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satinvelours

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Tout ce qui a été posté par satinvelours

  1. satinvelours

    Mes choix

    Bonjour @PtitAngelina J’aime ton nouvel avatar ! Et j’aime tes vidéos. Je te souhaite une belle année, je te souhaite de réussir dans toutes tes entreprises
  2. À vous lire je me demande comment les Russes tiennent. À vous lire ce sont quasiment des bêtes et ceux qui sont humains sont déjà partis. Ils meurent par milliers, et même par millions fauchés par les Ukrainiens ( qui sont des hommes). Nous ne savons même plus qui se bat encore tellement ils sont nuls, les Russes. Ils devaient s’écrouler en deux semaines, vu que les Occidentaux ( qui sont des êtres humains) avaient pris des mesures de rétorsion telles que les Russes, qui sont des bêtes, allaient être contraint à manger leurs enfants. Ils étaient tellement imbéciles, ces Russes, que bientôt ils n’auraient plus de munitions et ils seraient obligés d’aller balancer des cailloux contre les Ukrainiens, qui allaient les mitrailler à bout portant. Bon je ne veux pas non plus entraver votre espoir d’enfin jouir devant le spectacle de l’écrasement des Russes.Ils vont bien finir par tous mourir quand même. Vous pourrez enfin investir leur territoire. À vous lire on se demande même comment Dieu ou la vie a pu permettre l’existence de tels êtres . Je vous souhaite une bonne année en espérant que les Russes ne vont gâcher votre réveillon en ayant le toupet d’exister encore.
  3. C’est incroyable ces Français dits de souche. Ils se donnent le droit de dire qui a le droit ou n’a pas le droit de porter plainte. Incroyable. Mais si la plainte n’a pas lieu d’être elle ne sera pas reçue, c’est tout. Dès lors que le plaignant est un musulman en plus Arabe le réflexe conditionné du colon resurgit: de quel droit celui là ose t il parler de droit ? Et je ne dis pas si soudain je déclarais : en tant que fils d’une Russe, et petit fils d’une Russe tuée par vos copains Allemands je vais porter plainte contre ceux qui disent que bien fait pour la gueule de ton ascendante, d’ailleurs elle devait picoler comme pas deux, car c’est quand même ce que vous vous permettez de dire. Les mêmes gentils Français dits de souche demanderaient même mon adresse pour venir me flinguer et même l’adresse du cimetière où est enterrée cette femme pour souiller sa tombe. Remarque c’est pour le coup que l’imam ( ou je ne sais quel titre il a) me remercierait pour avoir détourné l’ attention du gentil Français de souche.
  4. Donc il n’a pas le droit de porter plainte ? Il n’a pas droit d’avoir des intentions ? Ça c’est bien les gens de culture catholique : chez eux c’est la police de la pensée, c’est toujours l’Inquisition. Et puis bon, pour vous, quand même, un musulman, surtout Arabe, qui ose porter plainte contre un Français de souche, vraiment il ne sait pas rester à sa place. Mais si vous aviez confiance à minima dans votre pays, si vous avez raison, alors sa plainte ne sera jugée recevable, c’est tout.
  5. Et si je dis ( sachant que je suis un Arabe musulman) que l’extrême droite française couplée à la baisse de la démographie des Français de souche incite par précaution et par peur de leur disparition à provoquer une guerre civile préventive et une expulsion immédiate de tous Arabes musulmans , surtout Algériens qui ne sont pas des Français au carré, et si je publie cela dans un média suffisamment diffusé pour être lu par qui veut le lire, est ce que j’ai droit de le dire sans être poursuivi par Zemmour ? Je ne vous demande pas votre avis sur le contenu de ma déclaration. Il y a de grandes chances que je sois poursuivi par quelqu’un…( vous, Zemmour…)
  6. satinvelours

