MadeleinedeProut

Faire du prosélytisme va tout de même devenir de plus en plus délicat.

Ce que dit le journaliste c'est que l'homme agresseur était accompagné d'une femme voilée qui semblait choquée de la jupe de la jeune fille qui était avec son papa sur le quai. Pendant que l'homme tabassait le père, la femme tabassait la fille. QUI ose dire que l'islam radical n'existe pas en France? Inch Allah !!

Quel type d'insomnie? Impossibilité à s'endormir ou réveil vers 1 h du matin sans pouvoir se rendormir?

Le genre d'acte terroriste à portée de main....

On se demande laquelle..... Elle avait quand même osé "mettre les pieds dans le plat". Ni putes ni soumises mouvement créé à juste titre. Opportuniste quelque peu bien évidemment mais n'est-ce pas le propre de tout politique?? plus ou moins...

Je ne sais plus. Vous vous souvenez de Fadela Amara sous Sarkozy? qui n'avait pas sa langue dans sa poche quand elle se rendait dans une banlieue? il ne fallait pas que les petits jeunes fouteurs de m..de lui racontent des sornettes.

Elle n'a pas été considérée comme il se devait qu'elle le soit au sein du gouvernement Sarkozy auquel elle appartenait. Du moins par quelques ministres, notamment Brice Hortefeux si j'en juge par ce qu'elle en disait dans son livre cité + haut..

Vous vous souvenez de cette femme ministre dans le gouvernement Fillon? J'avais lu son livre "Ma République se meurt" paru en 2013. Je l'ai quelque part dans ma bibliothèque. Il faudrait que je le relise. Combien cette femme est, était dans le vrai dans ce qu'elle dénonçait. L'alarme qu'elle lançait avait sa raison d'être. PERSONNE ne l'a écoutée et pourtant elle, femme d'origine arabe, fille d'une famille modeste sait de quoi elle parle. Une femme brillante qui n'appartenait pas au cercle privilégié des ministres du gouvernement dont elle faisait partie et qui la tenait à l'écart. "Il convient de débattre mais surtout d'agir pour lutter contre les dérives dangereuse de l'islamisme. N'ayant pas la mémoire courte, Madrid, Londres ou encore Paris ont connu des attentats sanglants au nom de Dieu. La France semble parfois être une démocratie immature, incapable d'aborder des sujets sans tomber dans une hystérie collective. Si on décide même simplement, de les approcher (immigration, laïcité...), l'on est accusé du pire par la gauche. Pourtant c'est elle qui est responsable du communautarisme et du différentialisme né d'un sentiment de culpabilité postcoloniale. La France est une République laïque. Dès l’article 1er de la constitution du 4 octobre 1958 il est affirmé que : " La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale." La France est un état de droit où les libertés sont consacrées et protégées : liberté de pensée, liberté de conscience, liberté cultuelle... Elle ne peut accepter de faire des compromis avec ce qui la définit, quitte à expulser les imams étrangers qui tiennent des propos extrémistes et attentatoires à la dignité et l'intégrité du corps des femmes, ou à refuser l'entrée sur son territoire à ceux qui prônent le djihad." Elle parle et pense vrai mais sa voix n'était pas la bienvenue. Subissant les assauts honteux d'une presse dévoreuse de ses victimes, elle a quitté la France pendant quelques années avec l'enfant qu'elle avait adoptée. Traitée d'affabulatrice suite au décès de Charb dont elle était intime. Les proches du défunt n'en ont jamais accepté l'idée et conspué la jeune femme dans les règles de l'art. Son livre n'est que vérité, nous le vérifions jour après jour. Ne serait-ce que dans les rues de nos villes.

Je trouve, pour ma part, qu'il y a une part de poésie dans cette démarche. Ce n'est qu'un ressenti personnel. A chacun d'y voir ce qu'il croit bon de voir.

Je confirme vous êtes terre-à-terre. Ce n'est en rien une béquille. Je dirais plutôt que c'est instinctif, comme un besoin d'entretenir un fil avec celui ou celle qui est parti-e.

Il se situe au Japon, sur une petite île de 150 habitants au nom d'Awashima. Ce bureau de poste n'est plus en service, un autre l'a remplacé, et pourtant il continue à fonctionner d'une manière assez particulière. Une fois rempli sa mission de bureau de poste durant des décennies est devenu un lieu d'exposition artistique dans le cadre d'un festival. A l'issue de ce dernier sa démolition était prévue. Mais ça c'était sans compter l'idée d'un ancien employé du nom de Katsuhisa Nakata, désormais âgé de 90 ans et propriétaire du lieu, qui a voulu perpétuer la vie de ce local sous une forme différente. Celle d'un Bureau de Poste des Disparus. Les lettres qui atterrissent dans ce bureau sont adressées à des personnes disparues. Que ce soit un fils racontant à son père défunt les évènements survenus depuis la disparition de celui-ci. D'une amie à une autre trop tôt disparue etc.... autant dire que l'émotion est présente et intense à travers les lignes tracées par les uns et les autres. Des vivants qui ont ce besoin puissant de se rattacher aux morts. De ne pas leur lâcher la main. Katsuhisa Nakata lit tous les courriers et les classe. Il les met également à la disposition des visiteurs -et ils sont nombreux- qui peuvent également en prendre connaissance. Ce n'est pas pour autant du voyeurisme, la culture japonaise a ceci de particulier c'est que les morts ne quittent jamais vraiment les vivants. D'autres bureaux de la sorte se sont créés au Japon, ailleurs aussi. Puérile diront certains mais...qui n'a jamais eu le désir, le besoin d'écrire et ainsi de se confier à un être cher et disparu ? de lui demander son aide pour traverser une période difficile?

