moi et pas moi

Oui, bon comme quand on se prend un flash d'appareil photo et qu'on a une ou deux secondes de retard dans les secondes suivantes... ? Donc, cela a l'air plus vaste. La matière noire a l'air donc d'exister, en tout cas. Parce que je suis pas arrivé au bout de la vidéo, à cause du titre :

Ouais je suis d'accord avec l'un des messages postés je sais plus dans quelle page. Tout cela me fait penser à cela : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cosmétique_de_l'ennemi Mais si je considère uniquement la signification, (non ce qui arrive au héros du livre à la fin), vu de loin comme ça (toute façon j'avais pas envie de m'envoyer en l'air dans un avion -pas les moyens), oui c'est émouvant.

Bon je me suis justifié là dessus, au-dessus, donc je vais pas recommencer. je m’interroge sur le fait que tu saches exactement décrypter un sujet Bon disons que sur un forum pierre qui roule amasse facilement de la mousse. Mais bon, comme on s'aime bien au final, vu qu'on sait pas les prochains sujets où on se recroisera ou pas, je vais fermer les yeux.

Vu comme cela, bon comme j'ai répondu malencontreusement auparavant à un sujet sur Anna Arendt, je précise qu'en effet, cela m'a remis en mémoire quand on les appelait les "youpins" ou les binoclards, et cela m'a remis un peu question, ma première réponse au sujet était un peu superficielle je le reconnais.

Bah au pays (je dis pas lequel) on avait déjà l'antisémitisme (interdit par la loi), et puis l'islamophobie ensuite (toujours interdite par la loi), je ne vois pas en quoi on ne peut être politiquement correct. Le truc c'est que la blague du sujet, c'était une blague au fait ? Cela ne m'a pas fait rire.

Au-delà du Mal, il y a le Beau, et les deux combinés ça donne le Bon. Non, je rigole, j'ai juste emprunté ça au résumé des Fleurs du mal imprimé au dos du livre. Ils s'en foutaient de leurs papas c'est tout simplement jubilatoire du début à la.... fin ? En tout cas. Le titre était déjà d'une franchise désarmante (ce qui m'a attiré sur le sujet, enfin, pas la signification, juste les mots).

Je suis admiratif du Japon. Pas à cause d'Amélie Nothomb, que j'ai lu adulte, mais à cause de tous les mangas dont j'ai été abreuvé durant toute mon enfance. C'est simple, j'avais envie de vivre là-bas... "Fille de la pluie" une expression que j'ai entendu dans la bouche d'un auteur de manga, que j'ai vu sur une chaîne télé. Non, j'imagine, là bas ils ont les mêmes métiers que nous, c'est des êtres humains avec deux bras deux jambes. J'imagine qu'il faut être en vie pour avoir envie d'autre chose que ce que la vie nous propose. Et que d'ailleurs, du coup c'est bien mieux que la réalité. Mais bon, un fantasme ou deux, c'est toujours le signe que je suis en vie. Bon, les japonaises, au-delà du côté exotique, tant qu'on est réglo, c'est à dire qu'on appuie bien sur les freins quand on les laisse passer au passage clouté. Sinon, en vrai, c'est vrai que ça a l'air assez dures comme filles. Genre, j'en ai défendu une au tribunal, à une époque dans une association quand j'allais au tribunal pour les autres, eh bien elle s'intéressait beaucoup à la photocopieuse, pas intérêt à froisser la feuille qui sortait, etc. Ouais, non, j'imagine que c'est comme mon fantasme d'être américain, pour pouvoir mieux lire à la source les oeuvres de mes auteurs préférés, mais bon ! Quand on lit Suzuki (ring, double hélice, la boucle... et aussi S, que j'ai lu aussi), le Japon, la poésie, l'incapacité à m'imaginer qu'eux aussi ont une police, des marginaux, ....

