Pensée philo

La belle époque.

Les relations entre lrem, le rn et les médias ne sont plus cachées. lr, lrem et le rn, c'est la même politique.

Tout le monde sait que Macron ment.

Il fait semblant. Il ne voulait pas être président.

Ils danseront la carmagnole.

L'opposition doit dénoncer la gestion catastrophique et les mensonges du gouvernement pendant cette crise épidémique. Le diviseur en chef parle d'union nationale parce qu'il a peur. L'opposition doit demander l'article 68 de la constitution. Les député(e)s sont élu(e)s pour servir le peuple et le peuple ne veut plus de ce président. Sa politique nous met en danger. Une preuve supplémentaire avec la crise épidémique.

Il faut que la colère sociale explose comme en novembre 2018. Ils ne comprennent que de cette façon.

Une grosse majorité des « gilets jaunes » étaient pacifistes mais en colère. Le gouvernement a laissé les casseurs pour discréditer la révolte. La résistance, ce n'était pas que des gentils. Il y avait beaucoup d'ordures et d'opportunistes. On pourrait parler de la violence sociale. La politique du gouvernement est violente contre le peuple.

La demande du ric est venue après.

Tu as téléphoné à ton médecin ?

Le texte est de qui ? Le chien qui apporte le collier pour sortir.

Il faut aussi remettre le travail des enfants.

Pour cela il faut la révolution.

Un message que j'ai écris sur le sujet : La révolution et les imbéciles heureux. (Partie philosophie.) Le gouvernement donne aux riches et prend aux pauvre; s'en prend aux plus faible; gouverne pour l'union européenne et contre la France; vend des intérêts stratégiques de la France; le président et le gouvernement nous mentent, nous insultent, nous méprisent; le gouvernement détruit notre modèle social; le gouvernement utilise la répression quand le peuple se révolte. Sur l'épidémie : le gouvernement a laissé l'épidémie se propager; on manque de lits, les hôpitaux sont débordés à cause de la politique du gouvernement. Il est responsable de nombreux morts. Le gouvernement est responsable des conséquences de cette crise. Le gouvernement se sert de la crise épidémique pour diminuer nos acquis sociaux et pour renforcer son fascisme. Sa politique, la politique de cette union européenne, nous met en danger de mort, la preuve avec cette crise épidémique. Le gouvernement ne changera pas de politique. Qui peut croire qu'il changera de politique ? Notre président et nos ministres sont des traîtres à la France. Ce ne sont pas notre président et nos ministres. Ce sont pour ces raisons que des gens veulent faire la révolution.

Le gouvernement a laissé l'épidémie se propager.

Je me questionne sur la véracité des chiffres. Ils comptent aussi ceux qui allaient mourir d'une autre maladie ? Les médias pourraient nous faire peur chaque année avec la grippe. Il y a beaucoup de morts indirects à cause du manque de lits.

Attention avec le télétravail, c'est un moyen pour baisser nos droits sociaux.

Pendant le confinement, n'oubliez pas de penser à l'après, et l'après, c'est la révolution.

Peu de changement pour moi. Le confinement montre le problème des inégalités.

Le rn est le système. La France insoumise aussi. De toutes façons ces deux partis ne voulaient pas le pouvoir.

Il défend la même politique qu'Agnès Buzyn et voulait remplacer « sécurité sociale » par « protection sociale » . La révolution s'impose.

Ce qu'a dit Agnès Buzyn est très grave. Cela montre la légèreté du gouvernement sur cette crise épidémique.

Propos d'Agnès Buzyn au journal Le monde. Ce sont des larmes lourdes, de fatigue, d’épuisement, mais aussi de remords. Elle se livre sans fard et l’aveu est terrible. « Quand j’ai quitté le ministère, assure-t-elle, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu. » A mots à peine cachés, l’ex-ministre de la santé reconnaît ce qui la déchire : fallait-il abandonner son poste en pleine tempête, alors qu’elle devinait le drame à venir ? “Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation”, indique l’ex-ministre. Elle assure même avoir prévenu Édouard Philippe dès le 30 janvier pour l’avertir “que les élections ne pourraient sans doute pas se tenir”. Devant le tollé, Agnès Buzyn a réagi dans un communiqué, mais sans renier ses propos. «Agnès Buzyn regrette la tonalité de cet article et l'utilisation qui en est fait en cette actualité où tout le pays doit être tourné vers la gestion de crise. Elle considère que le gouvernement a été pleinement à la hauteur des défis pour affronter ce virus» Elle avait dit que le risque d'une propagation du virus en France était faible puis qu'elle ne pouvait pas être candidate à la mairie de Paris à cause de l'épidémie et maintenant elle dit qu'elle savait que les élections municipales n'auraient pu avoir lieu.

Espérons que la crise épidémique soit une prise de conscience des citoyens sur cette politique.