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Tout ce qui a été posté par Fraction
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Bonjour, Compte tenu de notre déficit scientifique en la matière, il n'y a guère que l'intuition et l'abduction pour répondre à cette question. L''hypothèse idéaliste est a priori, en la matière, aussi présomptueuse que l'hypothèse réaliste. L'hypothèse réaliste axiomatise la chose en-soi, et par là-même l'absolutisme cognitif du cerveau, avec quelques preuves à l'appui. Mais l'idéalisme réfute la légitimité même de ces preuves, sachant que la preuve n'est que la dimension objective de l'évidence, et que l'objectivité n'est qu'une suggestion. Pour ma part, je dirais, conformément à mon abduction, que le cerveau n'est qu'un neurone analogique de l'esprit, presque comme les autres. Mais, et c'est là toute la perversité de la suggestion, le cerveau représente la dimension objective de la cognition. Si bien que même si votre esprit pourrait s'en dispenser en droit, il ne peut pas s'en dispenser de fait. En outre, plus métaphysiquement et plus spéculativement encore, j'ajouterais que votre mémoire et votre intelligence appartiennent ontologiquement à ce monde et à son scénario. Si donc vous deviez vivre une vie postérieure, votre moi résiduel en serait minimaliste. Cordialement, Fraction
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Bonjour, Le temps objectif n'est pas homogène : si vous voyagiez à la vitesse de la lumière, alors votre temps ne s'écoulerait plus par rapport au mien. Cette notion met en scène une dichotomie entre le temps corpusculaire et le temps matriciel. C'est un peu comme si l'on comparait les températures locales à la température globale de l'univers : les deux sont concevables. Mais un autre point de vue est susceptible de compromettre cette optique : c'est le temps subjectif. En effet, si l'on envisageait l'existence d'un observateur extérieur à l'univers, il pourrait voir ce dernier en 4 dimensions : l'avant et l'après seraient concomitants, coexistants. La Terre ne serait plus une sphère, mais une hélicoïde, compte tenu de son mouvement. Il deviendrait alors légitime de considérer le temps perçu par les humains comme proprement subjectif. Et les thèses idéalistes, quant à elles, vont jusqu'à réfuter catégoriquement la notion de temps objectif. Cordialement, Fraction
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Bonsoir, Allons-y pour plus d'équité du régime universel ! Mais les exceptions de cette équité (minimum vieillesse, pénibilité, correction de la maternité,...) équivaudront, en volume, aux exceptions des régimes spéciaux. On nous dit que le déficit des régimes spéciaux est démographique : il y a beaucoup de cheminots à la retraite pour peu de cheminots actifs. Ça veut donc dire que ce déséquilibre n'est pas la conséquence des privilèges, mais qu'elle est générationnelle. Pourquoi donc condamner les privilèges des régimes spéciaux, alors qu'ils ne sont que moindrement responsables de ce déficit de caisse ? Mais soit. L'âge pivot de 64 ans n'est, pour moi, qu'une conséquence de la promesse de campagne de Monsieur Macron : "je ne modifierai pas l'âge de départ à la retraite." Il a dû se rendre à l'évidence, a posteriori, que c'était pourtant le seul levier cohérent. Les deux autres leviers étant la hausse des cotisations ou la baisse des pensions, qui flirtent déjà avec leurs limites pratiques comme théoriques, il n'a trouvé qu'une solution perverse pour dire "oui" à sa sagesse sans dire "non" à ses promesses. Cordialement, Fraction
