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Tout ce qui a été posté par al-flamel
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CheckNews Candidats RN accusés de racisme, homophobie ou antisémitisme : Jordan Bardella en flagrant déni
al-flamel a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans France
Bien sûr, Biden et Macron ont appelé au cessez le feu après leurs vétos et leurs livraisons d'armes. Ça saute aux yeux. La colonisation en Cisjordanie a progressé comme jamais auparavant. Mais tu as raison tous ces gens œuvrent pour la paix et le cessez le feu, une fois que toute la région a été dévastée et colonisée, magnifique. -
https://www.francetvinfo.fr/vrai-ou-fake/vrai-ou-faux-legislatives-2024-sandrine-rousseau-veut-elle-vraiment-piocher-dans-l-epargne-des-francais-pour-rembourser-la-dette-publique_6645198.html Renseignez vous au lieu de relayer des fausses informations.
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Disons qu'il faut activer plus de trois neurones pour comprendre ce qu'ils disent. Contrairement au RN.
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Pour l'instant, le salaire moyen n'a fait que diminuer en Grèce depuis 2008. Alors, le chômage a baissé c'est sûr, il est à 11%, Les grecs sont déjà parmi les pays de l'OCDE qui travaillent le plus. Le pays est toujours aussi déficitaire. D'ailleurs la dette n'a fait qu'augmenter depuis 2010. En revanche, son poids dans le PIB diminue depuis 2020. L'inflation et la croissance. L'inflation combattue par la zone euro, la croissance demeure seule l'espoir de la Grèce pour revenir aux critères Maastrichtiens. Paradoxe, pour l'instant c'est la dépense publique post-covid qui tire la croissance grecque vers le haut. La sortie de l'austérité diminue la dette publique. On pourrait se dire que davantage d'investissement publics, ce serait une solution. Oui mais non. Il faut de la croissance certes, mais de la bonne croissance, saine, industrieuse et surtout sous-payée. Voilà le bon signal à envoyer aux marchés. Car il est bien question de signal. A la manière des prêtres aztèques, l’État Grec accomplit son rite sacrificiel, livrant sa population aux marchés en colère. Peut être seront-ils alors plus cléments et réviseront enfin leur notation. Les grecs pourront alors enfin célébrer et honorer leurs dieux de la générosité dont ils témoignent et brûler de l'encens sur l'autel des sacrifiés, sur cette vaste nécropole que sera devenue le pays.
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Possibilité d'une nouvelle guerre USA ARABIE SAOUDITE
al-flamel a répondu à un(e) sujet de Polo7575 dans International
Fake news https://factuel.afp.com/doc.afp.com.34X44N4 -
Pour le coup, je sais pas ce qui pue du cerveau, parce qu'il faut avoir une curieuse odeur sous le capot pour passer d'un plafonnement de l'exonération fiscale sur les droits de succession au gosplan de l'URSS. T'as juste pas d'arguments en fait, mais chaque chose en son temps. Faut travailler pour mûrir un programme sérieux.
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C'est parce que j'ai mis attac ? Trop offensif peut être
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T'as pas l'air bien renseigné sur le sujet. Pourtant en deux clics... https://france.attac.org/se-mobiliser/mobilisons-nous-pour-le-front-populaire/article/le-programme-economique-du-front-populaire-face-a-ceux-du-rn-et-de-renaissance Il est question de plafonner les exonérations du droit à la succession des exploitations agricoles (pacte Dutreil) pour qu'il ne concerne que les PME. C'est pas exonérer davantage les droits de successions qui va les empêcher de revendre en masse leur terrain pour concentrer toujours davantage les terrains agricoles aux mains de quelques uns.
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Il faut distinguer propriété privée et héritage, c'est d'ailleurs le sujet d'une querelle de l'époque avec les libéraux conservateurs anglais, parmi lesquels Edmond Burke qui voyait d'un mauvais œil la déclaration des droits de l'Homme et du citoyen. Dans sa critique le droit de propriété y figure, parce qu'il est coupé du droit à l'héritage. https://www.cairn.info/le-proces-des-droits-de-l-homme--9782021181005-page-85.htm
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Il doit faire beau par chez toi, ça et la plage ... Profite !
