Easle
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A votre différence au moins m'en reste-t-il un peu.
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Je ne suis pas un raciste car je n'ai pas de problèmes avec les immigrés, à ta différence, car ce que tu ne supportes pas c'est la démonstration de ton soutiens à des alliés des nazis dans leur vision antisémite à laquelle tu te rallies donc. Ce qui est un racisme.....
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Et les moyens, quand on le veut, sont infinis...... On connaît l'antienne !
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Ah mais je n'ai pas dis ça, c'est toi qui extrapole par difficulté à justifier ton deux poids deux mesures. Cela n'a rien à voir avec le racisme, qui encore une fois est ta seule défense insultante face à ta difficulté à avoir une cohérence. Les immigrés juifs n'étaient pas liés à une puissance colonisatrice. Il achetaient des terres. Si tu veux les considérer a posteriori comme des colons. Sacré antisémite !
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Non, qui produit non pas du service mais de l'agitation, justement, aucun service (un service répond à un besoin). Sauf si tu déforme le langage (c'est usuel de nos jours) pour faire en sorte que TOUT est un besoin et TOUT est donc un service lorsque tu as besoin de qualifier une activité. A ce compte par exemple ceuillir des fruits est un service rendu à qui va vendre les fruits...... Mais là, on ne parle plus que pour ne rien dire, ou plus exactement se parler à soi seul. Nous sommes dans une société qui a fait basculer la main d'oeuvre agricole vers l'industrie, puis l'industrie vers les services (réels), puis vers ??? Le chômage et la bidouille, à base d'arnaques, d'agitation, de suprise de l'attention, de captation parasitaire, souvent de niche. Et cette expansion de cette économie parisitaire défait l'humain.
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Une importante supériorité rend-elle méprisant?
Easle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
Sirielle, tu es trop intelligente pour avoir cru que je te demandais des définitions simples. Nous restions dans l'acception de ces mots dans le sens du mépris....... Mais je restais dans le cadre de ton fil : la supériorité. Donc un rôle à jouer pour fabriquer des effets de positionnement. Qiui plus est tu ne sembles que partir de la volonté de celui ou celle qui éprouve et affiche, alors que même un mépris non affiché peut être ressenti. tout dépend des compétences socio psychologiques de chacun des joueurs. -
D'une part, la proportion de chaîne avec un vrai travail, des équipes, un contenu utile est faible en réalité sur le nombre. Et finit par être redondant et saturé. Et la grande majorité te vendent, encore et toujours, plus de produits, de croissance économique, de consummérisme, avec des contenus plus que faibles, de l'excuse qui confine à l'arnaque. Sans parler des véritables arnaques, plus nombreuses encore. Mais le "si ca permet à des jeunes de se créer un petit pécule" est des plus intéressant. C'est une dystopie glauque. On se croirait dans une décharge de taille mondiale ou chacun va grapiller des restes. Peu importe la valeur sociale du travail du moment que ca donne du fric à des jeunes qui ne veulent plus que de l'argent facile. A ce titre, mieux vaudrait qu'ils en obtiennent sans participer à ce tourbillon de médiocrité, de rabaissement de l'être humain. C'est une énergie humaine gaspillée pour l'espèce et pour les individus, un glissement vers de plus en plus de vacuité.
