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Tout ce qui a été posté par sirielle
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Dans le Lot, Total projette 44000 panneaux solaires dans un parc naturel et suscite remous et émules
sirielle a répondu à un(e) sujet de Doïna dans Environnement
Je ne connais pas les photos que tu as postées. Mais si tu regardes l'article de départ entre autres, illustrant le sujet, avec différentes photos de Tour de Faure même et ses environs, tu verras que la végétation y est différente. -
Dans le Lot, Total projette 44000 panneaux solaires dans un parc naturel et suscite remous et émules
sirielle a répondu à un(e) sujet de Doïna dans Environnement
Je connais bien personnellement ce département, St Cirq Lapopie, et Tour de Faure. J'y ai longtemps vécu. Le paysage n'y est pas comme sur ces photos. Il y a beaucoup plus de végétation. Les photos que j'ai postées montrent Tour de Faure, St Cirq Lapopie et des vues du Causse environnant. D'ailleurs dans l'article posté en premier lieu pour le sujet, on voit aussi clairement le type de végétation sur plusieurs photos, qui y est nettement plus fournie. -
Dans le Lot, Total projette 44000 panneaux solaires dans un parc naturel et suscite remous et émules
sirielle a répondu à un(e) sujet de Doïna dans Environnement
Concernant le type d'arbres que l'on peut y trouver, les Causses du Quercy sont peuplés principalement de très nombreux chênes. Le paysage naturel y est surtout forestier et verdoyant, et non pas désertique... -
Dans le Lot, Total projette 44000 panneaux solaires dans un parc naturel et suscite remous et émules
sirielle a répondu à un(e) sujet de Doïna dans Environnement
St Cirq Lapopie, village médiéval où de nombreux habitants vivent du tourisme saisonnier, fut prisé entres autres par le poète et écrivain André Breton. Considéré comme l'un des plus beaux villages de France, on peut y compter 13 monuments historiques. Le village de Tour de Faure jouxte St Cirq Lapopie. De St Cirq Lapopie on a vaste vue sur Tour de Faure d'ailleurs. St Cirq Lapopie: Tour de Faure (vu de St Cirq Lapopie): Causses du Quercy: -
Bonjour deja-utilise, Bien sûr que je tiens pour réelle une part (relativement importante d'ailleurs) d'instinct naturel intrinsèque non-choisi et aussi d'inconscient (et de subconscient)... (Ceci dit, l'inconscient est plus ou moins conscientisable, par la psychologie par exemple, selon les cas. Certaines personnes, en se penchant sur la psychologie donc par exemple, peuvent prendre conscience dans une certaine mesure de mécanismes inconscients que d'autres méconnaissent...) Et à ce sujet je crois d'ailleurs que c'est, aussi, un talent quelque part que d'être en harmonie avec sa propre nature, un talent dépendant plus ou moins d'une certaine connaissance consciente de soi (même si elle n'est pas infuse ni totale, la totalité pourrait d'ailleurs être encombrante), de l'écoute de soi, ou de l'intuition... Et tout n'est pas libre-arbitre dans le comportement humain, pour le distinguer, il faut faire la part des choses entre choix, erreur, et contrainte, naturels ou non-naturels, conscients, subconscients ou inconscients... Et concernant les relations amoureuses aussi, les choix peuvent entrer en jeu plus ou moins, et l'instinct naturel non-choisi aussi... Concernant donc la partie choix, les choix peuvent se trouver plus ou moins dans la disponibilisation plus ou moins importante ou restreinte d'avec le partenaire ou convoité, et plus vastement dans la manière de gérer la relation, directement ou indirectement. Indirectement dans le sens où par exemple être quelqu'un de "soigné", physiquement et mentalement, favorise la diversité des opportunités, même si ce n'est pas le but premier de l'application qu'on y voue... On peut aussi éventuellement entre plusieurs partenaires qui