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Tout ce qui a été posté par sirielle
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Bonjour deja-utilise, C'est un sentiment que j'éprouve couramment depuis seulement quelques années. Mais j'ai lu "La nausée" de Jean-Paul Sartre lors de mon adolescence et ce livre m'a marquée. Toutefois il semble que Jean-Paul Sartre l'avait titré "Melancholia" au départ et que c'est Gaston Gallimard qui lui a suggéré alors de le nommer "La nausée". Cependant dans le texte on trouve par exemple: Pour ma part au début de l'âge adulte j'était de tendance humaniste. Je considérais les gens en général un peu comme on considère des "trésors" de potentiel et de charme en quelque sorte, malgré leurs éventuelles dangerosité ou bêtise. Au fil de mes rencontres je suis devenue plus méprisante (ce qui est un peu différent du dégoût), plus partagée, bien qu'en gardant tout de même une importante estime pour l'humanité. Et depuis quelques années j'ai commencé à être envahie, sans le vouloir évidemment, d'un dégoût que je ne connaissais pas ou peu, en fonction des divers échanges au quotidien. (Ce qui ne m'empêche pas d'entretenir différentes relations avec des personnes auxquelles je tiens beaucoup, et pour lesquelles je peux parfois éprouver d'importantes estimes, affections et admirations cela dit.) Et je me demandais à quel point et comment d'autres expérimentaient ce même sentiment. Chacun de ces termes diffère au moins partiellement des autres à mon sens. Le mental incluant à mes yeux le moral et l'intellectuel mais pas seulement. Le moral est dans le jugement, le mental plus vastement dans la pensée, l'imaginaire, les sentiments, etc..., l'intellectuel dans la réflexion, morale ou non... Pouvoir éprouver du dégoût à un moment ou à un autre me paraît normal même si bien sûr dans un monde parfait il n'y aurait pas de quoi. Mais que ce sentiment (et non pas seulement ce ressenti) puisse être habituellement très prononcé, (et bien sûr la subjectivité entre en compte, en fonction entre autres des circonstances auxquelles chacun est confronté jour après jour, etc...), dénote un problème causal certain en effet. Comme je l'ai déjà évoqué, à mes yeux les émotions sont des guides, il est essentiel de les canaliser à bon escient, pour tendre à un bonheur construit entre autres par la gestion des problèmes que l'on perçoit et sur lesquels on se doit de se pencher suffisamment.
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Dans cette source un lien est fait entre dégoût moral, salissure et indignité: Or la "salissure", la "souillure", peuvent aussi être d'ordre moral...
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"La nausée", titre d'un roman philosophique de Jean-Paul Sartre, renvoie à l'idée d'un dégoût existentiel profond. Et dans l'une de ses chansons célèbres "Message personnel", Michel Berger évoque le "dégoût de la vie"... Comment expliquez-vous que le dégoût mental et intellectuel puisse être chez quelqu'un un sentiment généralisé dominant et durable?
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Pour ma part je m'intéresse beaucoup à ce domaine depuis mon adolescence, quand j'ai pu bien davantage choisir mon alimentation par moi-même. Il m'arrive entre autres couramment de lire par exemple les informations nutritionnelles précises des produits ou de les rechercher sur Internet si elles ne sont pas inscrites sur le produit (comme sur les fruits et légumes frais par exemple) ou si elles me semblent incomplètes. Parfois il y a quelques contradictions entre les sites mais si on compare d'assez divers sites de nutrition on augmente les probabilités de savoir quelles informations sont validées par la plupart ou la marge à considérer entre autres. Je m'intéresse aussi aux atouts et inconvénients ou risques des différents aliments ou des différents modes/régimes alimentaires. Dans ce cas sont relevés plus directement dans les aliments quels sont leurs apports et risques caractéristiques (les plus notables) et quels sont les différences relevées scientifiquement entre les habitudes alimentaires des différentes cultures ou de personnes ayant fait l'objet d'une étude à ce sujet. (Bien sûr il y a donc nombre d'informations que je connais déjà et que je n'ai donc pas forcément besoin de revérifier ou de revoir.) Je choisis quand-même mes repas en fonction de ce que j'aime manger (par rapport au goût, à la cause animale, etc...) mais je tiens compte de leurs informations nutritionnelles car il est important à mes yeux d'allier alimentation et santé. Je prends d'ailleurs des compléments alimentaires végans riches en vitamines, minéraux et protéines pour le sport et pour m'assurer de ne manquer de rien (bien qu'il m'est arrivé de changer de marques et d'apports spécifiques en fonction des circonstances). Mon alimentation a évolué au fil du temps parce que j'ai tenu à trouver une alimentation qui me convenait vraiment personnellement sur tous les plans, donc au fil de mes recherches j'ai un peu modifié ma méthode, ajouté ou ôté des produits de mes habitudes alimentaires, et je suppose que je la modifierai encore au moins un peu au fil du temps...