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Ce que tu appelles "colonisation" est de l'immigration (d'ailleurs tu le reconnais toi-même ensuite), comme celles d'africains à l'heure actuelle en France. Sont-ils des colonisateurs ? Ils sont venus s'installer, comme plusieurs millions de migrants en France depuis 50 ans. Tu peux voir une migration comme une colonisation mais alors sans deux poids deux mesures, de façon rationnelle, équivalente. C'est donc une lecture idéologique de l'histoire que de réviser celle-ci en fabriquant des juifs colonisateurs agressifs, a posteriori, construite sur un héritage de la relation de l'extrême gauche violente dans les camps terroristes lybiens durant les années 60 / 80, avec les terroristes palestiniens, qui a infusée dans la néo-gauche radicale contemporaine, comme je l'ai plusieurs fois expliqué dans d'autres fils. Il y des textes, en particuliers du FPLP (front de libération de la palestine), très marxiste qui le montre bien. Les arabes sont les agresseurs, c'est un fait historique. Ils ont déclenché les guerres. Et d'ailleurs non seulement les palestiniens mais avec eux, derrière eux des pays qui n'avait comme intérêt que l'extermination d'Israel et des juifs. Et qui ont expulsé leurs communautés juives, saisis leurs biens le plus souvent, etc. après leur défaite ! Et au passage oublié le plus souvent les palestiniens pour renouer des partenariats économiques y compris avec Israel. Il faut critiquer la politique actuelle d'Israel de sur réaction au terrorisme. Mais pas au prix de la vérité historique.
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Il faut remettre les choses dans l'ordre et la réalité de l'Histoire et du droit. Le territoire en question n'était ni arabe, ni juif, il était sous mandat britanique après avoir été ottoman (ce qui ne veut pas dire arabe non plus). Les arabes et les juifs se disputaient en quelque sorte ce territoire, sur lesquels il y avait des membres des deux populations. Les arabes, qui avaient déjà commis des massacres de juifs, comme l'un des plus importants à Hebron en 1929. Ce pourquoi il avait soutenu hitler et le nazisme, y compris après guerre et jusqu'à maintenant chez beaucoup. La résolution de l'ONU n'avait pas valeur de Loi mais était une recommandation humanitaire donc aucune illégalité dans le rejet arabe mais une opposition antisémite et génocidaire affichée. La guerre a procédé de ça, avec un déséquilibre conférant au comnbat de David contre Goliath. Mais Goliath a encore perdu. Et, dans le cadre d'une guerre où les juifs étaient les attaqués, les défenseurs, ils ont gagné du territoire, comme l'aurait fait (mais intégralement) les arabes s'ils avaient gagnés. Rien de plus, pas de colonisation. Le colonialisme israelien (politique d'état) a commencé après la guerre des six jours, bien plus tard, lors d'une deuxième attaque (donc illégale au regard du droit international) des arabes ! qui ont encore perdu.
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Non, le fascisme n'a rien à voir avec ça. Et le Hamas est en revanche plus proche des thèses nazies https://www.lemonde.fr/enquetes/article/2016/01/08/croissant-fertile-et-croix-gammee_4843862_1653553.html Et oui, beaucoup de juifs dénoncent les colonisations sans s'en prendre même au sionisme. Il faut se garder d'ajouter au malheur du monde en mal nommant un objet ! Et les musulmans en France sont statistiquement fortement antisémite https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/04/24/gunther-jikeli-l-antisemitisme-parmi-les-musulmans-se-manifeste-au-dela-des-islamistes-radicaux_5289764_3232.html
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Et j'ajoute qu'il est meme possible de condamner, comme le font des juifs, la politique colonisatrice des fondamentalistes, sans critiquer le sionisme.
