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sirielle

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Tout ce qui a été posté par sirielle

  1. Je fais attention à l'ensemble. A ce que les couleurs soient accordées et me correspondent, y compris pour les chaussures. A être féminine sans être vulgaire, pudibonde ni atypique. A ce que mon maquillage soit léger. A ce que ma tenue soit pratique. Mais je me prépare quand même assez rapidement. Par exemple en pantalon je pourrais porter entre autres ce style de tenue.
  2. Dans ces cas-là je m'habille normalement comme je m'habille d'habitude. Je porte généralement des vêtements féminins, des talons moyennement hauts, un peu de maquillage accordé à ma tenue, peu de bijoux, un bracelet par exemple, et mes cheveux sont longs, soit détachés soit attachés. Comme pantalons je porte des slims. Les jupes et robes le plus souvent au dessus des genoux.
  3. Sans remarquer un élément de la tenue en particulier, j'aurais peut-être tendance généralement dans ces circonstances à préférer un style soigné mais simple et décontracté. (Mais quand même pas obligatoirement)
  4. On peut remarquer que l'athéisme peut aussi éventuellement être très prosélytiste.
  5. Personnellement j'ai été en couple avec des personnes de différentes religions. Et dans une même religion, son interprétation peut aussi beaucoup varier. C'est un peu comme la politique. Chacun est plus ou moins enclin à respecter les différents partis ou à bien s'entendre avec des personnes ayant des opinions différentes, voire d'y adhérer. http://www.pelerin.com/A-la-une/Le-mariage-de-A-a-Z/Le-mariage-un-engagement-unique-et-universel/Mariage-mixte-comment-construire-un-couple-islamo-chretien
  6. Moi qui ai reçu quelques fessées en tout cas, j'étais pendant toute mon enfance calme, obéissante, avec de très bons résultats scolaires. Je n'ai pour autant ni été traumatisée, ni victime de violence ou de maltraitance (et ni encouragée particulièrement à la violence, loin de là). Encore une fois, je crois qu'il y a fessée et fessée. Non pas que je voudrais défendre ou faire l'éloge de cette punition à tout prix, certainement pas, mais simplement avoir un point de vue modéré à ce sujet.
  7. Dans certains cas, s'ils peuvent récupérer quelque chose qui n'a pas été touché et qui est encore consommable ils le font, pas forcément pour la vente en revanche. Que ce soit concernant l'alcool ou autre chose. Et dans l'ensemble il est dans leur intérêt que les clients soient satisfaits, y compris par rapport à la concurrence, et donc pas qu'ils paient plus cher un repas trop copieux ni qu'ils soient incités à trop consommer. D'ailleurs la réputation est importante. Mais je n'ai travaillé que dans une seule et petite entreprise (fréquentée généralement par une classe sociale aisée), et chaque restaurant a ses méthodes. Remplir les verres en cours de repas est cependant courant bien qu'on puisse considérer que les serveurs sont plus ou moins attentifs, rapides, discrets, courtois, chaleureux ou disponibles entre autres avec la clientèle. C'est plus une question de serviabilité (parfois maladroite) que de ruse ou de corruption, bien que les clients n'ont pas forcément tous les mêmes attentes.
  8. Moi non plus je ne carafe pas le vin. Par contre, ayant travaillé dans la restauration, d'après mon expérience les restaurateurs se souciaient eux aussi d'éviter le gaspillage autant que possible.
  9. Je comprends qu'on puisse préférer pouvoir récupérer le reste du vin qu'on a payé à la fin du repas, mais il est possible que le restaurant récupère le restant des carafes sans le jeter pour différentes utilisations et qu'il ne soit pas gaspillé. À la rigueur il peut être possible de prévoir une bouteille vide faisant office de "doggy bag" dans le cas des carafes. Le vin servi ne provient pas forcément de bouteilles à l'origine. Et le prix en dépend aussi.
  10. La fessée n'est pas forcément plus appuyée, c'est justement ce que j'explique. Il y a fessée et fessée, comme il y a tape sur la main et tape sur la main, réprimande et réprimande, privation et privation, corvée et corvée. Normalement aucune de ces punitions ne doit blesser, pourtant chacune d'elles le peut.
  11. Vous n'avez jamais reçu une fessée? A moins de frapper comme un malade normalement ce n'est pas douloureux. Si un parent par exemple tape doucement la main d'un enfant pour l'empêcher de toucher à quelque chose, en joignant la parole au geste, et en n'y mettant aucune violence, le geste est seulement symbolique pour favoriser la compréhension. Ou encore si un parent attrape un enfant pour l'empêcher d'aller sur la route par exemple, certes il le contraint physiquement, mais il ne s'agit pas non plus d'une violence normalement. Que ce soit un geste physique n'oblige pas à ce qu'il soit violent heureusement. (Il existe bien d'ailleurs la tape amicale, qui est un autre symbole.) J'en suis consciente puisque je l'ai vécu personnellement, ça ne m'empêche pas d'être contre la maltraitance, qu'elle soit physique ou psychologique.