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Bonjour, Je ne poursuivrai pas mon argumentation sur la légitimité du Sénat, j’ai dit ce que j’avais à dire. Je fais de la philosophie appliquée, mon approche n’est pas factuelle, elle est systématiquement conceptuelle. Sur le scrutin à deux tours (tout comme sur le scrutin majoritaire), j’ai envie de vous dire que, oui, la 5ème République est partiale. Mais sa partialité est modératrice et stabilisatrice, elle n’a pas de couleur politique. Il n’y a pas d’un côté ceux qui votent mal, et de l’autre ceux qui votent bien. Il y a seulement des votes excessifs (extrêmes) qui ne trouvent pas d’alliés politiques au second tour. Le report des voix du second tour donne l’avantage au centre, et s’il y avait un 3ème tour, Monsieur Bayrou deviendrait peut-être un jour Président. Sur la décentralisation, Monsieur Macron a avancé un argument convaincant. Il dit que le transfert des compétences n’est pas corrélé au volume des impôts territoriaux, ce qu’il appelle « l’autonomie fiscale ». Il en appelle donc à la centralisation fiscale, par le biais des dotations. Mais qui nous garantit que les successeurs de Monsieur Macron ne feront pas des dotations une variable d’ajustement budgétaire ? C’est quand même fort de café, de la part d’un état addict à la dette publique, de donner des leçons budgétaires à des collectivités qui n’ont pas le droit de s’endetter pour leur fonctionnement. Cordialement, Fraction
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Bonjour, Cette discussion institutionnelle évoque inévitablement, pour ma part, un contexte philosophique majeur. Je disais que l’Assemblée Nationale n’est que pure volonté, alors que le Sénat représente une réalité. Je regrette que cette représentativité soit territoriale et non pas factorisée par le volume de contribution, mais là je rêve un peu. La volonté est ainsi faite que son absolutisme, son exclusivité, telles que les phantasme Schopenhauer, sont animés par un vice inhérent, tel que le court-circuit cognitif. Les hommes atteints d’une hypertrophie de la volonté, d’un appétit d’ogre, peuvent finir par croire ce qu’ils veulent, et j’en ai même vu qui finissaient par percevoir ce qu’ils voulaient. Vous énoncez un présumé vice conservateur historique et systémique du Sénat. Mais c’est vous qui péjorez insidieusement et partialement le conservatisme, moi je ne le péjore pas. Comme je disais sur philo, l’inertie est la première qualité d’une institution avant d’être son pire défaut. Le conservatisme idéologique n’est pas qu’un simple immobilisme égoïste, c’est d’abord une carte et une boussole, un repère objectif, qui certes est inertiel, mais pour de bonnes raisons. En outre, vous fustigez le fédéralisme comme un archaïsme stérile, je serais un peu moins binaire. Ne pensez-vous pas que l’unité régionale, par exemple, puisse faire l’objet d’une reconnaissance ontologie plus cohérente ? Et donc d’un budget et d’un ensemble de compétences supérieurs à ce qu’il est ? L’Ile-de-France est bien plus qu’un morceau du puzzle, sa cohésion est inouïe, et son inflation, par exemple, est théoriquement relativement isolable. Je tente ici d’objectiver et de conceptualiser vos propos qui me semblent parfois teintés d’idéologie. Cordialement, Fraction
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Bonsoir, L'Assemblée Nationale n'est que volonté, alors que le Sénat représente une réalité. Or la volonté a besoin d'un principe de réalité pour fonctionner avec cohérence. Que cette réalité soit territoriale ou fiscale (c'est mon vœu) n'a que peu d'importance. Le système bicaméral fonctionne, et son verdict est souvent frappé du sceau de la sagesse. Vous opposez le fédéralisme à la décentralisation. Moi je dis, comme d'autres, que l'histoire est enfantée par la géographie : Il n'y a pas de transcendance (de haut en bas) légitime sans induction (de bas en haut) régulière. Vous avez raison : seule la nation peut créer l'unité, tant à l'échelle territoriale qu'à l'échelle mondiale. Mais la nation est borgne, et son administration est monolithique. Une certaine adaptabilité territoriale et démographique serait la bienvenue. Mig72 dit des choses difficilement compréhensibles. Mais ne soyons pas égocentriques : qu'on ne comprenne pas ne signifie pas que ça n'a pas de sens. On peut parfois observer une immaturité du complément d'objet, sans que la phrase soit dépourvue de sens. Cordialement, Fraction
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Le passé est un fantôme, un monstre, un serpent venimeux qui paralyse tous les possibles!