Touché par la fin. Du coup, une partie de moi pleure aussi. "L'autre lui répond" c'est juste ça j'ai un peu de mal. C'est qui "l'autre" dans le contexte ? "Dieu continue sa pérégrination" ? Ah ouais, donc Dieu n'est pas partout en même temps. Bon, je suis pas pro Palestinien, mais pas pro Israël non plus, mais c'est clair qu'a priori je vois bien où vous voulez en venir, en fait c'est de la propagande.

Où est le début en philosophie ? La philosophie, comme manière de vivre, ai pas tout lu, mets quand même le texte, qui m'a l'air intéressant : https://journals.openedition.org/etudesplatoniciennes/918?lang=en L'idée, je crois, c'est que ça a commencé comme le café du commerce. Et que en fait, à un moment donné, c'est quand même devenu le commerce du café. En fait, à la base, c'était immanent. L'immanence désigne le caractère de ce qui a son principe en soi-même, en opposition à la transcendance, qui procure des déterminations et explications extérieures et surplombantes.

Ah bon ? J'ai toujours été persuadé que c'étaient les dates d'anniversaire des contrats. Ah ouais, mais bon, marrant c'est pas forcément à ce moment-là, pile, qu'on a envie de les résilier. Enfin bon, si vous le dites, non parce que bon, ma théorie du droit me dit que c'est les dates d'anniversaire, sinon, non ? Ou, clauses pénales, etc.

Derrière l'optimisme à tout crin se cachent des secrets... La plupart du temps, c'est l'argent la pression. Des fois, dès le départ, enfin je pense pas que vous vous soyez rencontré dans un restau de Coluche... Moi, je ne me braque absolument pas, enfin en réel, en virtuel si, évidemment (c'est la condition pour avoir des +1 au final), mais en réel si je faisais un braquage, ouais, Vous avez eu trop envie de faire comme moi à un moment donné. Se remettre en question et exprimer l'historique du for intérieur, pas simple. Non, je plaisante, c'est en réel que je me braque, c'est vrai. En virtuel ça se voit pas. Non mais ouais, mais ouais en fait ça change rien à mon propos inspiré par ce que j'ai mis en citation.

Sans rire, un livre classé science-fiction, que j'ai lu, apprécié, mais enfin au niveau science-fiction c'était... Disons que c'est Le livre qui m'a appris que la science-fiction c'était pas forcément en vaisseau spatial : https://www.babelio.com/livres/Walton-Morwenna/593926 (c'est là que je me dis que mon Apocalypse.... l'un de mes premiers posts dans le forum, en fait à la base, justement, je voulais faire un texte de science-fiction. Mais un peu dans le même genre que Jo Walton). Le texte est trop transparent, ça je le vois bien, mais n'empêche il existe en effet une science-fiction sans effets spéciaux particuliers). Enfin quoi, et puis bon y a aussi Black out et All Clear de Connie Willis. Et c'est classé science-fiction. On peut vivre dans un jeu vidéo, mais du coup il nous faut connaître la fin, en quelque sorte, je m'exprime mal je sens bien. Mais c'est ça, en fait, c'est ça qui fait défaut à toutes les simulations, conçues en général pour que ça se termine heureusement bien.

La cuillère n'existe pas. Atteindre les limites de l'univers, comme dans Passé virtuel, en fait, c'est quand même plus facile (même si, faut le reconnaître, c'est quand même dans cette séquence qu'il y avait des effets spéciaux, pour le coup).

Un peu comme dans ready player one.. Je crois que le plus grand précurseur de l'idée, c'était Philip K. Dick, par exemple avec "le Temps désarticulé" (qui a inspiré un film aussi). Mais lui il était un peu moins dans l'immersion, je l'avoue ce qui me fait quand même le plus rêver, c'est des livres comme "le samouraï virtuel", peut-être parce que c'est de la s.f., mais pas mal branchée sur mes préoccupations habituelles : tranches de pizza, humour, action, sérieux (avec les histoires d'informatique), etc. Voila, je rejoins du coup je pense, en cela, JMECOMPRENDS_TT_SEUL (je pense qu'une oeuvre doit quand même se préoccuper de son public et je ne pense pas que nous soyons assez avancés pour l'immersion totale).

