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Anachel

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Tout ce qui a été posté par Anachel

  1. Mais, juste pour m'assurer que ce n'est pas qu'une pure construction mentale, auriez vous l'amabilité de m'indiquer un exemple de qui vous considérez comme un "leader naturel" ? Sachant qu'il doit être fort, économe de son peuple et qu'il ne doit pas tuer dans son propre groupe, je suis curieux de connaitre un tel spécimen.
  2. En partie. Selon moi un leader fait ce qu'il a à faire. Si la situation exige de déclarer une guerre ou de sacrifier des hommes, alors il doit le faire sans hésiter. Mais précisément un bon leader doit savoir estimer quand c'est nécessaire et quand ça ne l'est pas. Quant à dire que Poutine sacrifie sa jeunesse sans aucun état d'âme, je n'en suis pas si assuré que vous. Poutine est connu pour être patriote et slavophile alors je ne saurais en être certain mais je pense qu'il déplore ses pertes mais le fait au nom d'une cause qu'il estime supérieure: restaurer la puissance de la nation russe et affirmer ses valeurs face à un occident qu'il perçoit comme agressif et décadent. Ceci étant dit ni vous ni moi ne sommes dans sa tête aussi je pense qu'il faut se garder de toute certitude.
  3. Non, mais j'ai vécu 40 ans à la campagne. Pourquoi donc ?
  4. Nous ne savons pas ce que cela fait de se faire arracher les jambes par une grenade ou d'être recouvert des entrailles de son camarade mais nous avons de l'imagination et de l'empathie qui nous permettent de nous le figurer. Alors bien entendu nous n'en avons qu'une approximation nécessairement imparfaite mais néanmoins suffisante pour appréhender la douleur tant physique que morale qu'un traumatisme provoque. Sans cela les œuvres de fiction, livres, films, pièces de théâtre ou même histoires contées au coin du feu n'auraient pas le succès qu'on leur connait car nous n'éprouverions rien pour leurs protagonistes. Le qualificatif de regrettable vous semble insuffisant pour peindre la souffrance causée par un viol mais telle n'était pas mon intention, ni d'ailleurs de vous froisser. J'ai utilisé ce terme car dans le contexte d'une guerre certains actes sont abominables mais nécessaires, il ne faut alors pas les regretter. Un viol, au contraire, n'est jamais nécessaire. Il est donc toujours regrettable que de telles pratiques soient commises, quel que soit le contexte. Pas uniquement, enfin à mon sens. Il a le charisme des individus qui en imposent par leur présence et leur personnalité, une sorte de menace intangible et passive qui se dégage de lui. Celui des prédateurs. Il est résolu, impassible, discipliné et ne se laisse pas intimider. Ce sont des traits de personnalité que l'on attend d'un leader fort, bien que chez lui ils ne semblent pas tempérés par énormément de bienveillance ou de tolérance.
  5. C'est en effet regrettable mais encore une fois cela s'appelle la réalité. Dans une guerre d'invasion où les hommes sont éloignés pendant des mois de toute femme, où la barbarie quotidienne fait plonger les standards de moralité et où la propagande interne consiste systématiquement à déshumaniser l'adversaire, ils s'en trouvera toujours qui n'auront aucune considération pour les vaincues. Aussi désolant que ce soit, il n'y a rien là que de très habituel. Et se sont des comportements spontanés. Je doute que Poutine en ai donné l'ordre aussi je ne suis pas certain de saisir la pertinence de l'argument. Je les mets dos à dos en terme de moralité mais je pense Poutine bien plus intelligent que Bush (ce qui, ceci dit, ne relève pas vraiment de l'exploit). Non désolé, je ne vois pas ce qui vous fait dire cela. Qu'on se comprenne bien, je ne suis pas un grand fan de Poutine toutefois s'il faut l'évaluer en terme de dominance il me semble à des années lumières au delà de nos bureaucrates manucurés dont le charisme les distingue péniblement du chou-fleur.
