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dbm27

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Tout ce qui a été posté par dbm27

  1. Une première mais ça me rappelle Jérôme Cahuzac qui etait ministre du budget, president de la commission des finances à l'assemblée et ainsi venait nous présenter des méthodes pour lutter contre la fraude fiscale.
  2. J'adore l'appellation d'origine contrôlée "humour british" mais la troisième pub me parait à la fois plus crédible et tout aussi barrée. J'aime moins le burlesque d'habitude mais pour la pub c'est excellent.
  3. Pas d'accord avec toi, la troisième est top aussi. La pub comme je l'aime.
  4. On peut dire que ça c'est de l'argumentaire en béton ! A l'instar d' @Éphron je vois comme un idéal cette aide au suicide, le suicide assisté dont tout le monde pourrait beneficier sans avoir à justifier d'une maladie incurable. Ce serait, comme l'euthanasie en Belgique ou le suicide assisté très peu utilisé et ainsi ça ne remettrait pas en cause nos valeurs. Au contraire, avoir toujours cette possibilité de choisir de continuer à vivre ou non donnerait plus de valeur à la vie qui deviendrait un choix. Et l'assistance apportée eviterait la sauvagerie des suicides qui en plus peuvent être ratés et donc avoir des conséquences atroces. Certes la société est loin d'etre prête à adopter ce changement d'angle, mais qui sait... D'autant que ça eviterait le débat sur la réelle incurabilité d'une maladie (compliqué par les hypothétiques progrès de la medecine), et comme le suicide assisté tel qu'il est régulé actuellement en Suisse, également la clause morale des médecins qui ne veulent pas faire le geste qui tue.
  5. C'etait le sujet de discussion autour du changement à apporter dans le fonctionnement actuel et donc dans la loi en vigueur : Alors se pose la question.
  6. Si le patiebt est conscient et accepte d'etre emmené aux urgences, la question ne se pose pas quelles que soient les directives anticipées. Mais s'il n'est pas conscient et que dans ses directives anticipées il ne souhaite aucun acharnement therapeutique, que prevoit la loi ? Est-il emmené aux urgences alors que son pronostic vital est engagé ?
  7. Surtout les moyens de transport : en si peu de temps tu sors de ton milieu à Montrouge pour entrer à Neuilly. Ligne 4 du métro et je sais plus combien de changements mais ça met pas 6 generations. Une demi heure maxi je dirais.
  8. Le quand on veut on peut implique il me semble le libre arbitre et le questionnement autour de cette notion est forcément infini. Je pense néanmoins que nous avons tous une petite marge de manoeuvre au-delà de nos automatismes individuels. Cette petite marge peut se concrétiser à chaque instant quand on refuse ou consent de faire un pas qui serait à notre portée mais qui demande un effort tout en sachant que ce pas sera au final bénéfique. Savoir ce qui fait q'untel refuse et tel autre consent je l'ignore mais la différence n'est pas qu'entre individus, elle est aussi intraindividuelle : parfois on refusera l'effort en question, parfois on y consentira. L'objectif devrait être que collectivement puis individuellement tout soit fait pour que la tendance à consentir ce petit effort soit majoritaire. La méritocratie pourrait être un moyen d'atteindre cet objectif, mais son manque de nuances ne le permet pas encore.
  9. Mais quand on peut on veut aussi donc là je ne parierai pas. C'est pas pour "clasher" @soisig mais j'ai l'impression qu'elle ne peut pas mieux faire. On est aussi victimes de nous-mêmes, comme en substance tu l'as dis au cours de ce sujet.
  10. En France la méritocratie est un idéal républicain en accord avec la declaration des droits de l'homme et du citoyen. Mais comme la plupart des idéaux, il ne s'est pas vraiment concrétisé. Certes en théorie tous les élèves peuvent accéder aux filières d'excellence mais en réalité les différences selon l'origine sociale sont loins de diminuer. On a même un des systèmes éducatifs les plus inegalitaires de l'OCDE. L'heritage culturel joue un role majeur dans cette reproduction des inégalités qui ne peuvent être masquées par des exceptions.
