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Don Juan

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Tout ce qui a été posté par Don Juan

  1. Don Juan

    [Valeurs] L'humilité

    Oui, et cela est une forme de noblesse.
  2. L'authenticité ne signifie rien pour moi, à moins que ce soit de sincérité que l'on veuille nous faire parler.
  3. Don Juan

    [Valeurs] L'ordre

    Inscrire la démarche de sa vie dans le respect d'un certain ordre est se respecter soi-même, la clarté de notre esprit et la santé de notre corps dépendent de notre attention et de notre fidélité à une discipline qui préservera l'ordre en question. Respecter tout autre est impossible sans le respect que l'on se doit à soi-même.
  4. Don Juan

    [Valeurs] L'écologie

    L'attitude de respect envers l'environnement dépend aussi d'un état de conscience, sans cette réalisation du respect que l'on doit à la nature, l'écologie reste un acte creux.
  5. Don Juan

    [Valeurs] La gratitude

    Connaître ce que l'on doit à quelqu'un n'est pas une question de valeur. Bien-sûr on apprend aux enfants à dire merci à la personne qui fait un geste à leur égard, mais ce n'est pas en cet instant que l'enfant apprend ce que signifie le remerciement. On sait réellement dire merci, ou mieux encore le ressentir, lorsqu'on a conscience de la valeur du geste qui nous a été adressé.
  6. Don Juan

    [Valeurs] L'humilité

    L'humilité est en aucun cas une valeur. Si vous en faites une valeur, c'est que vous êtes loin de l'humilité. Elle est le résultat d'un état de conscience. Que chacun de nous n'est rien, que nous sommes apparus il y a quelques poussières de temps, que nous ne serons plus dans quelques poussières de temps, juste le temps d'effacer nos traces emplies d'arrogance.
  7. Il existe comme illusion, la plus belle des illusions.
  8. Don Juan

    Être mort au monde

    Le premier de ses choix, le plus simple induit la peur chez l'autre. L'autre fonctionne toujours sur un plan binaire : « On achète du sel ou du sucre ? Est-ce qu'on a acheté les bonnes chaussures pour l’hiver ? » Bon je parle de cela, mais ce n'est peut être pas ça le choix le plus ordinaire, l'ordinaire c'est comme l'air qu'on respire, ou l'eau qu'on boit, ou le fauteuil dans lequel on s'assoit. C'est toujours la même question : « qu'est-ce qui est le mieux ? ». Nous essayons toujours de discerner ce qui est le moins bien ou le pire pour nous, parce que nous vivons dans la peur. Mais cet homme là, non ! Le mieux, le pire, le moins bien, il ne sait pas ce que cela veut dire. De la même façon, il ne sait pas ce que cela veut dire demain ou après demain. Mais il ne peut pas se permettre de montrer qu'il ne le sait pas, au contraire il faut qu'il donne l'impression de le savoir et de montrer à son entourage, que pour lui, demain c'est la même chose que pour les autres. Il a le sens de l'adaptation et de toute façon il n’a guère de choix, il lui faut prendre des décisions ou alors il paraîtra comme un fantôme pour les siens... Celui qui n'attend rien du monde est mort au monde, et le monde ne peut rien attendre de lui. La spontanéité et l'instant sont des véhicules, il se laisse porter où le vent veut pousser ces véhicules, le passé et l'avenir sont effacés de son esprit, la loi des causes et des effets n'a pas de prise sur lui. Il est mort, ce qui fait de lui un vivant éternel. Mon petit oiseau Mon cœur est ton nid Au plus près de ta peau je vois le paradis
  9. Les mots, il ne faut pas prendre d’habitude avec eux, ils y perdent leur vitalité, à force de répétitions ils ne désignent plus rien. Si l'on écoute vraiment ce qui se dit, sans bouger, c'est un autre mot qui vient, en adéquation avec ce changement en nous. C’est très vivant ça, et comme ce qui est vivant, c'est beau.
  10. Don Juan

    Quoi la Vérité ?

    Échange avec mon boucher. — Qu’est-ce qu’une vérité cher ami ? — Seulement une croyance mon ami, qu’une croyance… — Comment ça ? Rien de plus ? — Rien de plus mon cher, pose la question à celui-là qui mourut de froid dans un container frigorifique à viande, il était convaincu que les moteurs tournaient et a gravé sur les murs métalliques son calvaire à l’aide d’un crochet à viande. Le hic, c’est que le frigo ne fonctionnait pas, on l’a retrouvé mort de froid à quinze degrés au-dessus de zéro. — C’est une histoire vraie que tu me racontes là ? — Il paraît oui, mais je n’y étais pas, préfères-tu que je te parle des effets placebo ? — Non, non, ça va, je crois que je t’ai entendu.
  11. Don Juan

    LE GOÛT !

