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Juillet créatif - la diversité des cultures
apis 32 a répondu à un(e) sujet de eriu dans Arts et Artistes
Non, parce dès qu'un peuple se sédentarise, il s'adapte au terroir, au climat, aux paysages, aux ressources du lieu qu'il habite. La culture et la tradition sont diversifiées, inscrite dans une terre, mais aussi vivantes, c'est à dire évolutives. Quand je danse le congo, je sais qu'elles en étaient les formes collectées, mais je me l'approprie, je joue avec et un collectage... https://comdt.kentika.fr/COMDT/109612492789/1833_5.mp4 -
Juillet créatif - la diversité des cultures
apis 32 a répondu à un(e) sujet de eriu dans Arts et Artistes
La culture est toujours issue de tradition et de métissages, parce que les hommes ont été nomades avant de se sédentariser, et se sont toujours déplacés... Un exemple, un de nos chants traditionnels, retrouvé par Nadau et chanté dans toutes les cantères. On le retrouve parait-il dans d'autres régions de France, les compagnons pendant leur tour de France, les soldats pendant les guerres faisaient voyager les chants. Celui ci est en français, donc date probablement du 19ième siècle. Mais d'oùvient-il, en réalité ? Je serais intéressée de savoir si certains d'entre vous le connaissent d'ailleurs, dans d'autres versions ? -
Juillet créatif - la diversité des cultures
apis 32 a répondu à un(e) sujet de eriu dans Arts et Artistes
Ma culture d’adoption, c'est la culture gasconne : le rondeau, la flûte à 3 tambourin à code et le millas... Elle s'inscrit plus globalement, en particulier par sa langue, dans la culture occitane ( même si, comme le provençal, elle en est une des formes les plus particulières ) et c'est une culture d'ouverture entre péninsule italique, péninsule ibérique et Maghreb . Un rondeau... au rondeu de Castelnau... là, je ne le danse pas, je le chante ! Mathilde, sa flûte à 3 trous, son tambourin à cordes dans une mazurka, un rondeau et les 7 sauts -
Oui mais non ! J'aime pas trop les œufs durs, en fait !
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Environ une douzaine
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C'est sec, et les aliments, plus ils sont cuits, moins ils ont d'éléments vitaux et de goût. En plus, mes oeufs sont toujours très frais ( je n'ai que deux poules et dès que j'en ai plus d'une douzaine, j'en donne à mes enfants ou à ma mère). Et les oeufs très frais, c'est un peu galère à éplucher, même en les mettant tout de suite dans l'eau froide.
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Les oeufs, c'est toujours bon... surtout ceux de mes poules ! A la coque, ou brouillés ont ma préférence. Ce que j'aime le moins, c'est dur.
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Oui, je sais ! je ne suis pas toujours bien ordonnée, dans mes propos non plus... Mais c'est clair, dans ma tête ! Chez nous, on a le choix : saucisse de porc noir gascon ou saucisse de canard...
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Non, cette partie à parlait de la culture populaire, en général. Et tout est relatif. Les personnes qui ont connu les restrictions connaissent bien ce qui fait mon régal : orties, pourpier... et elles ne veulent plus en manger : elles y ont été obligées et il n'y avait pas grand chose d'autre.
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Bien sûr qu'on ne peut pas dire que c'est le bal qui a rendu sa liberté au peuple. Mais la culture populaire, la pratique de sa langue, son chant, sa danse, ses coutumes, sa gastronomie... c'est un vecteur d'émancipation. Et contrairement à ce qu'on pourrait croire, le contraire d'un repli sur soi. Les bal clandestins étaient en lien avec la Résistance.
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Je contacte, j'y suis très peu restée... un robot modérateur dysorthographique aussi, je pense... j'avais atterri chez les rouges, du coup... Alors, bisous !
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Merci pour ce fou rire matinal ! J'en pleure effectivement !
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On peut entendre la tristesse, les colères et les peurs des autres sans adhérer à leur analyse et aux solutions qu'ils appellent.
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Je trouve vos deux positions exagérées. Je vois autour de moi, des "braves gens" qui" s'extrême droitisent" ( ier groupe, je viens de l'inventer... ) sans être aucunement victimes, juste parce qu'ils croient ce qu'ils entendent à la télé et le roman historique de la France une et indivisible...
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De chants et de festivals? Pas trop, quand même...
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Être citoyen, ça ne se limite pas à voter et à fermer sa gueule. Dans une démocratie les contre pouvoirs ont leurs rôles à jouer, et ça peut se faire intelligemment et sans violence contre les personnes.
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J'ai récemment appris l'existence des bals clandestins pendant l'occupation... La culture populaire est un vecteur d'émancipation et de liberté à défendre, aussi.
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Je ne pense pas que nous soyons d'accord sur grand chose, avec Patriot. Je ne partage aucune de ses deux idées...
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Les lois anti immigration, c'est déjà beaucoup... la question que je me pose, c'est comment résister sans sombrer ni dans la peur, ni dans la violence ...
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Je pense que je me suis mal exprimée, ou que tu as mal lu. La violence institutionnelle est un fait, et la problématique est d la combattre, justement, sans violence contre les personnes.
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Dom Helder Camara était un théoricien ( et praticien ) de la non violence. C'est lui qui, en expliquant la "spirale de la violence" a parlé de violence institutionnelle. D'après lui ( et je le suis ) à la base de toute violence, il y a une violence institutionnelle, c'est à dire une injustice induite par le pouvoir ou l'institution, qui provoque chez ceux qui en sont victime des tristesses ou des colères, comme tu le dis, qui peuvent mener à la violence réelle, cette fois. Résister contre ces injustices, par l'action non violente, c'est donc, justement éviter le déferlement de la violence.
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Je suis heureuse de découvrir que tu as un deuxième postulat à défendre...
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Je n'ai jamais traité personne de sale facho de merde... mais il y a effectivement des propos que je considère, selon mon éthique, comme non entendables... et je refuse de les écouter. Des propos qui malheureusement gagnent du terrain et ça m'est arrivé, chez moi, de quitter la table parce que je refuse de participer à une conversation de racisme ordinaire... Je ne vois pas le rapport avec le fait de résister contre les violences institutionnelles...
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Oui ! Mais moi, je chante ET je danse, tout l'été, et aussi l'hiver !
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Il faut relativiser : du racisme, des injustices, des situations intolérables... il y en a déjà. Laisser la peur ou la haine s'infiltrer en nous, c'est leur concéder déjà une victoire... La casse et les feu de voiture, il y en a déjà, c'est le mode d'expression de ceux qui n'ont pas de mots. Je ne crois pas non plus qu'il se passera grand chose de très visible... Comme maintenant, des injustices et une violence institutionnelle contre lesquelles il faudra trouver des moyens de résister...