Easle
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Les athées évitent de répondre à ces questions.
Easle a répondu à un(e) sujet de leporteurdelumière dans Religion et Culte
En quoi serait une nécessité ontologique de l'être humain, puisque ca ne l'est pas pour certain-e-s qui sont athées !? -
Sauf que pour être aussi paranoïaque et donc complètement à côté de la plaque, avec vos lunettes de chasseur communiste des années 50, vous ne lisez que ce que vous voulez pour combler vos obsessions. Je ne défends pas le capitalisme, je l'explique. Se battre contre une phase historique de l'humanité est sans intérêt et voué à un échec naïf. Et vous êtes agressif et insultant avec ce genre d'accusations. donc qui s'énerve ? Vous confondez enfin la condamanation morale dont vous êtes un expert, de fait avec un impact nul et creux, avec l'analyse des causes et des possibilités d'actions basées sur le réel, sur la dynamique sociale et individuelle qui ne permet pas de réaliser de pur fantasmes excités de gueguerre contre les méchants capitalistes. Il faut du temps, pour faire évoluer des mentalités, faire prendre conscience, faire avec un être humain faible qui n'obéit pas au doigt et à l'oeil à vos recommandations disciplinaires. Vous voulez supprimer toute publicité sauf à but social, après validation par un comité de censure ? Vous voulez contrôler les motivations à faire de la recherche ? A créer une entreprise ? La limitant à des but sociaux stricts et avec une répartition égale de l'appareil de production entre des actionnaires qui n'ont le droit de l'être que s'ils travaillent dans l'entreprise ? Que voulez vous ? soyez clair si vous le pouvez !?
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Trump encore ? Mais quel rapport ? C'est obsessionnel ? Il y a beaucoup de vraies chercheur-ses qui cherchent des moyens (et un salaire) plus important, comme Emmanuelle Charpentier, un excellent exemple ! Et encore une fois, vous me citiez ce cher Einstein qui n'est pas aller en urss mais aux usa, le temple du libéralisme D'ailleurs à propos de Tesla, vous savez bien sûr de qui il était le concurrent, et l'intérêt de celui-ci pour l'argent ! Tout cela n'a rien à voir avec votre bête noire du moment. Vous avez un problème avec l'être humain tel qu'il est plutôt que tel que vous voudriez l'idéaliser. Je comprends, mais ca ne fait pas avancer le Schmilblick !
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Mais on ne donne pas du "Mon" à un subordonné. Lieutenant !
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vous avez du mal à lire ? Quand je dis "que 'certains' ne consentent" vous entendez TOUS ? C'est étrange comme mauvaise foi ! Mais si instrumental Qui plus est, Tesla ne désirait pas finir ruiné !!! Et Einstein aimait l'aisance, certes sans plus, mais il n'aurait étrangement pas aimé vivre en urss plutôt qu'aux usa ! Ah vos vieux oripeaux stalinien vous reprennent ! ahhhhahahah ! Et c'est quoi cette histoire de pseudo ?
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Les athées évitent de répondre à ces questions.
Easle a répondu à un(e) sujet de leporteurdelumière dans Religion et Culte
Alors, j'insiste là dessus car ça me semble très important ! Non, il n'y a pas de réel monothéisme avant les juifs. Ce qui le prépare le mieux c'est le zoroastrisme qui est un dualisme (tension entre le bien et le mal) reconnaissant des divinités mineures supplémentaires. Difficile alors de savoir quelle est la réalité ou non dans ce cadre des divinités d'autres peuples (existent-elles en tant que mineures ou sont-elles niées par le dualisme comme principe universel ?). Le zoroastrisme (-2700 / - 1000 ?) donne aussi le boudhisme (- 500), c'est à dire une vision dé-divinisée, d'un principe créateur sans réelle forme d'entité qu'on retrouve aussi chez les grecs sous une autre forme celle de la métaphysique (Aristote mais déjà en gestation chez Anaxagore avec le "Nous" ou intellect comme fondement du cosmos). Idem pour Akhenaton. C'est un autocratisme par le religieux et non un monothéisme. Le centre de la pensée est celle du soleil, proche donc d'une forme de résurgence animiste. C'est aussi un hénothéisme ou monolâtrie, qui ne se prononce pas sur les autres divinités (en particulier extérieures à l'égypte). Il n'y a pas d'universalisme. Le fondement du mono-théisme est politique ! Et c'est important. De fait, la réforme d'Akhenaton en a une certaine paternité effectivement. Mais c'est aussi un universalisme de conquête, violente, d'un territoire, avec un 'élection' à dominer sur la terre. -
Si, il y a bien un mouvement s'étant nommé comme ça, peut-être éphémère, mais réel. Judith Butler, papesse théoricienne du queer, plus ou moins grand mère du mouvement lgbtq a déclaré que le 7 octobre n'était pas du terrorisme mais de la "résistance armée". Et pas 'philosophiquement, théoriquement, dans un cadre intellectuel, non. Dans le cadre militant d'un meeting du NPA, qui est très islamophile, contre les principes traditionnelles de gauche partis en fumée. Et ceci, chez une soit disant non-violente ! Là encore, la rhétorique aidera à trouver le bon angle pour tordre la totale incohérence, pour expliquer que "ce n'est pas la même chose", mais bon ! Mais je comprends qu'il faille tourner autour du pot avec cette malaisante confusion des 'genres' (avec mauvais jeu de mot ). Toute cette haine de l'occident....... -
Et merci de ta réponse à ma question légèrement rhétorique Oui, effectivement c'est bien le cas. Mais à quoi est dû donc cette plus grande valeur esthétique ? Une idée, des idées ? Le souvenir maternel, la puissance créatrice de vie, la préférence de l'oeil pour les arrondis plutôt que les angles, etc. ?
