient eux-mêmes, hors de la puissance « frappante » de leur père. Ni l’Église, ni les Ordres religieux, abbayes, monastères, ou Ordres mendiants et divers, ne voulaient d'hommes contraints. Ils n’auraient jamais été fiables et auraient dû être surveillés en permanence. Il fallait qu’ils commencent par prononcer leurs vœux. Ils les prononçaient parce qu’ils le voulaient bien. Et de la même manière pour quitter leur état il leur suffisait de déclarer renoncer à leurs vœux. Que leur père soit mort ou pas. Il n’y avait nullement besoin de procès pour cela. Les cas où il y eu des procès étaient des épiphénomènes liés à des questions d’intérêt. Une personne riche entrant en religion en amenant et donnant à l’établissement un bien quelconque. Donation contestée ensuite par la famille ou des héritiers de l’ex-religieux. Mais c’est hors de notre sujet.
  3. En réalité tu ignores le sens exact de ce que tu dis, mais en outre tu ne sais rien des raisons ayant amené à la situation que tu évoques. Et tu n’as pas répondu à ma question. La Cisjordanie n’est pas un territoire palestinien. Elle est un territoire « disputé », selon l’expression exacte en anglais employée par la résolution de l’ONU, lors de la résolution originale d’arrêt des combats qui a fixé des lignes provisoires « d’armistice ». Avant que les islamistes trahissent volontairement le texte et le traduisent en arabe d’abord, puis en anglais, par l’expression « territoires occupés », ou par l’expression « territoires palestiniens ». Sur le plan de la légalité internationale, la Cisjordanie n’existe pas tant que telle. La région est toujours officiellement en attente d’un règlement définitif, et en conséquence actuellement elle est toujours un territoire « disputé ». Situé juridiquement en territoire israélien. Sur le plan de la légalité internationale, même les agglomérations juives implantées en Cisjordanie, c’est à dire en Judée­-Samarie, ne sont pas illégales stricto sensu puisque n’étant pas créées dans un autre pays que sur le territoire du seul pays existant juridiquement, Israël. La région est toujours en attente d’un règlement définitif. Pour l’instant la Cisjordanie n’existe pas juridiquement, pas plus qu’un état palestinien. Si un état indépendant était créé sur une partie du territoire légal d’Israël, c’est-à-dire comprenant la Cisjordanie, il ne faudrait que quelques années pour qu’il devienne un nouveau Gaza avec un autre Hamas islamique et frériste équivalent à l’actuel Gaza.
  4. C’est très bien de ta part de te préoccuper de ton avenir. Mais avant de devenir dessinatrice dans la presse, il faut commencer par devenir dessinatrice. Tu as quelques excellents lycées à orientation activités artistiques. Avec des internats. Tu te fais admettre dans l’un d’eux et après le Bac tu seras directement bien placée pour avoir à ta disposition les références de toutes les possibilités. Mais tout dépendra de tes capacités artistiques et de la ténacité dont tu seras capable de faire preuve. Commence par faire en sorte que tes dessins actuels démontrent que tu es capable et douée. Bon courage.
  5. Tu parles de « colonies illégales de Cisjordanie ». Le français est une langue relativement précise. Et les mots ont un sens. En outre tu es un spécialiste du droit international et de l’Histoire d’Israël. Alors tu es parfaitement bien placé pour m’expliquer pourquoi les agglomérations dont tu parles sont des « colonies illégales ».
