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Totof44

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Tout ce qui a été posté par Totof44

  1. On croit rêver : c'est vous qui résumez le débat à immigration = insécurité où toute recherche d'explication poussée, de phénomène sociologique, de nuance est immédiatement rejetée par la fachosphère en "bien pensanse" ! Les gouvernements d'extrême droite ont-ils mis fin à l'insécurité là où ils sévissent ? Sûrement pas ! Non, les libéraux. Nous on demande la régularisation de tous les travailleurs sans papiers.
  2. C'est la guetthoisation que vous montrez là. Stop à l'intox. aucune source, aucune valeur.
  3. Je ne pense avoir mieux compris que l'extrême droite ce que sont les valeurs de la République, non. Je ne reproche pas sa bêtise à l'extrême droite, mais sa malhonnêteté. Elle sait parfaitement que la laïcité est un principe qui vaut pour l'ensemble des cultes, y compris le culte catholique. Mais à l'entendre, seuls les musulmans devraient l'appliquer. Et c'est pareil pour le reste. L'identité de notre Nation, c'est les Lumières. Pas la réaction. Dis nous les choses : d'après toi il existe un gène "bonnes valeurs, bonnes moeurs" chez les Français, mais pas chez les étrangers ? Ah... Et comment ça se passe pour l'immigré qui crée une boite ? Il vole la place à un bon Français aussi ? Et la mère qui met au monde plus de deux enfants, elle crée du chômage à retardement ? Tiens, une petite suggestion qui fera monter le niveau de la discussion : https://livre.fnac.com/a13226389/Michael-Goodwin-Economix-la-premiere-Histoire-de-l-economie-en-BD-4eme-ed?Origin=fnac_qwant ça ne change rien. Le capital s'octroie une part toujours grandissante de la richesse au détriment du travail. Il serait bon qu'on désigne ces gens là par le terme "oisifs" plutôt que les privés d'emplois. On pourrait parfaitement prendre des mesures contre cela : baisse du temps de travail, présence des représentants de salariés dans les conseils d'administration, interdiction des licenciements boursiers, droit de préemption des salariés, nationalisation d'un certain nombre de boites (autoroutes, énergie, télécoms pour commencer). C'est honteux ! Régularisons les ! Ah... de mémoire, j'avais des chiffres en millions. Je crois qu'il y a trois zéros qui se sont incrustés. https://www.aide-sociale.fr/infographie-fraude-sociale-particulier-entreprise/
  4. L'existence d'un SMIC ou des congés payés par exemple ? Ta remarque n'est validée que lorsque les avancées sociales sont organisées dans une zone géographique mise en concurrence déloyale avec d'autres. Sauf que ça, c'est le néo-libéralisme qui l'a inventé.
  5. C'est marrant, quand les libéraux évoquent les expériences socialistes, ils ne parlent jamais des expériences française et chilienne. Petit hommage à S. Allende :
  6. Pour travailler moins Et pourtant, les premiers à s'en prendre à notre identité, c'est les identitaires ! quel rapport avec l'immigration ? HS Parce que tu crois que Zemmour, E. Levy, P. Praud, et autres M. Maréchal vivent dans les quartiers ? Un rapport beaucoup plus évident que l'insécurité dont nous parle @Garlaban Faux, la venue de migrants fait monter la demande, n'importe quel collégien comprend ça. Ce qui tire les salaires à la baisse, c'est les prélèvements toujours plus importants du capital dans la part du PIB. Tu nous ferais une overdose de valeurs actuelles ?
