Aller au contenu

QuatreEtCinq

Banni
  • Compteur de contenus

    1 536
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par QuatreEtCinq

  1. Il y a peut-être d'autres raisons. Tu vois, en ce moment, je fais un peu de maraichage. Il s'agit pas seulement d'enlever les "mauvaises herbes". mais aussi les mauvaises feuilles, mauvaises tiges... Tout ce qui demande de l'énergie "superflue" à la plante. Faut voir pourquoi l'on refuse de manger des blettes avec des feuilles trouées. Dans un sens, cette sélection est évidente pour celui qui mange. Dans un autre, cette sélection est absurde pour celui qui cultive. Tu sais, jouer au créateur, c'est pas seulement avoir le pouvoir politique. Moi, quand j'arrache un trèfle, je joue déjà au créateur. Et si je le trouve joli parcequ'il a quatres feuilles au lieu de trois, Ferais-je la culture et la génétique du trèfle pour n'avoir que des quatre feuilles ? Il n'auraient aucune valeur s'ils n'étaient pas rares et précieux. Non. Un grand radical du quatre feuille, ce qu'il veut, c'est mettre tout les maraichers du monde sur la paille par passion envers les quatre-feuilles fortuits. Également par passion pour les blettes aux feuilles trouées... En fin de compte, il m'apparait qu'il s'agit plutôt de retirer tout pouvoir à l'individu. Et j'ai trop peu médité la question pour savoir s'il s'agit d'une bonne ou d'une mauvaise chose. C'est sensé, et pourtant cela me met dans une grande colère. Cela ressemble fort à un paradoxe inhérent à cette planète. Un de ceux qui attisent et l'émotion, et la raison. Plutôt que de les boire tout deux. C'est un petit peu forcer la sélection naturelle. Ou la rétablir. Cela dit, je pense que j'aurais su m'adapter à un monde sans politique. S'il s'agissait seulement de boire, manger, et dormir au sec. Mais là il s'agit d'autre chose. Les éléments sont déchainés, et j'ai plus peur d'un abus d'autorité que d'un abus de laxisme. Tu as raison, il semble vain de s'opposer. Il reste la question de savoir, est-il vain que de vouloir survivre ? Et surtout, faut-il s'attacher à cette capacité créatrice de l'humain ? S'il sagit de créer des outils utiles et de la beauté belle, alors cela ne me dérange pas. S'il s'agit de créer des outils futiles et de la beauté superflue, alors effectivement y'a t'il peut-être un brin de maraichage à faire. Je ne sais pas si 90% de la populace va disparaitre. Cela me paraitrait aussi horrible que d'imaginer une population de 8MM qui double en 35 ans et qui croît de façon exponentielle se diriger dans un monde sans amour ni contact. Quoi qu'il en soit, si j'arrive pas, ou si je refuse de m'adapter. C'est tant pis pour ma gueule.
  2. Pardonnez moi de m'être senti responsable de mon bonheur. Pardonnez moi surtout de m'être senti responsable de celui des autres. Vous avez raison, je suis cet immonde égoïste. Et vous êtes plein d'un altruisme que je ne saurais m'approprier. Tant, visiblement, la providentielle raison vous a doté d'un sens de l'éthique inhérent à celui de votre rhétorique. Je vous concède la victoire. Foutez moi en prison pour le bien de la nation. Et toute la nation. Pour le bien de la nation.