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"La meute" un livre sur Jean-Luc Mélenchon
Easle a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Politique
J'aimerai n'avoir ni cette gauche ci ni la droite radicale au pouvoir. Et encore moins le marconisme ultra libéral qui est bien pire en réalité (et c'est l'erreur des deux radicalités, et surtout de la gauche qui a voté pour lui) que la droite radicale. Je pense qu'il faut une sortie sèche de l'Europe actuelle ; une fermeté sur les migrations, moins qu'en Italie mais plus qu'en Espagne mais surtout ciblée sur plus de plus de diversification migratoire pour éviter les communautarismes et essentiellement voire uniquement étudiante, avec des aides à la création d'entreprise si retour au pays d'origine et aide à l'émigration française sur le même mode ; une réforme de la production et de l'emploi, une moindre correllation éducation/emploi, beaucoup moins d'emplois publics sauf éducation supérieure mais un revenu d'existence élevé avec la fin de toutes autres aides d'état, y compris aux entreprises, mais une imposition ajustée aux secteurs économiques, et des hauts salaires plafonnés ; des institutions plus démocratique avec des votations référendaires obligatoires, un protectionisme ciblé et mobile, un équipement solaire intégral des bâtiments publics, des prix plafonnés pour les logements en location, des prix plafonnés pour des véhicules électriques détaxés intégralement compensés par des taxes sur tout autre véhicule. et bien d'autres choses qui impliqueraient un dépassement des clivages traditionnelles pour passer à un société plus cohérente avec son époque. -
"La meute" un livre sur Jean-Luc Mélenchon
Easle a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Politique
D'accord, donc tu veux accueillir toute la population commorienne qui désirera s'installer en France ? Et tu n'as pas perçu la volonté commorienne d'utiliser cette migration pour réclamer ce territoire ? (au nom de quelle légitimité plus forte que les maorais qui ne veulent pas être commoriens ?). Mais donc le choix est simple et radical : Soit on laisse faire, on légalise, ce qui revient à supprimer les frontières mais uniquement française. Soit on interdit tout et c'est impossible. Effectivement il n'y a donc qu'une seule et unique solution. -
Après des gens de droite vont-ils dire que le nombre de lits dans les hopitaux n'ont pas été réduits ? Le factuel est résistant non ?
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"La meute" un livre sur Jean-Luc Mélenchon
Easle a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Politique
Tu es mieux placé que moi pour ce qui concerne Ta traversée du désert certainement. Mais pour le reste, bon, je n'en dirais pas plus. Attends, ce n'est pas une exception puisqu'on a comme tu le dis une gauche appuyé par la gauche radicale en Espagne, mais des résultats aussi stables en emploi et en économie. L'Espagne a pris un avantage sur la transition énergétique (bon avec tout de même la méga coupure comme résultat de trop d'empressement peut-être) mais l'Italie fait mieux car plus localement en agriculture. Les gilets jaunes étaient de tout horizons politiques, pas spécifiquement de gauche. L'objectif ne peut pas être que "l'extrême droite ne prenne pas le pouvoir". C'est bien ce que je veux dire. Un parti doit mobiliser pour lui pas contre les autres. -
"La meute" un livre sur Jean-Luc Mélenchon
Easle a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Politique
Je ne pense pas que défendre Mélanchon soit une bonne chose, mais en faire un bouc émissaire est tout aussi illusoire sur la réalité que tu décris très bien, une radicalisation, qu'il a porté et qu'il représente, moins parfois que des Corbières, des Bompards, des Panots ou des Tondeliers : une rage plus ou moins contenue. Qui sont dans une appropriation immitative de JLM d'ailleurs sur des années d'écoutes. Et c'est bien le problème que cette radicalité et ce dans un rapport extrême à la radicalité de droite. JLM sur ce terrain a diffusé un modèle qui est devenu une norme : le maintien d'une impasse démocratique avec le RN. Plus d'un tiers de la population est renvoyé à l'illégitimité voire à l'illégalité possible en cas de pouvoir d'une gauche radicale, et possiblement vice versa. Quel démocrate aurait envie de vivre dans ce type de tension extrême ? Menaçante pour tant de gens, et donc vecteur nécessaire de troubles graves. Qui plus est Mélanchon a fédéré pour tenir les rênes de ce qu'il sait être dangereux, instable, et avec lequel il a d'ailleurs trop joué lui-même. Toi même tu t'en es rendu compte. Mais cela le dépasse, l'a dépassé maintenant très largement. Ne te manque-t-il rien à toi ? Concernant l'histoire des radicalités de gauche des années 60 / 80 ? De l'effondrement des stabilisations entre 95 et 2002. Et de la place que sont venus prendre des gens aux conceptions bien moins démocratiques que le PC ? Venus de plusieurs horizons, dangereux distinctement et plus encore dans le cocktail composé. -
