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Tout ce qui a été posté par sovenka
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Oui mais ça veut dire que si par exemple on veut aller voir ce qu'il en est de la fonte des glaces dans une mission à risques au pôle ou qu'on reste des mois au Sahel pour la fondation d'un poste médical, on confie ses enfants à d'autres parce que ce serait trop dangereux pour eux ? Evidemment c'est faisable mais les enfants peuvent souffrir de ces absences, un jour ils peuvent te reprocher d'avoir été moins proches d'eux que d'inconnus ce qui m'amène à croire que pour de telles actions, on est plus libre et plus mobile sans enfants. Cela dit je reconnais qu'il y a plein de choses utiles à faire près de chez soi pour améliorer la société pendant que les enfants sont à l'école.
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Et ces personnes peuvent décider de consacrer leur temps libre à l'évolution de l'espèce justement, en se mettant au service des autres, de l'environnement menacé, alors qu'ils n'en auraient pas forcément eu le temps en devant s'occuper de leur propre progéniture.
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Quand une population atteint un certain niveau je pense que c'est mieux qu'une partie de ses individus stoppent la reproduction. Pour la survie de l'espèce justement c'est mieux parce que le surnombre représente une menace : plus assez de vivres pour chacun... La nature régule d'ailleurs elle-même les populations trop nombreuses puisqu'il apparaît des épisodes d'épizooties chez les animaux. Les humains peuvent la ramener avec leurs vaccins, antibiotiques et autres mais il pourrait leur tomber dessus une épidémie tellement brutale et différente des précédentes qu'il y aurait des millions de morts avant qu'un remède soit découvert. Sans cela de toute façon nous atteindrons un point où il n'y aura plus assez à boire et à manger pour chacun, où on vivra entassé faute de place qui sait ? Le plus sage à présent que nous voilà plus de sept milliards d'humains sur Terre est qu'une partie refuse la reproduction.
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Il a confessé de nombreux crimes rituels d'enfants, dont il conservait les cadavres pour les contempler par la suite. De son enfance on ne sait rien, en ces temps toute enfance était dure de toute façon par rapport à nos normes actuelles. On peut aisément imaginer la fréquence des abus et des maltraitances dans une société où celui qui était au-dessus de par son statut, son rang nobiliaire ou sa place dans la famille avait des droits sur ceux qui étaient en-dessous : les parents pouvaient battre les enfants, les maris pouvaient battre les épouses, les maîtres pouvaient battre les apprentis, etc. Cette histoire est tellement ancienne d'ailleurs, saurons-nous jamais la vérité vraie ? Gilles de Rais avait-il ses détracteurs ? A-t-il avoué sous la torture ? Il n'avait pas d'enfants donc pas d'héritier, a-t-il été évincé par un autre noble intéressé par ses biens ? Était-il ruiné au début de son jugement ? Était-il purement et simplement un réel tueur en série et a-t-il été exécuté seulement pour ses meurtres ? Les minutes de son procès sont conservées je ne me souviens plus où mais dans un documentaire anglais une historienne a été quelque peu remuée en en prenant connaissance, d'autant que les victimes étaient des enfants. Qu'est-ce qui distingue tous ces tueurs ? C'est vrai que de nos jours on a tendance à tout vouloir classer : le tueur de masse qui va tueur plusieurs personnes en une seule fois comme dans ces tueries américaines, le tueur en série va en tuer plusieurs au cours du temps, le militaire tue quand c'est la guerre, le tueur à gage tue pour de l'argent, la crapule ne tue pas forcément... Le terroriste entre-t-il dans la case des tueurs de masse bien qu'il le fasse pour des raisons politiques et/ou religieuses ? A propos de la signature : un gif qui m'a plu (j'adore les gifs) mais je ne connais pas cette série en Ecosse
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Bin mince alors. Cela a dû être pénible pour les parents. Je te remercie pour ton témoignage : c'est la première fois que je prends connaissance d'un où cela se produit dans une famille dite normale, sans histoire. Ou alors oui mais on finissait toujours par apprendre qu'il y avait des squelettes au placard même si tout le monde cachait bien son jeu. C'est bon, je mords pas
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Stériliser les parents potentiels je suis pas pour vu qu'un tas de parents ont l'air parfaits mais pourront se révéler pires au bout du compte que d'autres qui n'auraient pas l'air parfait. N'empêche des fois je me demande, voyant avec quels égards certains parents traitent leur progéniture (moindre mot c'est "ta gueule" etc et puis les gamins livrés à eux-mêmes dehors jusqu'à pas d'heure. Faut rien dire sinon c'est la vendetta).
