Auger

Pour moi, c'est la liberté de dire STOP ! Je n'en peux plus de cette vie, de cette souffrance physique ou psychologique, de ce vide, de ce non-sens... Mais je "parle dans le vide" : je le ressens juste comme ça car je n'ai jamais eu de pulsions suicidaires (mais il ne faut jamais dire jamais) C'est quelque chose de très personnel et il est normal que chacun ait des avis très tranchés et très "viscéraux".

Complètement d'accord : c'est l'ultime liberté individuelle !

Ah, quand la liberté équivaut à l'égoïsme le plus crasseux, l'esprit collectif implose...

Ta lucidité fait presque peur... Pour résumer : tu es mon pote : il ne faut pas te bannir, tes mots dépassent ta pensée, on ne comprend pas ton humour, bla-bla-bla... Tu n'es pas mon pote : dégage, ordure issue de la fachosphère !

Pour faire bonne figure à côté de ce concert de louanges, plus ou moins intéressées, je veux que tu saches que je te hais ! (Voilà, mais c'est juste pour cette fois, n'y reviens pas)

Merci pour cette critique précise et étayée. (mais poursuivre est vraiment au-dessus de mes forces) C'est quand j'ai éclaté de rire à la lecture du nom du copilote Gid Favereaux - on dirait vraiment du King - que j'ai compris que je ne pourrais pas aller plus loin...

Poncifs, poncifs, poncifs : le militaire américain, l'avocate noire, l'architecte éconduit, l'annonce du cancer (grotesque), etc., etc. Peut-être suis-je sévère, je ne veux pas faire le poseur, je donne juste mon avis, et mon avis est que c'est un livre ridicule.

L'Anomalie (je sais, il a déjà été évoqué) Tellement mauvais que j'ai tenu 50 pages... Tous les poncifs d'un (mauvais) Stephen King des années 90, genre Minuit 2 ou les Tommyknockers. Je n'en reviens pas qu'il ait eu le Goncourt ; à ce rythme, Stephen King prix Nobel de littérature en 2024 et Marc Levy en 2028.

C'est celle avec la sœur qu'il "laisse tomber" ? Cette nouvelle est bouleversante. Tu peux y ajouter "chambre 312" (le narrateur va voir sa mère mourante à l'hôpital), la fin de ce livre est déchirante. Dans ce recueil, il essaie tout : Lovecraft, la S.F., l'horreur, l'épouvante, l'émotion, l'étude de caractères... un très, très, très bon recueil que j'ai plaisir à relire régulièrement.

Ah, s'cuse !

Bizarre, j'ai la traduction d'origine, en format papier, un certain Pierre Alien (encore un étranger ! ) Les 4 nouvelles sont vraiment extra, avec - encore une fois - une pointe d'émotion pour "le corps" qui est restée plus vivace que pour les 3 autres. Mon "triptyque" de King c'est celui-là avec "Shining" et "Danse Macabre" Bonne lecture.

Le mythe de la meute, est-ce mieux que des meutes de "Mite" ? Ok, je pars me coucher.

"Stand By Me" ?, ça n'a pas loin de 35 ans maintenant. J'ai été tellement "scotché" par la scène du cerf dans la nouvelle (peut-être qu'à à peine 20 ans, on est facilement "scotchable") que je n'ai jamais voulu voir le film. J'essaierai quand même, si c'est mauvais, 35 ans après, il y aura "prescription".

Oh bon Dieu, c'est un chef d'œuvre ! (avec peut-être un petit coup de cœur particulier pour "le corps", inoubliable)

Au final (j'espère que ça n'a pas déjà été dit) je crois que le pire crime contre l'humanité de ce type est d'avoir pondu des peintures aussi dégueulasses : essayons déjà de lui pardonner ça avant de lui en remettre une couche héréditaire sur la tête.

Ok, ok, je comprends J'essaie juste d'adopter le point de vue de quelqu'un qui a manifestement dépassé le "seuil tolérable" de souffrance ou de violence et que ça peut amener à avoir des réactions, comment dire, "extrêmement fermées" ?

Comme souvent tes propos sont extrêmement durs et justes à la fois (à mes yeux en tout cas) Il y a des gens dont la souffrance énorme leur a permis de s'ouvrir sur les autres (j'ai bien peur que ce soit la seule solution pour s'en sortir un peu, mais passons...) Et d'autres que la souffrance a quasiment enfermés dans la haine de soi et des autres : ils tentent souvent de réagir comme si eux seuls avaient souffert ou pouvaient comprendre : une espèce de monopole de la souffrance. Pour autant, je m'incline devant la souffrance d'autrui (je sais : ça leur fait une belle jambe) quelles que soient les réactions, parfois négatives, que cela entraîne. Mais je ne crois effectivement pas que l'on ne "puisse pas comprendre" : toute destinée humaine a son lot de souffrance qui permet de comprendre - et peut-être de partager - celle des autres.

Artiste peintre non reconnu à sa juste valeur. (ok, je sors)

Non, ça prouve juste que tu as les neurones en surchauffe et qu'il est temps de prendre une bonne verveine et de regarder "questions pour un champion" Hum... du Audiard ?

Je ne participe pas à un quiz ou à un interrogatoire de police, je constate juste que tu demandes beaucoup "d'honnêteté" et de "franchise", comme si ne pas etre d'accord avec des raccourcis absurdes et SIMPLISTES signifiait forcément être malhonnête. Tu avoueras qu'il faut quand même oser.

Non, non : simplistes

Tu n'es pas dans la discussion il me semble, mais tu t'arcboutes pour avoir raison, le dernier mot... en dehors de toute logique. Oh @épixès ! dire que j'ai brocardé ton topic sur les forumeurs : pauvre fou que je suis !

Quand les gens s'entêtent, il est inutile de continuer, tu finis par donner raison à @jul77 (ma "porte entrouverte", c'est que des conneries )

Excellent !

Je ne sais plus quoi te dire : ce n'est pas parce qu'on est fils d'un "Saint" (si les "Saints" existaient et si, par-dessus le marché, ils pouvaient avoir des enfants) qu'on est un "Saint". L'inverse (ou le contraire, je ne sais pas) me semble vrai.