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Etrange

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Tout ce qui a été posté par Etrange

  1. @Atrebate Je pense aussi un peu pareil que vous: - en repensant à l'exemple du Bassin d'Arcachon que j'ai connu depuis toute petite, mes souvenirs depuis mes 5 ans et longtemps, où les prix de l'immobilier a considérablement augmenté en quelques décennies - et aussi à ma région touristique de Dinan, certes une jolie ville historique, mais où à cause des travaux seulement enjoliveurs mais très onéreux du Port de plaisance de Dinan, les impôts locaux, les loyers vont et ont déjà augmenté et peut-être encore - les loyers à St Malo, n'en parlons pas, une amie loue sa petite maison environ 600 €. Moi je ne pourrais pas payer un tel loyer. Le Luxe coûte toujours très cher, au dépens du nécessaire mais suffisant.
  2. Etrange

    Les musiques de l'ame...

    Choléra Colèresrats http://www.dailymotion.com/video/x1wlp8s_sandy-jonquille-16-larmes-de-colere_people
  3. Etrange

    Les musiques de l'ame...

    Max On ne vous voit pas souvent ici sur votre topic...
  4. Mais ce qui m'a très agréablement surprise: la gentillesse des gens avec moi, leur sympathie, et leur spontanéité à m'aider, gratuitement, quand j'ai eu mes Poblèmes de Santé . C'est vrai que l'histoire du billet avion retour en espèces chez Aigle Azur, ça m'a choquée, mais je n'ai pas prostesté + l'assurance rapatriement sanitaire qui n'a servi strictement à rien...
  5. Etrange

    Prendre les gens en photo.

    :smile2:[/url] :smile2: :smile2:
  6. Ce qui m'a choquée, les 3 semaines l'an dernier en Algérie: -l'Hôpital d'Oran. - les problèmes d'eau dans les maisons, souvent des coupures. Et on peut voir des grandes citernes d'eau de 100 litres. - l'impression (fausse???) que les femmes ne conduisent pas et n'ont pas les mêmes droits quotidiens que les femmes. - même le médecin chez qui m ' a envoyée les dames du Consulat de France, était pro-FN.Alors là???
  7. Ah! ben la France est déjà métissée ! Faut s'y faire , c'est tout. :)
  8. Je ramène ma fraise: croissance exponentielle. :D Info! 2050: déjà prévu dans mon logiciel de comptabilité Edition pour 2015 spéciale pour associations, je le sais.
  9. Expliqué comme ça, je comprends beaucoup mieux. Vraiment mieux. Surtout que les touristes français, quand j'en voyais, je préférais souvent ne pas être avec eux et elles.
  10. :smile2:[/url] :smile2: :smile2: C'est quoi un cathophobe? Sauce moutarde. Sauce gribiche.
  11. +1 Je vais me faire encore mal voir, mais tant pis. Les gens croient tout savoir que par des livres et les infos de meurtres, ça , les infos horribles , ils adorent ça, on dirait. Ils s'en pourlèchent les babines.
  12. Etrange

    Les musiques de l'ame...

    :) https://www.youtube.com/watch?v=2yIdWxC81xI https://www.youtube.com/watch?v=jVuhnIIBcAM
  13. Etrange

    Les musiques de l'ame...

    écouté lu Raymond Je t'aime pas Tu m'aimes pas On s'aime pas On s'en fout Il n'y a Que Le Fric qui compte.
  14. Pas con. Espérons, ça fait vivre ...
  15. Etrange

    Les musiques de l'ame...

    :) Par hasard, je suis tombée sur cette vidéo (ce n'est pas de la musique...) Ah! pas d'interprétation, s'il vous plaît, et merci, je ne suis pas superstitieuse...je ne suis qu'un être humain de bonne volonté.
  16. Etrange

    Les musiques de l'ame...

    https://www.youtube.com/watch?v=FPI_t9WDCbg :)
  17. Etrange

    Les musiques de l'ame...

    L' Etrangère https://www.youtube.com/watch?v=cz9eAaAKcfg
  18. Etrange

    Les musiques de l'ame...