  6. Ma chère amie, (je présume devoir mettre un « e » à ami. J’ai tort ?) la majeure partie des choses que la plupart des gens croient savoir à propos de ce qu’a été depuis sa naissance le comportement de notre Sainte Mère l’Église, Catholique, Romaine et Apostolique, relève en réalité davantage de la légende que de l’Histoire. Je ne parle que de « l’Histoire », au sens littéral du mot. De ce qui est historique, c’est-à-dire certain. Hors de questions de foi ou de croyance. Je ne sais ce que tu as lu au sujet des mariages forcés et de l’Église. Mais ils n’ont jamais été un problème pour Rome. D’une part parce que pour une très grande majorité des filles, elles ne se mariaient pas, mais « on » les mariaient. Quel que soit le milieu social. Elles n’avaient pratiquement jamais leur mot à dire. Tous les mariages étaient « arrangés ». Seuls y échappaient les filles des milieux très défavorisés. Les serfs. Les unions qui n’avaient aucun à-côté financier. Mais jamais le curé local ne se serait donné le mal de s’en mêler. Ou s’il le faisait en réalité souvent, ce n’est pas vraiment l’âme de la fille qui l‘intéressait. Et pour ce qui est des filles des autres milieux plus favorisés, l’on ne leur demandait pas leur avis. Les pères décidaient. Dans les milieux bourgeois tous les mariages étaient décidés par le père, et l’accord de la fille jamais demandé. La dot était la seule chose importante. Dans les milieux nobles, toutes les unions étaient de convention. Elles avaient toutes un caractère politique. Et le fait que ce soit le père qui décidait était considéré en France, et plus largement en Europe, comme une chose normale. Mais comme ce serait le cas de nos jours, la fille qui ne voulait réellement pas accepter un mariage imposé se faisait la malle avec son greluchon. Mais cela a été pratiquement le cas en Europe jusqu’au début du XX° siècle. Et l’Église n’a jamais rien vu dans cette pratique une chose qui la gêne. Par contre il est arrivé que le mariage forcé soit l’un des prétextes utilisés pour obtenir une annulation d’un mariage par Rome. Mais c’était rare et réservé à une élite sociale noble. ⁂ ⁂ ⁂ Lorsque tu parles de l’entrée en religion forcée, tu parles de quoi ? Les établissements religieux, monastères ou couvents principalement, abbaye moins souvent ou pour les femmes de la noblesse ou de la grande bourgeoisie, étaient souvent pratiquement des prisons dans lesquelles l’on enfermait les filles. Soit récalcitrantes, soit dont l’on entendait se débarrasser. Mais dans la grande majorité des cas, ces femmes ne prononçaient pas les vœux qui étaient attendus des membres de l’Ordre auquel appartenait l’établissement. Ce sont ces vœux qui marquaient l’entrée en religion. La majorité des femmes contraintes à vivre dans l’établissement, et à y vivre la vie des religieuses « autochtones », des vraies religieuses, ne prononçaient jamais leurs vœux Donc stricto sensu, n’étaient pas entrées en religion. ⁂ ⁂ ⁂ Quant aux filles mères, tu as raison. Leur sort, et celui de leurs enfants, a toujours été abominable. Quelle que soit la branche du christianisme considéré. Sans doute, probablement, le mépris de la fille mère vient-il de la manière dont certaines sociétés, chrétiennes, musulmanes et occidentales en général, considéraient la virginité des filles. Pour ces sociétés, une fille doit arriver vierge au mariage. Principe qui va de paire avec celui de la toute puissance de l’homme, du mari, qui seul a « le droit » de dévirginiser sa femme, laquelle est sa toute propriété. Quant aux religieuses qui le plus souvent gèrent, ou géraient, les établissements réservés aux filles mères et à leurs enfants, et il y a seulement quelques décennies divers scandales, en France ou ailleurs, au Canada par exemple, ont défrayé les chroniques criminelles, cela était, est, pour des raisons relevant de la neurologie. Ou de la psychanalyse. La fille mère est le symbole pour ces religieuses de la vie de femme à laquelle elles ont-elles-mêmes renoncée. Et ces filles mères, elles, ont fait ce à quoi, les religieuses, au plus profond de leurs entrailles auraient en réalité aspiré. Leur inconscient demeure celui d’une femme ayant le même inconscient que celui de n’importe quelle femme vivant dans le civil. Vivant avec des hommes et des enfants. Maltraiter les filles mères et leurs enfants, c’est une manière inconsciente pour elles de se venger de ce à quoi elles ont dû renoncer.
  7. Affirmation très excessive. Les abeilles occupent une place importante dans les phénomènes de pollinisation. Mais le phénomène de pollinisation se déroulait fort bien sur la planète bien avant l’apparition des abeilles. La majorité de la pollinisation ne passe pas par les abeilles, mais par une multitude d’autres insectes ou d’oiseaux. Entre autres vecteurs, ne serait-ce que le vent. Si brusquement les abeilles disparaissaient, et contrairement à ce qu’un vain peuple se figure, seuls les marchands de miel y verraient un problème majeur. Pas la pollinisation. Conformément aux règles de l’Évolution elle serait rapidement remplacée par d’autres agents.