  3. @Mr_Fox C'est ce que dit la justesse. La raison et la logique. Et c'est probablement vrai. Mais la justice, c'est autre chose. Elle n'est pas de raison, et elle n'est pas raisonnable. D'ailleurs, je crois que c'est exactement ce qui est présentement mit à l’épreuve. Je ne crois pas qu'ils soient si déraisonnables. Bien au contraire, je les crois posséder une grande raison. Et encore en veulent-ils plus. Je crois, comme tu le dis, qu'il est question de recréer un chaos. Exactement, comme la vie naturelle. Et cela me rassure presque. Car aucune politique synthétique ne saurait perdurer. La question étant, s'agit-il d'un chaos chaotique, ou d'un chaos synthétique très méticuleux. Dans la première option, c'est rendre sa valeur à la nature. Dans la deuxième option, c'est jouer à la nature. Et peut-être que l'issue dépend surtout de l'option en laquelle on croit. En ce sens.. Si l'on croit que l'amour va disparaitre dans la synthèse alors c'est déjà fait. Si l'on croit qu'il va renaitre dans le chaos, alors c'est déjà fait. Et si tu crois avoir perdu c'est qu'en effet, ils ont gagné. Je ne crois pas que l'on puisse être aussi conscient et aussi aveugle du monde que tu le prétend. Et je ne crois pas que la domination seule soit question et réponse. Je crois que c'est un peu une accélération des événements. Comme pour gagner du temps. Je crois que personne de sensé ne se contenterait d'un spectacle de kev adams. Je crois qu'ils aiment ce qui est beau, et spectaculaire. A la guerre, ce qui compte, c'est surtout d'être fier de son ennemi.
  4. Attend, c'est moi le radical là ? Ne transforme pas mes propos, tu seras gentil. J'ai parlé de moi, j'ai pas parlé du monde de la recherche. Maintenant tu défend ton bout de gras si ca te fait marrer. Mais tu le fait pas sur mon dos.
  5. Comme ça c'est clair. Mais il y a un paramètre que tu semble oublier. C'est que le pouvoir est justifié. D'ailleurs, le pouvoir est invisible, seule la justification apparait. Moi, si on me vend l'équation : "Je suis plus fort, si tu fais chier t'es mort." D'une part je comprend très vite, d'une autre j'ai rien à répondre. Par contre, si on me vend l'équation " Je suis le plus fort, mais c'est pour ton bien" D'une part ça témoigne un manque de confiance. D'une autre ca sous entend que tout ce qui justifie le pouvoir, justifie mon bien. Tant que j'ai le droit de contre-justifier j'ai quelque chose à faire pour exprimer ma liberté. Si j'ai plus le droit de le faire, c'est l'antithèse qui tombe d'elle même. La question étant, est-ce que l'antithèse peut tomber trop tard ? Et la réponse est oui. Cela dit, si la valeur de l'espoir est aussi virtuelle que celle de l'argent Aujourd'hui la vie vit. Et hiérarchiquement, aujourd'hui a l'ascendant sur demain. Le réel sur le virtuel.
  6. En fait, voilà, c'est hyper simple. Je comprend pas comment on peut se sentir uni à quelqu'un qu'on connait pas.
  7. Mais concrètement. C'est quoi qui empêche une dynamique locale ? Il peut très bien y avoir des termes, des conditions.. J'sais pas, par exemple, l'on considère que le meurtre s'inscrit dans la loi, et bien l'on impose à la localité d'inscrire le meurtre dans sa loi. Mais encore pourrait-elle choisir comment elle décide de juger ce meurtre. De cette façon, par exemple, une cité pourrait briller aux yeux des autres par son sens de la justice, et donc croitre en démographie, et donc économiquement... Ce serait beaucoup plus démocratique d'autre part. En ce sens que si l'on pouvait se contenter de choisir où habiter en fonction de ce qui nous correspond, l'on aurait un pouvoir direct. Par exemple, je refuse d'habiter à un endroit où le magasin de bricolage vend des outils non-fonctionels, j'estime une erreur diplomatique, et bah je vais vivre à brico-land. Est-ce vraiment si utopique ? D'irréductibles terroristes en somme.. Cela dit, rien ne leur empêche de se laver les dents. Tu trouve que 67 millions ca permet un sentiment d'unité ? Désolé mais moi je suis incapable de reconnaitre quelqu'un que j'ai pas sous les yeux. Déjà une ville comme Toulouse c'est trop grand pour moi j'y comprend rien. Demain on me dit " tu vas aller faire la guerre pour sauver les fans de kev adams" Bah non, en fait... désolé.