nous plaisent, prendre le temps de faire un choix qui ne va pas forcément de soi au départ... Effectivement, la connaissance de soi est un thème pouvant nécessiter une réflexion et temps importants, une introspection ou observation et analyse de soi appliquées, alimentables aussi par des connaissances exogènes propres à tous les êtres vivants ou aux êtres humains, ou autre(s) caractéristique(s) commune(s) à un groupe auquel on appartient, ou inspirées par le regard de l'entourage, etc..., sur lesquelles tout le monde ne se penche pas forcément beaucoup. Chacun ses centres d'intérêt, ses spécialisations, en même temps. Mais on pourrait s'imaginer que puisqu'il s'agit de soi, alors la connaissance en est immédiate par l'individu, mais en réalité elle peut aussi devoir reposer sur d'innombrables observations, demandant du temps qui plus est, et n'étant pas forcément toutes faciles d'accès même pour soi. Sachant aussi que, sur ce sujet également, une part de mésinformation est véhiculée socialement. En tout cas je crois par exemple qu'existe en chacun un potentiel mental qui se devine et qu'une valorisation améliorée grâce à l'évolution des connaissances, médicales entre autres, peut sublimer. En d'autres termes je crois que bien des gens voient l'admirabilité de leur potentiel mental plus ou moins gâchée par des conditions de vie, y compris relationnelles, difficiles, qui ne devraient pas être ou qui doivent être améliorées avec le temps... A mes yeux, à la base les êtres humains sont des êtres de valeur, ce qui les dévalorise, ce qui les rend dysfonctionnels ou répugnants, pour rejoindre plus directement le sujet, constituent entre autres des problèmes à résoudre, par différents moyens, et non exclusivement une fatalité. La notion de mérite et de personnalisation des droits doivent aussi entrer en compte en justice... D'ailleurs le principe d'égalité n'est juste que dans une certaine mesure, il peut aussi être injuste si on l'applique à ce qui n'a pas à l'être. Le sentiment amoureux n'est pas toute forme d'amour (bien qu'il partage des points communs avec d'autres formes d'amour, telles que l'amitié, la fraternité, l'affection, etc... à vrai dire d'après moi l'amour est le sentiment le plus fondamental qui soit, potentiellement déclinable en de très nombreuses formes distinctes), le sentiment amoureux est un amour particulier, gouverné effectivement à mon sens, par la sexualité naturelle, pas forcément la sexualité dans un sens exclusivement concret, mais aussi la sexualité naturelle en suspens, ainsi que s'exprimant inconsciemment à travers le psychisme. Ceci dit à l'égard d'une même personne peuvent se mêler plusieurs amours, par exemple on peut cumuler sentiment amoureux et sentiment amical ou d'affection pour une même personne..., ça ne signifie pas pour autant que ces trois sentiments ne sont pas dissociables, distinguables, voire potentiellement indépendants les uns des autres, mais ils sont cumulables, ce qui est différent (toutefois ils peuvent être confondus, amalgamés par erreur). De plus, toute sexualité n'est pas tout à fait conforme aux lois naturelles, et toute sexualité n'est pas l'expression, ou l'expression correcte, d'un sentiment amoureux, il existe évidemment (parfois à tort) diverses déviances comportementales... Bien qu'on puisse trouver des inconvénients à devoir régulièrement exprimer un choix en amour (ou un avis effectivement les sentiments n'étant pas tout à fait dépendants de notre volonté, les deux comptent), à être plus ou moins partagé régulièrement sur ce qu'il y a de mieux à envisager entre diverses options, il y a aussi des avantages à en être relativement davantage indépendant.e d'une seule possibilité par exemple. Et à ce sujet la compétitivité (modérée de préférence) encourage aussi le progrès, favorise parfois davantage de se dépasser...
