MadeleinedeProut

Waterloo de Abba n'est pas franchement dans la complainte en collectivité mais en revanche donne plutôt envie de danser. Et c'est bien.

A la mise en scène? une complainte au milieu d'une collectivité....

Et j'ajouterai ceci = "Celui qui ne sait rien est plus proche de la vérité que celui qui prétend tout savoir".

Donc de la manière dont l'artiste interprète sa chanson vous devinez si le texte a un sens social? Je prends l'exemple du Portugal, chanson interprétée en portugais, vous avez saisi le sens, le message véhiculé à travers l'interprétation?

Mais enfin, raisonnons?! Quel message social un public peut-il capter d'un interprète qui chante un texte dans une langue qui n'est comprise que par un nombre limités d'auditeurs? Slimane aurait interprété un texte "social", par quel pourcentage de gens, de pays le texte aurait été compris?

Du calme. D'abord cela n'avait rien d'un "reproche". Et je ne vois pas là de quoi se mettre dans tous ses états. Et pour en finir, je n'en fais pas une thèse....moi! je m'exprime comme tout un chacun ici, en accord avec celui-ci, un peu moins avec celle-la, interrogative avec celui-ci ou celle-la.

Je vois bien la différence et de toute façon c'est à chaque fois une victoire discutable de l'élu-e. Ce que je constate et entend -je ne vous vise pas- c'est aussi une forme de parti pris, en négatif ou en positif, pour la représentante d'Israël en fonction de la situation actuelle. Je ne comprends rien à votre réaction.

Diffamation? vous pouvez développer? Parce que l'eurovision de la chanson doit porter des "messages sociaux"?

Ca ne change rien avec le fait de toucher du pain avec des mains crados. C'est un peu comme les gants hygiéniques qu'utilisent certains commerçants de bouche et qui font "tout" avec eux.

De moins en moins de contacts, de plus en plus de déshumanisation. Voilà ce que je pense de ces systèmes, aussi infimes soit-il.

On va peut-être éviter de l'encenser sous prétexte qu'elle est ....israélienne.

Sur l'écran de télé s'affichait "Moroccan oil". Qui était le sponsor de l'Eurovision. Moroccan oil est une entreprise ISRAELIENNE!

Parler du signal souffrance c'est déjà être conditionné à l'idée d'une souffrance. Selon moi ce signal de souffrance c'est celui d'une douleur physique annoncée qui ne connaît pas de répit. Pas celui d'une journée à venir, même si elle n'est pas prévue être des plus agréables. Souffrance est un mot fort, faut-il savoir ce que l'on met derrière ce mot-là. Toujours en maîtrise de tout ....

L'anglais n'était pas mal non plus, juste un peu malsain et le groupe qui représentait je ne sais plus quel pays, le zizi à l'air. "Vous avez dit lamentable, comme c'était lamentable". Slimane était digne, la voix était là, la mélodie ne cassait pas franchement les briques mais était accrocheuse.

Alors que le positif serait de se préparer à l'idée de passer une journée agréable en s'arrêtant chaque instant aussi infime soit-il de toute petite satisfaction. Mettre le pied hors du lit et se dire "ah faut que je me blinde pour une journée qui risque bien de ne pas être sympa". Sans connaître à l'avance son déroulement.....

Je viens de regarder le défilé des représentants de chaque pays, c'est d'une vulgarité!!

On sait qu'il a été pétainiste, qu'il serait ensuite rentré dans la Résistance... Avait-il la trouille des retombées dues aux conséquences de son action passée? Que bien que résistant il a gardé son amitié après la guerre pour quelques collabos dont il a continué de s'entourer. René Bousquet son grand ami faisait partie de ceux-là. Mais il a aussi gardé des liens avec d'ex responsables de la Cagoule. La Cagoule était rappelons-le une organisation qui avait été démantelée avant la guerre de 39-45 car jugée criminelle et fascisante .

Ca me dit quelque chose mais est-ce que le oyé n'est pas triplé ? lala lalala padam-dam oyé oyé oyéééé, par hasard?

Tu peux le fredonner? ça nous aiderait...

Vous n'ignorez pas que Poutine n'en a rien à cirer?

euh....j'aime l"homme" masculin mais j'exclus l'aspect rustre qui n'apporte vraiment rien.

Etonnée et déçue du plateau pour évoquer Bernard Pivot. Christine Angot n'était pas à sa place et je ne dis pas cela parce que je n'aime ni la personne ni l'auteur mais tout simplement parce qu'il y avait bien d'autres écrivains de qualité à inviter. Le groupe était restreint, A. Trapenard aurait pu l'élargir, le sujet en valait largement la peine. J'ai été déçue de cette évocation de la mémoire de Bernard Pivot. L'homme valait largement mieux.

Le spectacle enivrant, prodigieux, somptueux, d'un coucher de soleil comme j'ai le bonheur d'en être régulièrement l'heureuse bénéficiaire visuelle, habitant à quelques centaines de mètres d'altitude et une petite montagne au loin. Un moment de magie sidérant.

Pour l'hymne on a échappé à une musique de rap et c'est déjà ça!

C'est discutable et uniquement une question de goût. J'aime la peinture, je n'apprécie pas particulièrement un personnage peint que l'on peut comparer à une photographie. On peut donner vie, émotion à une peinture sans qu'elle puisse se rapprocher de par son style, à une photographie.