  6. Moui enfin entre un Poutine prétextant la protection des personnes du régime de Kiev et la dénazification de l'Ukraine et un George W. Bush alléguant la présence d'armes de destruction massive en Irak ou l'affaire des couveuses au Koweït pour enrichir ses amis promoteurs et contrôler les réserves de pétrole, je ne suis pas convaincu que Poutine soit pire que nos leaders se gargarisant de morale humaniste. Lorsqu'un pays se sent suffisamment fort pour s'approprier les richesses d'autrui, il le fait. C'est triste mais cela s'appelle la réalité. Quant aux leaders naturels que vous évoquez, si leur charisme et leur force morale peut imposer le respect dans des groupes restreints, c'est une plaisante fiction au sein de nations de millions d'individus où la multiplicité des opinions et l'éloignement physique empêchent qu'un individu soit unanimement respecté et approuvé. Et lorsque la contestation est trop forte, tout naturel qu'il soit ce leader l'écrasera dans le sang ou cèdera sa place à moins capable que lui.
  7. Mais la violence est naturelle. Vivre dans la nature c'est vivre en compétition permanente, inter espèces et intra espèces, afin de s'approprier suffisamment de ressources pour survivre, se reproduire et recommencer ce cycle. Il nait plus d'individus que ce que l'environnement ne peut faire subsister et c'est cette compétition, passant par la violence, qui permet d'en réguler le trop-plein. C'est précisément en s'extrayant de la nature, en la maitrisant progressivement et en développant peu à peu la culture que l'homme créé un espace social libéré de la nécessité de la violence et pacifie ses mœurs, cultivant une morale sophistiquée adaptée au nouvel environnement qu'il s'est forgé. Mais le processus est long et au développement inégal, ainsi les sociétés les moins favorisées gardent des mœurs plus rugueuses que celles des pays développés. Quant à la soit disant défaite de Poutine même en cas de victoire, il n'y a rien là qu'un peu de propagande, de désinformation et de répression sanglante ne puisse mater. La disparition progressive des ressources de la planète forge de nouvelles alliances et dessine un avenir fait de conflits, de famines et de pandémies qui feront s'écrouler comme des châteaux de cartes nos démocraties, nos acquis sociaux ainsi que notre morale humaniste sophistiquée pour un retour en arrière brutal vers des modes de vies laissant peu de place à l'altruisme et à la compassion.
  8. Je reconnais que l'histoire d'un parti éclaire son évolution ainsi que la composition de ses effectifs et je ne doute pas un instants que les rangs du RN soient gonflés des racistes d'hier. Cependant, encore une fois je gage que l'on trouve des extravagants aux idées différentes mais tout aussi fétides un peu partout. Et même si le RN contenait plus de ces nuisibles en son sein que ses concurrents, cela ne constituerait toujours pas un argument particulièrement pertinent pour juger de ses idées ou de son programme politiques, ces derniers devant être évalués pour leurs mérites propres plutôt qu'à l'aune de qui les approuve. Que le RN soit classé à l'extrême droite est certes une réalité mais encore une fois l'extrême droite d'aujourd'hui n'est pas celle d'hier, tout comme le socialisme libéral de Mitterrand n'avait plus grand chose à voir avec celui, collectiviste, théorisé par Marx ou celui de Jean Jaurès. A ce que je sache le RN n'appelle pas au totalitarisme, à l'impérialisme, au culte de la personnalité ou à la persécution explicite d'une catégorie de la population. Je ne souscris pas à la très grande majorité de leurs idées mais pour autant je m'efforce de les voir pour ce qu'ils sont plutôt que de céder à la facilité consistant à les diaboliser par principe, ce que beaucoup me semblent faire ici et qui ne facilite pas le débat public au sein d'un forum. Engager une conversation à base de "facho", "droitardés" et autres "gauchiasses" ne me semble guère propice à élever le débat, à échanger de façon pacifiée ou tout simplement à penser les principes contradictoires mais aussi nécessaires à la république appelés à cohabiter dans la cité sous le signe du conflit civilisé.