    L'odinateur et la vie pour beaucoup dans ce Monde, c'est: Droits Miranda Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. [/url] Pour les articles homonymes, voir Miranda.Les droits Miranda (Miranda rights) et l'avertissement Miranda (Miranda warning) sont des notions de la procédure pénale aux États-Unis dégagées par la Cour suprême des États-Unis en 1966 dans l’affaire Miranda v. Arizona. Ces droits se manifestent par la prononciation d’un avertissement lors de l’arrestation d'un individu, lui signifiant notamment son droit à garder le silence et le droit de bénéficier d’un avocat. Le recours systématique à cet avertissement par la police et sa portée symbolique font que sa présence dans de nombreux films et téléfilms américains ont contribué à sa diffusion mondiale et à sa notoriété. Dans les faits, 78 % des suspects décident de parler à la police. Sommaire [masquer] 1 L’affaire Miranda1.1 Les faits de l’affaire Miranda 1.2 L'arrêt Miranda v. Arizona [*]2 Les conséquences de l’affaire Miranda 2.1 Les droits Miranda 2.2 L’avertissement Miranda [*]3 Notes et références[*]4 Voir aussi 4.1 Articles connexes 4.2 Liens externes L’affaire Miranda[modifier | modifier le code] Les faits de l’affaire Miranda[modifier | modifier le code] Ernesto Miranda naît en 1941 à Mesa (Arizona). D’un niveau scolaire d’école élémentaire, il sera fréquemment condamné et emprisonné. En 1962, il se trouve à Phoenix (Arizona). Selon la police de cette ville, il aurait à plusieurs reprises enlevé, violé et volé plusieurs jeunes filles. En mars 1963, une des victimes croit reconnaître la voiture de son agresseur. Miranda est arrêté par la police. Au cours de l’interrogatoire, sans avoir été informé de ses droits ni être assisté d’un avocat, Ernesto Miranda avouera l’enlèvement et le viol. Lors du procès, le procureur utilisera ses aveux comme moyen de preuve contre lui et Miranda sera condamné pour enlèvement et viol. Son avocat, Alvin Moore, tentera de faire rejeter ses aveux. Il fera appel de la décision devant la Cour suprême de l'Arizona, mais celle-ci confirmera la décision en avril 1965. Robert J. Cocoran, un ancien avocat de la partie civile, eut connaissance de l’affaire suite au procès devant la Cour suprême d’Arizona. Il savait que des aveux pouvaient facilement être obtenus de la part de suspects n’ayant pas un niveau d’éducation très élevé et ignorant le plus souvent leurs droits. En juin 1965, il fera appel à John J. Flynn, un avocat de la défense du cabinet Lewis and Roca à Phoenix. Celui-ci accepta de soutenir l’affaire avec l’aide de John P. Frank et de Peter D. Baird. L'arrêt Miranda v. Arizona[modifier | modifier le code] Article détaillé : Miranda v. Arizona.L’affaire sera plaidée devant la Cour suprême des États-Unis du 28 février au 1er mars 1966, la décision sera rendue le 13 juin de la même année. La Cour va estimer qu’étant donné la nature coercitive de l’interrogatoire lors d’une garde à vue (le Chief Justice Earl Warren citera plusieurs manuels de police), les droits de la personne interrogée doivent être garantis. Elle va se fonder sur deux amendements du Bill of Rights : le cinquième amendement qui dispose notamment que nul ne peut être forcé à témoigner contre lui-même (« No person [...] shall be compelled in any criminal case to be a witness against himself ») et le sixième amendement selon lequel l'accusé a droit à un avocat (« In all criminal prosecutions, the accused shall enjoy the right [...] to have the Assistance of Counsel for his defense. »). C’est dans le but d’assurer la sauvegarde de ces droits constitutionnels que la Cour va déclarer que : « The person in custody must, prior to interrogation, be clearly informed that he has the right to remain silent, and that anything he says will be used against him in court; he must be clearly informed that he has the right to consult with a lawyer and to have the lawyer with him during interrogation, and that, if he is indigent, a lawyer will be appointed to represent him. » Ce qui peut être traduit par : « La personne en garde à vue doit, préalablement à son interrogatoire, être clairement informée qu’elle a le droit de garder le silence et que tout ce qu’elle dira sera utilisé contre elle devant les tribunaux ; elle doit être clairement informée qu’elle a le droit de consulter un avocat et qu'elle peut avoir l'avocat avec elle durant l’interrogatoire, et que, si elle n’en a pas les moyens, un avocat lui sera désigné d’office. » Ce sont ces éléments qui constituent les droits Miranda et qui vont être repris au travers de l’avertissement Miranda. Ces droits n’ayant pas été respectés lors de l’interrogatoire d’Ernesto Miranda, la Cour va annuler ses aveux