    Une histoire de goût encore. Échange avec Sri Romaniya — Vous qui avez tant parcouru de chemins et tant admiré de choses magnifiques qu’il est donné de rencontrer au voyageur infatigable, que retenez-vous dans vos souvenirs qui conserve une place première et essentielle, quelles images de temples merveilleux issus d’un passé lointain, aux murs recouverts de fresques irisées et lumineuses par leur grandeur et leur beauté, peut-être des statues antiques creusées dans un marbre flamboyant qui témoignent encore et pour toujours de l’agilité et de la maîtrise de ces maîtres sculpteurs et lorsqu’on s’approche un peu plus de leur matière on peut saisir les traces de leurs outils, presque deviner l’empreinte d’une paume de main de l’artiste géant, comme laissée là exprès, pour saluer les générations dans l’éternité, qu’avez-vous conservé dans les fils de la toile de vos souvenirs que pour rien au monde vous n’auriez laissé se perdre au fond du puits de votre oubli ? — Rien de tout cela mon cher Adams, aucun palais ni vestige, aucune œuvre réalisée de main d’homme, aucune cité qui me séduise et m’invite à y oublier ma carcasse, je me suis finalement enfui de tous ces lieux, j’ai abandonné toutes ces traces de glorieux passés et celles d’un présent trop bruyant, trop vaniteux et trop envahissant. Rien de tout ce que vous imaginez n’est digne de m’accompagner dans mon dernier asile, mais une chose pourtant est demeurée intacte, fraîche et vivante comme au premier jour de mon éveil, une seule chose et cette chose est toujours trace d’avenir, ce qui est à venir seulement retient toute mon attention…. — Mais quelle est cette chose maître ? — La beauté de la femme Adams, rien ne me trouble autant que la beauté de la femme, et lorsque chaque jour je la croise et la regarde, l’espace d’une grappe de secondes, je suis interdit, arrêté dans mes pensées, mon cerveau passe sur un autre mode, ni celui du travail de la pensée, ni celui de l’empire des sens, non, il demeure comme suspendu dans l’espace, ne pouvant rien faire d’autre que regarder, regarder pour voir alors que regarder ne peut suffire à voir et je vacille dans mon athéisme, pendant cet instant quelque chose en moi se murmure, comme le filet d’une petite source qui surgit entre deux pierres là où rien n’ose pousser, empêché par la brûlure d’un soleil sans pitié.
  12. Don Juan

    Quoi la Vérité ?

    Oui, tu as raison, mais qui peut être joyeux sans être heureux ?
  13. Don Juan

    Quoi la Vérité ?

    Nous nous comprenons dans ce cas. Je ne sais pas si le qualificatif avait déjà été employé avant Nietzsche, si nous n'en trouvons pas de trace ailleurs et en d'autres temps la question est d'essayer de comprendre le sens dans lequel le philosophe voit ce caractère joyeux. Je pose un extrait plus bas qui apporte quelques lumières sans doute. Citation de l'Antéchrist : Dans toute la psychologie de « l’Évangile » manque l’idée de culpabilité et de châtiment, de même l’idée de récompense. Le « péché », tout rapport de distance entre Dieu et l’homme est supprimé, — ceci précisément est le « joyeux message ». La félicité éternelle n’est point promise, elle n’est point liée à des conditions : elle est la seule réalité, — le reste n’est que signe pour en parler. Citation : Ce qui me regarde, moi, c’est le type psychologique du Sauveur. Celui-ci pourrait être contenu dans les évangiles, malgré les évangiles, quoique mutilé et chargé de traits étrangers : Comme celui de François d’Assise est conservé dans ses légendes, malgré ses légendes. Non, la vérité sur ce qu’il a fait, sur ce qu’il a dit, sur la façon dont il est mort : Mais la question de savoir si l’on peut encore se représenter son type, s’il a été « conservé » ? . Que signifie la « bonne nouvelle » ? La vie véritable, la vie éternelle est trouvée, on ne la promet pas, elle est là, elle est en vous : C’est la vie dans l’amour, dans l’amour sans déduction, sans exclusion, sans distance. Chacun est enfant de Dieu — Jésus n’accapare absolument rien pour lui, en tant qu’enfant de Dieu, chacun est égal à chacun… Dans la citation ci-dessous, on peut voir encore en quoi pour Nietzsche le message de Jésus a quelque chose de subtilement heureux. Lorsque je parlais de quête personnelle dans le contexte de la parole et du personnage c'était bien par rapport au sens le plus réaliste du message. Qu'est-ce qui dans les mots de la bonne nouvelle peut trouver sa place et son application dans chaque moment de la vie d'un homme d'aujourd'hui comme de demain. La difficulté réside dans le tri "lucide" qu'il nous faut accomplir entre la parole originelle et la parole rajoutée, parce que je pense qu'il y a bien eu une parole rajoutée. Mais cet état du cœur que soulève le philosophe dans ce passage "incarne" bien à lui-seul ce que peut représenter une quête digne d'intérêt. Le « royaume des cieux » est un état du cœur, — rien qui viendra « au-dessus de la terre » ou bien « après la mort ». Toute l’idée de la mort naturelle manque dans l’Évangile : la mort n’est point un pont, point un passage ; elle est absente, puisqu’elle fait partie d’un tout autre monde, apparent, utile seulement en tant que signe. L’« heure de la mort » n’est pas une idée chrétienne — « l’heure », le temps, la vie physique et ses crises, n’existent pas pour le maître de « l’heureux message »… Le « règne de Dieu » n’est pas une chose que l’on attend, il n’a point d’hier et point d’après-demain, il ne vient pas en « mille ans », — il est une expérience de cœur ; il est partout, il n’est nulle part… Et encore : Ce « joyeux messager » mourut comme il avait vécu, comme il avait enseigné, — non point pour « sauver les hommes », mais pour montrer comment on doit vivre. La pratique , c’est ce qu’il laissa aux hommes : son attitude devant les juges, devant les bourreaux, devant les accusateurs et toute espèce de calomnie et d’outrages — son attitude sur la croix. Il ne résiste pas, il ne défend pas son droit, il ne fait pas un pas pour éloigner de lui la chose extrême, plus encore, il la provoque… Et il prie, souffre et aime avec ceux qui lui font du mal… Ne point se défendre, ne point se mettre en colère, ne point rendre responsable… Mais point non plus résister au mal, — l’aimer…
  14. Don Juan

