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Tout ce qui a été posté par sirielle
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Mon compagnon m'a plusieurs fois dit qu'il me préférait en jupe ou en robe "courte", donc généralement c'est ce que je porte quand je le vois, sauf exceptions (On n'habite pas ensemble.). Il préfère les strings aussi, comme beaucoup d'hommes (Je ne sais pas si cette précision compte ou pas pour ce sujet, mais en couple la question des sous-vêtements peut avoir aussi une certaine importance...).
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Toi oui, c'est certain (n'est-ce pas?). Moi c'est différent, j'aime l'ensemble, encore faut-il savoir bien l'imaginer (va savoir quelle y est vraiment ta place, pas seulement celle qu'on veut bien t'accorder)...
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https://voca.ro/1o7nOXGU1LgC
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D'accord, mais au-delà de moi, si tu fais couramment des clins d'oeil même avec des non-proches, ou inversement, n'y a-t-il même pas une seule anecdote dont tu puisses te souvenir à ce sujet?
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Donc rien de très récent qui permette de s'en souvenir facilement, ni aucune anecdote évidente.
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Si ce n'est pas trop indiscret, peux-tu raconter ton dernier clin d'oeil (avec un non-proche), ou l'un de tes derniers clins d'oeil (avec un non-proche), en date, ses circonstances?
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D'accord, mais des professionnels, commerçants et autres, on en croise très souvent, donc si c'était un geste courant, tu t'en souviendrais.
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Je comprends ton point de vue. Il est tout à fait plausible, et je te remercie de m'en avoir fait part. Mais de ton côté, ça t'arrive souvent que des professionnels, hommes ou femmes, te fassent des clins d'oeil quand vous êtes raccords?
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Oui, je lui ai parlé vite fait une dizaine de fois peut-être en tout en tant que cliente... On verra bien, en tout cas ce n'est pas un souci. Ceci dit le sujet pose aussi possiblement question sur le quotidien des uns et des autres à ce sujet. S'ils font eux-mêmes des clins d'oeil facilement, si on leur en fait souvent, ou pas, et dans quels contextes...
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Et donc, des commerçant(e)s ou autres professionnel(le)s te font parfois des clins d'oeil de connivence?
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Peut-être mais ce n'est pas très courant comme attitude car ça peut être ambigu. En tout cas, jamais une femme ne m'a fait un clin d'oeil dans ces circonstances par exemple.
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C'est quelqu'un de chaleureux et poli à la base, toujours souriant et qui me demande des nouvelles, qui discute... En tout cas ce n'était pas un tic, mais effectivement on venait de conclure qu'il m'enverrait un sms quand la commande serait arrivée. C'est anodin comme échange, mais ayant été un peu surprise, je pose la question par curiosité, pour savoir un peu mieux quoi en penser. L'accord pour le sms est peut-être la raison...
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Il ne s'agissait pas de produits tendancieux. Seulement une commande de vitamines que j'achète régulièrement chez lui. Mais du coup j'ai eu un doute. Est-ce simplement de la gentillesse, peut-être. Je ne sais pas trop quoi en penser... Rien de grave en tout cas.
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Un pharmacien chez qui j'achète des vitamines...
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A votre avis, si un commerçant vous fait un clin d'oeil en vous disant au revoir après vos achats, est-ce que ça peut être simplement une attitude chaleureuse, ou plus? Vous arrive-t-il de faire des clins d'oeil à des personnes que vous connaissez peu, par sympathie? N'est-ce pas un peu ambigu?