    Recherches

    Ces réflexions entre ces deux formes de pensée, la mathématique d’un côté et la « vision » de l’autre me ramènent à mon étude de la conscience. En fait ce que j’expérimente avec la physique quantique c’est ce fait : il existe deux consciences, la conscience phénoménale et la conscience que les Américains appellent : la conscience d’accès. C’est parce que je ne fais pas clairement cette distinction que j’ai parfois quelques difficultés à formaliser ma recherche. La conscience d’accès est définie par Ned Block mais aussi David Chalmers. C’est sur cette conscience que travaillent les neurosciences, lesquelles renoncent à travailler sur la conscience phénoménale. La conscience d’accès est fonctionnelle : elle est totalement immergée dans le principe d’action. Elle a rapport avec les moyens rationnels mis en œuvre pour atteindre un but déterminé et objectif. Elle est indépendante du support sur lequel elle s’appuie : cerveau ou machine ( c’est ce qu’en France on appelle avec les mots du passé : la raison, et partant : les mathématiques). Il est possible aussi de définir la conscience d’accès par contraste avec la conscience phénoménale : certaines personnes, à la suite de traumas cérébraux peuvent réagir sous l’effet d’une brûlure que pourtant ils ne ressentent plus, ou agir comme s’ils voyaient alors qu’ils n’ont plus de conscience phénoménale d’images. C’est la symbolique du zombie : l’individu est rationnel et agit de manière fonctionnelle bien qu’il ne ressente rien. C’est la mathématique pure, la rationalité pure, qui peut être aujourd’hui exercée par une IA. Sans besoin d’une conscience phénoménale.
  7. satinvelours

    Recherches

    En définitive si je fais un rapport d’étape sur ma recherche je dois constater que, ce à quoi je suis arrivé, ce n’est pas vraiment la constatation qu’il existe une réalité non accessible, non, ce à quoi je suis arrivé, c’est que, à l’intérieur même de notre mental, nos représentations « visionnaires, verbales, imagées » ne parviennent pas à suivre nos représentations mathématiques. Le côté frustrant c’est que nos représentations mathématiques semblent dessiner avec des pointillés posés ça et là une forme, un dessin que nous ne parvenons pas à voir. Nous ne parvenons pas, dans certains cas seulement, à compléter les maths par une vision claire de ce qu’elles suggèrent. Bon ce que l’on peut se dire c’est que notre cerveau lui même est peut être susceptible d’évolution et que des générations plus jeunes, connectées autrement dès le plus jeune âge, parviendront à concevoir ce que nous ne parvenons pas à concevoir. En fait il faut d’abord s’habituer, pendant des générations, à accepter sans aucune résistance, des représentations qui nous heurtent encore ( comme d’ailleurs Einstein fut heurté par certaines représentations mathématiques de la quantique) pour pouvoir commencer à créer de nouveaux concepts, de nouvelles visions.
  8. satinvelours

    Recherches

    Il est probable que notre vision du monde est tout de même assez influencée voire déterminée par notre travail social. Celui dont le travail comporte une forte composante de répétions à l’identique dans son exécution ne verra pas le monde de la même façon que celui qui doit improviser chaque jour, qui ne sait pas exactement chaque matin quel problème il va avoir à résoudre, qui ne sait même pas a priori s’il aura les moyens de le résoudre. Un médecin, une infirmière, un chirurgien, un travailleur social, toute personne confrontée à des personnes rencontrant des problèmes sociaux aigus, un routard, un aventurier, un faiseur de guerre, un policier, un avocat, un sdf, un chef d’une petite entreprise, un commercial etc. ne verront jamais le monde comme un employé administratif, un cadre moyen ou supérieur administratifs, un salarié des services publics, un bureaucrate, un petit exploitant clôturé dans sa routine, un ingénieur appliqué à appliquer ses algorithmes tel une IA. Les uns vivent dans un monde qui s’écoule et n’est jamais le même, ils doivent communier avec le mouvement, les autres vivent dans un monde qu’ils pensent pouvoir maîtriser et même posséder in fine.
  9. satinvelours