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Je te remercie @Léna-Postrof pour ton topo sur les tueurs en série et leur enfance, c'était enrichissant. Heureusement le nombre d'enfants maltraités devenant des tueurs en série représente un petit pourcentage de l'ensemble. Ce type de criminel a dû apparaître avec la civilisation. On a par exemple Gille de Rais héros de la Guerre de Cent ans et compagnon d'armes de Jehanne d'Arc, mais que sait-on de son enfance ? Rien, on peut juste imaginer qu'un militaire de cette époque devait être capable d'une brutalité inouïe, qu'il était rôdé à des violences épouvantables.
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J'ai cité une citation dans un de tes précédents messages parce qu'il en était question, mais passons. Lui veut y voir un risque de tomber dans l'eugénisme, pourquoi pas même si je trouve le terme excessif par rapport au sujet où -je le rappelle- tout n'est que question, rien n'est imposé. Question à la fois dans le titre, mais plusieurs dans le texte aussi. Je suis demeurée d'accord sur le dernier message de January. Sa réponse m'a le mieux convenu avec celle de The Dalek. Difficile avec quelqu'un qui vient pour passer ses nerfs ou quelque chose dans le genre (je parle de Dzag ne voulant pas faire comme lui : insulter sans nommer). Ce n'est pas arrivée qu'à moi : il fait pareil sur d'autres sujets !
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En outre c'était à @soloandsolo qu'il répondait, et il le dit lui-même qu'il reprend d'autres forumeurs. Lui tout seul ne fait qu'injurier, provoquer, agresser.
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Tu l'as fait sur le sujet "le plus vieux métier du monde est-il aussi le plus cool ?" dans la rubrique Société. De toute façon, c'est récurrent chez toi : quand un sujet te déplaît ou qu'un intervenant ne va pas dans ton sens, tu deviens agressif et injurieux. Souvent ce sont des insultes dans la foulée sans citer de pseudos mais tout le monde sait de qui il s'agit parce que tu t'acharnes sur ledit intervenant. @January y a eu droit aussi en son temps, et tu as l'audace de te réfugier dans ses jupons sur ce sujet parce qu'incapable de te défendre tout seul, d'admettre que c'est ta vulgarité, ta violence verbale qui ne colle pas, que quand tu tapes n'importe quoi dans ton empressement ce n'est la faute de personne d'autre que toi. Inutile de bêler bêtement "hs" "hs" si tu ne sais plus quoi avancer, personne n'est parfait, il suffirait que tu t'excuses et que tu quittes ce sujet puisqu'il ne te convient pas. En ce qui me concerne, je ne comprendrai jamais cette attitude. Il arrive bien que je ne sois pas d'accord avec quelqu'un, que des sujets me débectent au plus haut point mais jamais je n'en viens à injurier, à tirer tout vers le bas par de la grossièreté, ou même à m'acharner sur le forumeur qui a publié dans l'espoir de l'amener à le clôturer. Ce sont des comportements inacceptables. A propos de l'eugénisme j'ai dit antérieurement que c'était un bien grand mot. Eh bien oui, c'est trop tard : quelqu'un qui s'acharne sur moi sur plusieurs pages avant de pondre quelque chose de construit en grande partie calquée sur d'autres ne m'intéresse plus. La courtoisie, c'est pas pour les chiens.
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C'est simple : ce message n'est venue que trop tard, après bien des insultes et des attaques. En plus, il n'a fait que reprendre les arguments postés par d'autres. Quand on s'est fait insulté plusieurs fois par un intervenant on n'a plus envie de discuter avec lui, d'autant que j'avais déjà répondu à un raisonnement similaire exposé avant par d'autres : @Dzag n'avait pas de mérite à reprendre leurs propos. C'eût été différent s'il s'était exprimé ainsi dès le départ, sans être agressif et ordurier. J'ai répondu à tous les autres et j'ai même été capable de les approuver en raison de leur argumentation construite. On peut discuter, n'être pas d'accord, mais qu'on soit agressif et injurieux ça je ne le tolèrerai pas !
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C'est vrai Ta réponse me plaît beaucoup.