  8. Ouais je vois c'est mal d'être un traitre quand c'est pas toi qui définit ce que c'est qu'un traitre.
  9. Et en 2021 quand on sait plus se servir d'une arme, l'on ne peut toujours pas envisager une diplomatie rhétorique ? De toute façon, aujourd'hui, les papiers assèchent, les papiers assoiffent et affament, plus encore que les armes. En ce sens, une diplomatie rhétorique me parait envisageable. Le rapport de force étant surtout économique. S'il oublie d'être éthique et idéologique. Ou encore technique. Bref, plein de moyens de justifier sa supériorité. Pas besoin d'en venir aux armes. A l'heure qu'il est, une tribu qui perd sa notoriété auprès d'une autre, c'est pas des armes dont elle a peur. C'est de crever la faim et la soif. Qu'est-ce donc ?
  10. Ah, j'avais cru qu'elle devint la débandade. Je vois. Et maintenant qu'on a plus la gaule, on a quand même le choix de notre diplomatie locale ? Par exemple, l'unification me semble propice. Mais pas l'uniformisation. Et la nuance est énorme . Ca me semble être toute la question qui fait la nuance entre la paix et la fusion. l'on peut tout à fait être en paix avec une tribu, sans pour autant fusionner sous une même bannière. Alors, sans parler du crédit que j'y donne. Qu'est-ce qui justifie la fusion, plus que la paix établie ? Pourquoi ce choix ? Peut-être le trouverais-je sensé. @Solatges
  11. Ah, voilà, j'aime bien tes mots. D'ailleurs, j'utilise souvent la même image pour peindre l'atmosphère. En cela qu'il est possible de calculer la pression, l'humidité, la luminosité... Quantité de facteurs absolument inutiles à la définition du chaos. Quand bien même nous en aurions le double ou le sextuple. Mais alors dites moi. Vous qui êtes si sensible à cette vérité qui dépasse les mots, Et qui par dela la science fait appell a l'art pour définir la nuance. Car en effet, la science ne sait s'encombrer que de tendance. Dites moi, qu'est-ce qui fait que Sète, c'est le même pays que Charleville-Mézières ? J'suis peut-être un peu taquin. Dites moi, qu'est-ce qui fait que Sète, c'est le même pays que Nice ? Encore un peu peut-être. Que ce soit la république ou l'empire, encore serait-ce la monarchie, qu'est-ce qui par dela l'administratif relie ces régions. Car il n'y a pas besoin de partir en Angleterre ou en Espagne. En tant que Toulousain, un jour j'ai débarqué à Maubeuge.. Comment vous expliquer que la seule frontière de la langue parlait déjà plus fort que la France. Non pas que ça me dérange profondément d'établir des frontières. Seulement, plus que de conquêtes, il m'apparait légitime que de les délimiter en fonction du-dit atmosphère. Tout cela dit, vous m'apparaissez la première personne impliquée dans ce topic. Je vous remercie pour ça.
  12. C'est quoi la république et c'est quoi la France ? Comme par ça et tu seras peut-être plus constructif que moi. Maintenant, j'sais pas pourquoi, j'ai le sentiment d'en avoir fait le tour dans un de mes dernier messages n'ayant pas été modérés par excés de lucidité
  13. De quoi besoin d'énergie. Envie d'énergie. Mais débarquer en disant que l'on à besoin sous entendant qu'il nous faut une solution.. Bah non, désolé, moi j'ai besoin de nourriture, d'eau, d'air et d'amour. Ton énergie, j'en ai pas besoin, j'en ai pas envie, et elle m'apparait plus comme un problème qu'une solution. Maintenant tu peux me traiter d’inconséquent si tu veux, et à ce moment là tu vas ramasser le plus gros " c'est celui qui dit qui est" de l'histoire.
  14. C'est bien le seul comportement qui m'apparait de noblesse. Soit-il celui d'une cause perdue. Mais nul besoin de nous complaire dans la fierté. Y'a du boulot.
  15. En vérité, t'as dis tout ce qu'il y a à dire. Mais y'en a qui ont besoin qu'on leur fasse l'équation de l'amour pour leur prouver que la vie a une valeur. Ca tombe bien c'est exactement ce que je planche. Et je ne laisserais aucune place au doute. L'amour vaut tout. Le fait est que moi, j'en étais convaincu avant de l'avoir prouvé. C'est peut-être le pré-requis pour comprendre. Je le constate là et ailleurs.