Fraction a répondu à un(e) sujet de Guillaume_des_CS dans Philosophie
Je commente le journal intime des dieux sans l'avoir consulté. Tout, ou presque tout, n'est que spéculation, qui oscille entre 1 % et 99% de crédibilité. Ainsi, je présume que le jour de votre conception coïncide avec votre date de naissance. Je m'appuie sur l'évidence que je n'ai, moi-même, aucun souvenir d'une vie antérieure. Je suis idéaliste, au sens littéral et philosophique : On ne peut percevoir que ce que l'on peut reconnaître. Parce que la perception est strictement avalisée par l'entendement. C'est pour cela que je vous ai explicité un tabou idéaliste, dont je suis parfaitement décomplexé, et d'une verve vaillante. Cordialement, Fraction. -
Le passé est un fantôme, un monstre, un serpent venimeux qui paralyse tous les possibles!
Fraction a répondu à un(e) sujet de Guillaume_des_CS dans Philosophie
Bonsoir, Il est surprenant de voir tant de justesse si peu argumentée. Oui, la mémoire cristallise la réalité, et stérilise le champ des possibles. On pourrait dire de même de la Tradition, qui pratique un scepticisme obsessionnel, à défaut d'être méthodique, à l’égard du présumé progrès. Mais il faut concevoir cette inertie comme une sécurité plutôt que comme un immobilisme. L'inertie est la première qualité d'une institution, comme la mémoire, avant d'être son pire défaut. Le conservatisme n'est pas un frein à l'évolution, c'est plutôt une carte et une boussole, un repère objectif qui fait office de principe de réalité. Je disais que la mémoire cristallise la réalité, et on peut l'extrapoler : Le jour de votre conception, vous n'aviez pas de mémoire. Il vous était possible de tout percevoir, mais de rien reconnaître. Et le jour de votre mort, ce sera l'inverse : vous pourrez tout reconnaître, mais presque rien percevoir. Cordialement, Fraction -
Bonjour, Oui, tout comme il n’existe pas de rente à vie légitime, les acquis sociaux n’ont rien de définitif et ils sont largement conjoncturels. Mais le 20ème siècle nous a nourri d’illusions, à commencer par l’idée que les gains de productivité finiraient dans la poche des travailleurs. Le 20ème siècle nous a également instillé l’idée d’une croissance exponentielle sans obstacle et strictement profitable à la demande. Mais une considération différentielle cyclique, et non exponentielle, du rapport offre-demande, peut nous éclairer sur la nature ondulatoire de notre évolution : Nous sommes à une époque où la demande domine encore l’offre, mais ça n’a rien de définitif, car la relation est théoriquement alternative. En outre, ne rêvons pas : quelle que soit la politique, nous ne gagnerons jamais davantage de salaire que notre valeur ajoutée. La valeur humaine étant "moindrement exponentielle" que la valeur capitalistique, il est à parier que la répartition "revenus du travail / revenus du capital" va progressivement s'inverser comme c'est le cas depuis les années 70. Cordialement, Fraction
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Bonjour, Je ne vais pas me faire que des amis, mais vous me donnez envie de conceptualiser la lutte sociale. Les acquis sociaux sont-ils proportionnels au mérite (pénibilité, sacrifice,..) et à la noblesse de la mission (intérêt général, non lucratif,...), ou bien sont-ils proportionnels à la capacité de nuisance de leurs acteurs ? Tous les droits ne se valent pas : le droit de grève n'est pas supérieur à la liberté de circuler. Les ouvriers et les employés sont certes maîtres de leur mission, mais ils ne sont pas propriétaires de leur emploi (ce serait incestueux), et philosophiquement, ils n'ont donc pas le droit de confisquer cet emploi. Ceci étant, une grève qui ne pénaliserait personne n'aurait aucun effet sur les centres de décision. De plus, la politique de la demande est rarement le fruit volontaire et spontané du patronat, et les miettes du gâteau doivent s'arracher par une négociation pour le moins fédératrice et persuasive. Cordialement, Fraction