"La meute" un livre sur Jean-Luc Mélenchon
Easle a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Politique
Si je t'ai donné la date de 2007, c'est parce que je sais très bien ce qui s'est passé en 2005 / 2008, la dé-démocratisation due à l'Europe, et à l'ultra libéralisme européen. Mais tu ne peux pas résumer l'indignation, ni à la gauche, ni encore moins à des partis ou mouvements. Les gens qui ont participé à la c6r au début des années 2000 n'y ont pas vu JLM. Et il était loin, très loin d'avoir son actuel statut ou d'être réellement 'visible' à l'époque. même entre 2005 et 2007. Mais bon la récupération de ce qui utile n'est pas un mal. Et tout ce que je dis sur l'évolution de Mélanchon et sur la constitution de LFI procède d'une longue observation, pas que de LFI d'ailleurs car beaucoup d'objets politiques gravitent autour des partis. Et la société a aussi évoluée. Ses attentes ne sont plus tout à fait les mêmes. L'électrisation des passions impliquent une usure, une fatigue des animosités. Et une perception de ce nouveau danger d'une polarité beaucoup trop distante, radicale. Il y a une aversion dans les démocraties pour les radicalités au pouvoir, car elles ne donnent jamais de bon résultats, et au passage, sont toujours liberticides de leurs opposants mythifiés. Et dans ce changement, il y a aussi des questionnements, des propositions de constructions qui manquent fortement, qui sont incroyablement lacunaires ou laissées aux radicalités les plus idéologiques et les moins cadrés politiquement rationnellement. Ce n'est pas une mauvaise idée par exemple que de déconstruire le patriarcat, mais comment (à part par des moqueries, des dénonciations aléatoires et arbitraire, des grands slogans à généralisation abusive et d'une violence extrême) ? Pour constuire quel équilibre sur combien de temps et avec quel cadre, quels repères pacifiant et positif pour toutes et tous ? Et ce n'est qu'un exemple. Un espoir ne peut être que commun, pas des uns contre les autres. Et doit tenir compte des dynamiques en cours de jeu. -
"La meute" un livre sur Jean-Luc Mélenchon
Easle a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Politique
La suppression de l'AME serait une très mauvaise chose et le RN est dans l'erreur sur ce point, mais pourquoi ne serait-il pas possible de le dire ainsi plutôt qu'en y voyant du racisme et de la xénophobie ? Tout en sachant qu'il y a au RN, probablement encore des racistes et des xénophobes, variés d'ailleurs, mais plus du tout majoritaires. D'ailleurs en quoi les LR seraient au fond si réellement différents ? parce qu'ils le disent pour conserver des postes et des places ? Je ne suis pas sûr que l'homosexualité soit encore un problème pour le RN, en tant que parti, plusieurs y ont fait leur coming out je crois, non ? Et sur l'immigration, ils en font trop, souvent, mais la gauche n'en fait elle alors pas trop dans l'autre sens, trop d'ailleurs dans le sens de ne pas avoir de discours clair. Comment ne pas supprimer les visas, le principe même de frontière en dépénalisant l'irrégularité de séjour, ajouté à la régularisation de tout travailleur sans papier ? Est-ce tenable pourquoi n'est-il pas possible de poser ce type de question sans être raciste, etc. ? (questions que se pose des migrants d'ailleurs). -
"La meute" un livre sur Jean-Luc Mélenchon
Easle a répondu à un(e) sujet de MadeleinedeProut dans Politique