  7. Ce paragraphe me donne raison : un militant facho a ta sympathie, un gauchiste ton antipathie. C'est ton droit, mais ton paragraphe omet de nombreux faits qui rendent ton affirmation fausse, pour ne pas dire mensongère. Tu sembles ignorer que la loi a créé un délit de solidarité, enfreignant ainsi ses engagements internationaux : https://france.attac.org/nos-publications/les-possibles/numero-19-hiver-2019/dossier-des-migrations-et-discriminations-aux-gilets-jaunes/article/le-delit-de-solidarite-une-figure-de-la-repression-des-mouvements-sociaux De nombreux militants, parfois pacifiques, ont été condamnés à de la prison pour "outrage à agent" par exemple, parce qu'ils refusaient d'être humiliés par la milice du gouvernement. On notera aussi que dans chacun de tes exemples, tu choisis tes cibles d'abord en fonction des engagements politiques. Une grosse boite qui préfère faire des économies au détriment de la sécurité de ses employés, des habitants alentours, de l'environnement et de la planète entière ou des flics qui se constituent comme milice politique sont au-dessus de tout soupçon.
  8. Je pense que véhiculer la légende de "l'invasion migratoire", celle du "grand remplacement" ou afficher un soutien à un groupuscule identitaire et xénophobe revendiqué peut être considéré comme tel
  9. Fort heureusement, même si l'extrême droite envahit l'espace médiatique, les Français lui sont majoritairement hostiles. A toi aussi. Et des sources d'infos plus fiables que les honteuses déclarations de je ne sais plus quel ministre.
  10. Le socialisme est une idée de gauche ; l'extrême droite est passée maitre dans le dévoiement des concepts de gauche.
  11. N'importe quels factieux de gauche se seraient fait conspuer comme pas possible ici. Mais une bande de fachos assumés, on les traite avec respect, voire avec admiration.
  12. Tout dépend de la définition qu'on donne au terme. Un Etat qui garantit un certain nombre de droits et dans lequel les élections sont libres rentre dans une des acceptions du mot. Une autre acception va beaucoup plus loin. Je ne disserterai pas ici, car on s'écarte du sujet de base. Je me contenterais là de dire 1) que je serais favorable à ce que nos institutions progressent de la première acception du mot "démocratie" que j'ai donné à la seconde ; 2) que je vois l'Etat de droits reculer, et qu'un certain glissement s'opère 3) qu'aucun régime n'est assuré de tenir longtemps et peut toujours basculer, lentement ou brutalement. Le jour où le Peuple n'est plus vigilent, la porte sera grande ouverte pour les despotes. 4) Il est inexact d'affirmer que les opposants ne sont pas réprimés. "Casseurs" est un mot qui englobe différents profils, parmi lesquels les anarchistes en noir. D'autre part, des manifestants pacifiques ont été arrêtés, jugés, blessés voire mutilés. Des lois punissent les lanceurs d'alertes, etc. J'avais ouvert un sujet "recensement des reculs de l'Etat de droits sous l'ère Macron" pour en parler. En Russie, en ce moment, des opposants manifestent et appellent à l'insurrection. On cherche les leaders, mais les simples citoyens ne subissent pas des rafles non plus. Est-ce une démocratie ? Toujours est-il que mon propos n'allait absolument pas dans le sens de M. Lalanne, mais apportait une petite astérisque au principe selon lequel aucune violence n'est légitime. Il peut y avoir des cas particuliers. C'est d'ailleurs un principe énoncé par la DDHC de 1793. France soir et Le Média
  13. Et pourtant, une réincarnation de Robespierre ne ferait pas mal Le meilleur vote anti-Macron sera le vote pour le 3ème candidat du trio de tête. Car si Macron se retrouve de nouveau confronté à le Pen, on repart pour 5 ans. Mais non
  14. Une Constitution existe pour protéger le Peuple contre de potentiels abus de ceux qui gouvernent et légifèrent. Il me parait normal qu'un texte contraire à la Constitution soit censuré.