  8. Détrompe-toi. Tu as des tas de documents, souvent importants, travaux, rapports de fouilles, mémoires, thèses, etc, qui ne sont pas, ou pas encore, numérisés et publiés. De nombreux ne le seront jamais ou indirectement par un tiers qui les aura trouvés par hasard. Les historiens qui en traitent, quel que soit leur grade, le plus souvent se connaissent. Des cénacles plus ou moins larges se constituent régulièrement au gré des colloques et des conférences. Le plus souvent leurs membres communiquent régulièrement entre eux en dehors des colloques, à l’intérieur ou entre les chapelles. Et nombre d’historiens ne publient leurs travaux que lorsqu’ils les estiment complets. Ce qui peut mettre des années. Mais leurs collègues qui savent sur quoi ils travaillent et où ils en sont, connaissent souvent leurs conclusions bien avant les publications. Mais les historiens sont des gens sérieux qui le plus souvent ne se pillent pas entre eux. Pour en revenir au sujet, à partir surtout de la Renaissance, les habitudes qui se sont installées faisaient que quiconque voulant offrir un cadeau à un établissement religieux agissait le plus souvent selon la nature de cet établissement. Héritage de la manière dont se sont créés les réseaux d’Ordres mendiants, si c’est à un monastère que l’on voulait offrir un cadeau, ou avec lequel l’on voulait « négocier » quelque chose, l’on offrait un veau. Le peuple ne mangeait pas de veaux. Et encore moins de beefsteak. L’on ne tuait pas les vaches. En dehors de chez les seigneurs de tous lignages, seules les tables des grands bourgeois et des hobereaux de grand lignage en servaient. Mais si c’est à une abbaye que le cadeau s’adressait, donc à un établissement de niveau supérieur, et pour marquer l’importance du cadeau, ce n’est pas un veau que l’on offrait. Et ce n’était jamais une vache. Tuer une vache, c’est gaspiller l’apport en devenir que constituaient précisément les veaux à venir. Si celui offrant le cadeau en était financièrement capable, c’est un esclave qu’il offrait. Et dans différentes régions, cela s’est poursuivi pratiquement jusqu’à la fin de l’Ancien Régime. Les différents règlements, lois et directives qui à différentes occasions ont émaillé à ce sujet les législations plus ou moins élastiques, variaient selon les époques, les régions, et les vassalités. C’est dans les études concernant la vie interne des établissements religieux que tu trouveras les réponses à tes questions. Les meilleurs sont dans les Mémoires de Maîtrise et dans les Thèses de Doctorat. Mais la très grande majorité ne sont pas numérisés, et ne le seront jamais. Ce qui n’empêche pas qu’ils sont parfaitement connus des historiens de tous poils lorsqu’ils apportent véritablement une nouvelle.
  9. Qu’est-ce que tu appelles « jeter l’argent par les fenêtres » ? Un ou deux exemples. Qu’est-ce que tu appelles « dépenser sans compter » ? Un ou deux exemples. Je dis un ou deux, mais si tu en as davantage, ne te gênes pas. N.B. Macron et son gouvernement d’amateurs ne sont pas ma tasse de thé. C’est seulement que je souhaiterais comprendre à quoi tu fais allusion.
  10. C'est le pilpoul qui fait le charme des rapports humains. Sinon, nous ne sommes plus que des vaches ruminants au coin de leur pré.