  9. Je ne suis pas certain que les russes partagent tous la vision de perdant que vous avez de Poutine. Il existe bien des gens pour qui la brutalité, même maladroite ou mal dirigée, reste une preuve de force. L'homme à ses défauts mais il ne tergiverse pas comme nos dirigeants inconsistant qui hésitent, promettent et tournent casaque devant qui crie plus fort qu'eux, en tout cas il n'en donne pas l'image. Et en politique l'image, c'est tout. Quant à parler de défaite, il est très loin d'avoir perdu. Il est certes enlisé dans un conflit probablement plus long qu'il ne l'avait imaginé mais il à la Chine comme allié. L'Europe et les USA sont riches mais ce n'est pas l'argent qui gagne les guerres, ce sont les armes. Or la chine dispose d'énormément de ressources et du premier appareil de production au monde, 30% des machines-outils du parc mondial quand les USA se battent avec l'Italie pour la 6ème place et que la France est reléguée aux abysses du classement depuis qu'elle a délocalisé l'essentiel de son industrie. Donc si le conflit est encore appelé à durer et si la Chine reste son allié, nous pourrions avoir une très mauvaise surprise.
  10. On a trouvé un couple raciste parmi les électeurs du RN, la belle affaire. En cherchant un peu on doit pouvoir en trouver d'autres sans trop se forcer. Mais enfin il me semble que l'actualité, notamment politique, ne manque pas d'exemples de tous bords de beaufs, ou de bobos, aux idées rances et aux actes répréhensibles. Je ne vais certainement pas nier que le RN soit, de par sa filiation politique, l'héritier symbolique de partis assez ouvertement xénophobes, mais enfin, ses discours et son programme politique ont suffisamment changé pour que cette parenté ne valle pas un anathème de principe, aveugle aux disparités idéologiques qui le sépare de son aïeul sulfureux. Je ne nierai pas plus que de fortes similitudes subsistent, en cela qu'il incarne l'extrême droite du spectre politique actuel, au moins dans son acception géographique, mais nous sommes loin des saillies provocatrices du patriarche qui ont fait sa notoriété et plus loin encore d'un racisme assumé prônant la haine de l'autre et l'accusant de tous les maux. Certains extralucides politiques ne voient dans ces changements qu'une forme de ripolinage de surface, une pure opération cosmétique destinée à adapter l'image du parti aux mœurs du temps afin d'attirer un électorat plus large. Et je ne doute pas un instant qu'il y a de ça. Mais enfin, pourquoi jouer aux haruspices et prétendre connaitre les pensées cachées et nécessairement malfaisantes de ses dirigeants ? Les partis politiques changent, les idées des hommes changent, pourquoi le RN devrait il être le seul condamné à demeurer figé dans une sclérose doctrinale et perpétuel dépositaire du totalitarisme et de la haine remontant à la seconde guerre mondiale ? J'ai combattu le FN lors de ma jeunesse et je suis très loin d'adhérer aux thèses de l'actuel RN mais il me semble que ces condamnations de principe traduisent un aveuglement que seule l'idéologie peut justifier, une forme de raisonnement motivé peu propice à l'analyse objective des faits. Chacun se précipite sur des cas isolés et les exhibe comme preuve accablante de la corruption morale du parti adverse, comme si la découverte d'un geai bleu avait valeur d'exemplarité pour tous les représentant de l'espèce.
  11. Beaucoup trop, selon les démographes.
  12. Bof, Ce genre de déclaration d'intentions n'est pas suivi d'effet dans 99% des cas. On est tous forts en gueule quand il s'agit de parler mais face à la réalité, peu assument leurs propos et leurs convictions.
  13. Anachel

    Back to mask?

