CAL26

Si un Etat (comme toute personne morale ou physique) tue un individu avec préméditation il devient un assassin. Ce n'est pas qu'un jeu avec les mots mais la justice n'est pas la loi du talion. Personne ne cherche une solution miracle : il s'agit de penser aux dégâts que font à long terme la violence symbolique et la conception de la justice comme une forme de vengeance populaire. Et pour les homicides involontaires tu proposes aussi la peine de mort ? Tu innoves .

Mais symboliquement elle en crée d'autres car un Etat qui devient un assassin (si on exclut les guerres) ajoute de la violence dans la société.

Inutile de créer un sujet de discussion si c'est pour faire preuve d'autant de mauvaise foi. Dis que tu es pour la peine de mort et contente toi des cent et mille sujets déjà créés sur le forum et qui aborde la question ou argumente sérieusement.

Non, ce n'est plus possible.

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 53/100 Mon temps 110 secondes  

Avant, oui.

Tu as un problème de lecture :dans mon message c'est @Beltégeuse que j'ai seule mise au féminin. Et quel rapport entre mon message auquel tu as réagi et ce que je pense de la mort de Fourniret ? Donc je répète : il faut que tu relises attentivement.

La question que je me pose est quel genre d'obsèques est fait à ce genre d'individu un peu taquin avec la morale ? Là c'est assez drôle. Donc tu es pardonné mon fils.

Apparelmment tu n'as rien compris. Alors regarde bien le film depuis le début.

Là c'est toi qui t'es dévouée pour raidir @Panem&Circenses .

Mais je ne suis pas pessimiste : tant que le présentateur Samuel Etienne présentera "questions pour un champion", les joies du contingent l'emporteront sur le nécessaire.

Non, d'autant que la vie elle-même disparaîtra (si on ne pense qu'à la vie sur terre, la disparition du soleil devrait supprimer toute forme de vie).

La mort est constamment présente dans ma conscience. Et je l'attends.

Si je meurs et ne peux plus lire @hell-spawn ça me va.

Simplement être capable de brûler vif un être vivant me semble au delà des mots. Rien à dire d'autre que le dégoût.

Moi aussi elle me dépasse totalement, inaccessible et écoeurante. C'est tout ce que je trouve à dire sur le sujet et je vois fleurir des commentaires que je trouve totalement inappropriés pour commenter une telle barbarie qui anéantit toute politique.

Zemmour est un excellent polémiste à tel point qu'il a toujours su affirmer des opinions tranchées et globales sur des sujets qu'il ne maîtrisait pas ( je me permets ce jugement car j'étais beaucoup plus documenté que lui sur certains sujets qu'il abordait sans vergogne et surtout sans contradicteur solide). C'est pourquoi Zemmour représente maintenant pour moi la raison qui déraisonne parce que totalement enfermée dans son propre système. Certes on ne peut pas lui reprocher de défendre une cause par intérêt purement médiatique parce qu'il est convaincu et parce qu'il a une culture historique et littéraire solide. De ce fait il n'est absolument pas un pantin des médias et longtemps cette singularité m'a plu justement parce qu'il venait donnait des coups de pied dans la fourmilière. Mais par sa passion pour l'histoire mal digérée et toute autre dérive de l'intellectualisme, il s'est enfermé dans un système de pensée radical et totalement hors sol qui n'est pas capable de se remettre en question. Quant à l'affaire dont c'est le sujet, j'assiste encore avec désespoir au déploiement du tribunal populaire qui juge également hors sol que ce soit au détriment de l'accusatrice ou de l'accusé. Pour les deux je rappelle la présomption d'innocence. Alors attendez et fermez là en occupant votre langue en sept rotations ou en tout autre usage.

Oui le racisme est totalement universel. Il s'agit à chacun de faire un effort pour canaliser ce racisme archaïque pour atteindre un niveau supérieur de civilisation. Les outils pour contrer ce biais cognitif sont faciles d'accès mais il s'agit de faire un petit effort bénéfique pour tous mais aussi pour soi à long terme. Et il y a le racisme ordinaire qui se limite généralement au rejet global de ceux qui sont différents puis il y a le cas limite qui passe par ce genre de violence isolée ou par le terrorisme.

C'est un sujet sensible. Sans vouloir faire la leçon, faîtes attention à ce que vous postez participants de "quel temps fait-il chez vous ? " !

Il me semble opportun de rappeler que nous sommes sur un forum et quand je vois la faiblesse argumentative de @Ohissa et de @Barbara lebol, je plains la controverse, objet principal d'un tel forum. Certes nous n'avons pas les mêmes opinions et leurs confrontations est bien un des intérêts d'un tel réseau. Mais que les échanges puissent au moins avoir la prétention de faire douter ou d'affaiblir la position de son "opposant". Là c'est pathétique parce qu'ils ne sortent pas de fragiles affirmations qu'ils ne savent pas étayer. Ce qui rend ce sujet inutile.

Tiens, ça me donne une idée et je vais créer le sujet sur l'asile : faites votre CV démontrant que vous ne pourriez jamais être modérateur.

@Barbara lebol nous sort des chiffres sans explications et surtout sans les maîtriser. J'ai voulu le lui suggérer mais elle a répondu avec une émoticone qui rigole et qui dit que je me crois spirituel. Que comprend-t-elle ?

Et l'hôpital que tu cites assure un service régalien peut-être ? Donc, vu que tu cites aussi l'hôpital je te repose la question : comment détermines-tu les secteurs qui doivent rester dans le public?

Bravo alors aux pays scandinaves qui en plus ne sont pas mauvais au concours Eurovision de la chanson. Comment détermines-tu que certains secteurs sont à privatiser et surtout pas ceux que tu cites (je ne pose pas la question pour l'armée) ? Notamment l'hôpital où existe le droit de grève ?

Le service public fonctionne pour l'intérêt général avec une vision sur le long terme. Les services qu'il rend sont non marchands et donc chaque usager, quels que soient ses moyens, peut en bénéficier. Et les fonctionnaires ont des obligations de résultats. Cette approche tellement banale et médiocre que tu as de la question n'est donc pas vouloir plus d'efficacité mais vouloir substituer la logique marchande à celle de la défense de l'intérêt général.