C'est peut-être une erreur de penser cela. On peut regretter de ne pas avoir eu assez d'audace pour ceci ou cela par exemple tout en se contentant parfaitement de son parcours malgré tout.

toi venir me voir et moi te donné pouvoir pour plus avoir peur du rateau, moi t'apprendre a jardiné, a planter petites graines, arrosé et récolté. moi y en a pouvoir te faire un prix d'ami pour consulté moi = 150 euros les 10 minutes. moi attendre ton appel Mama Sakinamo Gouaribou - tél = 01.02.03.04.05

C'est un point qui ne frappe pas franchement le lecteur. Justement par le flou qu'il entretient.

Incapable de raconter l'un de ses romans c'est exactement cela. C'est normal puisqu'il n'y a pas d'histoire. Et comme je le mentionnais quand on a en mains un livre de Modiano on a souvent la sensation de l'avoir déjà lu. Il a 80% de similitude avec ses frères. Le ton est invariable, à une ou deux exceptions près. Pas la moindre trace de sensibilité qui pourrait faire apprécier ce personnage-ci plus que celui-là. Chaque protagoniste semble dépourvu de substance. Mais on est parfaitement en droit d'apprécier son.... "style". Et heureusement. Toutefois quand je l'entends s'exprimer... et je me souviens d'une interview remontant à une quinzaine d'années qui m'avait laissée perplexe. Que l'expression écrite soit pour lui plus aisée que le langage parlé on peut comprendre, en revanche sa difficulté à s'exprimer, cette propension affichée à ne pas finir ses phrases était plus que surprenante. J'ajoute également que ce Nobel qui lui a été attribué au prétexte qu'il entretient une volonté de mémoire relative à la période d'occupation (39-45) trouble un peu, puisqu'il ne l'a pas connue. Etant né lui-même en 1945.

Snobisme c'est toujours le terme qui me vient à l'esprit quand on évoque Modiano. - Ah ma chèèère avez-vous lu le dernier Modiano? - Ouiiiii, il est bouleversifiant!! j'ai a.do.ré!!!

C'est en partie à cela que je fais allusion.

Assez prétentieux ou snob. Les deux conviennent. Oeuvre surestimée, à mes yeux sans aucun doute. Et qu'on ne vienne pas me taxer d'esprit partisan car je me suis efforcée de lire plusieurs de ses livres pour me persuader que mon jugement était surfait. Après tout qui suis-je pour juger un Nobel?? Tout simplement une lectrice qui est en droit d'évaluer un auteur. Ah Nothomb, personne bien sympathique mais quand on m'offre un livre de Nothomb je grince des dents.

Je parle de conséquences plus que de calibrage. Qui n'apparaîtront que dans le temps...

J'ai lu plusieurs de ses livres et à chacune de ces lectures je suis restée sur ma faim. Dubitative au possible. Il faut lui concéder ce talent à draper ses personnages d'un voile persistant plaçant le lecteur à distance du récit. Modiano ne propose pas une histoire solidement construite, il offre une lorgnette à travers laquelle chaque lecteur tentera page après page de comprendre, d'imaginer où l'auteur veut en venir. Entretenir le souvenir, mais lequel? Il narre, point. Généreux en détails insignifiants sur un environnement banal laissant imaginer que chacun d'eux aurait une raison d'être. Représentant à eux seuls des sommes de petits mystères à ou non élucider. Mais quand on referme le livre que garde-t-on en soi du récit, de ces personnages au profil aussi flou? qu'a-t-il imprimé en nous qui restera figé dans notre esprit? L'ensemble de ses écrits évoquent des personnages au rôle invariablement indéterminé, ce qui laisse facilement croire au lecteur qu'il a déjà lu celui qu'il tient entre ses mains alors qu'il sort tout chaud de l'imprimerie. Quand je pense que le Nobel lui a été attribué au prétexte que l'ensemble de son oeuvre a le mérite de ne pas laisser dans l'oubli le souvenir des années de guerre de 1939 à 1945, je suis perplexe. Pour moi Modiano est la parfaite représentation du snobisme littéraire. Vous n'êtes pas obligés il va de soi, de partager cet avis.

Un beauf si vous voulez mais pas comme beau-frère, beauf comme "beauf".

Quand on n'a pas de conscience et bien évidemment..... on s'en fout! On se balade le bide triomphant, le sur-bourrelet conquérant. On n'en a rien à cirer du regard des autres, si ça les gêne ils n'ont qu'à regarder de l'autre côté hein! On est bof ou on ne l'est pas

A travers ton message on sent que tu possèdes un certain don pour narrer une histoire. Et je me dis "avec le talent qui est le sien pourquoi cette personne ne se lance pas dans l'écriture d'un roman?" Ca ne t'a jamais effleuré l'esprit? il peut y avoir un best-seller en vue! vas-y fonce!!!

Pauvre gars, il se serait pendu.

C'est un peu bêbête ton discours. Parce qu'il est dans l'excès volontairement. On peut avoir une alimentation saine, se bouger et profiter des bonnes choses de la vie. On peut se faire plaisir en buvant un bon verre de vin, manger un bon gâteau, sans le renouveler chaque jour de ta vie. Manger sainement ce n'est pas se mettre à la diète. Et parler de joie de vivre pardon mais je ne vois pas le rapport.