  15. Justement, je ne dénonce pas à ce point. Je doute de l'impartialité des membres, nuance. Effectivement, des mandats longs qui déconnectent les membres du Conseil avec les enjeux électoraux et le renouvellement par tiers sont, je pense, à garder. C'est insuffisant, j'en conviens. Mais déjà une avancée : une majorité qualifiée suppose une majorité trans-partisane. C'est déjà un pas. C'est une bonne question. Cela devrait se passer en plusieurs étapes, différents acteurs devraient intervenir afin de s'assurer qu'une destitution ne relèverait pas de motifs politiques. C'est un organe qui appartient au pouvoir judiciaire, pas législatif. Quand il décide du taux d'impôt maximum autorisé, il prend une décision politique. Mais j'en conviens : l'article 17 de la DDHC doit être réécrit. Idée que j'ai tiré d'un article de droit. Ta réponse est celle de quelqu'un qui a la flemme d'y réfléchir. Parce que tu avais oublié que la Constitution approuvée en 58 ne détermine pas le mode de scrutin des législatives. Donc celui qui s'applique aujourd'hui n'a pas été institué par le souhait du Peuple. Sûrement, je regarderais. Merci pour le lien.
  16. Je viens de voir, d'ailleurs, que le rétablissement du scrutin majoritaire en 1987 ne s'est pas fait par référendum comme l'affirmait @DroitDeRéponse, mais par 49.3... Ceci dit, quelqu'un élu au suffrage universel ne sera jamais impartial. Pour le pouvoir judiciaire, ce n'est pas ce que je proposerais.
  17. De mon côté, je n'irais pas jusqu'à affirmer qu'il est aux ordres, mais toi, le considères-tu impartial ? Ses membres sont désignés par trois types intouchables qui n'ont pas comptes à rendre. Actuellement, environ une moitié des membres a eu des fonctions électives. Si on ne peut être absolument certain de l'impartialité des autres membres, qu'en est-il de ceux qui ont porté, voté ou combattu des lois ? Rappelons que depuis quelques années, le conseil peut être saisi a posteriori. Et si c'est une loi sur laquelle un membre s'est particulièrement impliqué (dans un sens ou dans l'autre) qui fait l'objet d'une telle saisine ? Nos voisins Allemands, Espagnols et Italiens font élire les membres par des majorités qualifiées au parlement. Cela me paraitrait une bonne chose. De plus, une procédure de destitution devrait être créée pour pouvoir éjecter de ce conseil de potentiels militants politiques qui se croirait plus parlementaires que juges. Mais prenons un exemple concret : le projet de loi qui prévoyait de taxer les très hauts revenus (ceux que je qualifierais d'indécents, mais c'est un autre débat) à 75% a été retoquée parce qu'elle violerait l'article 17 de la DDHC. Donc le CC se donne le droit de juger qu'une taxe à x%, c'est bien, mais 2x% ça deviendrait confiscatoire... et 1,5x% ? Je propose donc d'écrire dans la Constitution qu'en matières économique et sociale, les lois bénéficient d'une présomption de conformité à la Constitution, et que seule une violation flagrante et évidente de la Constitution constatée à l'unanimité des membres pourrait justifier une décision d'inconstitutionnalité.
  18. J'emploie un mot, fort peut-être, mais qui désigne bien la réalité des faits. Donne-moi l'article de la Constitution qui prévoit une saisine pour ce genre de situation. J'avais pour toi, jusqu'ici un peu plus de considération que pour un certain renard, mais si tu l'imites... Dans le genre "je réponds à côté", tu te défends pas mal aussi. Je te dis qu'en France, les pouvoirs sont à peu près tous entre les mains d'un seul et de son équipe, j'ai modéré maintes fois mon propos avec un adjectif que je peux répéter, tu feras toujours semblant de ne pas voir, et tu es incapable de démontrer qu'il n'y a pas de concentration des pouvoirs en France, ni par comparaison avec d'autres pays que c'est quelque chose de normal, ou même de souhaitable. Tu ne contredis que pour le plaisir de contredire. Dès lors que je dis "quinquennale", non. J'attends également ta réponse à la question que je t'ai posé à plusieurs reprises.