  11. Si l’on ne te le dit pas, c’est que tu ne regardes pas où il le faut. Et d’abord de quoi parles-tu ? Il y a dix manières de financer un parti politique. Je dis dix, mais il y en a cinquante. Pas seulement le chèque ou le paquet de billets de banque. Mais les multiples facilités de toutes natures dont le moindre gradé peut faire bénéficier son parti. Et si tu veux savoir qui finance, demande-toi d’abord qui serait gagnant si le subventionné était élu. Si tu as ta réponse, tu sais qui finance. Mais il y a une illusion que tu devrais perdre. Tu cites Big Pharma, des banques privées ou des pétroliers. Toutes les grosses boîtes financent tous les partis. Davantage ceux qui sont les favoris des responsables de ces entreprises, mais même les autres. Les grosses boites ont toutes un jour ou l’autre besoin de quelque chose qui dépend d’un autre parti que celui de ses favoris. Et aucune personne responsable de la gestion d'une entreprise ne fait la bêtise d’insulter l’avenir. C’est l’argent de Krupp et celui des industriels allemands de l’acier qui ont financé Hitler. Mais de nos jours ce serait tous les industriels, même ceux de l’élevage industriel de poules, qui le feraient, en plus des pétroliers et des maîtres de forge. Quant aux banquiers, c’est un problème différent. Le seul argument qui compte pour un banquier c’est la garantie de la sécurité de son placement. S’il est certain d’être remboursé même si celui auquel il prête perd son but électoral et n’est pas élu, il prête. Lui non plus ne veut pas insulter l’avenir. Si Le Pen a été contraint d’emprunter à un banquier russe, ce n’est pas du tout parce qu’elle représentait un parti fachiste et que pour cela les banquiers ne voulaient pas lui prêter. C’est parce qu’elle n’était pas en mesure de fournir aux banquiers la garantie qu’ils seraient remboursés même si Le Pen perdait les élections. Et Le Pen n’était pas en mesure de le faire. Par contre la Russie voyant un moyen de se mêler d’élections en France, a sauté sur l’occasion. Et il est évident que la banque russe avait la bénédiction et la garantie de Moscou pour se lancer dans l’opération. Poutine n’avait pas les pudeurs de pucelle de nos banquiers hexagonaux. Et perd tes illusions. De la part des banquiers français qui acceptent ou refusent les prêts aux partis politiques, ce n’est jamais un problème de démocratie. C’est toujours et uniquement un problème de garantie de remboursement. Mais en dehors des dictatures, c’est la même chose dans tous les pays. « La démocratie c’est le peuple souverain » dis-tu. Certes ! Mais tu oublies une chose. Le peuple est souverain, mais la majorité des membres du peuple ne l’ont pas compris. Il manque à cette majorité de nos concitoyens, et de la plupart des peuples, les dix points de QI qui leur permettraient de comprendre à quoi l’on joue, et de prendre leur avenir en main. Ce qui laisse systématiquement aux dix pour cent restant toute latitude pour s’occuper des choses sérieuses. C’est-à-dire de la politique de leur pays et de la direction de ses banques. Et une seconde chose est que les référendums (je sais) n’y changeraient rien. La majorité de nos concitoyens, et de ceux de la plupart des autres peuples avec peu d’exceptions, ne comprendraient pas davantage les enjeux des référendums qu’ils ne comprennent ceux des élections « normales ».
  12. La traduction la plus fidèle historiquement ne parle pas de « ville dont le roi est un enfant ». Mais de « terre dont le roi est un adolescent ». Traduction d’André Chouraqui, qui fait autorité chez les spécialistes. Sans entrer dans les arcanes talmudiques, ce n’est pas la même chose et cela laisse la possibilité à ce roi immature de voir grandir sa sagesse, et donc de s’améliorer. Reste à lui d’avoir assez d’intelligence pour savoir bénéficier de cette possibilité. Mais sur ce dernier point, c’est mal parti.
  13. Non, tu veux dire nulle trace sur les sites sur lesquels tu es allée chercher. Mais il est rare que ce soit sur Wikipédia que l’on trouve des choses sérieuses en matière d’Histoire. Ce dont il s’agit ici fait partie de ce que doit savoir de base toute personne s’étant réellement intéressée à l’Histoire de France entre César et la Révolution de 89. Tu n’as pas dû toujours choisir les bonnes lectures. Suis mon conseil, va soit dans une Fac d’Histoire, ou plus simplement dans la plus proche bibliothèque municipale si elle est bien tenue. Et tu y trouveras les manuels utilisés par les étudiants en Fac d’Histoire. Si ce sont des ouvrages datant de moins de cinquante ans, tu y trouveras tout ce que tu souhaites.
  14. Est-ce que tu t’imagines que parce que Macron fait un caca nerveux dans sa tour d’ivoire cela va avoir une influence quelconque sur Netanyahou, sur les généraux de Tsahal, et sur le Cabinet de Guerre israélien ? Comme d’autres l’ont fait remarquer plus avant, les achats de matériel militaire ne se font pas dans les salons ou les foires. Israël ne vendra pas une carabine de moins, ou un système Dôme de Fer de moins, s’il ne vient pas à Satory. Ces derniers mois les avions de nombreuses délégations militaires de la moitié des armées de la planète se succèdent à Ben Gourion pour venir commander des systèmes Dôme de Fer et Frondes de David. Mais le guignol de l’Élysée essaye tout ce qu’il peut imaginer pour essayer de grapiller quelques voix lors des élections européennes où sa pauvre sacrifiée de tête de liste va à l’abattoir. Elle y va sur ordre et n’est pour rien dans la mascarade. Mais Macron tente désespérément de lui gagner quelques voix de gauche et de musulmans français pour amortir le choc de la fessée qu’il va prendre.