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Peut-on vraiment blesser quelqu'un avec des mots ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Auger dans Inclassables
Pas de souci, j'ai lu que tu avais pu te trouver blessant, et moi aussi j'ai pu l'être à certains moments, mais dans l'ensemble pour ma part, de ce que j'ai lu de toi, tu m'as plutôt donné l'impression de quelqu'un de sympathique et conciliant. Je n'ai de mon côté aucun grief à ton encontre en tout cas. Et je m'excuse aussi si j'ai pu te paraître désagréable parfois, ce n'est pas ce que je souhaite non plus au fond, même si les désaccords opposent un peu quelquefois. -
Peut-on vraiment blesser quelqu'un avec des mots ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Auger dans Inclassables
La calomnie est interdite par la loi française, pas seulement pour moi évidemment, en raison des conséquences néfastes et injustes qu'elle provoque, non pas parce qu'elle est vraie ou un peu vraie mais vexante, mais parce que tenter de faire croire qu'elle est vraie alors qu'elle ne l'est pas, peut provoquer des représailles sociales injustifiées, parfois graves de surcroît, à l'encontre du calomnié... Mais concernant les mots qui peuvent blesser sans pour autant forcément refléter une critique fondée on peut trouver aussi le harcèlement moral, etc... -
Peut-on vraiment blesser quelqu'un avec des mots ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Auger dans Inclassables
La calomnie, entre autres médisances injustifiées ou abusives, peut avoir des conséquences très graves socialement, et pas seulement contrariantes. Elle peut détruire la vie sociale de quelqu'un par exemple... -
Bonjour deja-utilise, La liberté se forge effectivement dans l'accessibilité au choix valable (acquise bien souvent aussi, bien que pas seulement, grâce à l'effort collectif), et donc aussi dans sa conscientisation. Et se responsabiliser passe par cette conscientisation. Nombreux sont ceux qui se contentent d'expliquer leurs choix par des responsabilités exogènes à eux-mêmes ou à leur volonté, qu'elles soient personnifiées, contextuelles, ou attribuées au destin, au sort par exemple. Seulement c'est bien souvent une attitude lâche ou bien le raisonnement d'une personne qui se laisse beaucoup porter par les évènements, et donc aussi influencer par autrui, plutôt que de tenter d'être davantage dans une propre maîtrise de sa vie. Bien des choix sont inspirés (sans aller forcément jusqu'à être dictés au pas près) par la nature humaine, ou bien certains choix n'en sont pas vraiment si les autres options sont en réalité raisonnablement inenvisageables, ne serait-ce aussi qu'illusoirement, en comparaison, au regard du contexte, mais bien d'autres aussi correspondent à de réelles options envisageables respectivement et dont la comparaison éclairée dépend d'une réflexion que l'on peut ou pas, mais aussi que l'on veut bien ou pas se donner la peine de, développer. Or oser prendre le temps (si on l'a) de réfléchir assez à des choix possibles (plutôt par exemple que de se contenter d'imiter le choix du voisin ou du parent, ou de saisir la première idée venue...), naît entre autres d'une confiance en soi qui ne va pas forcément de soi, et du courage de se considérer davantage comme celui à qui on demandera peut-être des comptes en conséquence pour ce choix, en ne l'ayant pas (trop) délégué, à autrui ou au destin... En tout cas la connaissance de l'autre ne se limite pas à ce que la science en dit, et il existe une part d'ombre importante chez les gens qui ne se dévoile pas ou peu en société pour diverses raisons, et cette part d'ombre n'est pas forcément une part "mauvaise" d'ailleurs. Et lorsque l'on s'intéresse à cette part d'ombre on peut parfois apprendre beaucoup des gens, les voir très différemment de l'image qu'ils donnent en société, image un peu plus "automatisée" pour reprendre ton terme, par le conformisme social, et moins vivante, riche de sentiments et d'imagination... Il n'était pas question pour moi de décrire l'attitude de l'ensemble des avocats mais plutôt d'illustrer mon idée par le rôle qu'ils sont censés avoir pour la justice. (Et souvent on dit d'un avocat qu'il défend les intérêts de son client, même s'il est dans le camp de l'accusation, cela dit j'aurais pu écrire "partie adverse" plutôt