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Beaucoup de conseils et d'informations à propos de la diététique circulent sur Internet ou ailleurs. Si vous en suivez, lesquels plus particulièrement? Vous intéressez-vous au quotidien aux nombres de kilocalories, de protéines, lipides, glucides, vitamines, minéraux, de ce que vous consommez? Prenez-vous des suppléments vitaminés ou protéinés par exemple? Vous arrive-t-il de suivre des régimes spécifiques? Avez-vous changé notablement d'alimentation au fil du temps pour une raison ou pour une autre?
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J'ai eu la sensation involontaire d'être une esclave, en ces termes, il y a peu de temps encore, mais ce n'est plus tellement le cas à présent, car j'ai réussi à prendre un peu mes distances au fil du temps d'avec certaines personnes abusives et machistes, qui usent d'intimidation.
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A l'heure actuelle, en général soit je suis ponctuelle ou un peu en avance, mais il m'arrive régulièrement d'annuler des rdv aussi, parfois un peu facilement quand il s'agit de rdv peu importants, sinon j'essaie aussi d'annuler le moins possible. En revanche arriver en retard ne m'arrive jamais habituellement.
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Blâmer n'est pas toujours signe de moralité. C'est couramment signe de jalousie. Mais ceux qui se disent sans envisager le moindre doute jalousés alors qu'ils ne le sont pas, sont des gens qui aiment la jalousie, qui projettent leur propre jalousie sur les autres. Et être jaloux n'est pas être amoureux, mais être nombriliste. Quand on est nombriliste, on ne voit pas plus loin que le bout de son nez, ce qu'on y gagne personnellement à première vue quitte à être partial, rien d'autre.
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En tout cas, si je n'attire pas trop de boulets à cet âge ce sera déjà ça de gagné...
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Tu ne me connais pas. Les femmes peuvent me débecter aussi par leur attitude. Je ne suis pas sexiste, mais lorsqu'il s'agit de faire l'amour je juge les hommes parce que je ne couche qu'avec des hommes, c'est tout. Tu ne sais pas ce que sera ma vie. Moi je n'idéalise pas les gens de vingt ans, bien souvent ils sont très immatures. Je juge plutôt par rapport à l'attitude. Je ne préfère pas les hommes de vingt ans à ceux de soixante par exemple, je juge à leur façon d'être. Mais même si ceux de soixante ont vieilli ils sont parfois plus beaux physiquement à mes yeux que des hommes un peu stupides de vingt et quelques. Et pourtant j'ai couché avec un homme de vingt et quelques il y a peu, mais je n'en fais pas une règle pour autant. Et je ne me soucie pas de ce que tu peux penser de mon corps, mon corps c'est ce que m'ont donné mes parents, et je ne te permets pas de juger de sa valeur en fonction de son âge.
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Avant quarante ans ça existe aussi... Un peu de tolérance ça passe, mais il ne faut pas trop exagérer quand-même.
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Les hommes qui ne savent pas se tenir, ça se voit, c'est ainsi. Le corps c'est la vie, ça doit se respecter.
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Je joue beaucoup sur le physique en tout cas, c'est clair. Car s'il y a bien une chose qui me dégoûte en amour c'est de coucher avec un homme qui se laisse trop aller... Alors je me le tiens pour dit.
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On peut séduire par le physique aussi. A vrai dire, j'ai tendance à fréquenter les hommes en fonction de l'attirance physique réciproque avant tout, même si on ne se connaît pas beaucoup. Secondairement on voit si on arrive à s'entendre. Et puis séduire avec les tenues qu'on met aussi par exemple...
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Les hommes que j'ai fréquentés m'ont par exemple complimentée très couramment sur mes yeux, peut-être parce qu'ils sont verts... Je pourrais citer d'autres compliments spécifiques venant d'eux, mais ce serait juger en fonction de ce qu'ils disent dans ce cas. Pour ma part je trouve que je suis réservée, je ne m'impose pas beaucoup, un homme ne peut donc pas normalement se sentir étouffé, sursollicité avec moi. Même si ça ne conviendrait pas à n'importe quel homme et qu'on me l'a déjà parfois un peu reproché, je crois que ça peut être une qualité pour certains en tout cas. Et puis je suis honnête, je m'efforce de me conduire correctement, j'ai de l'empathie.