    L'antibiorésistance ne cessant de progresser, la multiplication des pandémies dans les décennies à venir est certaine. Cela fait des années que les épidémiologistes nous mettent en garde mais la surconsommation d'antibiotiques reste à l'ordre du jour, ce qui affaibli nos défenses contre les épidémies à venir. De plus les antibiotiques n'étant pas véritablement rentables, les recherches se tournent vers d'autres types de médicaments, plus lucratifs, ce qui aggrave notre situation en ne nous permettant pas de nous préparer au mieux face aux crises à venir. Enfin la disparition progressive des ressources et de l'énergie permettant d'exploiter ces dernières achève d'empirer un état des choses extrêmement défavorable, d'autant que les maladies ne prospèrent jamais autant qu'en cas de famine, d'insalubrité et de guerre que l'amenuisement des ressources rend certaines à plus ou moins long terme. Have a good day !
  14. Depuis que le débat sur le genre à surgit dans l'espace public, les français se sont montré majoritairement hostiles à la transition précoce ou à la reconnaissance administrative d'une distinction entre sexe et genre. Macron n'est pas un idiot, nous sommes en période électorale, il a donc tout naturellement exprimé un propos propre à lui accorder la sympathie de futurs votants. Qu'un homme politique tienne des propos électoralistes, quoi de plus naturel ? La gauche s'étant depuis longtemps perdue dans l'outrance et la défense de causes grotesques, elle a sauté sur l'occasion pour réagir via une position morale ostentatoire afin de mettre en évidence qu'elle a le monopole du cœur et de la vertu, contrairement à tous ses adversaires d'extrême droite (comprendre tout ce qui est à droite de Mélenchon) qui se vautrent dans la dépravation et l'intolérance. En somme chacun a joué sa partition et tenu son rôle dans la comédie politique. Concernant la volonté d'établir le changement de sexe en mairie, c'est une première offensive consistant à élargir la brèche menant vers une reconnaissance de la fluidité du genre, de la négation du sexe et de la criminalisation du mégenrage des individus. Cette politique avance masquée, prenant bien soin de ne dévoiler qu'un de ses objectifs à la fois pour ne pas effaroucher l'électeur qu'elle sait nécessairement primaire puisque n'ayant pas encore été illuminé par la sagesse et la supériorité morale dont seule la gauche est détentrice et qu'elle prodigue généreusement afin de faire du monde le paradis qu'il est voué à être une fois empli de sa lumière civilisatrice. Mais pour dissimulée qu'elle soit, la progression de cet agenda politique peut être constaté en regardant outre-Manche et outre-Atlantique, pays en avance de quelques années où la négation des évidences les plus communes au bon sens et des vérités biologiques est devenu la norme. Je me moque qu'un homme s'identifie à une femme ou à un robot multifonction Moulinex mais qu'on attente pas de moi que je le reconnaisse pour ce qu'il prétend être et qu'on ne m'oblige pas à tenir pour vraies des contrevérités ou d'accepter que l'état adoube de telles pratiques.
  15. Je l'invite à changer la forme de ses interventions et je lui indique une catégorie plus propice à les accueillir. Un assassinat. C'est cela, oui.
  16. Eh bien tant que vous reconnaissez mon droit à m'exprimer, notre désaccord me semble bien peu de chose. Il devient rare en ces temps-ci de trouver un contradicteur qui sur le simple motif d'une mésentente ne vous injuries pas, ne vous voue aux gémonies ou vous dénie le droit à la parole.