  15. Cela ne changera pas grand-chose. Les étrangers extra-européens, s’ils avaient la chance d’être bien « conseillés », et de multiples associations sont là pour ça, avaient dix manières d’obtenir déjà l’aide juridictionnelle.
  16. Tes deux raisons sont très bonnes. Mais il y en a une autre. Le vin, à part les vrais Grands Crus, c’est-à-dire les neuf virgule neuf dixièmes des autres vins, se négocient au degré hecto. Plus il est fort, plus il se vend cher. Ou même, plus il est indemnisé cher par le contribuable, idem au degré hecto, lorsque l’état accepte que l’on en face de l’alcool parce qu’il n’a pas été vendu. L’intérêt du pinardier est donc de sortir du jus le plus alcoolisé possible.
  17. D’autant plus que la notion « d’incréé » ne correspond à rien, et sur le fond ne veut rien dire. Si une chose existe, cela ne peut découler que du fait qu’elle a été créée. Par l’homme, par la femme éventuellement, ou par une volonté animale, la fourmilière par exemple. Ou par la nature, comme la lave des volcans. En dehors de cela, rien ne peut exister qui ait été incréé, qui n’a pas été créé. Cette notion même est une escroquerie, et y croire est une négation de l’intelligence de celui qui y croit. Autant croire aux fées, c’est exactement du même niveau Aucun livre ne peut être incréé. Même si lorsque l’on dit cela, l’on ne pense qu’à l’inspiration du contenu soufflé à celui censé le retraduire en écriture. Soufflé par qui ? Même s’il avait existé un Dieu, son souffle n’aurait pas pu atteindre les prétendus rédacteurs du Coran. Ou ceux des Évangiles. Il aurait été dévié par la force du Gulf-Stream. C’est d’une évidence biblique.
  18. Alors tu as une excellente solution, la meilleure, et elle est gratuite. Tu te rends dans la bibliothèque de la Faculté d’Histoire la plus proche de chez toi et tu demandes à la responsable (ou parfois le) les manuels abordant le sort des esclaves durant l’Ancien Régime. En France, mais le plus souvent la question est traitée au niveau de l’Europe. Mais les esclaves étaient traités de la même manière dans le Loiret, le Brabant, la Rhénanie ou la Vénétie. Les bibliothèques des Facs d’Histoire sont ouvertes à tous, sans qu’il soit besoin d’être étudiant dans les lieux. Tu y trouveras, du moins le plus souvent, à la fois les manuels les plus récents, et toujours quelqu’un pour te conseiller et t’aider à trouver la partie des ouvrages qui t’intéressent. Et le plus souvent qui sera ravi d’avoir un interlocuteur pour parler de n’importe quel sujet d’Histoire. Les historiens, quel que soit leur niveau, adorent parler d’Histoire. Et souvent, si on savait les écouter davantage, l’on ferait moins de conneries. C’est surtout pour cela que les peuples qui ont de la mémoire deviennent le sel de la terre. Et que la majorité des autres demeurent le plus souvent pas tout à fait terminés. Il n’y a qu’à regarder ce qui se passe sur cette pauvre planète pour s’en convaincre. Mais c’est le monde qui est comme cela. Alors tu as une excellente solution, la meilleure, et elle est gratuite. Tu te rends dans la bibliothèque de la Faculté d’Histoire la plus proche de chez toi et tu demandes à la responsable (ou parfois le) les manuels abordant le sort des esclaves durant l’Ancien Régime. En France, mais le plus souvent la question est traitée au niveau de l’Europe. Mais les esclaves étaient traités de la même manière dans le Loiret, le Brabant, la Rhénanie ou la Vénétie. Les bibliothèques des Facs d’Histoire sont ouvertes à tous, sans qu’il soit besoin d’être étudiant dans les lieux. Tu y trouveras, du moins le plus souvent, à la fois les manuels les plus récents, et toujours quelqu’un pour te conseiller et t’aider à trouver la partie des ouvrages qui t’intéressent. Et le plus souvent qui sera ravi d’avoir un interlocuteur pour parler de n’importe quel sujet d’Histoire. Les historiens, quel que soit leur niveau, adorent parler d’Histoire. Et souvent, si on savait les écouter davantage, l’on ferait moins de conneries. C’est surtout pour cela que les peuples qui ont de la mémoire deviennent le sel de la terre. Et que la majorité des autres demeurent le plus souvent pas tout à fait terminés. Il n’y a qu’à regarder ce qui se passe sur cette pauvre planète pour s’en convaincre. Mais c’est le monde qui est comme cela. Ce n'est pas de celle-là qu'il s'agit.
