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Tout ce qui a été posté par anruadebobdny
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oui l'action "juste" ne peut découler que d'un esprit qui soit saint. la pensée n'a rien à voir.
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ne pas avoir l'esprit pollué par les influences et tentations de ce monde pour avancer dans la confiance de l'innocence. Alors la vision est claire et sans jugement, l'être tout entier est clair et sans contradiction. On est à la fois l'élève et l'enseignant en même temps, sans aucune séparation, ou alternation. Il n'y a plus de comportement par rapport aux autres ou à soi, car dans l'innocence la notion de comparaison n'existe pas, mais la confiance de l'innocence est véritable, et la nature des relations n'est alors plus pollué.
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On a tendance à reconnaître le silence par rapport au bruit. Ce silence là est née du bruit. Ainsi, Le bruit a donné place à un silence trompeur à l’extérieur de soi, séparé de soi. Car le silence ne peut pas naître du bruit. Le silence "éternel" peut-être écouté à tout moment. Chose difficile pour notre esprit bruyant, agité, habitué, conditionné à écouter d'une certaine manière un silence qu'il connaît déjà. Il faut justement faire preuve d'un réel silence pour écouter ce que l'on ne connaît pas. L'esprit doit laisser tout ce qu'il connaît pour écouter vraiment. Alors un tel silence ne se nomme plus, il s'écoute dans un moment éternel ou toute connaissance de soi s'absente. Observer les sensations qui viennent à soi, ce sont les bruits que le monde nous envoie. Nous sommes habitué à réagir à ses sensations/ces bruits, par une action consciente ou inconsciente. Mais si à la place d'agir ou de ne pas réagir, à ces stimulus, on regarderait simplement ce bruit qui nous est parvenu et le stimulus qu'il nous envoie, cela sans condamnation. Alors on cesserait naturellement de participer au bruit, et l'action (ni consciente, ni inconsciente) serait Le silence dans toute sa beauté. Et vous en ferez l'éloge. Si la peur intervient (peur de l'inconnu), regardez là naturellement pareillement, sans la nommer c'est une sensation comme une autre. Regarder simplement Le bruit pour ce qu'il est et remarquer qu'il n'est plus différent du silence. Une fois le silence rencontré, vous pouvez être bruyant pour en parler à ceux qui veulent savoir par le bruit, puis revenir en sa présence.
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c'est en laissant tout espoir personnel qu'une telle révolution intérieur peut prendre place. Ressentir la vie comme jamais auparavant. "Mourrir à soi même" (à ce que l'on connait,experiences, connaissances, désires, peurs etc) pour voir véritablement, et se laisser imprégner par la vie et son intensitée. Tout espoir personnel est une résistance qui nous sépare de la vie. Rencontrer la vie pour la première fois dans un renouveau constant. Car la vie dans toute son immensité ne se conclut pas. Contempler l'Espoir (celui qui ne nous appartient pas) et ne faire qu'un avec lui plutôt que de s'y perdre en espérant quelque chose. Voir la Liberté et rester avec elle, plutôt que de s'y perdre en y traçant une voie.
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Quelle est la cause qui pousse l'homme à créer en permanance des objectifs et des projets? Est-ce par conformité, imitation, comparaison, influences exterieurs découlant des envies, des désirs, de sa propre souffrance? A t-il seulement prit le temps de faire connaissance avec lui-même avant d'agir. Autrement n'agirait-il pas dans la confusion? La peur de la monotonie est quelquechose aussi. Et est-ce plus important de fuir cette peur en agissant. Ou ne serait-ce pas plus important de regarder cette peur pour ce qu'elle est sans la juger. Alors la peur de même que la monotonie disparaîtrait. Ne serait-ce pas la dejà une honnête rencontre avec soi. Alors l'esprit n'agirait plus à partir de la peur et ses voiles. Une réelle révolution intérieur ne découlant d'aucune rage, d'aucun conflit,d'aucune souffrance, ne créera pas un monde de guerre, des sociétés inégales, des conflits entre les gens, ni même un être conflictuel, envieux, désireux, désespérer, ou espérant plus que ce qu'il est... aucune facette de la violence. L'homme qui se révolte à tendance à vouloir rester dans la sécurité des murs de sa prison (conditionnement, le connu,l'attachement, organisation du "vivre par ses peurs") etc, et lorsqu'il se rebelle, se révolte, c'est pour rendre sa prison plus belle et confortable. Ou a tendance à se révolter pour créer une autre prison dans sa prison. Mais l'homme qui comprend et voit sa prison, pourra s'en échapper, et une réelle révolution naîtra en lui, de même qu'une réelle intelligence. Un tel esprit de révolte, n'a pas lutté, n'a pas été dans le conflit. Il a osé voir sans condamnation, ni jugement envers lui même, et à vu une ouverture vers laquelle se diriger naturellement pour laisser tout se qu'il connaît, et vivre en totale liberté et non une liberté illusoire, éphémère qui s'autodétruit. Alors Une telle révolution (sans effort) est sans cesse renouvelée en soi à chaque instant pour ne pas retomber dans une autre prison, et continuer à marcher en dehors de toutes prisons sans effort, mais ou le "pimentement" de La Vie, se vit dans une intensité véritable. Ou le danger ni la peur n'existe, ne pouvant donc pas faire retomber ce pimentement. La création s'exprime alors dans sa totalité, n'allant pas vers une évolution. Mais s'exprimant à travers un changement radical, constant et naturel, vers la confiance de l'innocence.