  16. Vos intentions semblent louables. Rares sont ceux qui mettent tant de vigueur à défendre le bon bout de leur raison. Et je vous rend honneur en cela. Aussi n'est-ce pas à vos intentions que je fais un procès mais bien à votre discernement. Mais laissez moi vous parler de ma liberté. Cela fait dix ans que je suis isolé. Et si je n'ai pas osé le terme confiné, j'ajouterais que je n'ai trouvé personne à l’extérieur. Aussi, la rupture sociale est le résultat d'actions bien fondées que vous saurez défendre. Moi je lutte jusqu'au dents pour que l'on puisse à nouveau se rencontrer. Et ce depuis bien avant le covid. Bien avant. Aussi, vous comprendrez que le covid m'est apparu, presque comme une suite logique des événements. Encore une foi, je vous le répète, je suis un homme de science. Je ne jure que par ce dont je peux témoigner. Et mes yeux sauraient témoigner bien des choses que le commun des braves gens ne saurait. Mais toujours pas du covid. C'est impossible de me convaincre du bien-fondé des actions gouvernementales tant que je n'ai pas constaté moi-même de ce désastre qui fait faire dans son pantalon le monde entier. Faute d'un doctorat, je suis doté d'un grand sens critique. Et celui ci, si l'on ne l'avait pas informé, aurait été incapable de témoigner de la présence même de ce virus. J'y donnerais exactement le même crédit si l'on me disait demain que les oiseaux sont des prédateurs naturels de l'homme, et qu'il fallait sortir avec son appeau et son fusil tout les matins La documentation, c'est super. Mais moi je pleure de n'avoir personne à qui parler le soir. Et le virus me semble un moindre obstacle. Là où la paranoïa ambiante en est un de taille. Vous comprendrez que si les documents doivent justifier la peur. Alors ce sont des données qui me sont inutiles. Je n'ai pas envie de nourrir cette peur. Celle qui m'est inhérente me semble suffisante pour me prévenir du danger. Et si vous me croyez naïf ou inconséquent... c'est que vous me connaissez bien mal. Encore vous dirais-je que ma liberté est de moindre valeur. Je pense à ma vie sociale durant ma petite scolarité. Anéantie par une hypocrisie induite. Et je m'inquiète énormément pour la liberté de nos enfants. Qui je pense, devront, masqués, démêler l'histoire dans quelques décennies. Et si je pouvais les soulager de mes quelques mots, ce serait autant de liberté que j'aurais pu leur offrir. Je ne mélange pas. Laxisme et autoritarisme ont toujours formé une paire. C'est votre rhétorique qui s'improvise vicieuse en oubliant de les mélanger. Moi, enfant ou adulte, vous pouvez m'expliquer autant que vous voulez que d'oublier d’interagir avec les autres c'est dans mon intérêt. Et même dans le leur. Je ne vous donnerais jamais raison. Vous semblez bien conscient de cette viralité sans visage. Eut-elle tout les noms, tout les chiffres du monde, je ne saurais être conscient de quelque chose dont mes sens ne m'auraient avertis. Aussi semblez-vous bien conscient du génocide qu'elle prétend. Et vos enjeux sont ceux de la sécurité. Moi, je suis bien conscient des enjeux de la liberté. Pourtant, aucun professionnel n'en fait l'état, et je n'ai pas de données. Qui de nous deux justifie le mieux ses conséquences ? Celui qui parle en son nom, ou celui qui parle au nom des autres ? Encore y a t'il une valeur de tendance à dresser. Et un ordre de priorité. J'ai horreur de ce terme. Mais vous semblez en proie à un sentiment d'insécurité. Et si les avis compétents le justifient. Et que vous le justifiez par eux. Je vous crois absolument incapable de le justifier par vous même. Aussi vous demanderais-je de me dresser la situation catastrophique liée au Covid avec vos propres études. Et une équation rhétorique sans données vaudra mieux, à mes yeux, que le rapport de quelqu'un d'autre, fut-il décoré des signatures les plus distinguées. Vous jurez par le cheminement intellectuel. Moi je jure par l'intention. Ce sont les deux bouts de la raison. La justesse et la justice. Aussi, le bon bout de la