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Tout ce qui a été posté par Crève
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bien , je vais donc m'appuyer sur ce propos pour répondre : La femme, contrairement à l'homme, demande à ce qu'on l'arrose. D'où la tradition de lui offrir des fleurs, acte qui représente symboliquement l'acte amoureux : la fleur, c'est le clitoris, ses pétales les grandes lèvres. Le tout a besoin d'être arrosé. Quant à l'homme, lui, il est dans la pénétration, la conquête. Son sport favori : le foot. Rien d'anodin : l'acte de faire pénétrer le ballon dans la cage, c'est l'acte ultime : la pénétration, marquer un but. Plus il pénètre, plus il gagne. Quant à la femme, elle, elle s'arrange dans l'univers de la cuisine : couteau, fourchette, spatule, sont autant d'ustensiles qui rappelle le phallus, phallus qu'elle aime manier pour faire sa sauce. Telles sont les différences philosophiques hommes / femmes.
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Ta question est trop vaste, autant se demander : qu'est-ce que la vie ? Qu'es-ce qu'un homme ou une femme ? Déjà, homme ou femme, faut dégrossir : il y a l'être anatomique, l'être social, l'être familial, l'être moral. Tu demandes une définition, mais tu définis pas lequel être. Sur quel plan tu demandes une définition de l'homme, de la femme ? Dégrossis la question, après on y reviendra.
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le livre de Diam's est plus accessible ?
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Pourquoi on rangerait LOana aux oubliettes ?
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Ah t'es un mec ! Depuis le temps qu'on se posait la question, car t'as pas indiqué ton sexe dans ton profil. Bon, moi j'ai proposé le livre Miettes, de Loana. Et toi le livre de Diam's. C'est à @January de trancher sa prochaine lecture !
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J'ai bien aimé True Detective Saison 01. L'avez-vous vue ?
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J'ai 26 volumes de La Comédie humaine. Ouais pour se marrer, on a vu mieux.... Je sais pas si l'objectif de January c'est de "se marrer"..
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J'ai 26 volumes de La Comédie humaine.
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Le livre est aussi dur, il est servi par un style cru, avec des phrases courtes, et des paragraphes courts qui s'enchaînent. Jamais ils ne sont nommés, dans un tel monde, les noms n'ont plus d'importance. C'est un roman mettant en scène la survie d'un père et son fils, dans un monde dévasté, ruiné, abandonné. La civilisation n'est plus. Tout est gris. Seul compte la survie. Dans ce contexte, les autres humains sont des prédateurs, des cannibales. Comment expliquer à un enfant un tel monde ? Le père répète souvent qu'ils portent le feu. Quel est ce feu ? Est-ce la foi ? C'est dans une scène émouvante que le père, décédant, transmets au petit le flambeau, en lui affirmant qu'il sera toujours là, qu'il l'entendra. Lorsque plus rien ne tient au monde, que les humains restants ne sont plus que des bêtes, traquées ou traqueurs, l'acte réunifiant et solidaire ne peut être que la foi en l'autre, et c'est sur cette scène que se termine le récit : l'enfant rejoint un groupe, ayant pour la première fois su identifier des "gentils", par opposition aux "méchants" qu'ils ont rencontré auparavant. Les dialogues et la narration sont minimaux, pour coller au plus près à l'ambiance délétère.
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ça décrit très bien un roman comme La route, de Cormac McCarthy.
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Et c'est quoi ce travers, dans lequel ils tombent tous ?
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et ça a été écrit quand ?
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Oui les éditeurs français l'ont bien compris : la traduction, ça a un coût. Du coup, la tendance actuelle, c'est de montrer que en France on a des talents, des auteurs doués et qu'on peut compter sur eux pour nous faire rêver. Cette petite maison d'édition tient à ce que ses auteurs-rices soient présents sur les salons. Mais en matière de science-fiction, les lecteurs-rices sont encore très friands des Américains ; les Frank Herbert et autres Asimov sont encore présents à l'esprit. Il semble que ce ne soit pas facile de trouver des traducteurs fiables et doués. La traduction est un domaine en constante mutation en plus : faut-il traduire les noms propres qui ont du sens ? Hogwart devient Poudlard en français dans Harry Potter, etc. La traduction demande du talent, faut bien l'avouer, tant et si bien, que certaines traductions sont révisées. J'adore la traduction, et j'aimerais en faire mon métier. Langue source : l'anglais ; langue cible : le français. J'aimerais traduire de la littérature jeunesse, genre en plein boom. Je me forme en ce moment.
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J'ai surtout la passion pour le capitalisme : les deux patients qui m'offriront le plus d'argent, sont ceux qui auront le mieux réussi leur vie, financièrement ; c'est donc normal de les sauver, ce sont des gagnants dans le jeu du capitalisme. En cette période, il faut sauver nos meilleurs éléments.
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Je demande à la famille de ces personnes combien d'argent elles peuvent me fournir pour que je leur offre un respirateur. Et je choisis de sauver les deux qui m'offrent le plus.
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donc, pour lutter contre le VIH, faut recréer le VIH en laboratoire ? on peut pas simplement prendre un patient qui l'a ?
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je comprends pas, pourquoi un pays s'ingénierait-il à recréer le VIH en laboratoire, en une sorte de mixte de virus mortel ?
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oui, une touche de romantisme ; en fait, plusieurs touches, une histoire d'amour de chaque côté du miroir, une histoire dans le passé en 1636, et une histoire en 2010. Je connais l'auteur, il est de ma région. Il anime un cercle d'écriture dans ma petite ville! La maison d'édition est toute nouvelle, elle semble s'attacher à ne publier que des auteur-rices français-es.
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souvent les célébrités pour écrire leur livre, elles ont des ghostwiters. sinon, si tu hésites, je te propose :
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je comprends pas comment on peut décréter une date de sortie, le 11 mai : ça dépend pas de nous, mais du virus!
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roman plein de paradoxes temporels ! histoire d'un miroir qui envoie une image du passé, une fenêtre sur 1636.
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je suis curieux de ton avis !
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Seriez-vous volontaire pour vous faire tracer ?
Crève a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans France
G Comme stipulé dans le roman de J. C. Ruffin Globalia l'aporie suivante : la liberté c'est la sécurité, la sécurité c'est la surveillance, donc la liberté c'est la surveillance. -
j'en étais sûr que tu dormais peu ! c'est pas possible de lire autant, sinon ! en ce moment je lis en anglais, alors forcément je vais moins vite.
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Sur le thème de la recherche de chocolat, je vous propose une lecture :