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Je ne le nie pas : c'est ce que je m'écrie en lisant ces histoires (on devrait les foutre en prison aussi). Je le dis à chaud cela va de soi. Heureusement que la justice ne dépend pas de moi Evidemment qu'on ne pourrait faire cela, la justice ne s'en sortirait plus. Néanmoins c'est bien d'éveiller la société au phénomène.
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Tu fais de l'ameutage ? Tu sais pas te défendre tout seul ? Il faut que tu t'y mettes à dix contre un ? La lâcheté toujours ! Sur un autre sujet tu as traité @Januarysans avoir le courage de la nommer, de vieille conne qui décide de ce qui est sale ou pas, en gros. C'était une fois de plus très misogyne. Moi je n'ai pas à faire de pirouette, je ne suis pas venue ici pour faire la messe, juste poser une question pour que d'autres en disent ce qu'ils en pensent.
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J'ai déjà convenu qu'on ne pouvait enfermer les parents de criminels mais, rien ne m'interdit, comme d'autres, de m'écrier avec dépit qu'ils mériteraient qu'on le fasse en apprenant les maltraitances commises. Maintenant, on a le droit de trouver une question aberrante, mais alors il suffit de dire "je trouve cette question aberrante" et non pas de devenir agressif ou insultant ! Surtout, si l'on réprouve l'existence d'un sujet, on n'en fait pas une fixette, on n'y participe pas, point. Je suis parfaitement détendue et tu me fais d'ailleurs bien rigoler. Je te plains d'être aussi agressif et d'être incapable de la moindre courtoisie face à la contradiction. Et arrête de répéter en boucle "hs" : c'est toi qui a dévalé sur ce terrain, maintenant si tu ne sais plus que dire, fais silence.
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Ridicule, pourquoi pas, cela ne tue pas : le ridicule n'est pas un tueur en série, grmfffff ! Puis venant de ta part, se faire traiter de ridicule, c'est même gratifiant. Toi tu ne réponds simplement pas au sujet tu viens passer tes nerfs fragiles, tu m'insultes et tu plussoies les intervenants qui sont contre le fait d'envoyer en prison les parents maltraitants de tueurs en série, te raccrochant désespérément à cette faculté de débattre qui te fait défaut. Eh bien voilà, avec ces derniers je peux discuter normalement, prendre note de leur avis, que je respecte pleinement. Je ne vois pas trop l'intérêt de tes interventions vulgaires, agressives, bourrues et misogynes d'ailleurs. On a compris que ce sujet ne te plaisait pas, alors qu'attends-tu pour en sortir ? Ce serait tout à ton honneur donc pourquoi tant d'insistance de ta part ? Cela tient de la folie obsessionnelle vraiment.
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Je vois pas ce que le fait pour une femme d'être mal baisée aurait à voir avec le fait qu'elle ne saurait rien à rien et autre. C'est misogyne de penser que toutes les femmes qui ne pensent pas comme toi ou publient des débats qui te déplaisent seraient automatiquement des mal baisées, comme si tout ne tenait qu'à cela chez une femme. Et toi, est-ce que c'est parce que t'es mal baisé que tu ne supportes pas les différents courants de pensée, la contradiction, les divergences d'avis, tout ça tout ça ? Il fallait en prime que tu sois misogyne ! Comme tu es grave !
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Cette description te correspond plus qu'à quiconque. Qui perd son self control à la lecture d'un sujet qui lui déplaît, d'un avis divergent ? C'est toi ! Qui fonce sans même prendre le temps de soigner son orthographe, cumulant ainsi les fautes ? C'est encore toi ! Je constate qu'une fois de plus, en venant sur ce forum, tu as trouvé sur qui t'acharner, te trompant d'ennemi. Comprendras-tu que ton seul vrai ennemi, c'est toi ? Avec ta psychorigidité, ton égo hypertrophié, ta fermeture d'esprit, tu en es réduit à ne plus savoir te contrôler, à devenir vulgaire et agressif à la simple lecture de sujets dont tu ne supportes pas l'existence ou d'avis contraires au tien. Ne t'en déplaise, ce sujet existe pourtant, que ceux qui n'en veulent pas n'y participent pas ! Je vais te donner un conseil amical qui pourra même te rendre service dans la vraie vie : ressaisis-toi !
