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Etrange

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Tout ce qui a été posté par Etrange

  1. Etrange

    Combats du féminisme

    Franchement , c'est moi qui te plaint. Pauvre type, combien de femmes ou enfants as-tu déjà violées-s, ou assassinés-es ?
  2. Etrange

    Combats du féminisme

    + 1 Exemple : Une Publicité pour une nouvelle carte bancaire, sexy, vue sur le site de ma banque, avec seulement une image montrant des femmes aux longues jambes, et talons hauts aiguilles.
  3. Etrange

    Combats du féminisme

    Barbara Luna Chanteuse et guitariste d'Argentine (le pays) Où ont émigré nombre de Nazis avant
  4. Etrange

    Combats du féminisme

    + 1 Les Manifestations des Printemps Arabes n'ont pas eu lieu par Hasard. Oui, c'est ça, on est toutes des vraies cruches, incapables de parler ni comprendre l'anglais ni l'espagnol. Et en tant que filles ou femmes, on n'en a jamais eu conscience??? Savez-vous parler le tamoul et l'arabe couramment, Monsieur? Un petite leçon?C' est de la musique, des paroles de bon sens, ça ne vous tuera pas et c'est rigolo en plus:
  5. +1 Puis c'est quoi d'important et de grave si on est un peu en surpoids ou pas la taille de "normes" mais qu'on est en bonne santé ou pas en trop mauvaise santé et qu'on peut encore se déplacer? Alors qu'il y en a qui ont un handicap de naissance, ou un handicap dû à un accident ou autres choses, là, c'est encore beaucoup plus dur pour eux et elles, si les gens ne regardent que leur handicap physique. Sans même penser à les aider si et quand ils/elles en ont besoin.
  6. Voilà. C'est ça. Il faut faire la Paix.
  7. Léo Ferré L'invitation au voyage Charles Baudelaire https://www.youtube.com/watch?v=6-HoQ5tjw3E
  8. Bonjour sassi55 et Tout Le Monde, Bonne journée!
  9. +1 Itou! D'autant que dans les pays Arabes où Sévit la Guerre, le Pakistan par exemple, et nous avons reçu au Mrap 35 un jeune pakistanais mineur isolée venu avec un ami pakistanais majeur parlant parfaitement le français et l'Anglais, très pacifiques tous les deux, le jeune mineur isolé amené pour dormir un petit moment chez d'autres gens compréhensifs, par une assistante sociale française très bien, agréable et gaie, avec un compagnon dans sa vie, deux enfants , et il y a deux dimanches, après la manif pour Charlie, je suis allée au centre social où l'association où j'étais , rebaptisée LDH 22, nous avons évidemment parlé en 3 cercles de parole, sur la religion, un homme 30 à 40 ans environ, Palestinien, parlant Anglais, nous avonsparlé agréablement avec lui, aucune peur ni dispute, nous étions tous et toutes ce dimanche, toutes différences ensemble à parler sereinement, et même fini par un petit goûter "apéro" sans saoûlerie, , tous et toutes content-e-s de nous voir et passer ensemble un moment agréable. Et voilà.. Simple, très simple, amical et agréable. Paisible. A mon humble avis, je pense et suis certaine que dans les Pays où sévissent actuellement des Guerres,et l'Esclavage, ils n'espèrent qu'une seule chose: Que ça cesse et qu'ils et elles puissent enfin Vivre en Paix, en premier.
  10. Etrange

    Années 60

    pas les Années 60, c'est très grave, il faut me dénoncer, comme au temps de Nazis sous Pétain
  11. Couleur vert jade, comme Claude Jade, un actrice dans Truffaut je crois. A la semaine prochaine !
  12. En résumé: comme Monsieur et Madame n'importe qui, sans penser aux célébrités. Mes voisins mitoyens en sont déjà un exemple. Un autre couple, pas richissime mais paysans, aussi. S'aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, mais vivre et avancer ensemble dans la même" direction".
  13. + X fois ????????????????? Tous et Toutes Les Députés et Députées Européens et Européennes Droit d'Asile Obligatoire, en Europe , sauf là où Sévit la Guerre et en France. NON àToutes les Guerres.
  14. Santana Europa Trois Couleurs Bleu Song The Unification Of Europe:
  15. Etrange

    Un phare...