raison n'est pas toujours le même, il est sensible, et difficile, voir impossible que de l'acquérir. C'est un mouvement chaotique. Encore semblez vous ne jurer que par la justesse. Saurez vous constater ma propre justesse ? J'ai mit un terme à ma scolarité en sixième. J'ai cumulé l'écriture de 4 droits fondamentaux, la thèse de la valeur du chaos, le processus de subjectivisation de la réalité, et j'ai touché du doigt un témoin providentiel avec la réciproque d'intensité dans la dualité. Aussi vous parlerais-je de mes diplômes et je n'en ai aucun. Et je vous met au défi de dévaloriser mon sens de la justesse. Mais soit. Je me contenterais de vous dire que je n'ai pas confiance en quelqu'un parce qu’il semble avoir raison. J'ai confiance en quelqu'un qui semble de nobles intentions. Et aucune donnée ne saurait en attester. Et j'vais vous dire un truc, ca pourrait vous faire du mal. Mais bien souvent, ceux qui justifient le mieux leurs intentions sont ceux-là même qui ont les plus basses. Là où, les antivax n'ont aucune raison d'agir ainsi, si ce n'est leur seule volonté désintéréssée d'autre chose que de la justice. Car la finalité mon ami, peu importe son cheminement. La finalité ce n'est pas la justesse. A la fin du procès, c'est la justice qui est rendue. En effet, il semble que je sois aveugle. Cela étant, vos yeux me sont d'une maigre consolation. Je vais vous dire quelque chose. Même si 112 000 personnes ont trouvé la mort. Notamment le père de mon beau-frère ( atteint d'un cancer en phase terminale du haut de ses 75 ans, mais étiqueté covid dans des circonstances particulière qui ne lui ont donné aucun droit de visite dans le laps de temps où il a perdu la vie.) Même si 0.15 de la population a perdu la vie. Et je le déplore sincèrement. Est-ce que cela justifie de priver de liberté les 99.85 % restant de leur vie sociale ? Selon vous, il semble que oui. Selon moi, c'est absolument et totalement démesuré. J'veux dire, durant la peste bubonique, j'veux bien qu'un pass sanitaire eut-été un outil plus qu'utile. Mais ce n'est en rien comparable. Vous savez, depuis la nuit des temps, les gens meurent, et les autres vivent. C'est pas parceque des gens meurent que les vivants ne doivent plus vivre. En fait, c'est même plutôt absurde. Parcequ'à la rigueur, les morts ne profitent pas de la vie. Mais les vivants oui. Et encore une fois, même si moi ou un être cher devait faire parti des malheureux 0.15% Je soutiendrais toujours la liberté des 99.85%. Tu comprend toutes les mesures qu'on prend pour 0.15% de chances de mourir. Alors que t'en a 10 fois plus tout les matins en allant au travail dans ta voiture ? Ca te semble de la diplomatie modérée et adaptée ? J'suis pas désolé. J'vais pas m'aretter de vivre et d'aimer parceque t'as peur. J'suis pas désolé en fait. Là, on parle pas du typhus. Là on parle d'un truc, si personne en avait parlé, ni toi ni moi nous en serions rendu compte. Et me parle pas de tes yeux. Moi aussi j'ai vu des fantômes quand j'ai eu envie d'en voir. J'ai déjà répondu. Et encore me semble t'il que mes yeux sont grands ouvert. Et les votre plongés dans un désespoir sans visage. Ces morts existent. Mais j'ai une anecdote qui va vous faire réfléchir. Savez vous ce qui tue encore plus que le covid ? Le stress et la solitude. Le STRESS et la SOLITUDE. Voilà les deux fléaux morbides à mon sens. Et vous qui jugez par les rapports, vous avez qu'à vous renseigner sur les chiffres. Quelqu'un qui est aimé et entouré a infiniment plus de chances de guérir de son cancer. Quelqu'un qui ne l'est pas est pratiquement condamné par défaut. Et je pense qu'un malade du covid, c'est pas différent. Vous me vantez la peur des 0.15 du covid. Moi je vous dis que le stress et la solitude c'est 100% de taux de létalité. Alors vous allez devoir, légalement, faire greffer des yeux et des oreilles à vos aimés concitoyens. Car votre raison ne saura les leur ouvrir. Ah.. donc, pour vous, le pass sanitaire c'est le "permis d'exister" et vous le