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Ce qui est juste, s'écoute, se ressent avant les mots et les explications. Ce qui est juste est ce qui est calme et sans opposition, contradiction, ni condamnation. Dans un monde injuste il est possible de parler de ce qui est juste/vraie si l'on en a l'expérience (expérience sans expérience...), si l'on en connait la sensation véritable. Une sensation complètement affranchit de ce que l'on connaît en matière de sensation. Une sensation sans cesse renouvelée. Et pour cela il faut savoir discerner pour en parler. Il faut observer pour discerner. Il faut être l'observation naturellement. Mais ne pas discerner à partir d'un idéal, d'un conflit. Discerner en tant que Fait observé (et non par la conviction personnelle). Il est possible d'en parler, de nommer, de pointer du doigt, si l'esprit écoute ce qu'il y a avant les mots, observe, en faisant abstraction de tout ce qui l'égare de la justesse, cela par l'observation naturelle toujours. Ce qui est juste ne prend pas partie pour ce qui est juste. Mais n'est pas neutre ce qui est juste. Cependant parler de ce qui est juste (et il y a rien de bien ou de mal à cela) peut prendre de multiple langages, et seulement à travers les différences il est possible de voir qu'il s'agit du même langage, sans flatterie d'aucune sorte. Et pour écouter et voir au delà des différences, il s'agit d'être affranchit de tout conflit de toutes oppositions. Ainsi il est possible d'apprendre sans limitation et pour la première fois, car on ressent/écoute/voit, ce qui précède les mots, les différences, les apparences, les séparations, étant avec la justesse sans séparation ni contradiction, dans toute sa beauté véritable.
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Tout à fait juste.
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si l'on aime véritablement il ne s'agit plus de soi. Devenir ou obtenir n'a donc aucune importance pour celui qui aime véritablement sans attachement et si la personne aime sans attachement alors elle aime tout, sans préférences. Aimer ce n'est pas aimer ceci et être indifférent ou rejeter cela. Ni aimer un instant et retourner à ses occupation l'instant d'après, ou encore aimer un instant pour pouvoir retourner à ses occupations. Ce qui précède la pensée est simple et naturel. De même que aimer véritablement est simple et naturel sans que la pensée n'intervienne.
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être à l'écoute de la sensation qui se trouve derrière les mots. S'écouter, et ressentir au plus profond de soi sans s'arrêter à une quelconque conclusion/opinion/jugement, afin d'être avec ce qui précède le mot et sa vérité la plus pure. Puis abriter comme faisant alors partie intégrante de soi ce qui a été rencontré et non conclu, ni décrit ou interprété. Une telle intégration résulte d'une compréhension pure, qui s'exprime à travers soi et malgré soi sans aucune division/opposition/contradiction.
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La troisième telle que vous dites, est l'absence de toutes droitures (mais il y a bien une stabilité), quitte à la nommer je la qualifierai plutôt de conscience naturelle, détendue, sans effort. Ou l'image de soi ne peut-être blessée, ni ne peut blesser. De même que l'on ne s’endort plus sur des problèmes, des désires, des plaisirs, des envies, des peurs, ou par la satisfaction. La perception des sens est ajustée le plus naturellement, il n'y a plus d'agitation, plus de sens qui prédomine sur un autre, plus d'activités névrotiques telle que l'on peut retrouver dans les deux premières acceptions dont vous parlez. Plus de tension. C'est est l'état(en l'absence de tout état personnel) le plus beau et le plus vivant, le plus frais, le plus disponible, sans effort, où la perception n'est plus personnel, elle n'appartient plus à soi, mais est bien présente. L'attention (et non pas la concentration) qui ne part pas d'un point ou d'une position, l'attention globale. Les voiles tombent et le "je" disparaît en cet instant pour n'être rien et se fondre avec le tout. Dans cet état si simple, il n'y a plus de séparation ni de différence entre celui qui perçoit et ce qui est perçu.
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l'innocence est je pense ce qu'il y a de plus simple, "l'état le plus simple" de l'homme. Lorsqu'on est naturellement dans cette état, il n'y a pas de conscience/inconscience. La pensée n'intervient pas. La vie nous utilise alors pour ce qui est bon et juste. La pensé est pour l'esprit qui n'est pas saint, pour l'esprit organisé et égotique. La simplicité dans toute sa pureté n'est pas ajouté au naturel. La pensée par contre dénature l'homme.