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Ah d'accord. Et Beh le moins qu'on puisse dire c'est que tu fais pas les choses à moitié dans ton repentir. C'est du 180°. À droite toute, hein. Par contre repenti mytho nan évidemment
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De fait qui d'autre à l'heure actuelle ? Très peu en fait. Surtout dans ce cadre électoral. Les vieux socialistes reviennent, pour le pire sans doute. De l'autre côté la gauche sociale, ne peut exister qu'en incarnant autre chose, encore une fois tant sur le plan national qu'international. Ces 4 là, depuis qu'ils ne sont plus les cadres de LFI 2022 posent problème à LFI tout le monde le sait. Ils militent pour le départ de Mélenchon depuis 2022, parce que du reste, ils veulent eux aussi représenter LFI à la tête et avec une ligne différente. Des querelles absurdes à mon avis, Clémentine Autin et son écosocialisme, Ruffin et les campagnes, comme si en fait tout ça n'était pas plus ou moins déjà intégré dans le programme de LFI. Je vois mal ces 4 là prendre la place de Mélenchon. De l'autre côté, depuis des mois LFI subit un tombereau d'injures et de diffamations. Que font tous ces gens ? Ils choisissent de quitter le navire. Et qu'espèrent t'ils réellement créer en faisant ça ? Dans la ruralité... Les électeurs ne sont pas intéressés par le programme de la gauche c'est évident. Pourquoi, pas parce que la gauche ne défend pas les agriculteurs. Militer pour la sécurité sociale de l'alimentation avec la confédération paysanne et d'autres syndicats/associations. Ça intéresse personne dans les médias. Ce qui intéresse par contre, c'est l'immigration, c'est un protectionnisme et un statut quo écologique. Ruffin il va faire quoi là dedans ? La forme, quelle forme il fallait avoir pour être audible médiatiquement dans l'appel au cessez le feu ? La provocation pour antisémitisme elle est où ? C'est une vaste supercherie, la moindre intervention sur ce qui se passe à Gaza passe pour de l'antisémitisme. Même de Villepin a été calomnié. Tout le monde y est passé. Et ça c'est pas qu'en France, Corbyn qui a été réélu a subit les mêmes calomnies. C'est devenu l'argument choc de dénonciation de la gauche sociale, altermondialiste et décoloniale. Les mêmes idées avec moins d'électeurs, et une démobilisation par une compromission avec des partis libéraux c'est tout ce qu'il y a à gagner.
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Mais, t'étais pas socialiste toi ?
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C'était quelle video ? C'est simple, si on pense qu'il faut vivre dans une société où tout le monde compte, la volonté de chacun doit s'exprimer. Actuellement, cette volonté s'exprime par "une majorité" qui choisit la représentation du corps national, parmi les candidats potentiels mis à disposition. Maintenant, si une majorité de personnes exprime le souhait d'une représentation violente de la nation contre une partie de la population, c'est plus compliqué parce qu'il y a un seuil d'acceptation des décisions majoritaires. Passé ce seuil et selon l'importance de la population concernée, c'est la guerre civile, démocratie ou pas d'ailleurs. La crise actuelle passera dans tous les cas soit par de la violence soit par du don, ou plutôt par un mélange des deux.
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Le front populaire n'existait plus à l'époque. Les communistes sont empêchés de siéger. Il y a eu 80 parlementaires qui ont voté contre les pleins pouvoirs. Sur les 80, 73 étaient des élus de gauche.
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Ne craignez vous pas que des ignorants s'expriment sur votre sujet ? Nan biensûr, ce serait absurde...
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Je crois tout le contraire personnellement. La conflictualité, c'est nécessaire si l'on ne veut pas laisser les thèmes de l'extrême droite s'imposer en France. Mais j'ai peut être une opinion minoritaire à gauche. J'aurai hésité à voter NFP si Mélenchon n'était pas là. Quand je vois tous ces gens du PS qui reviennent pour refaire la même tambouille qu'hier, ça me donne la nausée perso. Et de l'autre côté Ruffin ? Le bruit et la fureur ça paie dans les quartiers. Mélenchon pense le cadre national et international et défend une ligne alternative aux deux niveaux. C'est nécessaire. C'est crucial en fait. S'il est attaqué, c'est uniquement pour ça. Et Ruffin à coté ? Qu'est-ce qu'il peut incarner en dehors de LFI ? Mystère total...
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Bon, Descartes utilise un scepticisme radical pour bâtir une nouvelle métaphysique, c'est le doute hyperbolique. Mais ce scepticisme a pour vocation de s'évanouir grâce au cogito. Le doute n'est que méthodique. Hume et les empiristes rejettent l'apport du cogito en ce qu'il n'est pas la conscience d'un sujet pensant, ressentant, etc. Ils partent de l'expérience et maintiennent le scepticisme de toute idée a priori. Kant réintroduit des principes a priori, notamment le sujet, plus comme sujet pensant comme chez Descartes mais sujet transcendantal. En fait, tous les philosophes que j'ai lu critiquent le cogito et ne l'utilisent pas en tant que tel. Ce qu'ils utilisent, c'est la méthode, c'est le doute. Donc je ne sais pas quoi penser de ce que tu dis. Soit c'est de l'ancienne métaphysique, ou à la limite une métaphysique étrange. Et il y a beaucoup de raisons de le penser. Le fait de considérer que la philosophie moderne est piégée dans le cogito, ce qui on le voit avec ce que je dis plus haut n'a rien avoir avec le cogito en soi mais avec la méthode, avec le scepticisme qui ne s'éteint pas. ça expliquerait pourquoi tu dis que l'être (la chose en soi) est donné a priori. Soit, je ne comprends rien. Alors tu utilises des métaphores, et une histoire de la philosophie formulée de manière plus ou moins personnelle, c'est très bien. Mais le moins qu'on puisse dire c'est que tu ne fais rien pour te faire comprendre. Il n'y a pas l'once d'un raisonnement un tant soi peu rigoureux, que ce soit sur ton cogito reformulé, sur Marx, sur la conscience d'autrui. Bref, j'ai fait le tour sur ce fil.
