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Tout ce qui a été posté par sirielle
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D'après vos écrits, l'employé a été accusé de vol, il a avoué, y compris la récidive. Et s'il a rectifié à la baisse le montant du vol c'est aussi et avant tout par rapport à son propre intérêt. (Sa culpabilité était censée en être amoindrie aux yeux du directeur.) Devait-il le faire? Si la rectification était juste, c'est à lui de juger de s'il était opportun ou non de le préciser au cours de l'entretien avec le directeur, en fonction de comment cet entretien s'est déroulé et sur quel ton, possiblement oui s'il s'en est assez correctement et poliment expliqué. Si la rectification était fausse, c'était un risque supplémentaire pour lui d'être pris en défaut. S'il préfère garder cet emploi malgré les inconvénients qu'il y trouve, il est dans son intérêt de s'y comporter aussi consciencieusement que possible. De même, s'il espère être davantage récompensé par son employeur, même si l'on n'a pas toujours ce que l'on mérite c'est vrai, il faut en tout cas s'efforcer d'en être digne et d'employer des moyens respectables. Et son employeur a fait quand-même preuve d'une certaine indulgence dans ce cas précis. Mais certes il faut trouver une juste mesure à l'amabilité que l'on se donne à l'égard de son employeur, éviter les "excès de zèle".
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Il me paraît normal qu'il soit très embarrassé dans cette situation et qu'il ait l'impression de "marcher sur des oeufs" vis-à-vis de l'entreprise, mais il semble relativement probable que le directeur ne reviendra pas sur sa décision au seul motif que l'employé a révisé à la baisse, après réflexion, le montant du préjudice estimé (ce qui, d'après moi, peut quand-même rester compréhensible s'il était de bonne foi, même si ce n'était pas indispensable, et ce qui ne cause pas en soi plus de tort à l'entreprise). Bien qu'en effet il a sans doute raison de préférer faire "profil bas" dorénavant, et d'éviter tout risque aussi insignifiant soit-il de faire encore davantage mauvaise impression.
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Ce n'est pas forcément moins crédible, encore une fois l'expression corporelle joue, ainsi qu'effectivement la tournure des phrases, mais si l'employé n'avait pas calculé auparavant le montant de ses vols, il a pu en effet se tromper en première estimation, d'autant plus sous le coup du stress. Et si ce "moitié moins" s'exprime comme de l'à peu près, ça peut rester crédible. Et puis ça légitime davantage d'être revenu sur ses aveux, que si ce n'était que pour quelques euros de différence. Mais s'il minimise outrancièrement alors qu'il n'a pas été sanctionné, c'est maladroit. Quoi qu'il en soit, dans un cas comme dans l'autre, à mon avis ça n'a pas matière à grandement influer sur l'impression de la direction, car le vol reste avéré et avoué. A priori ce sera plutôt le comportement à venir de l'employé dans l'entreprise, à relativement long terme, qui pourra ou non regagner un peu de confiance auprès de son employeur.
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D'une part l'expression corporelle pourrait jouer, c'est à dire la façon de s'exprimer de l'employé pourrait faire plutôt pencher pour l'hypothèse de sa crédibilité ou l'inverse. Sans preuve suffisante dans un sens ou dans l'autre le doute resterait permis, mais le but de l'employé est forcément d'améliorer ne serait-ce qu'un peu son image aux yeux de l'employeur, sachant qu'il se sait gardé mais quand-même entâché par ses vols, et peut-être sur la sellette. (Cependant exprimer avoir subi des pressions peut éventuellement être également pris en considération, car si l'employé insinuait que "la sécurité" usait d'intimidation, le directeur pourrait vouloir vérifier ce qu'il en est, la questionner à ce sujet.) Mais peut-être n'exprime-t-il seulement qu'avoir craint au moment du flagrant déli, que si ses aveux s'avéraient insuffisants, avoir l'air encore plus malhonnête si la preuve en était faite, d'autant qu'il n'avait peut-être alors pas lui-même calculé la somme avec exactitude, et qu'en y repensant par la suite il s'est rendu compte avoir exagéré le montant involontairement, ou par souci de ne pas trop le minimiser. Il serait compréhensible dans ce cas, qu'il veuille corriger à l'occasion ses aveux portant exagérément atteinte à sa propre réputation, même s'il n'a pas été sanctionné.
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La direction a, d'après le texte de l'auteur, déjà fait et appliqué son choix quelles qu'en soient ses raisons pouvant être diverses, et la demande n'est pas de juger le choix de la direction mais d'expliquer le désaveu de l'employé semble-t-il.
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Il pourrait y avoir des circonstances exceptionnelles expliquant l'indulgence, par exemple situation de précarité soudaine d'un employé jusque là irréprochable malgré son ancienneté, emploi attribué à un proche, etc...
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Si l'employé est maintenu dans l'entreprise, l'impression qu'il fait à son employeur peut encore compter pour l'avenir. Soit par exemple il avait réellement arrondi à la hausse et souhaite donc le préciser, ou en tout cas il veut minimiser son geste pour rassurer quelque peu son employeur à son égard. Soit il a gardé une (légère ou moins légère) rancoeur à l'encontre des méthodes de celui ou ceux qui l'a/l'ont questionné et le souligne (ce qui est moins probable car il n'est pas tellement en position de se plaindre, mais pas complètement impossible). Ou les deux...