    Recherches

    L’interprétation de Copenhague, telle que la résume Bobroff m’intéresse. Dans cette interprétation tant que la particule n’est pas mesurée elle est représentée par une fonction d’onde IMAGINÉE, sans réalité. Tous les formalismes sont autorisés, probabilités, vecteurs d’état ou matrices : il ne s’agit que d’outils de calculs, efficaces, mais qui ne disent rien du réel. Cette approche selon Bobroff, plutôt prudente, est celle qui est en réalité enseignée et pratiquement adoptée. Ce qui m’intéresse dans cette approche c’est cette prudence là : nous ne pouvons pas identifier la réalité que nous tentons de maîtriser avec les modèles que nous en faisons. Il y a un gap et peut être même un abîme. D’autant que notre attitude, notre intention est de maîtriser. Rien que cette intention détermine un rapport à la réalité qui réduit celle ci à ce que nous avons besoin de savoir d’elle pour agir. Je garde de tout cela cette conclusion : il existe une réalité qui nous échappe. Comment approcher cette réalité autrement que par les maths ou la physique ? Vouloir utiliser les maths ou la physique pour approcher la réalité est porté par une volonté de possession. Mais la possession réduit l’objet possédé à des dimensions qu’il excède pourtant très largement. Et la possession empêche de « voir » la réalité dans toute ses dimensions. Les maths et la physique réduisent l’objet à une fonction d’utilité.
  10. satinvelours

    Recherches

    Le sujet qui engendre le plus d’interprétations, en physique quantique, est celui de la décohérence, phénomène ainsi simplifié par Julien Bobroff : réduction de la fonction d’onde au moment de la mesure, mesure de la nature particulaire de l’électron, apparition indéterminée de la particule ( il n’y a plus que des probabilités d’apparition là ou là). Mais ce n’est pas la question technique qui m’intéresse ici ce sont plutôt les réactions interprétatives des physiciens. Concernant la mesure quantique Julien Bobroff nous prévient : elle est expliquée par quantités de théories, il faudrait un livre entier pour toutes les relater. Il cite les théories les plus connues, l’interprétation de Copenhague, celle des ondes pilotes et celle des mondes multiples Everett). Il pourrait aussi citer celle des pseudo-mathématiciens et des pseudo-physiciens qui se gargarisent de concepts qu’ils ne comprennent pas. Mais alors comment se déterminent les physiciens qui travaillent réellement dans leurs laboratoires ? La réponse est : les physiciens qui travaillent réellement sur la physique quantique refusent de choisir une interprétation car ils n’en ont pas besoin . L’objectif premier de la physique est pragmatique : trouver le lien entre la façon dont on prépare l’expérience et les résultats qu’on mesure. Pour faire de la quantique il suffit d’accepter l’idée de probabilité et de non-déterminisme. La science ajoute Bobroff a pour but de décrire comment les choses fonctionnent et non pas ( forcément) pourquoi elles fonctionnent ainsi. La question du pourquoi est donc d’une autre nature que de nature dite scientifique. Pourtant la question du pourquoi, c’est à dire la question de la représentation, de la vision du pourquoi n’est pas indifférente. Nous voyons que la vision que nous donnent par exemple les poètes peut être acceptée sans problèmes : elles n’influent pas sur l’élaboration du comment, elles ne réagissent pas sur les constructions mathématiques. Mais il arrive que certaines avancées dans le pourquoi débloquent l’arsenal mathématique du comment. Si je prends le concept de champ issu lui même des travaux de Faraday, ce concept qui rend compte d’un pourquoi ( pourquoi ceci : parce qu’il existe un « champ » autour, ou lié à cela) permet d’inspirer le comment ( les formules de Maxwell). Nous voyons qu’il y a deux mondes : celui des mathématiques qui est un monde de représentations particulier, et le monde de la « vision » qui est un autre monde de représentation. L’un passe par des symboles mathématiques particuliers l’autre par des symboles liés au langage, au verbe, ou à l’image. Je pourrais conclure que les deux mondes sont des représentations d’une réalité que l’homme tente de maîtriser, cette réalité n’étant jamais identique ni aux représentions mathématiques ni aux représentions verbales ou visionnaires.
  11. Vous adoptez le point de vue du religieux. Le point de vue du mal ou du bien. Votre interlocuteur, selon vous, doit admettre qu’il adhère à des idées d’extrême droite, ce qui, dans votre esprit, signifie qu’il adhère au Mal. Il faut qu’il avoue son péché. En quelque sorte vous incarnez le clergé, prêtre, rabbin, imam, philosophe moraliste, etc. Et votre interlocuteur doit rentrer dans votre monde religieux. Votre interlocuteur essaye d’aborder le sujet en partant d’un point de vue laïc, pas de religion. Il tente de provoquer en vous un regard objectif, et non pas religieux. Il n’y arrive pas. Vous vous agrippez au péché, le péché d’être d’extrême droite.
  12. satinvelours

