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Tout ce qui a été posté par Crève
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Sauf que si l'homme était absent, je crois, mais je ne suis pas expert, que ce ne seraient pas les seules choses qui ne seraient plus entretenues par l'homme : on aurait aussi les centrales nucléaires, qui continueraient de tourner, et qui poseraient problème, parce que je crois qu'on arrête pas une centrale comme ça, comme on éteint la lumière.
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Si c’est un Musso qu’il vous faut, vous pouvez peut-être essayer Valentin ? Ça compte ?
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You saison 01. quelques longueurs, mais finalement mieux menée que d'autres séries.
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Bon, j'ai abandonné de nouveau mon recueil de science-fiction, je n'arrive pas à suivre. J'ai emprunté à la bibliothèque ça : LX18 de Kamel Benaouda. Une anti-utopie, qui suit le parcours d'un jeune de 16 ans, conçu pour la guerre, qui ne ressent pas d'émotions, mais qui, faute de guerre, va devoir intégrer la vie civile et le lycée, et s'intégrer. Roman initiatique, tout à fait maîtrisé, la fin est toute en finesse. 264 pages.
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Lequel a ta préférence dans cette saga (pentalogie ?)
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Wonder Woman Le scénario est nul ; sur leur île, les amazones voient la visite des allemands, qui pourchassent un espion. Les scénaristes ne s'encombrent pas, le dialogue est à peu près "eux ce sont les allemands, les méchants" hop, elles engagent le combat. Même pas elles se questionnent, on guide le spectateur comme on peut. Tout ça pour une esbroufe d'effets spéciaux. Si finalement, les femmes font comme les hommes : rivalisent de gros bras, cassent les murs, ne réfléchissent pas ; est-ce que vraiment ça fait avancer la cause féministe ? De plus, les trois quarts du film, elle est patronisée par un homme qui lui dit comment faire à Londres ; je trouve pas ça exemplaire de féminisme. A oublier.
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Je rattaque un recueil de science-fiction, de Rich Larson, s-f récente, pleine de nouveaux concepts.
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Je lis L'homme invisible, de H.G. Wells,
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le trois était mieux au niveau scénario (voyage dans le temps), ça changeait.
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Fini la B.D. Oms en Série, adapté de Stefan Wul l'être humain, comme un animal domestique !
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J'en ai oublié un : Annihilation. Adapté de Jeff Vandermeer. J'aime beaucoup ce que fait Alex Garland (Ex Machina). Dans ce que j'ai cité, ya aussi Upgrade, de Leigh Whannel (scénariste de Saw)
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Je viens de finir le dernier Men in Black : International. ben c'est tout nul, ça n'a pas la saveur des Barry Sonnenfeld, et les acteurs et actrices sont loin d'égaler les perfs de Will Smith et Tommy Lee Jones, les répliques ne sont pas au niveau, le scénar est nul, les nouveaux gadgets ne se renouvellent pas (on ressort l'histoire du "bouton rouge" sur lequel il ne faut pas appuyer dans la voiture, c'est lourd), etc.
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Je lis Barrière mentale, de Poul Anderson. Soudainement, l'ensemble des êtres de la planète, animaux compris, voient leur intelligence augmentée du jour au lendemain.
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faut bien que l'homme aille travailler et utilise du carburant, pour assurer au nid familial un moyen de subsistance, et de quoi rembourser le prêt maison.
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Je ne sais même pas si ça m'aurait plu à l'âge de 12 ans. Dés les premières scènes, je me suis demandé : mais que fout Nicole Kidman là-dedans ? Comme le scénario est du recyclé basique (le coup du bâtard appelé à devenir roi), ce qui crée des dissensions, on bourre le film de scènes d'action, dopées aux effets spéciaux, avec un petit côté écologique (nous polluons les océans, ceux-ci se vengent ; sisi, c'est bien tout le scénar du film), un gros bourrin pour héros, avec un moment culminant du film : un monstre gigantesque un mi-Lobster mi-Godzilla des mers, dont on se demande le pourquoi de la présence, fait que je me suis demandé pourquoi je regardais ce film qui tourne au n'importe quoi.