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Une telle impolitesse pourrait aussi n'être peut-être que de la jalousie à ton encontre, la jalousie est encore particulièrement courante à cet âge en tout cas.
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L'athéisme doit-il démontrer l'inexistence de Dieu pour être vraiment justifiable?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Religion et Culte
C'est ton point de vue, mais il en existe d'autres. A mon avis beaucoup confondent croyance (voire manipulation) et allégorie sur ce thème, ce qui leur donne alors une idée erronée de ce qu'est la croyance religieuse. D'autant plus que le terme croire est souvent abusivement employé dans le langage courant, croire revient avant tout à tenir pour vrai, réel, et non pas à douter en feignant croire (ce qui existe aussi couramment). Seulement croire en Dieu ce n'est pas forcément croire en l'idée que se fait autrui de ce que représente Dieu, c'est là que réside la différence entre croyance et préjugée croyance. Quant aux émotions et aux sentiments (l'envie, l'admiration, la tristesse, etc...), ils peuvent être réels mêmes s'ils sont du domaine du psychisme. Le psychisme n'est pas que fiction. -
Personnellement, je crois qu'il n'est pas toujours approprié de préciser le prénom lors des échanges courants, bien que dans certains cas si, cela pourrait même manquer de naturel, paraître trop affecté. Et puis si on a des principes trop rigides, on en attend parfois de même des autres, ce qui est susceptible de créer des tensions inutiles. Pour ma part en tout cas, je fais comme je le sens sur le moment, et je ne ressens pas non plus le besoin que l'on fasse preuve de trop d'attentions à mon égard. Et puis j'essaie aussi de m'adapter à mon interlocuteur pour éviter un malaise. Par exemple généralement si mon interlocuteur me dit "Bonjour A...", je réponds aussi en citant son prénom (si je m'en souviens), s'il ne le fait pas, je ne le fais pas. Quitte parfois à contourner certaines règles, comme par exemple, s'il est l'heure de dire bonsoir et que l'on me dit bonjour, je réponds bonjour moi aussi par politesse, pour ne pas avoir l'air de le reprendre... En résumé, j'essaie en règle générale de me conformer aux bonnes manières courantes ou contextuellement de mise, sans en rajouter. Car à mon avis la simplicité apporte une certaine discrétion souvent bienvenue. Et pour exprimer ma sympathie j'aurais plutôt tendance par exemple à simplement sourire chaleureusement, parler avec douceur ou jovialité, etc...
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Si vous deviez passer une heure sur un banc a parler avec quelqu'un
sirielle a répondu à un(e) sujet de Pirene dans Inclassables
Brigitte Bardot peut-être, parmi les célébrités... -
L'athéisme doit-il démontrer l'inexistence de Dieu pour être vraiment justifiable?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Religion et Culte
A aucun moment sur ce sujet je n'ai prétendu qu'il n'existait pas plusieurs dieux, et à aucun moment je n'y ai affirmé qu'il en existait plusieurs. Mais même si on admet l'hypothèse qu'il peut y en avoir plusieurs, croire n'est pas supposer. Et lorsqu'il s'agit de monothéisme on peut alors quoi qu'il en soit par exemple avoir pour principe de regrouper en une seule entité tout ce qui se rapporte à la divinité, quelle que soit la multiplicité de formes qu'elle peut prendre. Cependant il n'est pas forcément nécessaire non plus pour y croire de la personnifier, ni de ne pouvoir la concevoir que comme un être ne pouvant pas exister indépendamment d'un peuple dont il serait l'un des individus. Et pour revenir au sujet de la sémantique en religion, par comparaison, pour préciser ma pensée, j'ai évoqué le concept d'envie précédemment, l'envie est entre autres un sentiment de convoitise. Pourtant si on s'intéresse à divers points de vue de ce qu'est l'envie on pourra trouver par exemple cette représentation ("Envy" di Alessandro Cripsta): Et si on s'intéresse au concept d'esprit on pourra trouver ceci par exemple: On pourrait s'amuser à en conclure "Si l'envie est un homme des orbites duquel jaillissent des tentacules, et si l'esprit est un personnage flou géant et difforme, ce sont seulement des concepts issus de l'imaginaire auxquels seules des personnes trop naïves pourraient croire." Mais en réalité il s'agit de représentations artistiques à ne pas saisir qu'au premier degré. Ce qui ne signifie pas que ces représentations sont mensongères, ni que l'envie et l'esprit sont des personnages ou rien, ni que si l'envie est effectivement un homme, elle a peut-être une femme et des enfants, etc... Il faut simplement, pour comprendre le sens de ce qui est exprimé, décoder correctement la forme d'expression utilisée. -
