Auger

Magnifique Jacques Prévert. D'un humanisme déchirant, qui parvenait à être accessible ET profond.

On parle d'amour quand même, pas de la cuisson des carottes, non ?

Je comprends tout à fait ton point de vue, je ne cherche à choquer personne, je donne juste le mien (de point de vue). Je ne vais pas aller plus avant : c'est un sujet clivant et même "tabou", mais penses-tu qu'il s'agisse vraiment "d'amour" ou d'autres choses ? (besoin, dépendance,...)

Comment expliquer l'amour d'une femme battue pour son tortionnaire ?

J'ai bien peur que ça n'existe pas (l'amour inconditionnel), mais la société se doit de créer des mythes pour pouvoir continuer d'exister. Un enfant (égoïste par nature, c'est tout à fait normal) t'aimeras tant que tu le combleras/rassureras/ profiteras. Le reste du temps, il t'ignorera ou te détestera si tu le frustres. Rien d'inconditionnel là-dedans.

Prends ça dans tes dents, @Elisa*!

C'est un mot que j'ai appris dans la chanson "les petites femmes de Pigalle" (oui, je sais ! ) A un moment, il dit : il m'a couvert de boue, d'opprobre et de scandale... J'avais compris "eau propre" , mais à l'époque, j'avais 10 ans...

Bouh ! J'ai souvent dit "opprobe" (et "altermoiements" aussi... ) Heureusement que je ne suis pas Ministre !

Il ne faut pas ! C'est inutile et n'est pas l'objectif recherché.

C'est exactement l'idée que je voulais suggérer : le déni !

je suis toujours un peu surpris des mines étonnées quand on énonce une réalité, finalement assez courante, mais que chacun semble refuser de voir à tous prix. Exemple : - Nous allons tous mourir un jour ! - Ce que tu peux être pessimiste !

Facile : je ne le supporte pas !

Vous prendrez ça au degré que vous souhaitez (premier, deuxième, troisième...) : Mes proches attendent de moi le maximum tout en étant prêts à m'en donner le minimum.

Moi, ça m'a plutôt cassé les co.illes !

Orange Mécanique est un livre extraordinaire, massacré, comme Shining, par Kubrick.

Oui, mais encore une fois, le point crucial, ce n'est pas la différence d'analyse ou de goûts, c'est accepter que les autres détestent ce que l'on adore et inversement.

Pas de problème, chacun ses goûts ; je ne vais pas me dédire et prétendre le contraire.

Evidemment, quand on n'est pas d'accord avec la foule, c'est qu'on n'a rien compris... Merci pour cette leçon de tolérance.

Mon conseil amical : 2001, 2001, 2001 ! Tous les autres, c'est de la merde (ah non, j'ai pas le droit de dire ça ! ) surtout Barry Lyndon. 2001, malgré ses longueurs, c'est tout simplement l'essence de la Vie sur Terre.

Tu ne sais pas ce que tu perds !

Il faut parfois regarder (ou écouter pour de la musique) ce que l'on n'aime pas pour conforter ou même changer d'opinion. C'est ce que j'essaie de faire, mais pas tout le temps : la vie, c'est pas fait que pour se faire du mal !

ça a peut-être un peu vieilli, mais je suis amoureux de Jodie Foster depuis que j'ai 10 ans, alors... Oui, tu as raison.

Pas si évident que ça, tu sais : vois la réaction de quelqu'un à qui tu expliques que tu détestes son chanteur préféré... La tolérance, ça commence par de petites choses du quotidien : accepter les goûts différents, la façon de voir la vie différente, par exemple je préfère la pluie au soleil, résultat la plupart des gens me regardent de travers quand je leur dis ça (genre "va te faire soigner")