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Au sujet de la dissociation : l'enfant abusé par ses parents peut développer divers mécanismes de survie dont il ne pourra pas se dépêtrer une fois affranchi de ses parents. Par exemple la dépersonnalisation et la distanciation (en tant que mécanisme de survie d'une victime). Le tueur en série peut être un enfant qui s'est dédoublé par rapport à ce qu'il était au départ mais pour sa survie dans un contexte de maltraitances, de là un psychisme torturé, décalé... Evidemment, la société ne peut logiquement pas laisser de tels individus en liberté au prétexte d'une enfance malheureuse, ce qui n'empêche pas de reconnaître la part de responsabilité des parents indignes selon moi. J'espère aussi que leurs voisins les regardent de travers, au moins.
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C'est certain que dans une fratrie, les enfants sont tous différents, même entre jumeaux. C'est certain aussi que des enfants sont dès le départ des terrains propices à certaines pathologies, ce que n'arrangera pas le fait d'avoir des parents maltraitants. Bien des tueurs en série ont eu une enfance qui a été une longue suite d'abus, de violences et de folie. La violence peut alors devenir le seul recours face aux défis de l'existence. Sans compter les familles qui paraissent équilibrées vues de l'extérieur mais cachent de lourds secrets. Les enfants qui évoluent dans de tels milieux peuvent alors apprendre à ne rien montrer de ce qu'ils sont vraiment, ils deviennent alors tantôt Dr Jekyll tantôt Mr Hyde. Un enfant qui ne peut créer des liens d'amour et de confiance avec ses propres parents pourra devenir un adulte froid, incapable d'empathie, de compassion, de confiance, et la violence pourra devenir sa première source de satisfaction. Une barrière morale aura été détruite : le tueur en série sait que ses crimes sont interdits par la société mais ce n'en sont pas pour lui. Souvent j'ai pu entendre des gens s'écrier "on devrait emprisonner ses parents aussi" après avoir pris connaissance des maltraitances subies par des tueurs en série dans leur enfance. C'était dit sous le coup d'une indignation très forte, prononcé sans réflexion préalable. C'est ce qui m'a inspiré ce sujet. En fait le contexte psychologique est évoqué durant le procès mais cela n'empêche pas la condamnation maximale. C'est bien au moins d'en parler, de le faire savoir : peut-être que cela pourra aider des parents maltraitants à se remettre en question, à se dire "attention, on le maltraite aujourd'hui mais un jour il sera grand..."
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Bon allez : maintenant te voilà incapable d'admettre que tu avais mal écrit le nom, écrivant à la place celui d'un personnage fictif. Cela te rendrait malade d'admettre tes erreurs ? Tu ne te pardonnes rien ? C'est très très bizarre. Un individu normal dirait "ah oui, mince, écrit comme ceci c'était erroné". Bah toi nan : ce sont les autres qui ont mal écrit à ta place, sans doute. On pourrait décider d'envoyer en prison les parents maltraitants du tueur en série et de laisser en prison et le tueur en série (de toute façon sitôt relâché il serait capable de recommencer). Tout de suite les grands mots, que de haine déchaînée contre moi décidément ! Et pour si peu, vraiment très très bizarre !
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Karl Denke, donc pas Denker. Si tu ne te mettais pas dans des états pareils tu prendrais la peine d'écrire correctement.
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Des lacunes, qui n'en a pas ? Personne n'a la science infuse ! Je n'ai pas honte de le dire : oui j'ai des lacunes, et je rajoute avec humilité que je ne peux tout savoir sur le sujet abordé. Mon égo n'en prend même pas un coup de l'admettre, et je ne vais pas faire mon caca nerveux jusqu'à courir pianoter en écumant de rage sur Google pour avoir au bout du compte un personnage de fiction à citer. Au moins j'ai pris la peine de m'appuyer sur un livre sérieux avant de lancer la question. Je te rassure : les presses universitaires ne font pas dans la publication de roman, même pas ceux de William March
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Non non, pas l'ensemble des forumeurs. La plupart sont venus dire ce qu'ils en pensaient sans m'insulter, TheDalek par exemple m'a fait part très posément et intelligemment de son avis. Je te remercie pour ta réponse quant à toi, comme quoi on peut rester polis même sur une question que nous désapprouvons ! dzag devrait en prendre bonne note. Evidemment ce serait difficile de démontrer jusqu'où des parents ont leur part de responsabilité dans la formation d'un tueur en série et la justice ne peut juger que des actes, pas toute une famille, cela n'aurait plus de fin. Pourtant quand on prend connaissance des maltraitances infligées par certains parents on peut avoir envie de les blâmer aussi pour les crimes commis plus tard par leur enfant devenu tueur en série.