  19. Je ne te reprocherais pas de ne pas connaitre notre Constitution, mais de jouer les donneurs de leçons tout en ignorant : rien ne prévoit la saisine du Conseil constitutionnel en cas d'abus de pouvoir du président de la République. Et tu es incapable de nous citer un seul régime démocratique dans lequel les contre-pouvoirs sont aussi inexistants qu'en France. On est bien dans un système qui donne les quasi pleins pouvoirs à un seul et ses délégués : ça s'appelle une monarchie. De mon côté, je n'estime pas avoir à répondre à cela puisque ça ne contredit pas mon accusation. *d'un de ses facteurs parmi d'autres. Et alors ? je militerais plutôt pour une répartition des compétences du président à d'autres institutions et la suppression de sa fonction, mais à défaut, oui. Non, la Constitution ne prévoit nulle part que les élections législatives ont lieu au scrutin majoritaire : c'est une loi organique. Une mandature a été élue au scrutin proportionnel au cours de la Vème du reste, et c'est la droite qui a changé la loi. Donc à nouveau faux. Je faisais allusion à Sarkozy. Je pense que tout le monde a compris. Autrement, je suis pour respecter le principe, qui certes n'a aujourd'hui pas de valeur légale, mais qui garde sa pertinence philosophique, qui était écrit dans la DDHC de 1793 et que je t'ai cité. La génération de mes grands-parents a pu vouloir d'un régime, et des décennies plus tard, on a vu les avantages et les inconvénients de ce texte, on a du recul et de la pratique pour analyser, et on serait en droit de vouloir en changer. Je te cite le droit en vigueur que je conteste. Mon opinion, je la répète, est qu'il serait préférable que l'exécutif n'engage de négociations que sur mandat du parlement, et qu'un référendum ait systématiquement lieu avant ratification. Tu peux être en désaccord, mais je te donne là un point de la Constitution en vigueur qui fait partie de tout ce qui fait la sur-puissance de l'exécutif. Après la IVème, je comprends qu'on ait voulu rationaliser le parlementarisme, mais on a fait plus que cela : on l'a effacé, si ce n'est dans le droit, dans les faits. Et nous nous sommes trompés, car j'aurais l'honnêteté de reconnaitre que je faisais partie de ceux qui affirmaient cela en mai 2017. Mais peu importe (on se demande qui noie le poisson...) ce n'est pas le sujet. J'essaie de te démontrer que les contre-pouvoirs sont quasi inexistants. Et quand je dis qu'un certain nombre de dispositifs renforcent l'exécutif et qu'en face, il n'y a pratiquement rien, c'est tout ce que tu trouves à répondre... Ok pour ce coup là, mais le pour le quinquennat précédent ? Deux lois qui n'étaient pas dans le programme, pire, dont l'esprit allait à l'encontre du programme passent en 49.3. Tu trouves que c'est le choix du Peuple ? Pour moi, c'est la décision d'un homme seul et de son équipe (un peu, in fine, comme dans une monarchie). Le calendrier électoral combiné au scrutin majoritaires met dans la tête des députés de la majorités qu'ils sont les lieutenants du président. Le contester, ils se le permettent mais pas plus, et si les députés PS ont manqué de courage ou de sens de l'intérêt général ou de la démocratie à un instant T, on voit aujourd'hui que les députés de la macronie qui ont quitté le groupe n'osent pas pour autant aller dans l'opposition. D'ailleurs, ils sont élus grâce au logo du parti qui les investi, pas sur leurs noms. Bref, je discute avec Pangloss.