qu'accusation pour que ce ce soit plus vastement représentatif...) La Justice n'est pas de se comporter de la même façon avec tout le monde, mais plutôt de respecter les Droits de tout un chacun, or on peut être plus particulièrement au service d'une personne pour diverses raisons, sans devenir injuste avec les autres pour autant. Nous sommes des êtres sexués ce qui nous rend naturellement et instinctivement plus ou moins complémentaires du sexe opposé, ou d'un ou plusieurs partenaire(s) sexuel(s) qui nous correspondent. Et cet aspect sexué favorise entre autres l'échange entre les uns et les autres, l'attrait de l'autre. On est encore plus porté à aimer l'autre, et donc à coopérer de concert, s'il ne nous est pas seulement utile pour ce qu'il nous donne mais aussi pour ce qu'il est. La nature forme les êtres vivants aussi parfois dans le but qu'ils plaisent suffisamment (et non pas trop), qu'ils soient assez attrayants pour autrui et leur environnement, et qu'ils s'harmonisent entre eux. Et ce mécanisme collectif fonctionne même s'il est sur un certain nombre de points, faillible, altéré, défaillant... Mais si un individu veut plaire abusivement, ou aime trop, par exemple, il devient répugnant, à l'image du malsain, de la surperversion. La liberté est faite de choix. Même en étant heureux il peut être sain d'avoir à sa disposition un assez vaste champ des possibles parce que la richesse de ce qui est envisageable est aussi à l'image de la richesse des atouts, voire des "plans B, C, D...", dont le monde dispose. Et si un couple est heureux d'être ensemble, il démontre d'autant plus son amour pour l'autre s'il peut s'agir aussi d'un choix parmi d'autres réellement séduisants, et non d'une contrainte totale par absence d'alternative. Ceci dit entre ce qui devrait être et ce qui est dans ce monde, il est certain qu'on doit composer dans un monde imparfait, et grandement répugnant socialement par certains aspects (pas tous évidemment), ce qui impacte aussi les choix à disposition qui nécessitent couramment des sacrifices éprouvants...
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Je refuse d'alimenter davantage cette discussion, que je juge trop déplacée pour être honnête.
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Peut-être que c'est trouvable en cherchant avec acharnement, je ne sais pas. Mais à mon avis, en tant que responsable d'un enfant, attirer ainsi l'attention sur une fillette de 11 ans en lui faisant porter un string en public représente un risque non négligeable, comme c'est évoqué dans l'article joint précédemment.
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Il me paraît probable qu'une véritable mère ne se poserait a priori pas vraiment cette question à partir du moment où il n'est, habituellement, jamais proposé sur le marché de maillot de bain "string" pour les filles de 11 ans. A moins de vouloir lui en confectionner un soi-même ou de lui faire porter un maillot d'adulte peut-être? Voilà ce qui peut être par exemple proposé à cet âge: ... De ce fait, je doute moi aussi de l'honnêteté du topic, et je soupçonne un fake de mauvais goût. Ceci dit je joins un article sur le sujet:
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A mes yeux il serait trop facile de ne voir que les avantages d'un aliment pour le qualifier sans bémol de bon pour la santé. Il faut tenir compte aussi de ses inconvénients. Et tendre à ne consommer, en quantité appropriée, des aliments qu'exclusivement bénéfiques à la santé, ou en tout cas optimiser son alimentation en fonction de ce que nécessite la santé. Et ceci, par extension, en tenant compte également de l'impact de sa consommation sur l'écosystème et la biodiversité entre autres... Je ne peux m'enlever l'idée de la tête que le bien-être, et donc aussi la bonne humeur, dépendent avant tout de la santé, et que la mettre en péril est le plus grand des sacrifices, qu'une lubie alimentaire ne suffit pas à justifier. J'ai un réel plaisir à consommer des aliments sains (des fruits frais par exemple), (bien que j'ai conscience que tout le monde n'a pas exactement la même idée de ce qu'est vraiment une alimentation saine au quotidien). Et je n'éprouve aucune frustration à agir en fonction de ce principe, au contraire c'est ainsi que je me sens en accord avec moi-même.