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Un nouveau regard sur les handicapés
sirielle a répondu à un(e) sujet de L'amère vieille dans Quotidien
Handicap ou autres, ennuis de santé, problèmes personnels, etc... nombreux sont ceux qui ont à un moment ou à un autre, ou à vie, des difficultés, ou des faiblesses visibles à première vue. Et ceux qui n'en ont pas, ne sont pas forcément sans problèmes ou faiblesses non plus, problèmes ou faiblesses qu'on ne voit pas, ou effectivement ne sont pas forcément tout à fait à l'abri de problèmes de santé à venir ou que des personnes de leur entourage puissent en avoir malheureusement. Et en même temps aucun de nous n'est que faiblesse, on a chacun nos forces. Etre dans la compassion, en principe c'est surtout approprié lorsqu'il est bienvenu de porter assistance, d'apporter une aide ou un soutien. En dehors de ça il faut aussi pouvoir voir le positif des gens, leurs points forts. Une personne handicapée célèbre par exemple, Stephen Hawking, était aussi l'un des plus grands scientifiques de son temps... J'ai lu ici qu'il était rare de croiser des personnes handicapées physiques (ou psychiques), pour ma part au cours de ma vie j'en ai croisé un certain nombre, ce n'est pas non plus extrêmement rare il me semble lorsqu'on est normalement socialisé (ceci dit il existe divers degrés de handicap, et certains ne se voient pas). Et il me paraît essentiel de savoir se comporter assez courtoisement avec les personnes différentes ou atypiques (sans trop d'évitement ou de condescendance mal placée par exemple), il y en a beaucoup, c'est quelque chose que l'on apprend souvent tôt dans la vie, car c'est aussi une question d'éducation de voir au-delà de la différence physique entre autres (positive, négative ou neutre) pour pouvoir échanger correctement en société. D'ailleurs vers chez moi une école s'apprête à ouvrir prochainement ses portes à des enfants lourdement handicapés, tout y est fait pour que ces enfants puissent avoir la chance d'être sociabilisés avec d'autres enfants de leur âge et se retrouver régulièrement avec l'ensemble des élèves, même s'ils n'ont pas forcément la possibilité de communiquer beaucoup. Qu'ils ne soient pas contraints entre autres de rester enfermés chez eux... Les enfants peuvent être sensibles eux aussi, et la sensibilité c'est aussi de considérer ces rencontres entre enfants comme des chances de se connaître les uns les autres, et pas seulement comme une confrontation des uns au malheur des autres... -
Le principe de la roue-arrière consiste justement à flirter volontairement avec le danger, pour impressionner les gens autour par exemple. De tels comportements sur la route doivent être absolument contrés et assez sévèrement sanctionnés (le "système judiciaire" tranchera), entre autres pour la dissuasion, du principal concerné et des autres, aussi parce que la prise de risque y est volontaire. Le principe revient à attirer l'attention sur soi ou à se valoriser par un comportement téméraire et dangereux, par une acrobatie risquée... Responsabiliser les jeunes adultes participe à ce qu'ils réfléchissent leurs choix, plutôt que d'être trop tentés par le suivisme par exemple que la relativisation pourrait encourager.
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Normalement à l'adolescence, et au début de l'âge adulte, on a acquis certaines bases d'éducation, dont le respect des règles de sécurité que l'on commence à apprendre dès l'école primaire, voire avant. Ceux qui font beaucoup fi des règles les plus élémentaires de sécurité, en conscience, ne sont pas vraiment représentatifs de la jeunesse. Et des adultes plus âgés aussi s'avèrent volontairement imprudents sur la route. Ils sont surtout représentatifs de personnes antisociales.
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Au fond ça ne change pas grand chose à ma manière de m'exprimer habituelle, très peu, ce qui change principalement à ce sujet, c'est qu'il y a quelques très rares personnes que j'évite un peu plus que d'autres pour éviter les tensions superflues, trois ou quatre personnes dont je me méfie plus particulièrement. Au-delà de ça, je fais quelques différences mais peu, parce que de toute façon je ne connais que relativement peu les gens d'ici dans l'ensemble.
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Je m'efforce d'adapter ma façon de discuter en fonction de mes affinités ou inimitiés sans tomber pour autant dans la partialité. C'est à dire que sur le forum, je tente, avant tout, en temps normal, d'être honnête intellectuellement, d'être assez correcte par rapport aux sujets, mais tout en m'efforçant quand-même d'adapter ma manière de parler à mon éventuel interlocuteur, à ce que je sais ou pas de lui y compris en-dehors du sujet. Je peux éventuellement m'y référer pour juger quoi lui dire, et quoi ne pas lui dire. Voire à qui parler relativement facilement, et à qui ne m'adresser qu'avec réserve en fonction de comment passe a priori le courant entre nous, et en fonction de quelle est sa personnalité, sa tendance idéologique, en comparaison à moi. (Sachant que le feeling relationnel entre autres peut évoluer dans un sens ou dans un autre au fil du temps.) Mon avis n'en est pas différent au fond, mais le type d'approche (ou au contraire de distance) que j'emploie dépend en partie du degré d'accordabilité commune.