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La Justice condamne l'acte, mais elle factorise cette condamnation par la personnalité de l'auteur. Si vous êtes un grand criminel qui parvient à séduire l'audience, vous aurez une peine moindre que le criminel mineur qui ne sait pas se défendre autrement qu'en insultant ses persécuteurs présumés. Cordialement, Fraction
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L'agression sur la personne, de quelle nature qu'elle soit, doit être punie proportionnellement. Effectivement, je parlais plutôt de la dégradation du mobilier urbain. Vous dites "faire payer aux fauteurs le coût de leur trouble". Je serais plus mesuré : Lorsqu'un vandale fait un graffiti sur la Joconde, il n'a ni le discernement, ni la notion de gravité du crime qu'il est en train de commettre. Il mérite d'être puni en considération de sa moindre conscience, et donc de sa moindre responsabilité. Cordialement, Fraction
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Si la France doit devenir un Far-West moderne, je souhaite qu'elle le fasse au profit de la police municipale, et non du citoyen. Je ne souhaite pas que le citoyen soit armé. Mais je souhaite que la police municipale le soit. L'armement de la police municipale provoque des réactions idéologiques. Mais les policiers municipaux appliquent la loi républicaine. Les règlements et arrêtés municipaux ne mobilisent pas la police. Cordialement, Fraction.
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Les Blacks Blocs n'ont pas leur place en prison, une paire de claques suffira. Les Black Blocs sont des fils de bonne famille qui doivent encore faire leurs preuves. Attendons de voir s'ils suivront le chemin de la décadence facile ou le chemin du salut difficile. Offrons leur
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La notion de légitime défense est trop naïve en France. Elle préconise l'équité de l'interaction alors que les situations ne sont pas équitables dès le départ. L'agresseur, le prédateur a toujours une puissance de feu supérieure à sa proie. Le droit a vocation à rééquilibrer cette maldonne initiale, et non pas de la "conventionner". Cordialement, Fraction
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Il faudra que payent les policiers qui ont abusivement mutilé certains manifestants. Je vous rejoins là dessus. Mais comment faire payer aux joyeux fauteurs de troubles le prix de leurs exactions ? Il faut bien une IGPN des manifestants, qui incrimine les manifestants fauteurs de troubles. Or cette instance n'est pas d'initiative syndicale, elle est pour l'instant d'initiative policière. Cordialement, Fraction
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Vous soutenez que les forces de l'ordre sont plus fortes qu'ordonnées. Qu'attend-t-on pour légiférer sur la légitime défense des policiers, et des citoyens en général ? On voit bien que la loi actuelle est trop angélique ! Une femme qui est en train de se faire violer n'a pas le droit de tuer son agresseur, parce qu'elle n'est pas en danger de mort ! C'est proprement scandaleux. Et bien que mon interprétation de la légitime défense soit très loin de l'idéologie américaine, je pense sincèrement que les français sont trop conservateurs en la matière. Cordialement, Fraction.
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Bonsoir, Les fonctionnaires de police et de gendarmerie ne font pas de politique, et ils ne prohibent pas le droit de penser ni de revendiquer. Comme dirait l'autre : "venez me chercher", ce qui signifie : "venez chercher le responsable politique plutôt que le lieutenant technique". Le volume de CRS est censé être proportionnel au risque de désordre. Pour la manifestation du 5 décembre, on a constaté un désordre marginal et largement contenu. Comme quoi, les CRS ne dégainent pas leur LBD par caprice impérialiste, mais plutôt par une légitime défense interprétable. C'est cette présomption de légitime défense qui devrait faire l'objet d'une philosophie lucide et d'un recours à la loi à la fois légaliste et légitime. Cordialement, Fraction.