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Bonjour deja-utilise, Bien sûr, le déterminisme entre grandement en compte dans le comportement des individus, j'en suis consciente, mais moins que je ne l'imaginais adolescente, où le vécu respectif me semblait davantage ne varier vraiment qu'en fonction de quelques choix (professionnels, sentimentaux, etc...) importants, et moins d'une multitude en réalité. Par "hors norme" j'entendais surtout les aptitudes psychiques peu ou pas reconnues officiellement par la science, ou seulement en voie d'exploration par elle sans certitude. Pour illustrer l'idée d'une relation privilégiée impartiale, je pourrais évoquer par exemple le rôle de l'avocat pour son client, dont c'est le devoir de se positionner en tant que défenseur pour lui, sans forcément pour autant outrepasser le cadre de la Justice, et tout en conservant un certain respect dû au camp de l'accusation... J'ai tendance à préférer l'expression "Il vaut mieux être seul.e que trop mal accompagné.e", que "Il vaut mieux être seul.e que mal accompagné.e.", qui ne souffre alors à mon sens aucune tolérance. Effectivement on se focalise souvent avant tout pour une relation sur ce qui la légitime, c'est ce qui nous fait la faire vivre au fil des jours, l'entretenir. Et le libre-arbitre fait qu'on ne s'oppose pas à l'autre pour tout ce qui nous contrarie, ou nous dégoûte, de sa part, une part de ce qui nous contrarie n'est pas de notre liberté de choix, ni même d'influence, mais seulement de celle de l'autre, ou d'autres, ou encore d'aucune, c'est donc à tolérer ou bien la relation dans son entier est remise en question. Et c'est souvent lorsque les obstacles à cette relation sont ou deviennent vraiment importants à nos yeux qu'ils vont jusqu'à la remettre en question. Envisager la rupture, lorsque ce n'est voulu que d'un côté, peut alors, d'autant plus si ce choix implique d'importants bouleversements, faire entrer dans un esprit de lutte, de conflit, de débat, car que sa décision soit contestée attise de la repenser et de la défendre, de ressasser les points négatifs, voire qui nous répugnent... Mais parfois pas grand chose de la part de l'autre suffit finalement à renverser la vapeur. Seulement si ce "pas grand chose" n'avait pas existé la relation serait réellement devenue impossible, invivable, toxique, un peu comme pourrait l'illustrer l'effet papillon. Car parfois, pour durer, une relation demande des petites attentions, divers critères composés de détails, qui peuvent sembler anodins, dénués d'importance, de l'extérieur, mais dont la relation, les sentiments, peuvent dépendre réellement.
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C'est selon ce que l'on entend par "gourmandise". Souvent le terme représente avant tout, en première définition, l'excès alimentaire, pas forcément seulement en quantité, mais aussi par rapport au type d'alimentation, les "gourmandises", représentent généralement des mets trop gras, trop sucrés, etc... Il est rare de dire qu'on s'offre une gourmandise par exemple lorsqu'on prend une simple poire. Mais effectivement, le terme est aussi parfois employé autrement, ce que pour ma part je ne fais normalement pas, pour éviter un surplus d'ambiguïtés.
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Je mange par faim pour ma part oui. Je ne mange jamais pour m'occuper ou seulement parce que j'aime le met en question. Je n'ai pas de plaisir à manger si je n'ai pas faim, même si l'alimentation est normalement l'un des plaisirs de base dans la vie. Et je déteste la gourmandise, j'aime allier toujours alimentation et santé, sinon j'aurais l'impression d'être ma propre ennemie.
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Se forcer à se mettre en couple?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Crabe_fantome dans Amour et Séduction
Ce n'est pas que la raison ne compte pas, c'est qu'elle ne suffit vraiment pas pour être amoureux, il faut le ressentir au-delà des mots. J'ai du mal à m'imaginer comme ta chanteuse, je ne traite pas les femmes de "sorcière" pour des raisons d'aspect physique (je peux critiquer le physique mais pas de cette manière, je ne t'aurais jamais répondu comme elle l'a fait), et l'homme avec qui je suis n'est pas si mal physiquement, il est jeune, sportif, avec des traits réguliers, etc... (C'est pour d'autres raisons qu'il nous est arrivé d'être en désaccord.) Je te souhaite en tout cas de t'épanouir dans ta vie sentimentale, quelle qu'elle puisse être, et de faire de belles rencontres. -
Se forcer à se mettre en couple?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Crabe_fantome dans Amour et Séduction