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Bonjour deja-utilise, Concernant les enfants, il me semble entre autres que leur immaturité les conduit souvent particulièrement à juger en fonction de leur propre intérêt évident, aux dépens parfois donc d'intérêts moins faciles à discerner, en eux-mêmes ou par rapport au collectif auquel ils appartiennent. En d'autres mots qu'ils peuvent couramment faire preuve d'un égoïsme inconscient, expliqué (mais non justifié) par leur immaturité. Seulement leur dépendance aux adultes, et leur inexpérience, entre autres, les rend plus malléables moralement, moins affirmés... Et au sujet de l'agressivité manichéennement diabolisée, cela suit le même principe, la peur spontanée que provoque l'agressivité à son encontre ou à l'encontre de personnes que l'on apprécie, en amont de savoir si elle est ou non justifiée, peur qui ne sera donc pas forcément ressentie au premier abord si cette agressivité vient de soi, sauf à travers la crainte des potentielles représailles par exemple. Cela dit la diabolisation de l'agressivité, la non-adhésion systématique à l'autorité offensive d'autrui au-delà de la peur qu'elle inspire, perdure parfois à l'âge adulte (conduisant à une sur-mésestime de sa propre nature, comme d'autres types de sur-moralité), alors qu'une morale plus nuancée amène plutôt à se demander si elle est ou non appropriée au contexte, si elle est ou non démesurée... Or le manichéisme outrancier, la grossièreté morale en quelque sorte, peut conduire à une importante immoralité en finalité. Elle se nourrit entre autres de préjugés à l'emporte-pièce, où l'injustice se donne des allures de "chevalier blanc". Et, l'une des caractéristiques dangereuses de la bien-pensance par exemple (moralité conformiste), c'est qu'elle ne se remet que difficilement en question, elle est fière de ce qu'elle est, même parfois face à l'évidence, parce qu'elle est guidée avant tout par l'adhésion au groupe (biais de conformité), et non par des intérêts moraux plus difficiles à assumer, voire à distinguer. Car être moral, même modérément, n'est pas forcément bien vu évidemment, facile à assumer, à partir du moment où c'est s'opposer au comportement d'autres personnes aussi, parfois un nombre important, leur être source de contrariété. La facilité courante consiste alors à adopter telle ou telle moralité en fonction du groupe qui la porte, participant éventuellement à l'intérêt partial que l'on vise consciemment ou inconsciemment, comme on mise sur un cheval pour accéder à la victoire qu'elle soit méritée ou non, qu'elle soit noble ou non, plus qu'en la jugeant rigoureusement. La moralité, en principe, est censée être juste pour tout le monde, chaque individu. (Non pas forcément affable, mais juste.) Donc sa justesse dépend à la base entre autres à mon avis de si on se soucie réellement du bien-être auquel est voué chaque individu, ou pas, dans l'absolu. A partir du moment où est radicalement exclu de l'équation morale tel ou tel individu, tel ou tel être vivant, on n'est plus dans la moralité au sens noble. Cependant les droits doivent être personnalisés en fonction des besoins respectifs, et pour personnaliser ces droits il faut saisir précisémment ces divers besoins. Ainsi donc que jauger les divers potentiels pour pouvoir mesurer les valeurs de ce que l'on gagne ou perd à telle ou telle action à présent et à l'avenir. Il est donc aussi fréquemment question de stratégie anticipative en moralité, de mesurer les conséquences de ses actes, ce qui est facilité par l'expérience, personnelle ou partagée par autrui (bien qu'elles peuvent être trompeuses aussi si sur-amalgamées), ce qui ne justifie pas pour autant toute expérimentation évidemment... Et en résumé on tentera d'éviter au maximum par son propre comportement la souffrance, et de favoriser le bien-être, des uns et des autres, de leur ensemble, d'après sa propre estimation plus ou moins lucide, quitte à être éventuellement dans l'opposition idéologique (opposition générant un sentiment désagréable, "mauvais" en partie, avec le principe de cerner le mal nécessaire, avec lequel on sort un peu de la moralité la plus facile à saisir, la plus binaire, sans pour autant abandonner toute idéalisation, tout perfectionnisme).
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Un nouveau regard sur les handicapés
sirielle a répondu à un(e) sujet de L'amère vieille dans Quotidien
Pour ma part, j'ai toujours considéré les personnes handicapées (physique et autres) comme autant dignes de "respect" et d'estime que les autres dans l'absolu. J'ai connu étant enfant dans ma famille par exemple, un homme ayant été malheureusement amputé d'un bras lors de la seconde guerre mondiale... C'était quelqu'un que j'appréciais beaucoup et évidemment jamais ne m'est venu à l'idée que son handicap en faisait quelqu'un de moins agréable ou intéressant à côtoyer que d'autres personnes de ma famille par exemple... Par contre je n'ai pas tellement suivi les jeux olympiques et paralympiques, très peu.