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Quand je dis que l'être externe à moi m'est donné a priori, ça veut dire avant conscience de soi. Ce qui n'est plus le cas avec le cogito en l'état, d'où reprise de celui-ci. Si je comprends ce que je lis, il y a un problème dont j'ai déjà fait part je pense. Mais je reformule pour que ce soit clair. Si vous appelez conscience de soi, ce qui ressort du cogito de Descartes, et que vous dites qu'il y a quelque chose d'extérieur à soi qui est donné a priori du cogito, alors vous sortez de la méthode de Descartes. Certes vous reformulez d'une certaine manière l'intention de Descartes, celle de sortir du scepticisme. Mais vous retournez à une méthode pré-cartésienne. Vous retournez dans l'ancienne philosophie et dans sa métaphysique. Sur le cogito de Descartes, il y a quelque chose chez Wittgenstein qui s'apparente à votre formulation, mais qui n'a pas vraiment le même sens, en tout cas de ce que j'ai compris de votre phrase. On voit ici que le solipsisme, développé en toute rigueur, coïncide avec le réalisme pur. Le je du solipsisme se réduit à un point sans extension, et il reste la réalité qui lui est coordonnée. Il y a donc réellement un sens selon lequel il peut être question en philosophie d’un je, non psychologiquement. Le je fait son entrée dans la philosophie grâce à ceci : que « le monde est mon monde ». Le je philosophique n’est ni l’être humain, ni le corps humain, ni l’âme humaine dont s’occupe la psychologie, mais c’est le sujet métaphysique, qui est frontière – et non partie – du monde.
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Ce que vous décrivez là, n'est-ce pas une idée politique ?
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Je crois plutôt que tu es ennuyé par cette conversation. Elle te contrarie. Ce qui explique que tu répètes les mêmes termes de la même manière sans fournir d'autres explications. Comprends donc que je ne peux rien comprendre de plus. Et je pense pour ma part qu'il n'y a pas grand chose de plus pour moi à comprendre. J'ai la prétention d'être plutot compréhensible et accessible dans ma façon d'énoncer mes idées. En tout cas j'essaie de me faire comprendre. Je t'ai fait part de ce que j'avais à dire sur le sujet. Donc, en l'absence d'autres éléments je vois pas l'intérêt de poursuivre.
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Comment faire de la politique sans défendre des idées sur la politique ?
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Sur les bancs de l'université, c'est en train de changer. Après ça dépend des domaines de la philosophie. Le fait est que ces questions sont abordés assez différemment en philosophie des sciences que dans d'autres domaines de la philosophie, et ce sont souvent ceux qui ont choisi ce cursus et une voie de recherche en philosophie des sciences qui sont sensibles à la manière dont on aborde le sujet de l'Esprit en sciences cognitives, et qui en font un sujet assez différent de la manière dont il a été traité dans la philosophie classique, même si en réalité il y a toujours des ponts avec la philosophie classique quand on cherche bien.
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Ça dépend qui. Attribuer une personnalité, une subjectivité à certains hommes, à tous les Hommes, au delà de l'humanité, ça ne semble pas du tout relever de l'évidence. Sinon on serait tous d'accord. Par conséquent, je ne comprends pas ce que vous appelez constat philosophique. Par définition, Il n'y a pas de démocratie réelle dans un cadre de domination. Donc je suis d'accord avec vous sur ces principes sauf qu'ils sont insuffisants et pas vraiment appliqués. Nous ne sommes pas dans une démocratie délibérative et nous n'avons pas en pratique les mêmes accès aux droits. À ce sujet, il me paraît étonnant que vous citiez Proudhon contre Marx lorsque le premier justifie un droit de la force comme un droit réel légitime (cf. La guerre et la paix). Évidemment, c'est une formulation Kantienne du cogito Cartésien. Pour autant, c'est une lecture qui sied au cogito de Descartes. La chose qui tient le coup après l'expérience du doute, c'est la nécessité du sujet. Mais la nécessité du sujet, ou le sujet dont parle Descartes n'est pas la même chose que le sujet construit et façonné par l'expérience du monde remis en cause dans le doute méthodique. C'est donc un sujet posé a priori de l'expérience. D'ailleurs le sujet n'est pas le seul transcendental chez Descartes. L'objet est aussi transcendental (j'emploie là encore des termes Kantiens). Mais il est indéterminé a priori. D'où ma question, quand vous dites que l'être est donné a priori. Qu'est-ce qui vous est vraiment donné a priori, et a priori de quoi ? Si l'être tel qu'il apparaît dans l'expérience vous est donné a priori de l'expérience, c'est problématique. Sinon, vous ne dites rien de nouveau.