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Superbe long métrage, une virtuosité dans le placement de la caméra qui donne l'impression d'un long plan-séquence, mais on devine par moments à quels endroits le plan-séquence s'arrête, et le suivant reprend. Le plus long ayant duré 09 minutes. Le mouvement de caméra est magnifique, on ne perd rien de l'aventure des soldats britanniques, campés par de bons acteurs. Les décors sont bien rendus, les moyens sont au rendez-vous ; nul besoin d'un scénario complexe, il suffit de suivre deux soldats en mission, depuis les tranchées, pour avoir son content d'émotions. Sam Mendes dont je me suis promis de suivre tous ses longs métrages depuis que j'ai vu American Beauty, ne déçoit pas, et comme Spielberg et Nolan, il ajoute un film de guerre à son palmarès.
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Je lis La burlesque équipée du cycliste, de H.G. Wells : Il fait partie du pack de 16 romans que j'ai acheté sur liseuse pour 1,99 €uros. Attiré par ce qu'en dit Wikipédia : l'impact de la démocratisation du vélo, rendu possible par la baisse des prix ; comment cela a modifié la vie des britanniques en 1890-1905. Traité de façon humoristique.
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Quelqu’un connaît les détectives box ? Ils t’envoient une box, avec dedans des documents. Des coupures de journaux, des rapports et pis faut résoudre . Faut aussi aller sur Internet.
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@January il t’arrive de lire en anglais ?
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Merci pour ces précisions ; je me faisais la réflexion que nous avons toujours des anglicismes, quand il s'agit d'un genre qui fait son apparition : cosy crime, feel good. Ne peut-on pas avoir et utiliser une traduction ? Cette réflexion m'a amené à une autre : la France n'est pas le berceau des genres nouveaux. A chaque fois ça vient des Etats-Unis. Pourtant en France on aime la littérature.
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En effet, le fond du catalogue n'est pas transcendant, en sf. Ce que je peux recommander d'autre : La Plateforme, I am Mother, Upgrade, pour les films. Et Black Mirror, la série dont j'attends la prochaine mouture avec ferveur.
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Voici ma contribution au topic : Ce qui me sidère, ce n'est pas l'accident, car des accidents on en a tous les jours en France, et des mortels. Ce qui me sidère, c'est la vitesse à laquelle on a retrouvé les deux personnes en fuite ; par le jeu des caméras embarquées dans les véhicules (les dash-cams), et sans doute par l'historique des téléphones portables, la police est toute puissante. Les caméras des autres usagers et leur multiplication deviennent des yeux omniscients qui t'espionnent, contre ton gré, à ton insu.
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Sur la plateforme Netflix, les algorithmes m'ont proposé un film sympa : Archive. De Gavin Rothery. 2020. En 2038, un scientifique travaille dans une base éloignée, sur l'intelligence artificielle, et notamment la conception de robots. Il vit seul, entouré de ses deux premiers prototypes J1 et J2. En parallèle, le film nous apprend qu'il a eu un accident de voiture, et que sa femme en est décédée. Archive, la société pour laquelle il travaille, permet de stocker la personnalité des défunts, et d'interagir avec eux par écrans interposés, un service qui permet d'avoir 200 heures d'interaction avec le défunt. A ce point, inutile de vous demander les motivations du scientifique, vous les avez devinées : il va vouloir faire revivre sa femme. Je vous apprends rien, je spoile rien, ça on le sait dès les débuts du film. Ce qui frappe en premier lieu, c'est qu'on a franchi un pallier dans la représentation de l'intelligence artificielle : elle est douée d'empathie, ressemble tellement à l'humain, à ses imperfections, ses caprices, ses sautes d'humeur, sa jalousie, ses névroses. C'en est troublant. On n'est plus dans le robot froid et calculateur, qui répond mécaniquement, sans caractère, au service de l'humain, sans broncher. L'intelligence artificielle est ici dépeinte avec une psychologie ; le robot même le dit "je n'ai pas de blessures physiques, mais je ne vais pas bien". Un mélange de Dick et d'Asimov, l'un pour les vivants qui parlent aux défunts, l'autre pour les robots. Et un peu d'Ex Machina. Enfin, j'ai été surpris par la fin mais vous me direz. Donc, je recommande celui-ci (contrairement à Jung_e, vu aussi sur la même plateforme, mais moins bien mené).
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Je lis en parallèle deux oeuvres : les nouvelles de Philip K. Dick Intégrale, soit 120 nouvelles, en anglais. Et j'ai acheté sur ma liseuse, pour 1,99 €uros, H.G. Wells : 16 romans, 25 nouvelles et 03 essais. (en français).