  12. Comme illustration d'une expérience personnelle, mes parents un jour ont demandé à ma sœur et moi d'être assez discrètes par rapport à leur profession, en nous avertissant que dans le cas contraire nous recevrions une fessée. Nous avons quand même fait du bruit et mon père est monté à l'étage où nous étions, nous a pris sur ses genoux et nous a tapé légèrement sur les fesses. Nous étions en conséquence simplement honteuses de n'avoir pas été suffisamment obéissantes, bien que nous n'ayons pas eu mal. Et nous avons été plus appliquées ensuite.
  13. Chacun ses méthodes. Je considère en ce qui me concerne qu'objectivement il ne s'agit pas forcément d'une violence (bien que ça puisse en être une, ainsi que trop (ou pas suffisamment) de privations, de réprimandes ou de devoirs peuvent l'être aussi), et qu'elle peut avoir une efficacité éducative. Et pourtant je suis particulièrement pacifiste et attachée aux droits légitimes des enfants.
  14. Elle peut être aussi donnée calmement, sans colère, comme beaucoup d'autres punitions, et totalement dénuée de violence.
  15. En effet il y a d'autres méthodes, mais celle-ci, si elle ne dérive pas en brutalité, peut avoir aussi une efficacité et favoriser la brièveté de la punition.
  16. L'utilité pour moi était qu'ils m'exprimaient ainsi rapidement le degré de gravité de la réprimande pour encourager les efforts. Et encore une fois, je n'en ai jamais souffert physiquement. Mais comme la plupart des enfants, je voulais que mes parents soient fiers de moi, donc dans ce cas là je comprenais qu'à leurs yeux j'avais dépassé les bornes et que je devais davantage prendre au sérieux ce qu'ils disaient.
  17. Ces fessées ont eu une utilité car elles rendaient la réprimande plus marquante psychologiquement, d'autant plus qu'elles étaient très rares. Et je n'en ai jamais voulu à mes parents, j'ai compris leurs raisons, même quand elles m'ont paru injustifiées. D'après moi une fessée ne doit surtout pas blesser, son action est censée être avant tout psychologique. Et elle ne remplace pas les autres formes de punitions telles que les devoirs personnalisés ou les confiscations de jouet par exemple, ni omettre la discussion. Donc il ne faut pas en abuser et pouvoir envisager de nombreux autres recours, comme entre autres l'intervention d'un tiers tel qu'un psychologue pour enfant.
  18. Personnellement j'ai reçu des fessées n'ayant rien à voir avec de la violence. Je n'en pleurais d'ailleurs pas. Parce que l'insouciance de l'enfance conduit parfois à ne pas tenir compte de ce que disent les parents au mépris éventuellement de sa propre sécurité. Au fil du temps on gagne en maturité. La facilité pourrait effectivement conduire à considérer qu'une tape est systématiquement un mauvais acte pour éviter les dérapages. Mais je pense pour ma part qu'il s'agirait d'un jugement simpliste. Tout comme il faut selon moi savoir modérer son langage, il faut savoir modérer ses gestes. Ce qui selon moi ne justifie aucunement la violence, mais le langage corporel n'ayant aucun effet néfaste physiquement ni psychologiquement.
  19. Je crois que la maltraitance dépend de la violence. Une fessée peut être une maltraitance si elle est brutale ou au contraire n'être qu'un geste signifiant "Je ne suis pas content de toi" sans qu'il soit douloureux. Mes parents m'ont donné des fessées quelques fois, et pourtant c'était des parents très attentionnés et aimants qui m'ont beaucoup choyée. Jamais je ne pourrais prétendre qu'ils m'ont maltraitée. C'était seulement un rappel à l'ordre. Tout dépend de la force du geste.
  20. Même si les tenues correspondantes ne me plaisent pas forcément ou totalement j'apprécie la liberté d'être peu couvert (ou beaucoup), qui n'est malheureusement pas suffisamment accordée selon moi. La provocation dépend généralement pour moi aussi de l'attitude, à moins par exemple d'une inscription blessante.
  21. C'est simplement mon avis, qui s'inspire de la loi. Libre à vous de considérer que c'est une leçon ou pas. Personnellement je n'affirmerais pas sans certitude qu'elle a envoyé un tel sms.
  22. J'ai supposé qu'elle connaissait probablement le journaliste si elle lui a envoyé un tel message."Sibeth a pris l'habitude d'appeler les rédactions pour commenter les articles." Il me parait encore plus improbable qu'elle ait pu donner cette réponse à un inconnu. Mais elle prétend ne pas l'avoir envoyée. Effectivement il est dans l'intérêt général qu'elle soit suffisamment conformiste au regard de ses responsabilités. Mais pour ma part je déplore cette intolérance linguistique, qu'elle se base ou non sur un fait réel dans ce cas précis, bien qu'il faille s'y adapter par diplomatie.
  23. Pour de nombreuses personnes, c'est une façon commune de s'exprimer, y compris dans des circonstances dramatiques, ça surprend surtout ceux qui n'en ont pas l'habitude.
  24. Parmi les hypothèses envisageables, il ne me parait pas exclu, si elle a envoyé un tel message, que le journaliste soit une de ses connaissances, et que même s'il en a fait part, ce ne soit peut-être pas lui qui s'en soit plaint et que ce n'ait été destiné qu'à lui seul au départ.
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