Petitpois

Pour ceux qui pourront encore le voir, c'est sûr. Cela me rappelle un vieux livre : La dernière aube. Positif et négatif à la fois.

Bon, j'avoue n'avoir rien lu à part le thème du topic. Perso, j'ai un plan : vider et bétonner/plomber la surface de le piscine, la remplir de réserves alimentaires, eaux, de matelas et en faire l'abri familial "au cas où", avec des chiottes de camping.

Quand mon fils aîné a découvert la supercherie (papa Nowel), il n'a pas mangé pendant trois jours ! Ma fille, elle, n'a plus voulu croire en rien... Pour mon dernier je n'ai fait aucune cachotterie, le père Noel, du pipeau. ça n'a pas eu l'air de le traumatiser et renforcé sa croyance en ce que je pouvais dire. La petite souris, ça a été autre chose... ils n'y ont jamais cru mais étaient bien contents de trouver qq sous sous leur oreiller Seul mon petit dernier voulait bien les sous mais garder ses dents aussi. "Bon, ben, si tu veux."... "mais, maman, c'est que quand on aura encore plus besoin d'argent, je mettrais mes dents sous l'oreiller et te donnerai les sous" J'en ai pleuré.

Ha ben m*!! Je l'appréciais vraiment. Paix à toi, Niels.

ça me fait penser à :

Ben oui. Et ? "Destin : Puissance qui, selon certaines croyances, fixerait de façon irrévocable le cours des évènements." Appelle ça comme tu veux pour écarter le côté croyance. Mais le cours de certains événements , et souvent les plus dramatiques, nous échappent totalement, c'est juste un fait.

Sans compter ce que l'on subit, que le vie nous fait subir et contre lesquels, faire "le lever du soleil" en citant trois conne*ies dites philosophiques puis en s'entortillant les pattes ne font que dalle ! And why yes ? On ne change pas le destin; on s'y adapte( ou pas) avec plus ou moins de "bonheur", réussite.

La deuxième version est extraordinaire.

Et ben alors, à l'approche de Noel, abattons les sangliers et bouffons les la place de ces pauvres dindes ou chapons.

Il faut essayer, au moins.

Fais moi confiance : Tire la chevillette, la bobinette cherra ! ............ .......... @Mite_Railleuse

Andouille ! Cucul la praline ! J'te promets, si l'homme fait l'effort de trimballer les sangliers en territoire des loups, ben, ils s'en prendront d'abord à cette proie à portée.

Il est nuisible, certes, pour les cultures et autres aménagements humains. Dangereux...bof. Hormis une femelle avec petits qu'elle croit devoir défendre . Dans le var j'en ai souvent croisé. Ben, où ils ne te remarquent même pas où ils se barrent dare dare.

Rhoooo....un ou deux 'tits marcassins....sur les dizaines que pondent les Laies ! @Mite_Railleuse Nan, sérieux, tu la trouves idiote mon idée ? En général, les loups chassent en accords, à plusieurs.

.... et deviendront des chiens...Eternel recommencement. C'est ce que je me disais ce midi. Reportage sur je ne sais trop quel patelin envahi par les sangliers. solution envisagée : l'extermination. Je me suis dit "bande de c*ns ! Amenez les en bétaillères là où les loups font soi disant des dégâts sur les troupeaux. Pendant qu'ils boufferont du sanglier, ils foutront la paix aux troupeaux !!!

Perso, il y en a un qui doit se souvenir de moi : morceau de mollet en moins. Les garçons occupaient donc l'espace....et moi, je voulais accéder au portique balançoire/trapèze/corde. Je l'ai donc poussé pour avoir l'accès et il m'a sauté dessus (naaaaaaaaaan...pas comme ça) en m'attaquant sauvagement...bagarre...puis il me dit "c'est bon, c'est bon j'arrête". Ok, je lâche tout et lui me fait un croque en jambe. Je me retrouve face à son mollet et le mords sauvagement. Beurk, le gout du sang !

Je pense à ma jeunesse, aux colos. J'étais un vrai "garçon manqué" : bagarres, jusqu'aux blessures....etc Infirmière en pédiatrie, plus tard, j'ai arrêté d'exercer parce que je voulais être auprès de mes enfants. Nous n'étions pas aisés, j'ai été assistante maternelle pour compléter le budget familial. Puis divorce, et reprise de mon métier initial. Mais si mon couple avait pu tenir, j'aurais préféré rester à la maison, à élever mes mômes et avec mon apport d'assistance maternelle. Les mères devant l'école me disaient : quelle chance, si tu en as la possibilité ! Quelle possibilité ? C'était juste mon choix, avec les "sacrifices" assortis. Ben voilà.

Je comprends bien que mon post puisse paraître choquant. Mais, je le répète : est-ce que ça dérange vraiment les filles ? Elles sont plus dans l'intime, plus dans le repli entre elles. Et, je le répète encore : celles qui veulent rejoindre les garçons dans leurs jeux ne sont plus rejetées. Et réciproquement. Dans le primaire où j'allais chercher et assister deux enfants( garçon et fille), en campagne, il y avait accès libre par la cour, à un terrain foot/ basket... Le jour de la kermesse , où chaque enfant était libre j'avais remarqué qu'en fait la cour était quasi vide. Parce que les garçons et certaines filles sur le terrain, et que les autres filles (et certains garçons) se repliaient dans un coin, créant un genre d'intimité que rien ne leur obligeait et leur plaisait. La parité , bien sûr, ok. Mais pas en contrainte. Merde à la fin ! Respectons chacun et chacune. Parfois, souvent, j'ai l'impression que l'on pousse les filles vers ce qu'elles ne désirent pas forcément.

Je pense que ce sera le cas de mes beaux-parents, bien âgés et mal en point. Et pourtant, combien de coups de canif (connus ou devinés), combien de presque séparations....et combien d'amour entre eux !

Voilà. C'est aussi mon cas.

Je pense que oui. Par devoir, par conviction religieuse, par manque d'indépendance financière... On le consolidait par le silence, la patience, la soumission hélas, parfois, pire encore, la menace; par les enfants qui étaient une donnée prioritaire (tant sentimentalement que pour les moyens pour les nourrir), sûrement aussi par amour dans un cadre d'équité bien différent et la satisfaction réelle à l'époque du maintien de la maisonnée ou même par indifférence ( le sexe et son plaisir féminin étant moins mis en exergue) Je ne dis pas que c'était mieux, et la femme devait bien souffrir. Mais, je me répète , les couples , les vieux couples que j'ai connu et qui avaient survécus à tout ça, étaient heureux de vieillir ensemble et survivaient peu de temps à la mort de l'autre. ...........Et les femmes, souvent, savaient compenser en toute discrétion les défaillances maritales.