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Alors point 1 : Au contraire !!! Le libéralisme intervient en faveur des affaires des plus riches, du moins dans le libéralisme économique simple, qui est anti libertarien. Il régule leur jeu, qui sinon serait dangereux car déséquilibrant. Il favorise une 'montée' des capitaux vers le haut ET un maintien de la paix sociale en achetant plus ou moins le bas. Ce sont les classes moyennes qui en font en réalité les vrais frais (au sens monétaire). Mais puisque ceux-ci sont dans le désir de mobilité ascendante ......... Point 2 : Tu décrètes que c'est raisonnable. Est-ce mieux ? Car tu n'as que la conviction utopique et une vision illusoire de la naturelle bonté des pauvres, des sans grades, des 'petits', de leur meilleure moralité ou valeur (en vertu d'une éducation morale chrétienne que tu réprouves probablement ou nie certainement mais qui est le fond de la culture occidentale qui t'a fait). Il n'y a aucun fait pour asseoir l'utopie. Bien au contraire, TOUS les exemples de tentatives de Fourier à Xi Jinping (avec la grande variabilité des modèles) ont montrer leur limites, très fortes et peu enviable.
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si le mot sacrifice te paraît trop fort, disons retenu, prise sur soi. Mais se réfréner est un acte de privation sur soi. Et ceci pose la vraie différence entre une humeur égale, qui vient d'un rapport de soi à soi, philosophique en quelque sorte, et du 'savoir-vivre' (si tu veux le nommer ainsi) qui se l'impose comme règle de contrainte, dans un rapport de soi aux autres.
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Les romans qui nous mettent une grande claque
Easle a répondu à un(e) sujet de Axo lotl dans Littérature
Salauds de pauvres, de riches, d'hommes, de femmes, etc. Ceci dit sans misanthropie mais par réalisme. Salauds et pas si méchants, dans le même temps. En fait on devrait plutôt dire faibles de corps comme d'esprit, simplement ! -
Les deux lieutenant. Certes. Mais l'intérêt est de la qualifier et de la quantifier.
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Mais n'existe-t-il pas une sexualisation des corps masculins par les femmes ? Des autrices à succès planétaire comme Jean M.Auel, E.L James, Anne Rice, n'hésitent pas vraiment ! Et ce ne sont que des exemples, elles sont nombreuses. Est-ce bien l'apanage d'un sexe que de sexualiser l'autre ? Les acteurs de Thor et de Kal Droggo ne sont-ils pas sexualisé fortement ? Un cinéma ultra féminisé dasn sa réalisation et sa production et le reste, sera-t-il moins sexualisant ? Mais sinon, pourquoi les femmes se sont-elles retrouvé dans la position subordonnée que tu décris (et dont on pourrait discuter la réalité historique mais passons) ? La violence perpétuelle des mâles qui n'étaient que violent à leur égard ? Comment un tel déséquilibre te paraît-il s'être construit ? (si tant est ............)