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La pensée elle-même, est ce qui est universelle. Elle est le résultat de la souffrance de l'homme; La souffrance de l'homme étant le facteur commun de l'humanité. Là pensée apparaît à partir de là. La pensée est un peu comme un virus universel implanté à l'humanité. Tel que la pensée du "moi" me sépare du reste de l'humanité. Et tout les hommes sont atteint de cette pensée "du moi" les poussant à organiser la vie par la pensée, au lieu d'incarner l'humanité et de vivre sans penser la vie, mais de la pensée de la vie , celle qui est tout autant universelle mais n'étant pas corrompu par l'égo
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Oui, pour apporter clarté à ce qui est obscure, il faut apporter de ce qui est simple et juste, et il n'y a pas d' intention personnel dans cela, mais le simple fait de partager naturellement ce qui est juste et simple. La clarté éclaire c'est tout. Puis l'obscurité c'est l'obscurité. Elle doit déjà avoir perçu une étincelle en elle-même pour pouvoir apercevoir la clarté d'une lumière au loin. Libre à elle de devenir lumière. L'obscurité est fantaisiste à elle-même, et lorsqu'elle se trouve en face de la lumière, alors obscurité va se retrouver en face d'elle même sans s'en apercevoir souvent et va vouloir créer une compétition avec elle même finalement. L'obscurité se compare. La clarté n'a pas d'image de soi qui le permet. L'obscurité attend les choses de l'obscurité. La clarté n'attend rien.
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tout a été ajouté sur "ce qui Est/n'Est pas" : vérité, réalité etc... Ce qui Est ou n'Est pas(ou peut importe), ne peut être nommé, ni interprété. Etre vrai, retrouver ce qu'il "y a/a pas" avant ce qui a été ajouté. Ce glisser en dessous de tout. Ou simplement revenir à la maison le plus naturellement possible.
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Le point commun aux humanités
anruadebobdny a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
"Le point commun aux humanités " c'est l'humanité elle-même. Il n'y a qu'une humanité, elle est non divisible. Le reste correspondant aux dimensions de l'égo n'est que perte de soi, égarement, illusion, mensonge à soi-même. Nous sommes une forêt et non des arbres plantés par-ci par-là. Je suis le reste de l'humanité, nous sommes le reste de l'humanité chacun. Et cela n'a aucun rapport avec les actions dictées par notre égo et notre savoir. L'humanité ne se prouve pas par des actions par rapport ou pour les autres ni soi-même. L'humanité est déjà là, il faut la retrouver au fond de soi, c'est la seul action vrai et juste pour elle même et la vérité profonde de son être. Puis l'on brille comme une étoile et l'on est synchronisé avec soi-même(l'humanité) et le reste du monde, de l'univers (soi-même). Imaginez une foret ou chaque arbre essaierait d’organiser un vivre ensemble harmonieux et solidaire avec les autres arbres sous prétexte qu'ils savent au fond d'eux-même qu'ils sont une forêt. C'est cela que j'appel l’égarement, l'illusion et la perte de soi. Car la forêt est dejà là, et il n'y a rien d'autre à faire pour les arbres que de l'incarner dans sa beauté et son silence. -
Yes!
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Oui, car l'humanité est divisé, le monde est divisé, l'homme est divisé au fond de lui. Il y a de la violence. C'est cela que j’appel l'animal en l'homme. C'est la folie véritable. seulement on y est habitué à tel point qu'elle est devenue un automatisme dans notre comportement. Le besoin d'attaquer de se défendre. Nos opinions personnelles + l'image que l'on a de soi-même est responsable de cette folie (violence) qui nous divise les uns des autres. (ressentir de la jalousie, des complexe de supériorités/d'infériorité, se flatter soi ou les autres, le besoins de rejeter sur un autre un ressenti personnel qui n'est d'autre que son propre conflit, pour se conforter dans son bien-être etc...). Les opinions personnelles nous divisent les uns aux autres en soi-même (nos conflits). C'est un fait, et il est difficile d'en prendre conscience au début. Laisser ces conflits personnels est donc surement la voie de la guérison pour soi, les autres, l'humanité.
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alors à quoi bon se positionner.
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se positionner soi-même par rapport aux autres ne permet pas l'action juste envers le reste de l'humanité ni même soi-même donc.
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France, toutes les caractéristiques d'une dictature parfaite
anruadebobdny a répondu à un sujet dans Politique
Quand les singes cesseront d'être impressionnés par d'autres singes, n’éliront plus de chef pour ce faire gouverner. Mais se gouverneront eux même avec sagesses et maturité pour vivre ensemble intelligemment. -
ce silence à la frontière de nos consciences qui ne nous incite pas à choisir entre ceci ou cela, mais nous guidant le plus naturellement vers des actions justes au delà de tout positionnement. :)
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Croire ou ne pas pas croire c'est pour les gens qui choisissent une parade vers laquelle se borner. Parcequ'ils ne veulent pas " vivre simplement en étant* à l'écoute". _____ Je veux dire pourquoi les gens ont-ils besoins de croire(en général) ou de ne pas croire. Quelle est la raison de ce choix?
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Si vous ne connaissez pas les réponses concernant votre vie, alors demandez à n'importe qui. Les prédictions s’avèreront exactes.
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Croire ou ne pas pas croire c'est pour les gens qui choisissent une parade vers laquelle se borner. Parcequ'ils ne veulent pas " vivre simplement en écoutant à l'écoute".