trouvez légitime ? Vous me semblez être une victime du terrorisme monsieur. Doublé du syndrome de stockholm. J'ai déjà un "permis d'exister" ca s'appelle ma carte d'identité nationale. Et déjà je ne lui reconnais ni beauté ni utilité. Je m'en encombre parceque c'est la loi, je le comprend et je l'accepte. Et cela suffit amplement. Par contre, soyons clairs. Vous ne défendez pas vos libertés. Vous défendez votre sécurité. C'est encore ce qui oppose laxisme et autoritarisme. Moi, je vous expose dans mon inconséquence à 0.15% de risque. ( et même 0 si vous êtes vaccinés) Vous, vous m'exposez à une vie sans contact, sans visage, sans amour et sans même le droit de me plaindre ? Vous croyez pas que la balance pèse 6874354 fois plus lourd de mon coté ? Alors effectivement, j'en convient, les rapports ne font pas l'état de l'amour, et ne sauraient même pas en définir la valeur. Pourtant, pour moi, c'est ce qu'il y a de plus précieux. Plus encore qu'une santé réduite de 0.15% Et c'est cela que je défend. L'amour inconscient et inconscéquent. Vous défendez la peur consciente et conscéquente. Je n'ai aucune éducation catéchistique. Pourtant je sais reconnaitre la valeur de la peur et celle de la confiance. Etonnant n'est-ce pas ? Aussi n'ai-je pas confiance en ceux qui propagent la peur. Ni vous, ni un autre. Par delà la vaccination et le pass, vous êtes favorable à la peur. A la peur et à l'isolement. Alors que ce sont des fléaux, bien plus dramatiques que le covid à mon sens. Encore une fois, vous repprochez l'inconscience. Moi je vous reproche votre excès de conscience. Car c'est ce que c'est. De l'excés. Vous devriez savoir la définition de la schizophrénie. Non pas que je voudrais bassement vous insulter. Mais bien que je m'inquiète de votre état de santé mentale. Il ne s'agit pas de la liberté d'une minorité. Il s'agit de la liberté du peuple. Et même de tout les peuples du monde. Si vous êtes capable d'une abnégation telle qu'elle saurait nier votre désir d'aimer et de rencontrer les autres, fort bien, c'est votre droit. ( mais pas votre honneur. ) Mais vous n'imposerez pas votre cynisme à ceux qui croient encore en la vie. Encore une fois, votre sécurité s'arête là où commence la liberté des autres. Mais les libertés, elles, meurent toutes en même temps. Voilà. Je vous propose une et une seule réponse. Après quoi j'aurais également droit à une et une seule réponse. Par la suite nous tenterons de faire intervenir un jury, le plus impartial possible, au moins par sa diversité d'opinion.
  17. Depuis longtemps les remèdes contiennent du venin.. En effet. Probablement depuis toujours. Cela étant, je me répète, ce n'est pas une question technique. C'est une question éthique. Déontologique. Si tu préfère. Quant à aborder le sujet de la réalité de la maladie.. Certes elle est indéniable Cela étant, si personne ne m'avait averti de l'ampleur du problème, j'aurais été tout bonnement incapable de constater les ravages de cette épidémie tout seul. Aussi suis-je probablement trop naïf. Ou aveugle. Aussi, la vérité étant relative, et subjective.. Je suis bien-heureux de pouvoir m'en remettre à des lucidités qui me dépassent. Tel que la votre. Merci du fond du coeur, bonne soirée.
  18. Visiblement ca chie dans la colle. Mais au moins c'est le nec plus ultra de la mega-glue bio-démocratique aux normes européennes.
  19. Ta politique c'est pas la mienne. Ca s'appelle la démocratie. C'est pas la politique du peuple, mais la politique de l'individu. Autre chose, la question du vax n'est pas une question technique, mais une question éthique. Il ne s'agit pas de définir sa toxicité, et même pas sa nécéssité. Seulement la légitimité des ordres. Et si toi tu parle de légitimité, ( sans en parler d'ailleurs hein ) En disant que "si on peut pas dire que c'est mauvais c'est que c'est bon" D'autres pourraient dire " bon ou mauvais, c'est un choix que je conteste " Et le spectre de la légitimité est très vaste. Beaucoup plus vaste que les signatures sur les papiers.