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N'est-il pas plus simple de partir d'une humanité résistante à l'idéal communiste / communaliste / socialiste ? qui est une aspiration assez souvent de jeunesse, et de position aisée, ou du moins sans véritables soucis. Qui peut certes séduire et amener des gens espérant vers des mouvements grandiloquents, qui tous finissent au même pavage de bonne intention qu'est l'enfer. En fait, c'est assez désagréable d'en passer par cette prise de conscience, même lorsqu'on s'y attend somme toute. Et ca ne veut pas dire non plus qu'il n'y a RIEN du tout à faire. Mais sur un temps très long et surtout des choses simples qui tiennent compte du réel, des conditions socio-historiques de possibilité (démographie, structures de production, conflits, religions, géopolitique, cycle de vie des individus, système de santé et d'alimentation, etc.). A vouloir trop en faire en même temps et vite, on braque, on agresse, on dicte, on contraint finalement et on organise le conflit, les impasses. La certitude d'avoir raison contre la bêtise est une bêtise plus grande encore. Et je le constate lorsque je suis un peu dur avec des croyants que j'aimerai voir comprendre ce sur quoi ils sont assis. Non, il n'y a pas eu de société sans exploitation d'autrui, jamais. La propriété a été collective pour certains bien mais pas pour d'autres. Et les parts de chef, de membres supérieurs ont toujours été meilleure. Il y a assez probablement eu des matriarcats, mais rares et pas premiers, plus seconds. Mais les hommes n'y étaient pas bien traités (on le voit chez les Moso) même si peut-etre un peu mieux que les femmes dans les patriarcats les plus durs. donc l'inégalité, aussi entre les sexes est une constante. Car en réalité c'est une inégalité entre des individus qui utilisent à leurs fins les structures sociales qu'ils confortent ou pas pour ce faire. Et l'inégalité entre hommes vis à vis des femmes ou entre femmes vis à vis des hommes est même la pire qui soit, la plus constructive de mécanisme de violence, d'exploitation, d'appropriation. Une inégalité première. Apsirer à du déraisonnable n'est pas constructif. Mais la jeunesse est faite, malheureusement de beaucoup de certitudes et de passion.
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"The Prophet and the Proletariat" (1994) de Chris Harman membre influent du Socialist Workers Party (SWP) au Royaume-Uni. Il y théorise une alliance stratégique entre la gauche marxiste et les islamistes. Harman y soutient que l'islamisme est un produit des crises sociales engendrées par le capitalisme et qu'une coopération tactique avec les islamistes pourrait être utile pour lutter contre des ennemis communs tels que le capitalisme ou l'impérialisme. Un convergence des luttes opportunistes. Il a été traduit en français par le Socialisme par en bas (SPEB) qui s'était déjà anvancé sur la question et il a été beaucoup lu à gauche surtout lfiste et trotskiste. Maintenant que ce soit un mariage monstrueux, oui, c'est évident ! Mais l'opportunisme n'a pas de limites, des uns comme des autres. Avec toutefois une stratégie d'entrisme des frères musulmans, théorisée de puis fort longtemps et mise en pratique de longue durée. Reprise d'ailleurs à son compte par l'EI. Le déni y aide beaucoup, ainsi que l'impasse de la conjonction islam / quartier populaire-ouvrier qui rend confus les idéologues de gauche, bien plus que la base au contatc des impasses réelles du vivre ensemble. Mais tu sais il y a bien des "lesbiennes pour Gaza" (où elles risqueraient la peine de mort). Donc la cohérence chez beaucoup de progressistes est très éthérée. -
Les romans qui nous mettent une grande claque
Easle a répondu à un(e) sujet de Axo lotl dans Littérature
Ce n'est pas ontologique, les humains naissent libre et égaux (en droit seulement !). Ils sont inégaux, fondamentalement (grand, petit, beau, laid etc.) mais moralement, ils sont ce que la nature puis la vie sociale leur offre...... ou pas. Ils sont la même page blanche à l'origine, et leur motivation fondamentale, leurs besoins, etc. restent toujours présent, même lorsqu'ils veulent le cacher. C'est bien ce qui interdisait au communisme de produire autre chose que ce qu'on en a vu factuellement en pratique. Mentalement, les humains ne sont ni petits ni grands, ils sont égoïsmes, puis, "si besoin", collaboratifs. D'anciens pauvres, nouveaux riches, sont encore plus méprisant, ou plus hypocrites si cela leur est utile. Et c'est très visible !!! -
Mais en quoi l'hypocrisie ne pourrait-elle pas se faire par égard envers autrui ? Elle est certes souvent teinté de calcul mais ce n'est pas son origine, ni toujours le sens entendu. Après, si vous voulez réduire une humeur égale à un sacrifice, c'est un point de vue. (très chrétien je trouve, dans sa récupération du stoïcisme d'ailleurs).