    I Du fer, du feu, du sang ! C'est elle ! c'est la Guerre Debout, le bras levé, superbe en sa colère, Animant le combat d'un geste souverain. Aux éclats de sa voix s'ébranlent les armées ; Autour d'elle traçant des lignes enflammées, Les canons ont ouvert leurs entrailles d'airain. Partout chars, cavaliers, chevaux, masse mouvante ! En ce flux et reflux, sur cette mer vivante, A son appel ardent l'épouvante s'abat. Sous sa main qui frémit, en ses desseins féroces, Pour aider et fournir aux massacres atroces Toute matière est arme, et tout homme soldat. Puis, quand elle a repu ses yeux et ses oreilles De spectacles navrants, de rumeurs sans pareilles, Quand un peuple agonise en son tombeau couché, Pâle sous ses lauriers, l'âme d'orgueil remplie, Devant l'œuvre achevée et la tâche accomplie, Triomphante elle crie à la Mort: « Bien fauché ! » Oui, bien fauché ! Vraiment la récolte est superbe ; Pas un sillon qui n'ait des cadavres pour gerbe ! Les plus beaux, les plus forts sont les premiers frappés. Sur son sein dévasté qui saigne et qui frissonne L'Humanité, semblable au champ que l'on moissonne, Contemple avec douleur tous ces épis coupés. Hélas ! au gré du vent et sous sa douce haleine Ils ondulaient au loin, des coteaux à la plaine, Sur la tige encor verte attendant leur saison. Le soleil leur versait ses rayons magnifiques ; Riches de leur trésor, sous les cieux pacifiques, Ils auraient pu mûrir pour une autre moisson. II Si vivre c'est lutter, à l'humaine énergie Pourquoi n'ouvrir jamais qu'une arène rougie ? Pour un prix moins sanglant que les morts que voilà L'homme ne pourrait-il concourir et combattre ? Manque-t-il d'ennemis qu'il serait beau d'abattre ? Le malheureux ! il cherche, et la Misère est là ! Qu'il lui crie : « A nous deux ! » et que sa main virile S'acharne sans merci contre ce flanc stérile Qu'il s'agit avant tout d'atteindre et de percer. A leur tour, le front haut, l'Ignorance et le Vice, L'un sur l'autre appuyé, l'attendent dans la lice : Qu'il y descende donc, et pour les terrasser. A la lutte entraînez les nations entières. Délivrance partout ! effaçant les frontières, Unissez vos élans et tendez-vous la main. Dans les rangs ennemis et vers un but unique, Pour faire avec succès sa trouée héroïque, Certes ce n'est pas trop de tout l'effort humain. L'heure semblait propice, et le penseur candide Croyait, dans le lointain d'une aurore splendide, Voir de la Paix déjà poindre le front tremblant. On respirait. Soudain, la trompette à la bouche, Guerre, tu reparais, plus âpre, plus farouche, Écrasant le progrès sous ton talon sanglant. C'est à qui le premier, aveuglé de furie, Se précipitera vers l'immense tuerie. A mort ! point de quartier ! L'emporter ou périr! Cet inconnu qui vient des champs ou de la forge Est un frère ; il fallait l'embrasser, - on l'égorge. Quoi ! lever pour frapper des bras faits pour s'ouvrir ! Les hameaux, les cités s'écroulent dans les flammes. Les pierres ont souffert ; mais que dire des âmes ? Près des pères les fils gisent inanimés. Le Deuil sombre est assis devant les foyers vides, Car ces monceaux de morts, inertes et livides, Étaient des cœurs aimants et des êtres aimés. Affaiblis et ployant sous la tâche infinie, Recommence, Travail ! rallume-toi, Génie ! Le fruit de vos labeurs est broyé, dispersé. Mais quoi ! tous ces trésors ne formaient qu'un domaine ; C'était le bien commun de la famille humaine, Se ruiner soi-même, ah ! c'est être insensé ! Guerre, au seul souvenir des maux que tu déchaînes, Fermente au fond des cœurs le vieux levain des haines ; Dans le limon laissé par tes flots ravageurs Des germes sont semés de rancune et de rage, Et le vaincu n'a plus, dévorant son outrage, Qu'un désir, qu'un espoir : enfanter des vengeurs. Ainsi le genre humain, à force de revanches, Arbre découronné, verra mourir ses branches, Adieu, printemps futurs ! Adieu, soleils nouveaux ! En ce tronc mutilé la sève est impossible. Plus d'ombre, plus de fleurs ! et ta hache inflexible, Pour mieux frapper les fruits, a tranché les rameaux. III Non, ce n'est point à nous, penseur et chantre austère, De nier les grandeurs de la mort volontaire ; D'un élan généreux il est beau d'y courir. Philosophes, savants, explorateurs, apôtres, Soldats de l'Idéal, ces héros sont les nôtres : Guerre ! ils sauront sans toi trouver pour qui mourir. Mais à ce fier brutal qui frappe et qui mutile, Aux exploits destructeurs, au trépas inutile, Ferme dans mon horreur, toujours je dirai : « Non ! » O vous que l'Art enivre ou quelque noble envie, Qui, débordant d'amour, fleurissez pour la vie, On ose vous jeter en pâture au canon ! Liberté, Droit, Justice, affaire de mitraille ! Pour un lambeau d'Etat, pour un pan de muraille, Sans pitié, sans remords, un peuple est massacré. - Mais il est innocent ! - Qu'importe ? On l'extermine. Pourtant la vie humaine est de source divine : N'y touchez pas, arrière ! Un homme, c'est sacré ! Sous des vapeurs de poudre et de sang, quand les astres Pâlissent indignés parmi tant de désastres, Moi-même à la fureur me laissant emporter, Je ne distingue plus les bourreaux des victimes ; Mon âme se soulève, et devant de tels crimes Je voudrais être foudre et pouvoir éclater. Du moins te poursuivant jusqu'en pleine victoire, A travers tes lauriers, dans les bras de l'Histoire Qui, séduite, pourrait t'absoudre et te sacrer, O Guerre, Guerre impie, assassin qu'on encense, Je resterai, navrée et dans mon impuissance, Bouche pour te maudire, et cœur pour t'exécrer ! La guerre Poèmes de Louise Ackermann
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