  20. Bon, et si moi j'estime que votre commentaire est une menace pour la société, vous pensez qu'il serait de bon ton de vous faire un procès plutôt que de tenter la diplomatie de la palabre ? Parceque moi, la liberté conditionnelle, j'appelle pas ça la liberté. Les masques sur le visage de nos gamins qui ne savaient déjà plus communiquer à cause de l'excès d'hypocrisie qu'on leur impose, j'appelle pas cela la santé. En fait, ca va vous déranger ce que je vais dire. Mais vous voyez, j'aime bien avoir confiance en moi. Et ce me semble plus important encore que d'avoir confiance en un autre. Le fait est que cette histoire de covid, si l'on ne m'avait pas parlé de l'ampleur de ce problème, je n'aurais pas su le deviner tout seul. Et c'est pareil pour tout les présumés problèmes sociaux actuels. Voyez, par exemple, si j'avais vu des gens s'effondrer dans la rue. Si j'avais vu des cadavres s'empiler ça et là. Si j'avais vu mon entourage en mauvaise santé, même sans parler de mort. Alors le problème m'aurait paru évident. Or ce qui me semble évident avec cette affaire, c'est seulement la terreur dans le discours des autres. Et c'est le seul problème d'envergure qui m'apparait. Est-ce que cette peut est justifiée ou pas, je n'en ai pas fait la mention. Et je ne le ferrais pas. Cela dit, c'est bien le seul problème concret qu'il me soit donné de constater. Et selon moi, c'est celui là qui justifie toutes ces mesures sanitaires. Plus encore que la terrible maladie dont je n'aurais su tenir compte. Donc là ce que je constate, c'est que de votre expérience, vous n'avez rien constaté du virus, mais encore voudriez vous mettre des gens en prison, au cas où votre esprit critique n'aurait pas suffit à distinguer la menace de la situation. Et cela ne me semble pas du tout rationnel. Je veux dire, vous tentez de faire parler une approche sensée de la législation. Mais vous-même dans vos réaction ne m'apparaissez d'aucun sens logique. Sans vouloir vous offenser. Donc je vais vous proposer un jeu. Vous faites une plaidoirie contre les discours anti-vax. Moi je fais une plaidoirie contre vous. Et à la fin on fait intervenir de tierces personnes comme si elles étaient un jury. Le tout sur ce topic. Qu'en dites vous ?
  21. J'sais pas. Moi j'ai la maladie de l'information. Sur que Raoult m'apparait sincère. Cela étant, c'est une figure médiatisée. Je ne le connais pas personnellement. Je le connais par le biais d'un autre. Je ne vois pas pourquoi, ni comment je pourrais faire confiance à quelqu'un que je ne connais pas personnellement. Ca vaut pour lui, ca vaut pour les autres.
  22. J'ajouterais même que c'est la raison de l'intolérance qui est souvent problématique. Et pas l'intolérance en soit. Ma phrase a été faussée, je voulais écrire "Ni de justice, ni de justesse". Quoi qu'il en soit je vous rejoint.
  23. C'est la joie de la démocratie. On a le droit de dire ce qu'on veut, mais n'importe qui peut vous le reprocher. J'vais être un peu vicieux avec vous. Moi, je crois pas que l'influenceur s'il en est ait plus de responsabilité que l'acteur. En ce sens, l'on se serait suffit de condamner hitler pour tout le régime nazi, et les ss n'auraient pas été inquiétés ? Alors même si l'on arette pas le progrès, pour moi, si vous voulez faire un procès pour une contamination involontaire, il va vous falloir trouver le vrai coupable. Je sais pas... tracer la séquence du virus afin de retrouver de l'adn par exemple. Peut-être y arriverez vous, et je le déplorerais. Seulement il serait d'injustice et d’injustement de condamner à tort quelqu'un pour ses opinions. Qu'il n'a pas choisi.
×