Elisa*

Et qui plus est, j’ai modifié mon post, cette remarque est bien plus éloquente : « Le narratif antisémite s’exprime sans vergogne… » Change donc un peu de narratif si tu veux argumenter sur un sujet, d’autant plus celui-ci. Ton parti-pris est évident : le débat donc obsolète.

Et oui c’est bien le mot ignoble ! Surtout pas, c’est totalement stérile ! Le narratif antisémite s’exprime sans vergogne… Ce qu’il ne faut pas lire… je vais zapper cet immondice qui me révolte ! A gerber.

Ah ça je sais pas car cela faisait un bon moment que je n’allais plus sur Netflix.

C’est actuellement sur Netflix : la série et le film.

En même temps, cela n’a rien à voir ac le genre « film d’action »… bref.

Moi ça ne m’étonne pas vraiment, c’est pas rien un Spielberg… ce réalisateur est juste un géant ! En tout cas, à mon goût.

C’était vachement bien, je l’ai vu hier soir sur France2 mais je suis restée sur ma faim… j’en voulais plus, je ne voulais pas que ça s’arrête !

Je suis ok : c’est nettement mieux formulé ! Petit Coquinou va !

Eh bien moi j’apprécie l’originalité de tes sujets : j’en demande plus et encore !

Yummy !

Voui voui certains pensent bêtes…

Pareil, insupportable… je n’y arrive pas non plus !

La pensée est d’abord une production de représentation de soi : ceci bien avant que se dessine l’imaginaire et donc une production de fantasmes, de fantaisies. À mon sens, notre pensée se construit essentiellement sur ce que l’on nous a distillé, inculqué dès le stade intra-utérin, dès nourrisson. La conscience de notre existence commence là, à partir d’une pensée influencée. Notre relative autonomie de pensée s’acquiert au fur et à mesure, s’en suit une longue traversée d’apprentissage, de stimulation ou de blocage parfois par l’école, la culture, les liens sociaux, nos diverses expériences de vie, qui vont finir de forger une pensée plus ou moins claire et/ou perturbée, troublée par nos multiples émotions.

Ah ah… Atchoum !

Je pense pas à en faire souvent… c’est pas mal, je remplace les lardons par des tranches de jambon cru.

Je sais pas si c’est moi mais je trouve que la visibilité de ce qui se passe actuellement, ne serait-ce que par le biais des diverses infos, les réseaux sociaux, etc… m’apparaît plutôt anxiogène. L’ambiance globale n’est guère réjouissante…

Nanmé les gens ne supportent plus aucune frustration, n’ont plus de patience, respect, limite. Pas tout le monde évidemment mais quand même, j’ai la sensation que ce type de comportement lunaire n’est pas unique, ce me semble de plus en plus fréquent.

Pour le coup, client-mystère là en l’occurrence, ça ne fait pas rêver !

A tout hasard… il n’y aurait pas un devoir à rendre ? Parce que sur la Toile, c’est pas ce qui manque des définitions philosophiques du terme « penser » hein hein…

Elle n’est pas connue pour être une personne empathique, donc rien de bien surprenant… la France d’en haut, c’est uniquement une technocrate qui gère des dossiers, pas du vivant.

Je me suis refait, ac plaisir, les 6 saisons de « Dowton Abbey » : en plus d’un bon casting, de costumes et décors somptueux, les dialogues ne sont pas dénués d’esprit, d’humour. J’ai voulu prolonger ac le film et là, me suis franchement ennuyée : trop de longueurs, sans grand intérêt.

Certainement pas… j’aurai bien plus intéressant à faire !

Le futur simple me semble plus adéquat : dynamique, plus engagé que le conditionnel, donc je ne mettrais pas de « s » à la fin des verbes. De petites corrections dans les conjugaisons, sinon félicitations : c’est très bien écrit ! Bonne chance

Tant que tu te refuseras à citer tes sources par des liens, être plus précis et à citer une personne quand tu causes d’elle comme présentement : je suis tombée par hasard sur ton post. Eh bien je ne pourrai apporter de crédit à tes dires et donc continuerai à les tourner en dérision. PS : on cite comme ça pour que la personne en soit informée par respect : @Neopilina!