(Quand je dis "couple" à mon idée les relations brèves ou peu durables peuvent aussi y être incluses.) Il y a à mon avis une part sentimentale de nous qui nous protège et qui fait que la raison ne suffit pas à nous convaincre tout à fait quand l'alchimie n'est pas assez là, et que c'est l'alchimie avant tout qui mène la danse. Pour ma part, ces dernières années j'ai rencontré de nombreux hommes, et pourtant je suis encore liée avant tout au même depuis presque 6 ans. J'ai tenté maintes fois, au fil des mésententes passagères, de me convaincre que cette relation était fragile, peu fiable, que je ferais mieux d'être avec quelqu'un d'autre, etc..., mais elle dure quand-même, parce que l'alchimie entre nous s'impose d'elle-même par rapport à avec d'autres et aussi par rapport à mes réticences... -
Se forcer à se mettre en couple?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Crabe_fantome dans Amour et Séduction
Je crois qu'on n'échappe pas à sa nature et que quelque part on aspire naturellement à être lié à quelqu'un qui nous correspond, même si on peut apprécier certains moments plus ou moins longs de solitude. Quant à "se forcer", parfois une relation de couple nécessite quelques efforts. Il m'arrive personnellement par exemple de temps en temps de prendre sur moi en laissant de côté quelques activités ou projets en plan pour passer du temps en couple, ou de tenter de remettre les pendules à l'heure quand ça ne va pas... Une relation de couple n'est pas toujours exempte d'inconvénients, mais parfois elle peut en valoir la peine. -
Quant à moi je n'aime pas tellement les voyages, pour des raisons écologiques et autres... J'ai beaucoup voyagé vers la vingtaine dans divers pays pour les vacances ou autres, mais j'ai gardé au fil du temps l'idée que l'important pour être heureux, peu importe le lieu où on était, était surtout d'être bien avec soi-même et ceux qui nous entourent. Du coup, même si j'apprécie le changement de cadre, la plage l'été etc... lorsque je pars à présent, et je suis vraiment heureuse de partir cet été, je le fais surtout pour retrouver ma famille éloignée. (Il existe une chanson célèbre de Francis Cabrel, évoquant plus ou moins ce thème, "les murs de poussière"). Quant à la gastronomie locale, pour ma part j'obéis à des règles diététiques strictes que je me suis fixées, et que je n'abandonne pas en voyage.
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Peut-on ne pas faire du mieux qu'on peut dans la vie?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
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J'adore la campagne, j'y ai grandi (bien qu'à présent j'habite en ville pour des raisons pratiques). Pour ma part je pars en vacances avant tout pour des raisons familiales, plus que pour des raisons de cadre de vie.
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Récemment, j'ai interrogé par exemple mon moteur de recherche à propos de l'évolution du nombre de chrétiens et de catholiques en France et dans le monde, entre autres questions relatives aux diverses religions et leurs nombres de pratiquants ou non-pratiquants selon les pays. Simplement par intérêt sociologique pour le sujet, sans parti pris dans un sens ou dans un autre. (Cependant, s'il est question de racisme, il a en effet été particulièrement mis en évidence médiatiquement ces derniers temps d'à quel point certaines mentalités pouvaient être grossières et affligeantes sur ce point. A se demander s'il ne s'agissait pas aussi d'une sorte d'auto-sabordage...)
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Je pars trois semaines en août, mais vers chez moi il fait plutôt beau l'été en général quoi qu'il en soit (sud-ouest), je pars pour diverses autres raisons. Pour le climat, au-delà des considérations environnementales et autres, l'été est la période que je préfère en tout cas personnellement, je supporte bien la chaleur. Ceci dit j'évite quand-même de m'exposer outrancièrement au soleil. Je limite le temps que je passe quotidiennement sur la plage lorsque je suis en vacances par exemple... Quant à la pluie, d'habitude elle ne me contrarie pas dans mon quotidien, mais sur de longues périodes il est vrai que ça peut devenir lassant (au-delà, encore une fois, des considérations environnementales).
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Je n'ai pas lu ce livre. Mais d'après ce qu'il en est dit dans l'article, l'idée de sa concrétisation en est venue par une éditrice sur la base d'une plaisanterie de l'autrice après la publication d'un autre livre "Ressource humaine". C'est peut-être la raison pour laquelle le titre peut paraître "décalé", humoristique. Et apparemment, il s'agit aussi effectivement d'une question d'adaptation sociale après un coming out. Où aller, quels lieux fréquenter pour faciliter les rencontres, quels documents consulter éventuellement sur le sujet, comment s'assumer sans complexe dans une société où l'homosexualité est souvent jugée anormale, etc..., sur un ton quelque peu humoristique ou léger. Elle y partage sa propre expérience.