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Bonsoir, Vous avez pu croire que je parlais de votre propre argumentation, mais il n'en était rien. Mon but était plutôt d'aller à contre-courant des idées reçues misérabilistes pour mettre en évidence la nécessité d'une révolte intérieure plutôt qu'extérieure. Cordialement, Fraction.
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Bonjour, Saviez-vous que la densité de population à Paris est supérieure à celle des banlieues, y compris de sa banlieue nord ? A Paris, il faut aller à la butte Montmartre, ou monter sur une tour, pour apercevoir l'horizon. La banlieue n'est pas non plus dépourvue en transports. On y a beaucoup investi dans la petite et même dans la grande couronne, par l'anticipation du Grand Paris. Je ne dénie pas la légitimité de votre doléance relative aux "Misérables", mais l'argument foncier et l'argument de mobilité ne sont pas fidèles à la réalité. L'argument le plus légitime des banlieues défavorisées concerne le déterminisme social. Les privilèges ne s'acquièrent plus par le sang naturel, mais par la filiation culturelle : c'est du pareil au même pour les pauvres. La nature est injuste, c'est d'une évidence consensuelle, mais lutter contre la nature a un coût. On dépense des sommes colossales pour financer un ascenseur social de 1 mégawatt, qui tourne en réalité à 1 kilowatt. Le déterminisme social est déjà majoritairement formalisé depuis le berceau : un fils de prof a déjà, dans son berceau, une fleur de lys pour baptême. Mais la jalousie est-elle capable de fonder une cohésion sociale, ou au contraire une rupture ? La jeunesse des banlieues ne devraient-elle pas plutôt retrousser ses manches et offrir à l'IDF une valeur ajoutée et un coût moindre que les bobos des centre-villes sont incapables d'offrir ? Cordialement, Fraction
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Analytiquement, sémantiquement, la grammaire est réductible à un langage logico-mathématique, mais nos académiciens n'ont pas de formation algorithmique et on n'est pas prêt de voir sortir un Larousse sémantique, peut-être même que Google les devancera. Les mots que j'utilise sont dans le dictionnaire, et je suis disposé à répondre à n'importe quelle question pour rendre mes associations de mots plus compréhensibles. Cordialement, Fraction
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Si, il existe des grammaires notionnelles auto-suffisantes. Il existe de nombreuses notions récursives, comme la volonté, la véracité et le réalisme : Il est impossible de douter de sa propre véracité, parque la véracité est récursive, donc formellement autosuffisante. Pourquoi le Bien est-il bien ? Parce que le meilleur est mieux que le pire. Le Bien s'auto-suffit donc sémantiquement. Comme je le développe dans mon blog : Cordialement, Fraction
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Bonsoir, L'ignition corpusculaire est systématiquement entropique. Mais l'ignition dimensionnelle peut être envisagé comme néguentropique. Cordialement, Fraction
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Bonsoir, La combustion génère de la chaleur, et la chaleur génère de la combustion. Ça s'appelle l'ignition. Mais il ne s'agit là que d'ignition énergétique, et très entropique. Pourquoi ne pas envisager un principe, lui aussi rétroactif, qui permettrait une ignition existentielle ? Comme un média qui induirait un neurone, puis ce neurone qui transcenderait ce média. L'existence serait le fruit de cette relation : un rapport de plasticité, et de contrainte, neurone-média ; une grammaire autosuffisante. Cordialement, Fraction
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Bonjour, On va de fouille en fouille, de preuve en preuve, mais admettons que le nombre de preuves disponibles sur Terre est fini, et donc qu'on ne saura jamais tout. Il nous faudra interpréter et surinterpréter les preuves matérielles acquises pour aboutir à une modélisation fidèle de la préhistoire. Cordialement, Fraction