Alors, ce n'est pas parce que tu subis des critiques, comme beaucoup de monde d'horizons très divers que tu dois partir du principe que les gens sont illégitimes à porter ces critiques. Et je lai déjà dit s'en prendre à Mélanchon, ce n'est pas anormal, mais c'est aussi ne pas cibler correctement par une façon trop banale de prendre un seul et unique bouc émissaire. Il a profiter, mais aussi tenté quelquechose depuis 2007 et surtout 2016, mais il y a un passsé lourd d'une certain gauche, trop radicale et trop liée par des réseaux anciens et qui se sont renouvellés, à d'autres radicalités (islam, mouvements indépendantistes, etc.) qui ont des stratégies de longues, voire très longues durées. La plupart des politiques avec une idéologie forte ne pensent plus assez, ne font que peu de retour critique car ils sont pris, le nez dans le guidon, et astreint aussi par leurs affidés, au jeu de la continuité, voire de l'enlisement. Cela leur permet souvent un logos facile : une pensée claire et un discours fluide, voire enthousiasmant (mais qu'il ne faut pas analyser de trop près, qu'il faut prendre avec le vent frais du moment sans trop se poser de questions). Un logos trop facile. Tu ne peux pas demander aux gens de suivre le fil rouge théorique sans regarder autour "pour les besoins de la cause". Ca a malheureusement donné tous les exemples connus du 20e s. les maos, les Khmers, beaucoup de décolonisations malencontreuses (avec les plus dramatiques, Mozambique, Angola, Ethiopie, etc. pour lesquelles il est trop facile de focaliser encore et toujours sur des acteurs uniquement occidentaux), Castro, etc. Il y a de plus une inflation des radicalités, des désirs de raser gratis (à droite aussi par des politiques idiotes de suppression des services publics bien plus que par une réelle rationalisation), voire de raser le passé (la vieille antienne communiste), qui ne peut pas être crédible, sauf pour des jeunes et quelques vieux militants qui pensent en terme de guerre sociale. La plupart des gens ne veulent pas seulement de l'argent en plus, ils veulent d'abord le calme, la paix, un fond musical reposant. Lorsqu'ils sont en burn out, ils préfèrent s'arrêter que d'aller au bout pour gagner plus. Même si oui, ils ont aussi envie de gagner plus, de consommer, sans se soucier finalement de leur impact, pour l'immense majorité (ils trouveront une justification, on le fait tous, et plus facilement s'ils viennent d'une immigration récente car leurs aspirations sont encore plus fortes, urgentes, et peu soucieuse de contraintes dés qu'ils ont franchis celles des papiers). La droite, le capitalisme ultra libéral est dépassé, c'est ce que Trump signifie : un libéralisme qui devient protectionisme car le monde n'est pas assez grand, plus assez. Mais la gauche ne l'est pas moins. D'ailleurs le débordement du social par le communautaire sociétal, qui inquiétait déjà le pc il y a 30 ans qui y voyait la fin du socialisme, sa dilution, en est exemplaire. et c'est ce qui ouvre la porte à un fatras, une multitudes de revendications sans cohérence, opportunistes souvent, de discours sans unités autour d'un fil rouge social qui devient réduit en réalité. Et ca ne peut pas rassembler réellement, même avec une instrumentalisation de la peur justifiée ou non de la droite radicale. En partie à cause de cette instrumentalisation. Les gens au fond aspirent plus à voter quelque chose pour que contre quelque chose. LFI veut être le coeur et le chef, disciplinaire, du nfp (par exemple). D'une cela ne peut que créer des tensions et malaises entre ce qui se voudrait être un groupe de pairs. D'autre part la nation, les frontières, les cultures, ne peuvent pas être écartés comme réduits au fascisme et au racisme à tout bout de champ. L'écologie ne peut pas se faire sans une adhésion plus que majoritaire, sans une modification de la consommation et de la production, très très loin donc d'un relèvement du smic, qui est tout sauf écologique au final. Les situations sociales ne peuvent plus être gérée par des ajouts de droits spécifiques empilés couteux et trop vaguement opérant. sans refonte radicale. Et je pense que la population attend une décroissance des oppositions radicales. Je ne dis pas que ce sera simple. Ce n'est peut-être plus possible. Mais en l'absence de cela l'horizon apparait à la plupart comme celui de la promesse de pouvoirs qui n'auront pour urgence que de massacrer l'autre camp, de purger, de laisser libre cours à la colère et à la haine, dans un cas comme dans l'autre (dirais-tu le contraire ?). Sans évacuer totalement ce danger, il ne peut y avoir de politique positive. Et c'est bien ce pourquoi droite et gauche sont dépassées, trop antagonistes, poussées au bout de leurs capacités symboliques et thématiques. Faisons simple : que ferait précisément LFI au pouvoir concernant Mayotte ? Très, très concrètement. -
Une importante supériorité rend-elle méprisant?