    Quoi la Vérité ?

    J'entendais bien le terme ainsi, est prophète celui qui se fait le messager d'une divinité. Sainteté, voila un mot qui ne me rend pas la tâche facile, j'avoue que je n'ai aucune représentation intellectuelle de ce "trait" ou "qualité" attribués à un être humain, moi qui ait tendance à voir le nouveau né lui-même comme entaché d'une "faute" inconnue commise par un de ses nombreux ascendants. Le voir comme un "heureux messager" (expression empruntée à ce cher Nietzsche si je ne m'abuse) n'est déjà pas chose facile tant il est vrai qu'on n'imagine pas facilement un sourire se pointer au coin des lèvres de jésus, alors que sous la moustache de Fred (un sablier de sapeur dirait Brassens) il ne faut pas douter que les sourires coulent comme rivière abondante. Je pense que ce que vous appelez "masque" correspond à ce dont je parlais à propos du "fatras" ecclésiastique, ce que vous cherchez à découvrir de la "personne", cette compréhension de la béatitude, doit s'approcher de ma quête personnelle. Elle m'est claire, et vous avez probablement raison, je ne parlerais peut-être pas de peur mais d'une implication profonde ou extrême, totale sans doute, pour l'histoire de l'humanité, ses errances passées et à venir. Nous aurons peut être l'occasion d'approfondir cette question sur un topique plus consacré.
  15. Don Juan

    Responsable

    Le propre d'un trou du cul (façon de parler, ce n'est jamais propre) c'est qu'il ne reconnaît pas sa propre production, sitôt fait il se met à l'ignorer ou à l'attribuer à un autre trou du cul. Assumer, c'est bien mais insuffisant.
  16. Don Juan

    Quoi la Vérité ?

    Belle réponse en passant, je ne vous note pas bien sûr, ce n'est pas mon genre, je vous transmets mon impression seulement. Pour la première partie de la question, je ne crois pas aux prophètes en général, ni en particulier, je ne pense donc pas que Jésus fut un prophète, tout au plus un sage, ceci dit je ne pense pas qu'il ait inventé sa sagesse mais je lui accorde toutefois un certain talent pour les paroles qu'on nous certifie sortir de sa bouche. J'ai une double lecture des évangiles, la parole brute, et la récupération qu'ont pu en faire les Paul et autres futurs chefs de l'église, et pour finir, l'exploitation de tous les bâtisseurs de religion. J'ai parlé de clé, j'aurais dû parler de trousseau. En voici certaines: Aimez-vous les uns les autres. Car là où est ton trésor, là aussi est ton cœur. Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perdait son âme ? Celui qui est fidèle dans les moindres choses l'est aussi dans les grandes, et celui qui est injuste dans les moindres choses l'est aussi dans les grandes Ne vous inquiétez donc pas du lendemain; car le lendemain aura soin de lui-même. A chaque jour suffit sa peine. Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux.
  17. Don Juan

    Quoi la Vérité ?