Eh ben y a la sf cyber- punk comme neuromancien, qui nous un peu préparés à l'idée.

Passe virtuel un film qui m'a en effet marqué. Ainsi que existenz de Cronenberg, je crois. Ben je pense que cela ne changerait pas grand chose, mon adn politique ayant ma foi été forgé par des expériences "vecues". Mais du coup on peut imaginer que les lois de l'univers comme celles de Pythahore, Thales... c'est juste un peu cela qui. est chagrinant. On sait par exemple que matrix a été pense par ses créateurs (trices) comme une allégorie de la transexualite. Bien que j'ai regardé presque cent fois les films, je me suis néanmoins senti un peu manipule, comme si dans. mon esprit c'étaient un moins des œuvres d'art, du coup.

Quels puits de science je lirai les coms a tete reposee.

Un jour, dans la langue il y aura des choses intraduisibles dans une autre langue. Déjà que l'inverse est déjà vrai (en général ça nous vaut des NDT au bas des pages). Et les choses en italique, dans les livres, en général, ça veut parfois dire (vérifier, ou des fois c'est signifié par un simple astérisque), en français dans le texte, d'où la question : est ce que c'est parce que c'est intraduisible, ou bien plutôt c'est une forme de coquetterie ? Genre l'expression "fuck" qui passe bien de plus en plus, surtout dans les graffitis. Il y a déjà deux façons d'être cultivé : pour s'illustrer, genre dans des soirées un peu snobs, voyez. Ou bien pour communiquer, genre on se contente pas du mot, comme il est, en plus on essaye davantage de le définir. Ce qui s'avère quelquefois complexe, même pour l'élite, je parle pas du dico de l'académie française, enfin pas uniquement.

Alors moi je les vois les fautes d'orthographe, ce qui ne m'empêche absolument de voir les fautes du Merle, mais bon après le fond, la forme, les +1... Le commentaire en fait est une synthèse de tout ça. Ben là je trouve que c'est... transparent... C'est presque "notre histoire". En fait, c'est vrai, je suis pas le seul à l'observer, on a de plus en plus une scission entre les financiers et.... les "culs terreux" désolé pour le jargon, c'est de la région. C'est pas d'hier en effet : http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/savfinan.htm Mais je note votre prolixité, j'admire cela, et en fait si vous voulez écrire encore en dessous de ceci, j'ai rien contre

L'équilibre comme au sommet de la chose, je comprends. Moi, j'avais cela mais du coup je crois que c'est un peu dans le même genre : Qu'est-ce que la pyramide de Maslow ? Créée par Abraham Maslow, la pyramide de Maslow (pyramide des besoins) a pour rôle de hiérarchiser les besoins des individus. 5 besoins y sont recensés : les besoins physiologiques, le besoin de sécurité, le besoin d'appartenance, le besoin d'estime et le besoin d'accomplissement.

Je choisis, dans nos contemporains, Pierre Bordage, disons en première position, Jean Marc Ligny sur le podium aussi. A cause de leur capacité à créer des univers, tandis qu'en comparaison un Jules Verne jouait juste avec des concepts. Aux états-unis ils ont un Prix Hugo des meilleurs livres "de tous les temps" (sic), nous on a le grand prix de l'imaginaire, et d'autres récompenses aussi, mais je ne crois pas une catégorie comme ça, "de tous les temps", je ne pense pas qu'on ait l'équivalent, mais en fait on pourrait en imaginer une, ça serait pas plus incohérent que là-bas.