  11. De nos jours, qui n'est pas astrophysicienne ? Soyons sérieux.
  12. Mais ça arrive souvent et de toutes façons la decision s'opèrer se faisant au cas par cas, ce n'est jamais la théorie qui saurait la prendre.
  13. Oui, raisonner c'est faire tourner son cerveau pour obtenir un resultat nouveau. Comme nous le faisons tous au quotidien. La théorie n'englobe pas tout et le chirurgien est lui aussi, voire lui surtout confronté, à des problèmes que la théorie n'a pas pu prévoir, que ce soit avant, pendant ou après l'operation.
  14. C'est très limité et en fait illusoire de cantonner le raisonnement aux grandes découvertes scientifiques. Les grandes découvertes sont spectaculaires et remarquables parce qu'elles provoquent un changement de paradigme. Elles sont certes à l'apogée du raisonnement parce qu'hors de tous les sentiers battus des solutions nouvelles ont été trouvées ayant nécessité un travai d'analyse et de synthèse inédit et faisant un lien singulier entre un très grand nombre d'informations au spectre très large. Mais nous faisons tous ce travail en modèle réduit dans nos vies quotidiennes quand nous devons résoudre un problème qui donc est nouveau. Ce qui situe le niveau du raisonnement c'est la quantité d'informations à traiter et la distance globale qui les séparent c'est-à-dire l'abstraction. Dans nos vies quotidiennes le niveau d'abstraction est faible. Dans la recherche scientifique il est au contraire très élevé. Or les grandes découvertes ont su créer des liens dans cette grande masse d'informations ayant en plus une grande distance. La pratique du chirurgien est à la fois confrontée à beaucoup d'imprévus mais à un niveau d'abtraction plus élevé que dans nos vies quotidiennes. Certes les solutions trouvées dans cette pratique ne necessiteront pas de faire des liens inédits d'aussi grande distance que lors d'une grande découverte mais comparables à ceux de l'activité d'un ingénieur (que tu évoquais au départ).
  15. Il s'occupe d'organismes qui sont extrêmement complexes er le nombre de paramètres à prendre en compte pour chaque decision (le diagnostic, quelle intervention effectuer précisément en anticipant les conséquences, le suivi post-operatoire...) et chaque cas qu'il traite est particulier. Le savoir et le savoir-faire acquis lui donnent des repères mais beaucoup d'imprévus font appel à son raisonnement.
  16. Pour être chirurgien il faut à la fois beaucoup de savoir encyclopédique mais aussi beaucoup de raisonnement. Disons alors que c'est essentiellement de la mémoire et essentiellement du raisonnement, en plus de la dextérité manuelle. Perso je me suis diagnostiqué dyspraxique et je ne me soigne pas. Je n'ai plus que le choix du cérébral.
  17. Pourtant moi j'abandonne mes billets de 50 euros quand je ne sais plus quoi en faire et qu'ils commencent à me gêner.
  18. dbm27

    Remaniement

    C'est bien que des ministres quittent le gouvernement mais c'est dommage que d'autres arrivent.
  19. On a retrouvé Jean Michel Freud !
  20. Non la France n'est pas une dictature. Enfermer les opposants, c'est un classique mais hélas pour l'arc fasciste ce n'est pas permis par la constitution.
  21. Oui, c'etait de l'humour. Je m'en fous totalement des dépenses pour la première dame.
  22. Alors en parlant du peuple en revolte elle pourra dire "qu'ils mangent du chocolat" . En fait c'est totalement insignifiant le budget pour la première dame. Aucun président élu n'a été candidat pour les indemnités ou le niveau de vie que cela permet. Le pouvoir que la fonction donne est par contre décisif. Le risque c'est toujours d'être ennivré par ce pouvoir. C'est incontestablement le cas de Macron. Concernant Brigitte du même nom, rien ne permet de le dire.
  23. Tu n'as donc toujours pas appris à lire ?
  24. 315 mille euros, 40 ans de Rsa. J'espère qu'elle trouvera bientôt un travail.
  25. On dirait un MMS (référence au test mental passé par Trump ) ou Dustin Hoffman en boucle sur la même phrase ! Ne me sanctionnez pas, il ne peut même plus me lire.
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