  17. C'est un peu court, jeune homme ! On pouvait dire....Oh ! Dieu ! ...Bien des choses en somme.... N'importe quoi ? Soit, mais ayez la grâce de développer. Là on se demande ce qui, précisément, est n'importe quoi et en quoi cela l'est. La notion de français de souche est vague, mais absolument pas indéfinissable. La preuve, on en trouve la définition sur le net et dans la bouche de ceux qui l'utilisent. Et vous savez quoi ? Si ceux qui la contestent le font, c'est bien qu'ils en comprennent la définition sinon ils ne polémiqueraient pas. Ils rejettent la légitimité de cette catégorisation, ce n'est pas pareil. Et par ailleurs je suis plutôt d'accord avec eux. Mais comme je l'ai dis, concernant le sujet qui occupe ce topic, ce n'est pas cette définition là qui pose problème et Mélenchon amalgame la revendication d'une identité nationale commune au rejet des personnes d'origine immigrée, ce qui est parfaitement malhonnête mais malheureusement parfaitement banal en politique. J'ai déjà dis qu'a titre personnel je n'accorde que peu d'importance à l'origine d'une personne. Pour ce qui est des revendications identitaires nationales, les qualifier de débiles sans plus d'explications m'apparait comme un poil péremptoire. Faire cohabiter des cultures différentes est tout à fait possible mais c'est un exercice périlleux qui demande d'ajuster certaines variables dont la première est le nombre. La seconde est le refus du communautarisme, ce qui n'est pas synonyme du refus de la culture de l'autre. Cela veut simplement dire qu'il faut refuser de voir s'établir des territoires où la culture d'origine supplante celle d'adoption. Ni plus, ni moins. Il y en a bien d'autres mais ce n'est pas le sujet du présent topic et je ne suis pas certain que vous souhaitiez poursuivre plus avant sur cette idée précise. Là dessus nous sommes parfaitement d'accord.
  18. Cette expression est peut être un peu datée et a acquis avec le temps une connotation polémique repoussant ses utilisateurs et ses détracteurs aux extrémités du spectre politique. Cependant elle désigne une réalité sociale qui existe bel et bien. On peut la formuler autrement mais cela ne changera rien de cette réalité. Mais ce que pointe Mélenchon m'apparait comme relevant du sophisme de l'homme de paille. En effet aujourd'hui il n'y a plus guère de gens rejetant quelqu'un au nom du fait que ses aïeux soient d'origine étrangère. Je ne dis pas que cela n'existe plus, je dis que c'est désormais marginal. Aujourd'hui le contentieux réside plutôt dans une forme de revendication identitaire qui distingue ceux qui, parmi les immigrés ou descendants d'immigrés, ce sont bien intégré à la société française, en respectent les codes et rejettent le communautarisme et ceux qui vivent dans un entre-soi peu propice à l'adoption de la culture locale, revendiquent l'extension permanente d'un droit à l'exception sociale, font de leurs quartiers des zones de non-droit où il font régner la terreur ou qui exportent cette violence jusque dans le cœur de nos cités et désormais de nos campagnes.
  19. Personnellement je n'y vois pas d'inconvénient mais je puis comprendre que pour qui apporte du crédit à de tels sujets cela puisse heurter ses sentiments. Sans vouloir vous froisser, la philosophie est précisément la discipline permettant d'aborder ces questions qui relèvent de la pure spéculation. La spiritualité et le paranormal sont des approches alternatives qui, de part les démentis réguliers de la science et l'absence de méthodologie rigoureuse, ont perdu leur crédit auprès des autorités en tant que systèmes d'explication du monde même si elle restent attrayantes pour une large partie de la population. Personnellement je m'en tiens aux paroles de Fontenelle: "Assurons nous bien du fait avant de nous inquiéter de la cause". S'interroger sur un pourquoi à notre présence sur Terre c'est mettre la charrue avant les bœufs et rejeter l'explication naturaliste de l'évolution.
  20. Et quid de la satire, de la caricature ou tout simplement de la critique ? N'ai-je pas le droit d'avoir un problème avec ce texte ou de l'exprimer ?
  21. Mais grand bien vous fasse !
  22. Quid du patrimoine génétique et du contexte dans lequel ils ont évolué ? Ce que vous exprimez implique une forme d'essentialisation qui me laisse perplexe et renvoie à des catégories idéelles invérifiables, comme si notre valeur morale planait, immuable, dans un éther inaccessible, précédant l'existence et déterminant les formes accidentelles de notre incarnation. Mais pourtant les hommes peuvent changer. Un salaud peut trouver la rédemption et une bonne personne peut se laisser aller à quelques faiblesses ou même sombrer complètement dans l'immoralité.
  23. La modération est un recours auquel on s'adresse lorsqu'un différent ne peut être réglé entre personnes adultes et courtoises et je n'ai personnellement aucun différent avec l'auteur de ce topic, je lui rappelle simplement les usage et l'utilité d'un forum.
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