Si dieu existait il y aurait peut-être un paradis pour les animaux, malgré que toute sa vie l'homme essaye de se distinguer desdits, mais comme tout ce qui est vivant coopère, alors on ne peut pas imaginer autre chose qu'un paradis pour les animaux et un paradis pour les hommes, parce qu'endurer la vie est la seule chose qu'on a en commun. Des choses qui nous paraissent triviales ont très bien pu s'inspirer des animaux, bien que pas vraiment innées, si j'en juge par exemple une question simple que j'ai posée à Google : Qui a inventé le bisous avec la langue ? (donc si dieu n'existait pas, ça serait peut-être dommage, en fait je songe simultanément à une théorie de l'auteur du roman Les Fourmis, d'après lequel le baiser avec la langue serait apparu chez les humains après la contemplation des fourmilières -la fameuse trophallaxie qui permet à une fourmi d'en alimenter une autre grâce à son jabot social) Le baiser trouve donc son origine plusieurs millénaires derrière nous, où déjà il est associé à un signe d'affection. Mais il faut attendre 300 av. JC et la campagne d'Alexandre Le Grand en Inde pour que le baiser voyage jusqu'en Occident, explique le psychiatre Neel Burton.6 juil. 2017

Toutes ces réflexions m'amènent à l'esprit des citations d'Einstein : "C'est la théorie qui décide de ce que nous pouvons observer" "La vie c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre". A mon avis ce sont des réflexions transversales à plusieurs penseurs, et non uniquement dans une seule discipline. Je suis assez d'accord avec le fait que, déjà, l'individu passe une grande partie de son existence rien que chercher à rattraper le groupe, comme au sein d'une course cycliste, on des individus qui réussissent à s'échapper, mais sinon, et malgré le fait que chacun, en théorie veuille gagner, au jour le jour le "métier" consiste essentiellement à se maintenir dans le peloton.

"Vous pouvez mettre une photo de vous poussin"... Hé bé en fait j'en ai une. Hé c'est pas terrible, mais j'avoue la première fois que je l'ai regardée, bon je la reconnaissais pas. Et pis, en fait, j'ai reconnu des choses, mais alors à force de la regarder, par exemple les cheveux qui rebiquent à l'arrière, le côté idiot, la manie de sourire quand quelqu'un prend une photo, je me suis un peu amélioré (exit le sourire, par exemple), non malheureusement, les "cons" ils en ont fait une peinture, elle est quelque part, flemme de la rechercher, mais c'est vrai qu'elle est pas mal, c'est clair, le pire c'est que je me souviens plus le contexte. Probablement antérieur au moment où j'ai été à l'école, parce que bon, y avait bien des photos de classe, et que j'ai conservées, et que c'est là que j'aime bien les peintres, en fait. Ha c'est même pas une peinture, juste un agrandissement de photo. Un tout petit peu antérieur à l'époque où les parents se font un devoir de collectionner leurs échographies, parce que bon, quand même j'ai pas non plus l'air d'un têtard, faut pas exagérer. Je m'aime bien, en fait, même si je sais bien que je me souviens pas de tout, j'imagine quand même, mon enfance c'est le noyau de mes pensées actuelles, mais même quand je me mets dans des émotions, genre la colère, ou autre, je respecte toujours celui qui est sur la photo agrandie/ mini tableau (que je me souviens plus où c'est qu'elle est, juste c'est quand même, en regardant de plus près, quand même quelqu'un d'autre -déjà cette manie de sourire au photographe...). Bon je vais pas mettre d'image dans ce message, déjà parce que vraiment depuis les déménagements je sais plus trop où je l'ai foutue, mais elle reste gravée dans ma mémoire, c'est un peu moi, c'est surtout pas moi. Et pis mince, de toute façon, c'est juste à cause du sujet que j'y repense. Parce que bon... mais enfin c'est quand même spécial que ce soit ça qui me vienne à l'esprit.

Non je dis pas que les autres ont tort. Juste j'ai un peu plus raison qu'eux.