  19. Tes propos ne sont qu’un tissu d’inepties. Le jugement d’Hybridex à ce sujet est manifestement parfaitement exact. Tu écris, entre autres stupidités dénuées de sens : - « Tu n'arrives pas à expliquer comment un génome peut varier en dehors de sa capacité de variation ». Tu trouveras ta réponse dans n’importe quel CHU, auprès du neurologue de service. En plus, cela te sera remboursé par la Sécurité Sociale.
  20. Iris, je parlais bien des esclaves, les vrais, ceux que l’on avait achetés, dont l’on avait la pleine propriété, que l’on revendait, et sur lesquels l’on avait droit de vie et de mort. Ceux que l’on pouvait retrouver dans la plupart des établissements religieux d’Occident, tant abbayes que monastères de toutes natures. Généralement achetés directement par l’établissement lui-même selon ses besoins en main d’œuvre, ou donnés par un seigneur local ou un nobliau voulant plaire aux religieux de l’établissement concerné. Ou qui servaient de monnaie d’échange avec des monastères auxquels l’on demandait quelque chose. Par exemple, pour compenser le paiement de la pension d’une parente que l’on avait confiée à l’établissement pour assurer son éducation. Ou, raison classique et courante, pour faire enfermer contre son gré dans un monastère ou une abbaye, une parente cohéritière que l’on faisait enfermer dans un monastère ou une abbaye pour lui piquer sa part d’héritage et faire déclarer sa « mort civile ». Ce qui l’empêchait de porter plainte et la condamnait au séjour enfermée à perpétuité dans l’établissement religieux dont elle ne ressortait plus. La pension de cette personne était fréquemment payée en esclaves. L’avantage pour celui qui y faisait enfermer sa sœur ou sa parente, étant que le paiement était réglé en une fois et le sort de l’enfermée définitivement scellé. Alors que, il faut voir par exemple le cas de Voltaire. Cette « lumière de la pensée » comme chacun le sait, à côté de cela était une belle ordure. Il a fait enfermer sa sœur à vie pour lui piquer sa part d’héritage et la faire déclarer « morte civile ». Il a bien pris soin chaque trimestre de sa vie, quels que soient ses déboires financiers du moment, et il en eu, de toujours régler régulièrement la pension de sa sœur. Sinon les nonnes l’auraient libérée et sa mort civile ayant été rompue, elle aurait pu se retourner juridiquement contre son frère. Et réclamer sa part volée de l’héritage familial. Alors que si dés le début il avait livré au monastère deux ou trois esclaves en même temps que sa sœur, après marchandages avec la Mère supérieure ou l'Abbesse, comme bien d’autres, il n’aurait plus eu ce souci. À part la démonstration que tu sais parfaitement faire du copié/collé, tu veux expliquer quoi ?
  21. J’ai expliqué qu’il était né avec le Néolithique et l’apparition de la propriété du sol. Il y a en gros dans les 10 000 ans avant notre ère. D’évidence bien avant la chrétienté. D’ailleurs il n’existe encore en ce moment que dans des régions non chrétiennes, majoritairement musulmanes. J’ai cité la chrétienté parce que cela nous touche de près, et pour montrer que cela n’avait pas été réservé aux pays musulmans. Mais tous les pays de la planète l’ont peu ou prou pratiqué au cours des millénaires. Le plus souvent dire que chaque établissement chrétien, monastère ou abbaye, non seulement en France évidemment, mais partout il en existaient, avait son lot d’esclave, fait réagir des gens outrés que l’on dise cela de l’église catholique. Ils n’y trouvent plus leur religion de paix et d’amour. Redescendre sur terre de temps en temps n’est pas une mauvaise chose.
