Crève

J'ai voté Yannick Jadot, mais au vu de la tournure des événements, je suis désoeuvré : vous me conseillez quoi pour ce second tour, dont les têtes d'affiche ne me séduisent pas ?

et comment qualifieriez-vous les électeurs de Yannick Jadot ?

Peut-être qu'en B.D. ça passera mieux..

t'en as repéré, des femmes intellectuelles, sur le forum ?

Vous qui êtes si cultivé j'ai du mal à vous voir assis devant PBLV ; pouvez-vous nous dire ce qui faisait le charme de cette série, puisque vous l'avez suivie ? J'ai du mal avec les séries françaises (Sous le Soleil, etc.) Sinon, à 20 h 20, ou à n'importe quelle heure, on peut toujours asseoir sa tablette et lancer une vidéo U-Tube.

quand on pousse sa crotte, et pendant l'orgasme. (rien de mieux que la jouissance des parties basses, des bas morceaux !)

Bonjour, Je viens faire part ici de mes lectures récentes. Je viens de terminer un Zola, le quinzième opus de sa série des Rougon-Macquart, j'ai nommé La Terre. Ce roman se veut la description du monde paysan, de son rapport à la terre nourricière, de ses querelles, de sa vie quotidienne. L'accent est mis sur la terre que le monde paysan se déchire, se vole, se tue même, pour avoir la main mise sur les terres qui donnent les nourritures à l'Homme. C'est un roman sur la paysannerie, son langage grossier, ses coutumes qui comprennent le mariage, l'enterrement, le deuil, mais surtout la jalousie, l'appât de l'héritage, les familles qui se déchirent, les fraternités qui se défont, les parents qu'on abandonne, qu'on plume jusqu'au trognon, les questions d'argent ; mais aussi le désir de posséder femme, les querelles qui naissent pour une femme, le désir sexuel. C'est tout ce monde paysan qui est mis en scène, avec son langage ordurier, son sans-gêne, ses frasques. Mon ressenti : je ne sais pas si c'est voulu, mais le roman a provoqué chez moi un effet comique. Le langage cru, grossier, argotique, ces scènes sorties d'un sketch, c'est tellement caricaturé que ça en devient hilarant, je pense notamment à cette scène où un âne boit du vin et devient saoul, dégobille dans tous les coins. Le roman est divisé en cinq parties, et on n'a pas vraiment de personnage central, plutôt une mosaïque de personnages, dont deux soeurs, qui vont se déchirer, un personnage détestable qui ne pense qu'à violer, et un brave homme. C'est un roman typique de Zola, qui s'attache aux petites gens, au peuple, et ici, la star, c'est la terre, cette bonne terre qui nous fait vivre, pour laquelle on s'entretue, mais qui n'a fiche de nous, telles des fourmis sur un gros caillou, la terre en a vu d'autres, on passera qu'elle sera encore là.

perso, je vais rester sur la première saison, car j'ai pas le temps de tout mater, 06 saisons c'est beaucoup trop long, je regarde uniquement la saison 01, et si c'est exceptionnel, ou si j'ai un intérêt particulier pour le sujet, je poursuis éventuellement.

Outlander, l'histoire d'une femme projetée dans le passé, en plein conflit entre les highlanders et les anglais.

Je lis un Zola, La Terre, qui relate les frasques du monde paysan, et de leur relation avec la terre nourricière.

retour à la science-fiction française : les temps ultra-modernes, de Laurent Genefort.

j'imagine donc que toi aussi tu lis en anglais ?

je lis : en anglais, bien sûr première rencontre pour moi de Philip Roth

Non mais est-ce que t'as lu Les particules élémentaires ? Quand même, en 98, toute la scène littéraire française s'extasiait sur cette idée de Michel, que l'Humanité découplerait la sexualité de la reproduction dans son avenir. Alors même que c'est déjà le cas dans l'oeuvre de Huxley Le Meilleur des mondes. J'aime beaucoup Michel, mais bien plus pour Extension que pour Les particules. Là le mérite revient à Huxley, faut dire.

Robopocalypse. publié en 2012. page 100 : jusqu'ici, du vu et revu en SF.

Il n'y a que moi qui trouve que ce qui fait le succès de Les particules élémentaires, est en fait pompé sur Le Meilleur des mondes ?

J'ai vu 01 épisode de All of are Dead, pourtant classée n°01 sur Netflix, ben on peut s'en passer.

Après 1Q84 - la trilogie, et Kafka sur le rivage, j'ai choisi à la Ressourcerie, un autre Murakami : L'incolore Tazaki.

La mare au diable, ma première rencontre avec George Sand, son écriture me fait l'effet d'être très désuète mais très agréable à lire, on apprend comment se passait un mariage paysan à l'époque.