    Recherches

    J’ai envie d’être espiègle ce matin. Nous savons que notre poète @zenalphane maîtrise pas les mathématiques comme nous nous en sommes aperçus au cours d’une âpre discussion entre lui et un prof d’université, il y a à peu près un an. Tout juste maîtrise t il quelque chose des statistiques. Il n’est pas non plus physicien, là c’est carrément lui qui nous l’a dit. Pourtant il a un discours étonnant sur les mathématiques et la physique. Il lit, capte des mots, et nous les ressort dans une symphonie, une esthétique étonnante. Je me demande ce que ce discours poétique, qui n’a plus rien à voir ni avec les mathématiques ni avec la physique exprime. Peut être un émerveillement devant un univers qu’il pressent mais qu’il ne peut pas voir, lui non plus. En tout cas je suis assez content de me balader avec lui. Cela me fait penser à la balade entre Jacques et Diderot, le long des routes ( Jacques le fataliste).
  13. En fait non ils ne se trompent pas dès lors qu’ils complètent leur vision par la mention de leur référentiel (le point de vue d’où ils voient). L’idée que nous pourrions voir toutes les figures possibles de l’objet ( la réunion de tous les points de vue) participe de l’idée qu’il existe un point de vue universel, qui réunirait tous les points de vue. Celui qui pourrait réunir tous les points de vue simultanément disposerait d’un espace absolu. Et celui là serait Dieu. Or ce que nous apprend la relativité c’est qu’il n’y a pas d’espace absolu, ni de temps absolu. C’est cela que nous refusons d’admettre et qui nous conduit à parler de point de vue « erroné ». Notre biais cognitif : il existe un espace absolu, est si violent, que nous parlons d’erreur plutôt que de la limitation de notre esprit.
  14. satinvelours

    Recherches

    Finalement je vais appeler @zenalphale Poète. Je pense que ce mot lui convient bien. Le Poète est inspiré par la physique quantique : il peut développer son imagination dans les « lacks », les absences de cette science, tout comme Everett peut développer, à propos de la réduction de l’onde, son interprétation des mondes multiples. J’y reviendrai. Mais, ce matin, je vais recourir, moi aussi à l’imagination. Supposons un énorme organisme que je ne puisse pas voir, un organisme gigantesque qui échappe au sens de la vue, organisme dont je dépends pour ma survie. Grâce par exemple au sens du toucher, je parviens à identifier des points de contact entre lui et moi. Supposons que je parvienne à fixer dans mon esprit ces points d’accroche par la technique de la mesure. La mesure étant une méthode pour établir des coïncidences ( entre l’événement « contact » et un événement mental, un événement de ma psyché). J’établis ainsi un réseau de coïncidences entre cet organisme invisible et une construction mentale. Supposons que je dispose d’une technique appelée mathématique qui me permette de relier toutes ces mesures au moyen de fonctions dans mon esprit ( le mental). Et supposons enfin que je m’aperçoive que les mesures prédites par cette technique coïncident avec des points de contact avec la Chose dans l’expérience. Alors grâce à la mathématique je pourrai commencer à maîtriser la Chose bien que je sois incapable de connaître la Chose, puisque je ne peux pas la voir. Je n’aurai de la Chose qu’une connaissance très imparfaite grâce au sens du toucher. Et bien c’est ce qui arrive avec la physique quantique. La mathématique me permet de maîtriser une Chose que je ne peux pas voir. Mais le Poète étant un voyant ( Rimbaud), lui, voit. C’est donc le poète qui complète l’œuvre du physicien-mathématicien par l’imagination. Par exemple les mondes multiples d’Everett. Ou les mondes de @zenalpha. Si je reviens à mon expérience de pensée ( en fait une expérience fondée sur l’imagination) on voit que la mathématique ne peut rien nous dire de ce qu’est la Chose mais elle peut nous permettre de la maîtriser. Les développements mathématiques étant eux mêmes des développements mentaux qui ne nous disent rien de la Chose. Cette position est en fait celle de Bohr. J’y reviendrai.
  15. satinvelours