en tant que moyen de preuve. Les conséquences de l’affaire Miranda[modifier | modifier le code] Les droits Miranda[modifier | modifier le code] La Cour rappelle sur le fondement des cinquième et sixième amendements des droits à valeur constitutionnelle : Le droit de garder le silence, qui découle du droit à ne pas témoigner contre soi-même. Lorsque la personne interrogée invoque ce droit, il produit tous ses effets ainsi la Cour suprême précise d’ailleurs que si le droit à garder le silence est invoqué au cours de l’interrogatoire, celui-ci doit cesser (« If the individual indicates in any manner, at any time prior to or during questioning, that he wishes to remain silent, the interrogation must cease. »). Toutefois, si l’individu choisit de parler en connaissant ses droits, ce qu’il dit pourra parfaitement être retenu à charge contre lui. Le droit de faire appel à un avocat. La Cour rappelle que compte tenu de ce droit à l’avocat, la personne arrêtée peut s’en prévaloir quelles que soient ses ressources financières. Il ne s’agit pas là d’un élément nouveau, mais en précisant cette prise en charge, la Cour veille à ce que cette personne ne puisse pas croire que ses ressources puissent l’empêcher d’exercer ce droit. Sur ce point également, si l’individu exprime le souhait d’exercer ce droit, la Cour en assure l’effectivité puisque l’interrogatoire doit cesser jusqu’à ce que l’avocat soit présent. Michigan c. Jackson (1986) rendait nul et non avenu tout aveu obtenu lors de l'interrogatoire en l'absence de l'avocat, si le prévenu avait requis une assistance judiciaire. Cependant, cet arrêt a été renversé par Montejo v. Louisiana (2009). L’avertissement Miranda[modifier | modifier le code] Le recours à un avertissement est la conséquence la plus marquante de l’arrêt rendu par la Cour. Lorsque l’avertissement est transmis à l’individu, on dit, selon l’expression consacrée, qu’on lui « lit ses droits », les anglophones américains ont même inventé le verbe to mirandize. Ces droits ne valent que lorsqu'il y a détention (custodial interrogation). La forme de l’avertissement n’a pas strictement été définie par la Cour, seul son contenu est délimité par les droits qu’elle a énoncés. Il doit se faire de manière orale, et le témoignage du policier suffit aux tribunaux pour juger qu'il a été donné : il est donc difficile aux prévenus d'affirmer qu'on ne lui aurait pas lu ses droits Ainsi la formulation peut varier selon les juridictions américaines, un exemple de formulation peut être : « You have the right to remain silent. If you give up that right, anything you say can and will be used against you in a court of law. You have the right to an attorney and to have an attorney present during questioning. If you cannot afford an attorney, one will be provided to you at no cost. During any questioning, you may decide at any time to exercise these rights, not answer any questions, or make any statements. » Ce qui peut être traduit par : « Vous avez le droit de garder le silence. Si vous renoncez à ce droit, tout ce que vous direz pourra être et sera utilisé contre vous devant une cour de justice. Vous avez le droit à un avocat et d’avoir un avocat présent lors de l’interrogatoire. Si vous n’en avez pas les moyens, un avocat vous sera fourni gratuitement. Durant chaque interrogatoire, vous pourrez décider à n’importe quel moment d’exercer ces droits, de ne répondre à aucune question ou de ne faire aucune déposition. » Depuis la Cour a estimé que cet avertissement devait être fait de façon sérieuse, c’est-à-dire notamment compréhensible, le problème a été posé pour l’arrestation d’une personne ayant un mauvais niveau d’anglais, ou un faible niveau d’éducation. C’est la raison pour laquelle il est parfois requis que la personne acquiesce ses droits. Ainsi, par exemple, en Californie, l’officier rajoute « Do you understand the rights I have just read to you ? With these rights in mind, do you wish to speak to me ? », ce qui peut être traduit par « Avez-vous compris les droits que je viens de vous lire ? En ayant ces droits à l’esprit, voulez-vous me parler ? »
  19. Etrange

    Les musiques de l'ame...

    Merci Lion2 ET oui, ce que tu dis. ça cloche de Pâques! en chocolat. Hi! Pour le reste, je suis très d'accord avec toi, ça ne se commande pas. MOi aussi, j'y vais zou, des trucs à faire, pour d'autres, pour moi, là oui, pour moi y a vraiment besoin que je fasse. Bonne journée Lion2. Bonne journée Leconteur. Bah, si on ne me fait pas confiance, pas dramatique comme à Charlie Hebdo. Ou ailleurs. Mais je ne peux toujours pas sauver le Monde entier.Ni la France entière. Impossible.
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