  20. Dis-moi où il est écrit dans la Constitution que le président de la République a l'initiative des lois ou qu'il dirige la politique du gouvernement. Dans ce cas, je te demande de me citer l'article de la Constitution qui prévoit qu'on puisse renverser le président de la République pour motifs politiques. Peu importe qui a pu faire le choix, ça n'invalide en rien mon argument. Et non, le fait majoritaire n'est pas une décision référendaire : https://www.conseil-constitutionnel.fr/referendum-sous-la-ve-republique/tableau-recapitulatif-des-referendums-de-la-veme-republique C'est juste une loi votée par la droite. Et quant bien même, s'il avait fallu respecter tous les choix référendaires des Français... Et même là, une décision d'un jour peut parfaitement être modifiée lorsque le contexte change : "une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures". Bref, je reviens à mon propos : notre système politique est pyramidal avec une assemblée soumise au gouvernement, lui-même soumis au président, lui même indéboulonnable (puisque l'expression, pourtant juste, de "politiquement irresponsable" te dérange). Tous. Je te dis que je verrais comme une belle avancée que les traités soient négociés sur mandat du parlement et ratifiés après référendum... et non par une assemblée qui se soumet systématiquement. Tu sais parfaitement que la cohabitation est désormais pratiquement impossible. Et je ne compte pas les fois où j'ai dit "quinquennale" et où tu fais semblant de ne pas le voir. ça s'appelle du troll. Jamais une motion de censure n'a véritablement abouti depuis le début de la Vème République, sauf une, dans un contexte particulier qui n'a finalement pas viré le premier ministre, mais, dans les faits, seulement suspendu. A cause du fait majoritaire. Donc le contre-pouvoir n'est que théorique, et dans la pratique est inutilisable.
  21. Le président de la République va bien au delà de ce que prévoit la Constitution, c'est un fait. Le président de la République est politiquement irresponsable, c'est également un fait. Le calendrier électoral et le fait majoritaire assurent à ce président de la République une majorité servile, le nies-tu ? Le président de la République nomme seul le premier ministre, et les autres membres du gouvernement et préside le conseil des ministres. Le président de la République peut asseoir son autorité par l'article 11 de la Constitution. Il négocie les traités sans mandat de la représentation nationale. Il nomme à des tas d'emplois, et les contresignataires de ces décisions lui sont pratiquement soumis. Il dispose d'un pouvoir propre et quasi-discrétionnaire de dissoudre la chambre basse. Le gouvernement dirige l'administration, détient le pouvoir réglementaire, a l'initiative des lois, la maitrise de plus de la moitié de l'ordre du jour parlementaire, a le droit d'amendement, est entendu quand il le veut dans chaque assemblée parlementaire, peut recourir aux ordonnances, vote bloqué ou 49.3. Faut-il disserter davantage sur la sur-puissance de l'exécutif ? Et je ne suis pas forcément choqué par l'ensemble de ces éléments. Ce qui me choque, c'est que dans notre pays, les contre-pouvoirs sont pratiquement inexistants. Et c'est ce qui nous différencie des démocraties voisines. Dans tes précédents commentaires, tu définissais la monarchie par des régimes où le pouvoir était à vie, héréditaire et absolu. Le premier critère ne tenait pas dans tes réponses puisque j'ai toujours accolé l'adjectif "quinquennal" à "monarchie", le deuxième non plus, tu le reconnais toi même, il existe des monarchies électives et le dernier ne tient pas non plus, puisque même sous Louis XIV, il y avait des limites au pouvoir, le terme "absolutisme" étant apparu à la Révolution. Donc pour quelqu'un qui veut rétablir les vérités, on a vu mieux. Bref, @devoirderéponse, je crois que tu te sens obligé d'apporter la contradiction, plus pour le plaisir ou par orgueil. Et quand je modère mon propos, tu mines de ne pas le voir, et cherche à m'assimiler à ceux qui ne prennent pas cette précaution.
  22. Une monarchie est un régime dans lequel l'autorité est exercée par un individu et ses délégués. N'est-ce pas ce qu'il se passe en France ? Une monarchie élective ? La Pologne en était une. Pour le x années, j'ai déjà plusieurs fois précisé et nuancé ma pensée avec l'adjectif "quinquennal" que tu fais semblant de ne pas voir. Mais je veux bien que tu me dises dans quelle démocratie il existe aussi peu de réels contre-pouvoirs qu'en France.
  23. ça faisait longtemps que je n'avais pas lu un tel monceau de conneries.
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