  22. Pour de simples raisons physiologiques, une femme assise parvient parfaitement à vider sa vessie. L’évolution a réglé ce problème pour elle en mettant au point les à-côtés de la gestation. Et l’a fait à peu près convenablement. Du moins pour ce que nous en savons. Alors qu’un homme n’en vide qu’une partie s’il reste assis. La même évolution a commis quelques erreurs et approximations dans ce secteur pour ce qui concerne les mâles. Il y en a d’autres où la nature et l’évolution se sont plantés. Ou n’ont pas eu assez de temps pour peaufiner le système. L'évolution joue sur les centaines de milliers d'années. Voire sur les millions d'années. Si le mec pisse en milieu de journée, cela n’importe que peu. Il reviendra au pissoir plus tard, ce n’est généralement pas un problème. Mais si l’opération a lieu au moment du coucher, qu’il vide sa vessie totalement ou partiellement présente une certaine importance. Assis, donc partiellement, peut l’obliger à se relever durant la nuit, ou tôt le matin avant le lever. Alors que si elle est vidée complètement au coucher, donc debout de préférence, il coupera peut-être à la corvée de la deuxième pissaie. Si des hommes ne s’en sont pas aperçus, alors c’est qu’ils ont un problème du côté des reins. Ou simplement qu’ils ne boivent pas suffisamment. Ou le problème se trouve à un autre niveau du même secteur. Le meilleur conseil que l’on puisse leur donner est de consulter un spécialiste. S’ils le font pour rien, ce n’est pas grave. Mais si vraiment ils pissent assis le soir au moment de se coucher, et ne se relèvent pas pour une seconde pissaie avant le lever, ils ont un réel problème du côté de la pissette. Ils devraient prendre le temps de regarder cela de plus près. Ou plus exactement de le faire regarder par un spécialiste.
  23. Inutile d’être autant de mauvaise foi. Je n’ai jamais dit que la situation des gazaouis s’était améliorée. J’ai fait remarquer que la principale accusation que l‘on faisait à Israël et qui était d’affamer la population de Gaza était en réalité fantaisiste. Et fausse. Les chiffres que j’ai avancés sont des chiffres officiels, venant d’organismes officiels et d’ONG qui sont plutôt anti israéliennes. Et que personne n’a réfutés, sachant précisément qu’ils sont irréfutables. Et que ces chiffres attestent qu’il n’y a aucune famine dans la Bande de Gaza, quoi que les antisémites et les anti-israéliens viscéraux prétendent. D’ailleurs l’Onu qui le savait très bien n’a jamais parlé de famine, mais de risque de famine. Ce qui n’est pas la même chose, et se contente d’évoquer une éventualité qui n’est pas encore arrivée. Et qui n’arrivera pas, quoi qu’il se passe à l’avenir.
  24. Je comprends ta volonté de vouloir absoudre l’ONU. Si elle avait tort, tout ce que tu crois et défends tomberait. Mais tu as tort. L’ONU s’en fout bel et bien La preuve : L’unicef, pourtant organisme de l’Onu, et en oubliant ce qu’elle était encore récemment comme escroquerie majeure, constate qu’il y a au Soudan actuellement une moyenne de 75 000 bébés et très jeunes enfants qui meurent CHAQUE JOUR des suites de la guerre en cours. Quels appels a fait l’ONU pour obtenir une paix au Soudan ? Tu en as vu un ? Quels recours aux tribunaux internationaux font aujourd’hui tous ceux qui ne jurent que pour les tribunaux internationaux qui sont susceptibles de taper sur Israël ? Quels médias, quels gauchisants et autres crétins mélenchonistes font des manifestations pour sauver les bébés du Soudan ? Tous se foutent du Soudan, comme les instances supérieures de l’Onu, parce que cette cause ne leur permettrait pas de taper sur Israël et sur des juifs. Les chefs de guerre du Soudan n’ont même pas l’excuse d’avoir été victimes de l’autre côté qui les aurait attaqués, fait subir des assassinats de masse et un véritable pogrome comme l’on en avait plus vu depuis les SS en Russie. Comme c’est le cas des israéliens. Ces 75 000 bébés et jeunes enfants par jour ne meurent que pour des luttes de pouvoir et de territoire. Si c’était important, il est évident que l’Unesco s’en préoccuperait, comme elle se préoccuperait des bébés de Somalie qui sont dans la même situation. Et meurent tout autant. Mais les bébés du Soudan, de Somalie et de dix autres régions de la planète qui meurent par dizaines de milliers chaque jour, ne présentent aucun intérêt pour l’Unesco et l’Onu, puisqu’ils ne peuvent pas servir au secrétaire général de l’Onu à préparer sa défense dans le procès qui va lui être intenté dès que la guerre de Gaza sera terminée. Comme il a commencé à le faire avec la Bande de Gaza Mais heureusement, il n’y coupera pas, pas plus que les responsables du maintien dans le temps et de l’activité réelle de l’Unraw. Ce sont l’Onu et l’Unesco qui paieront, hélas probablement seulement sur le plan moral, la mort des bébés du Soudan et de Somalie.