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Les élèves sont jugés à leur tenue, donc plus ou moins admirés ou au contraire méprisés en fonction. Cependant il reste normalement facile de s'habiller correctement même avec peu de moyens. Les uniformes trouvent davantage leur raison d'être lorsqu'ils sont censés par exemple afficher publiquement un rôle professionnel, donc à mon avis non seulement il n'y a pas vraiment de nécessité en milieu scolaire ou étudiant de différencier les élèves des non-élèves, mais en plus, encore une fois, j'estime que l'un des rôles et avantages de l'école consiste à sociabiliser les enfants, donc à valoriser la personnalisation de chacun. Car la mode vestimentaire peut être aussi un moyen d'expression. https://sapologie.home.blog/2019/02/18/le-vetement-est-une-expression-de-lidentite/#:~:text=Le vêtement peut être considéré comme un langage.,d’où l’on vient et quelles identité on véhicule. https://www.couturistique.fr/la-mode-pris-comme-moyen-dexpression-vestimentaire/
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Choisir soi-même sa tenue participe davantage à s'initier à la mode, aux codes vestimentaires, à la personnalisation du style et à l'originalité. Et si les uniformes contribuent entre autres à contrer un peu les discriminations relatives aux inégalités sociales (ce qui est un peu reculer pour mieux sauter), et à renforcer l'ambiance studieuse, quand l'école forme à la vie en communauté, avec la richesse des différences qu'elle implique, c'est aussi un avantage à mes yeux. Et puis il y a uniforme et uniforme... Mais il s'agit généralement d'une tenue guindée (qui n'est aucunement censée être sexy contrairement à ce que pourrait laisser penser une certaine fantasmatique populaire, et autres dérivations stylistiques et artistiques), donc personnellement je ne regrette pas particulièrement de ne pas avoir eu à en porter durant ma scolarité et mes études, d'autant que ça ne m'a pas interdit pour autant de porter parfois des jupes courtes plissées...
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La rancune à outrance est un défaut, pouvant par exemple s'apparenter à de la mesquinerie, un manque de coeur, de tolérance, d'indulgence, d'impartialité, voire de discernement, etc... Mais modérément elle valorise les relations selon le principe de conciliation alimenté par devoir "régler ses comptes", équitablement de préférence évidemment, malgré la difficulté que cela peut représenter parfois, le temps et la réparation que cela peut demander. S'écraser à chaque "offense", vouloir ne jamais en tenir aucune rigueur, sert plutôt l'hypocrisie et l'incompréhension entre les uns et les autres, voire la récidive et l'aggravation de la situation par laxisme.
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Le libre-arbitre est un concept relativement facile à saisir dans ses grandes lignes, il représente un principe de propriété décisionnelle légitime. "A qui appartiennent (ou pas) telle ou telle décision." Les décisions qui m'appartiennent occupent le champ de mon libre-arbitre (dans certains cas conditionnellement concerté). Transgresser le libre-arbitre revient donc à prendre une décision ne nous appartenant pas, à outrepasser sa liberté de choix, soit en choisissant par exemple à la place d'autrui, en empiétant donc sur le libre-arbitre d'autrui, ou encore en outrepassant ses droits légitimes dans ses décisions.
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Pour moi, pouvoir se cantonner à un régime strict à vie, s'il est sain évidemment, représente une chance, une liberté. Malheureusement souvent les gens font simplement avec ce qu'ils ont, comme ils peuvent, quitte à ce que ce soit en partie aux dépens de leur santé (que ce soit par ignorance ou pauvreté). C'est pourquoi je ressens aussi une pointe de tristesse lorsque je vois par exemple, un enfant tout heureux et réjoui d'un aliment néfaste pour lui qu'on lui offre comme une faveur. (Quant aux aliments auxquels je tiens le plus personnellement, comme je l'ai déjà évoqué sur ce forum, ce sont les fruits.)
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Toucher aux enfants... C'est la menace ultime pour "nous". Le pire réalisable pour "les sans foi ni loi". Autant dire que si le chantage des dégénérés s'y attèle, il n'y a pas à s'en étonner, car c'est en quelque sorte notre "talon d'Achille", le talon d'achille communautaire. La sensibilisation sociale passe malheureusement par une moralité éducative bien plus solide.
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Aimez-vous, cherchez-vous à être "belle" ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Easle dans Amour et Séduction
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Se jeter dans les bras d'un(e) autre après une séparation
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La fidélité est elle encore possible, est-elle l'avenir du couple
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S'il ne pue pas trop du cul à long terme. (Je sais, c'est trop demander, mais vous ne pourrez contester alors que l'espoir fait vivre.) (Mais ne me le vexez pas davantage, ou alors autant vous dire adieu déjà. Bon, adieu...) -
Aimez-vous, cherchez-vous à être "belle" ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Easle dans Amour et Séduction
Qui juge? Nous tous, que nous le voulions ou non. De quel droit? De celui qui sait ce à quoi on a droit. Regarde ton enfant entre les mains du destin. Quels sont ses droits sinon ceux de la sécurité communément construite? Si tu veux transmettre ta paternité, tu sauras alors respecter la maternité, telle est la nature humaine, si fusionnelle. (Dis-moi, "cet homme" il s'attache à moi depuis presque 5 ans à présent, est-ce que c'est cool de lui faire comprendre que ce n'est pas encore suffisant par son attitude, ou vaut-il mieux l'ignorer?) -