L'athéisme doit-il démontrer l'inexistence de Dieu pour être vraiment justifiable?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Religion et Culte
Bonjour Jacky, Il est simplement question ici, comme ça pourrait être aussi le cas sur d'autres thèmes, du principe, que l'on valide ou pas, de n'adopter une position, qu'elle soit donc athée, bouddhiste, catholique, agnostique, etc..., qu'en fonction d'une réflexion personnelle assez construite permettant d'y adhérer véritablement, et non pas seulement à-peu-près. Par exemple si j'adhère à telle ou telle croyance, ou bien si j'estime que telle ou telle théorie est fausse, ou encore si j'estime ne pas posséder assez d'informations pour juger assurément de la véracité ou de la fausseté d'une idée, etc... je fonde ce constat sur une réflexion argumentée m'y conduisant logiquement en mon for intérieur, que je décide de la partager ou non par la suite. -
Heureuse en suivant l'exemple des autres ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de PtitAngelina dans Amour et Séduction
On ne peut pas être pleinement heureux en suivant "sa propre théorie" si cette théorie est illusoire, biaisée ou trop incomplète, trop faillible, par exemple. Ou, en d'autres mots, certains principes, certaines idées, déraisonnables, ou manquant d'une certaine lucidité à-propos, conduisent vers une dégradation (dans certains cas, grave) qui ne devrait pas être, ou évitable, de la situation, même si ceux qui les portent n'en ont pas forcément conscience ou assez conscience au départ. Et il peut parfois être alors de la responsabilité de ceux qui en ont conscience, ou qui le devinent, d'avertir, de prévenir, même s'ils ne sont pas directement concernés, et même si ce n'est pas forcément à eux qu'appartient la décision finale de rejeter, de modifier, ou non la théorie en question. Cependant, ceux qui désapprouvent une théorie (ne serait-ce que partiellement) n'ont pas forcément toujours raison non plus, même s'ils sont nombreux ou majoritaires à la désapprouver ou s'ils semblent pourtant particulièrement qualifiés pour savoir, à juger au cas par cas... Et en résumé, se démarquer n'est pas forcément un tort, voire dans certains cas bien au contraire, mais parfois si. -
L'athéisme doit-il démontrer l'inexistence de Dieu pour être vraiment justifiable?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Religion et Culte
Le langage évolue au fil du temps, aussi en fonction de l'utilisation qu'on en fait. Et on peut remarquer que de mêmes mots pouvaient avoir un sens relativement différent par le passé parce qu'ils étaient employés dans un autre contexte, ou encore, représenter moins de sens différents, c'est ainsi. De plus, tout le monde n'est pas toujours d'accord sur la ou les définitions de certains concepts plus ou moins abstraits aussi en raison des différences de compréhension et de ciblage des concepts. Si on demande à plusieurs personnes ce qu'est l'envie par exemple, ou l'esprit, les réponses vont différer, comme pour bien d'autres termes. Ce qui ne signifie pas pour autant que ces concepts n'ont pas de réalité autre que fictionnelle, mais différemment explicables ou saisissables. Bien sûr, il existe effectivement à ce sujet des notions objectives, plus ou moins limitantes, mais ces notions objectives peuvent quand-même être multiples, varier plus ou moins, et évoluer. Le langage est ainsi, vivant, multi-sens, et non exclusivement figé en seulement deux dimensions précises... Quant à ta question, j'y ai répondu personnellement selon mes convictions, Dieu n'est aucunement à mes yeux qu'un individu lambda comparable à tout un chacun, comme pour bien d'autres, et pour te définir Dieu je devais logiquement utiliser d'autres mots que "Dieu", qui puissent te donner une idée de ce qu'il représente à mon avis, en toute logique, c'est le principe d'une définition. D'ailleurs, tu peux par exemple t'intéresser aux définitions de Dieu pour mieux comprendre en quoi il n'est pas forcément entendu comme faisant partie d'un peuple ou d'un groupe de Dieux comme dans les religions polythéistes par exemple... Mais si cette question t'intéresse davantage, tu peux aussi ouvrir un sujet sur ce thème...