  25. Il convient d’abord de s’en référer aux fondamentaux, à ce dont nous sommes certains sur le plan historique. L’esclavage est né lorsqu’il a été utile à ceux qui détenaient à la fois la propriété de la terre et la force coercitive. C’est à dire avec la création des premières cités et des premiers royaumes. Avec la naissance du Néolithique. Avec Jéricho. Et ce Néolithique est né du côté de la Mésopotamie et du Croissant Fertile. En terre arabe. L’esclavage n’étant que l’un des épiphénomènes liés à l’apparition de la propriété. Il était doc normal que l’esclavage né de la propriété et donc de la forme élémentaire et primaire du capitalisme, naisse lui aussi en terre arabe. Et à moment ou à un autre, l’esclavagisme a été utilisé par pratiquement tous les peuples de la planète. Il a été parfaitement codifié et étendu partout où le Néolithique se développait. Et récupéré par tous les peuples qui venaient aux aussi à la forme primitive du capitalisme. La religion chrétienne a été l’un des grands utilisateurs de l’esclavagisme. C’est grâce à la clientèle des esclaves dont les autres religions ne voulaient pas, que le christianisme a pu naître et se développer. Chaque établissement chrétien en Europe au Moyen-âge, monastère ou abbaye, et jusqu’à la Révolution de 1789, avait ses esclaves. Nous sommes fiers de Vercingétorix, d’Henry IV ou de Louis XIV, mais c’étaient des esclaves qui travaillaient dans leurs propriétés. Et comme tous propriétaires d’esclaves, ils maintenaient soigneusement leur cours sur le marché aux esclaves. Les derniers esclaves officiels libérés en France lors de la Révolution de 1789, se trouvaient dans des établissements religieux, monastères et abbayes. L’utilisation d’esclaves a été quasiment généralisée tout au long de l’Histoire par tous les peuples. Par contre ce qui nous touche au plus près, c’est la période moderne. Les nouveaux américains avaient besoin de main-d’œuvre pour produire du coton et quelques autres babioles comme la canne à sucre. La main d’œuvre convoitée était les peuples noirs d’Afrique. Mais si les navires négriers et les transports entre l’Afrique et l’Amérique, du Nord ou du Sud, était le monopole des occidentaux, la rafle des esclaves noirs dans leurs pays était le monopole des arabes. D’abord celle des roitelets africains qui lorsqu’ils n’avaient plus de membres des tribus voisines qu’ils avaient razziés à vendre aux acheteurs arabes, leur vendait directement leur propre peuple. Ensuite les membres des tribus voisines que ces roitelets razziaient pour les livrer aux acheteurs arabes. Dans tous les cas, ce sont des filières arabes qui achetaient les noirs à ceux qui les leur vendaient dans l’intérieur des pays, et qui les amenaient aux côtes de l’Atlantique où les navires négriers les récupéraient. Les seuls pays où actuellement l’esclavage, le vrai, avec les caractéristiques de l’Antiquité, existent encore, sont des pays musulmans. Pas forcément arabes, mais musulmans. Actuellement, en ce moment, dans les camps de réfugiés des pays du Moyen-Orient, mais pas que du Moyen-Orient, une fille de dix ans vaut entre cinquante et cent dollars. En pleine et définitive « propriété ». Une fille du même âge vendue par sa famille égyptienne pour être une « épouse de vacances » d’un riche musulman d’une autre contrée arabe, vaut 200 ou 300 dollars par période mensuelle de « vacances ». Mais l’on peut marchander.
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