    Ta phrase a une curieuse tournure, je vais tout de même essayer de suivre la trace, tu me corrigeras si je fais fausse route. Qu'en est-il de nous ? De vous je ne sais pas et comment pourrais-je ne pas l'ignorer ? De moi je ne le sais que trop bien, transportant tous les pas que j'ai laissés, dansant sur ce pas présent qui seul est et empêche toute vérité (les vérités sont toujours d'hier), celles de demain ne peuvent être qu'espoirs et non vérités, et parce que je méprise tous les lendemains, je sais ce qu'il en est sûrement, chaque instant est le dernier qui gonfle mes veines d'une intensité qui résonne au chant de mon sang et de ses pulsations. Quant à Jésus, ce joyeux messager, moi qui suis non croyant et sans dieu, j'admets qu'il a donné la clé (en dessous des fatras et magouilles des ecclésiastes en tous genres et des politiciens véreux (pléonasme ?)) pour résoudre le chaos, mais comme rares sont ceux qui cherchent la porte au bon endroit, sa clé est restée vierge de toute serrure.
  18. Don Juan

    Responsable

    J'ajoute une profondeur à l'acte "de répondre de". Cette profondeur vise des temps autres que celui de l'acte lui-même, à plus long terme, sur une erreur comme sur toutes les autres rendues possibles par notre manque de conscience. Cette profondeur n'enlève rien aux couches plus basses. Chaque couche sa conscience et ses moyens, chaque douleur ses remèdes, mais un fil qui traverse toutes les couches et les unit. L'acte de pardonner à soi-même a un autre sens que celui que tu entends d'ordinaire. Il n'est pas complaisance envers soi-même, mais promesse de faire mieux.
  19. Don Juan

    Responsable

    Tu ne comprends pas ce que je dis, alors nous ne risquons pas d'être d'accord. L'attention portée à la victime n'est pas économisée en raison de l'attitude que nous avons envers nous-même; L'un n'empêche pas l'autre.
  20. Don Juan

    Responsable

    Se corriger, changer, se changer soi-même, est impossible sans une forme de flagellation. L'image de la flagellation, que tu as voulu prendre au premier degré, est employée pour signifier que la répétition des erreurs, comme l'habitude d'agir sans prudence et sans respect de toutes les règles nécessaires ne peut être enrayée que par une exigence de rigueur envers soi-même, être rigoureux envers soi-même ou être discipliné dans tout ce que l'on fait ne se peut connaître dans le "laisser-aller", celui-ci est ce que je comprends comme un refus de "s'auto-flageller." On ne retire rien de soi sans une forme de détestation appliquée, on ne retire rien de soi si l'on est pas sûr de ne pas l'aimer. Pour le narcissisme je te dis ceci, c'est le contraire qui en est pour moi, demander pardon sans s'être mis soi-même contre le mur est du narcissisme.
  21. Don Juan

    Responsable

    C'est faux, c'est qu'on le regrette, mais la conscience est autre chose.
  22. Don Juan

    Responsable

    Commencer par cela ne permet pas de penser que l'erreur ne se répétera pas chaque jour et dix fois par jour. Non, en premier je note l'erreur et me fouette intérieurement, plus fort que nul autre ne pourra le faire, je marque dans ma chair et mon sang l'interdiction de faire deux fois la même erreur. Et si ça n'a pas suffit je recommence. Ensuite, je vais peut être demander à être pardonné, il est bon qu'une victime puisse pardonner, mais comment pourrait suffire un pardon qui n'a aucun effet sur ma conscience de l'acte ? Ce qui est primordial, c'est de ne pas tomber deux fois dans le même piège, car alors je ne saurais pas me pardonner à moi même, et le pardon des autres ne m'apportera rien.
  23. L'athée que je suis te dira que la morale concerne le bien et le mal, que ces notions me sont inconnues, je suis à l'écoute du bon et du mauvais et chemine avec ces notions avec le plus grand respect pour elles. Le bon et le mauvais, cela touche au concret, au physique, à une forme du réel.
  24. Don Juan

    Quoi la Vérité ?

    En vérité je te le dis, aucune chose ne peut être indéfiniment vraie.
  25. Don Juan

    Responsable

    Celle que je lui préfère est : "répondre de" Tout à fait mais comment ? Quelle est la meilleure façon de répondre de ses actes? Normalement (pour une santé mentale acceptée comme normale) un acte est dépendant, dans sa nature, de la conscience dont on dispose au moment où il est produit. Par conséquent, si j'en suis là, à réaliser que l'acte que j'ai produit, est mauvais, que je n'aurai pas dû, c'est que la conscience que j'en ai à cette minute me permet de voir ce que je ne pouvais voir au moment de l'acte. Mis à part tous les regrets et excuses, comment vais-je pouvoir répondre de cet acte ? La première, et sans doute la plus importante est probablement celle qui me permettra de ne plus jamais reproduire ce type d'acte, au moment où je réalise que l'acte n'est pas bon, au moment où je suis capable de me faire la promesse de ne pas le reproduire, j'ai répondu de mon acte.
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