Easle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
Pour la seconde formulation, comment distingues-tu le mépris, de la fatigue, de la compassion ou de l'ignorance (au sens d'ignorer quelqu'un) ? Vois-tu des conditions qui vont faire préférer l'une à l'autre, et le ressenti en sera-t-il pour autant modifié ? D'autres part, les intérêts, personnels, sociaux, les enjeux, jouent un rôle important dans le fait de manifester ou non du mépris. La place au sein d'un groupe de pairs, la valeur d'un certitude idéologique, la compétition dans l'attirance de l'attention (surtout du sexe désiré), etc. Le mépris peut donc être un résultat involontaire, ou un jeu social, un rôle au sens goffmanien, une mise en scène du dédain pour une personne ou, plus souvent je pense, pour une idée, bien ou mal comprise, de bonne ou de mauvaise foi. -
Claude Malhuret : Message à mes amis américains.
Easle a répondu à un(e) sujet de mary.shostakov dans Politique
Je les ai vu, et elles sont du même acabit que celles que tu n'aimes pas. Elles leur sont symétriques. Mais j'ai bien compris que cela t'est inintelligible. Donc tout cela est sans intérêt ! Tu combats des moulins ! Mais vas-y Don quiqui ! Galope ! -
Claude Malhuret : Message à mes amis américains.
Easle a répondu à un(e) sujet de mary.shostakov dans Politique
Dresseur ? C'est ca ta vision du monde ? Et tu veux te faire croire progressiste ahahahahahah -
La course aux fric à faire, en plus d'un job ou de deux, ou d'autres petites magouilles, pyramides de ponzi, conseil, formation, coaching, etc. n'en finit plus. De nombreux jeunes et toujours plus nombreux espèrent ainsi vivoter puis tirer la carte chance de leur (Karma ?) pour entrer dans la lumière et surtout dans le flouze, le pèse, l'artiche, le pognon, le fric, le cash, l'oseille, le gribi.... Une humanité qui va vivre de plus en plus de cette falsification du travail, en se prenant pour des journalistes, des critiques, des arbitres, des lanceurs d'alerte, des soignants, des gens entre engagement et pipotage, mais surtout avec un minimum de travail réel, et beaucoup de com sur un débordement d'activité... Une forme de démocrétisation du travail politique, entre serrage de main, lecture à l'emporte pièce, grosse bouffe et caressage du bétail au salon de l'agriculture, blablatage sans fin à vide pour commenter les commentaires de l'actualité, pipotage et langage violent, décomplexé à mesure de la confrontation réelle à l'autre, pathos et empathie mièlleuse, etc. On ne compte plus les 'cercles', les commu, les asso, les clubs, les livres, libelles, fascicules, dont chacun en préside deux ou trois, tout en étant membre de 10 autres. Une agitation qui produit quoi ?
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Claude Malhuret : Message à mes amis américains.
Easle a répondu à un(e) sujet de mary.shostakov dans Politique
intéressant, Vraiment ! Ce qui voudrait dire que regarder une chaîne d'information en continue serait un vaccin contre l'ignorance... Hum... bien sûr, bien sûr ! Allez, continuez votre propagande.