    Recherches

    En définitive si j’en reste à la physique quantique je finis par discerner ce fait : la compréhension mathématique n’est pas la compréhension conceptuelle ( verbale, descriptive). On peut manipuler des équations sans rien comprendre à quoi réellement elles s’appliquent. Dans l’expérience à choix retardé de Wheeler que l’on peut étudier en tapant : https://doi.prg/10.1051/photon/202211523 les expérimentateurs finissent par écrire ceci : quelle que soit l’interprétation adoptée pour décrire la dualité onde-particule ( y compris celle des poètes et des romanciers) il est impératif de dépasser nos préconceptions classiques. Il faut abandonner l’idée selon laquelle les résultats des observations préexistent à la mesure, il faut aussi oublier l’image d’un point matériel newtonien uniquement soumis à des influences locales. Bohr a été le premier à attirer notre attention sur le fait que nos présupposés et nos préjugés ne nous permettront jamais d’appréhender toute la réalité du monde physique et que la connaissance de cette dernière ne peut s’obtenir en absence de mesure. Cette vérité élémentaire constitue aussi une porte ouverte à la diversité des schémas interprétatifs de la physique quantique. Fin de citation. C’est cette porte ouverte qui permet à @zenalphade proposer des romans interprétatifs tels qu’ils conduisent son inspiration poétique. C’est sympathique. Ce qui signifie aussi qu’il est possible de choisir n’importe quels schémas représentatifs. Même le schéma de la conscience quantique ( nous pourrions ouvrir de nouveaux monastères) même le schéma du Dieu quantique ( qui a plus de gueule que le Dieu un peu chiant des religieux). Bref ce que nous disent les expérimentateurs c’est qu’ils se rabattent sur la science des mises en relation des mesures, c’est à dire les mathématiques. Cette science permet d’agir sur la réalité dont nous dépendons sans avoir besoin de savoir ce que peut bien être la réalité.
  16. Il faut que je remonte alors dans le topic. Je n’ai pas vu cette exposition. Je verrai ça plus tard.,
  17. Bien sûr la notion de champ est ancienne. Et même je dirai que la notion de champ c’est en fait Faraday qui en est à l’origine ( avec ses lignes de forces). Faraday était pris de haut, il n’avait pas fait d’étude et il n’avait pas de bagages mathématiques. Maxwell a perçu son génie, il a utilisé ce génie pour concevoir cette notion de champ. Einstein lui même a rendu hommage à Faraday car cet homme, sans bagage théorique a permis l’éclosion d’une notion ( le champ) sans laquelle il n’y aurait de physique ( actuelle) du tout. Cela rejoint ma réflexion sur un autre topic où je réfléchis sur cette dualité : math et conception, vision. Faraday voit. Sans aucun bagage mathématique. Il permettra à Maxwell de prendre son envol dans l’expression mathématique.
  18. On l’a remplacé ( l’éther) par la notion de champ. L’onde électromagnétique est une perturbation du champ électromagnétique. Ça ne sort pas de mon esprit mais de celui de Hawking dans son livre : y a t il un architecte ( de l’univers ou dans l’univers).
  19. Oui tu as raison. Y’a pas à se prendre la tête. Je pense à toi parfois, quand je vois tout ce que les Arabes prennent dans la tronche. Bon c’est comme ça. Je te comprends mieux du coup.
  20. @Norbertvous deviez nous présenter la relativité restreinte. Je suis toujours intéressé par le sujet du topic, mais vous tardez, je trouve, à faire votre exposition. Là vous divergez vers des questions qui me semblent assez éloignées de la relativité restreinte.
  21. Dans cette affaire je comprends que de nombreux militants LFI demandent la démission de Quatennens. Car il ne s’agit pas d’une gifle donnée dans un moment de colère, il s’agit de bien plus que cela. Il s’agit d’une agressivité répétée, peut être pas accompagnée de gifles, mais tout de même, cet homme a agressé durant des mois sa femme, au moins verbalement. C’est en tout cas ce qui a entraîné sa condamnation quand je lis tout ce qui lui est reproché. Je pensais qu’après sa condamnation il aurait eu assez d’humilité pour reconnaître ses erreurs, mais pas du tout ! Il en rajoute, continue d’attaquer sa femme publiquement, dénonce en elle une volonté de puissance devenue exacerbée, etc. etc. À partir du moment où il en rajoute dans l’agression, qui plus est publiquement, cet homme n’a plus sa place dans l’hémicycle. Du moins il doit se représenter devant les électeurs. S’il venait à être réélu alors nous serions dans une autre dimension : une partie de la population soutiendrait sans complexe les agressions contre les femmes. Le phénomène de violence faite aux femmes ne serait plus une question sociale mais une question politique.
  22. Je ne vois pas pourquoi vous jugez nul ce qui ne vous intéresse pas. Il vous faut toujours dégrader les autres. En dégradant les autres vous dégradez l’humain.
  23. satinvelours