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En fait Darwin, une dizaine d'année après L'origine des espèces a publié La Filiation de l'homme et la sélection liée au sexe (The Descent of Man, and Selection in Relation to Sex), publié en 1871. Il y applique sa théorie de l'évolution à l'espèce humaine et développe la notion de sélection sexuelle comme un facteur clé de l'évolution. Il y aborde également des sujets tels que les différences entre les sexes, le dimorphisme sexuel, les races humaines, et les implications sociales et culturelles de l'évolution.
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En fait oui, et non. C'est une attitude, stoïcienne, dépassionnée, d'élévation au-dessus de leur futile déraison passagère, éphémère. C'est avant tout un respect de soi diraient certain-e-s. Mais ce n'est pas équivalent à l'hypocrisie.
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Aucun rapport, la démocratisation d'un phénomène n'a rien à voir avec le régime politique. Cela veut dire qui se répand dans une société (un bien, un usage, des pratiques - sportives et élitistes au départ par exemple -). On peut parler de la démocratisation de l'informatique, réservé à des ingénieurs jusqu'à l'arrivé de la micro informatique domestique.
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Les jeux prennent une part de plus en plus importante dans la vie humaine dont le travail devient de moins en mois le centre. Disons que c'est surtout une démocratisation de ce qui a toujours été la logique préférence pour le loisir à toute époque. Mais le loisir était souvent physique (la chasse, la lutte, le sport, le sexe, les bains, les jeux par terre puis sur table, des dés et des osselets aux colons de catane). Avec l'informatique, la numérisation du loisible, le corps s'immobilise au profit du seul cerveau (bon, oui, un peu les bras, les mains, les pouces, voire les jambes, mollement, dans la VR). Le rapport à la vie pourrait en changer. D'une part, le grand réalisme des jeux, plus encore avec la VR peuvent rendre plus troublant le rapport à un réel décevant en regard de la satisfaction factice, fabriquée à des fins marketing, qui valorise la joueuse, le joueur, et lui font potentiellement préférer les mondes virtuels. Le monde réel devient ainsi plus dur, plus conflictuel, plus hostile, presque moins 'naturel', dans le sens d'une aisance désirée de la nature. D'autres part, il est toujours possible d'interrompre le jeu, de recommencer une partie, d'essayer d'autres choix, etc. A la différence de la linéarité assez forte de la vie réelle. La frustration devient alors importante avec ce monde réel où les conséquences sont définitives le plus souvent. Où le temps passe, réellement, inéluctablement. Le temps social, collectif, des actions, mais également le temps personnel, le vieillissement du corps, le développement des maladies. Et la mort enfin, qui ne permet pas de rejouer la partie. Il devient plus loisible alors de faire comme si l'âge n'existait plus, de "ghoster" des gens comme on arrête une partie, d'entrer dans le déni du réel et de ses effets, de ses conséquences, de l'inventer à sa sauce, ou de le déformer. Le social est toujours le fruit d'un imaginaire sur le monde, d'une fabrication du sens du réel, et du réel lui-même, de sa dé-naturation. Le jeu, devenu virtuel, devient-il le lieu de l'utopie, du topos idéalisé, débarrassé de la complexité du réel, et de ses contraintes fortes ? Ce qui se prolonge par ?
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On parle de sexualisation dans les représentations des divers médias, surtout visuelles, graphiques. Mais le corps n'est pas sexualisé qu'en image, il l'est aussi dans les romans, les dialogues. Qu'est-ce que la sexualisation du corps pour vous ? Pourquoi le corps féminin serait-il plus sexualisé que le corps masculin ? Ou le sont-ils différemment et pour quelles raisons ? De fait qu'est-ce qui ferait qu'une sexualisation soit meilleure ou pire qu'une autre ? Ya-t-il un refroidissement des représentations du corps et de la sexualité, ou de la sexualisation ? Et si oui, est-ce l'empreinte d'un religieux, d'une morale, d'une régression ?
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Nous en sommes d'accord, je rectifiais juste un petit détail. Or le Diable s'y cache
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Alors en soi, ne nous nous fachons pas, car le fait que la plaisir de la reproduction soit le moteur (ou plutôt l'injecteur ?) de celle-ci est vrai, y compris pour Darwin. Après sur d'autres points, ce serait long à discuter, mais celui-ci au moins n'est pas vraiment un sujet.