    Recherches

    Avec l’équation de Schrodinger nous avons donc cette vision : la lette psi de l’équation correspond avec la représentation mentale, la vision, d’une fonction d’onde. Mais cette vision va être remise en cause par Bohr, lequel finira par y voir une probabilité de présence. Peu importe ici de comprendre ce que cela signifie. Il suffit de constater que la vision change, mais en changeant elle va aussi, cette vision, permettre de nouveaux développements mathématiques. Tout ce que je dis là est évidemment piloté par Julien Bobroff. Seule la réflexion philosophique sur le mouvement des pensés est de moi.Et cette réflexion est la suivante : nous avons, en couple, une expression mathématique et une vision. Le changement de la vision opère un développement mathématique. Lequel va opérer un nouvelle façon de la vision, etc. Il y a un rapport dialectique entre la mathématique et l’interprétation ( la vision). Néanmoins ce rapport dialectique ne signifie pas que l’expression mathématique n’est dépendante que de la vision, ni que la vision ne dépend que de l’expression mathématique. Prenons en effet l’exemple suivant. Einstein a la vision d’un univers stable en 1917. Cette vision ne lui vient pas des maths mais d’une conviction propre. Il a d’un autre côté un matériel mathématique. Je ne rentre pas dans le détail car mon propos n’est pas ici de faire de la physique. Toujours est il que ce matériel mathématique est tel qu’il pourrait permettre d’engendrer une vision non stable de l’univers. Einstein va alors introduire dans ses équations une constante cosmologique telle qu’elle engendre une vision stable de l’univers. Nous voyons ici à quel point une vision peut agir sur une expression mathématique. Ensuite bien sûr il reconnaîtra son erreur et il dira humblement que ce fut la plus grande erreur de sa vie. Mais ce que j’essaye de discerner c’est ce fait : la vision que le physicien a des choses est couplée à sa conception mathématique des choses. Il y a deux pôles, qui ont leur propre détermination mais qui peuvent aussi influer l’un sur l’autre.
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