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Tout ce qui a été posté par apis 32
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Non, on essaie de s'alimenter quotidiennement au maximum d'aliments dont on connaît la provenance, le plus équilibré possible. Et sans être parano, de temps en temps on se permet une entorse, resto ou autre...
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Édouard Philippe : « Je serai candidat à la prochaine élection présidentielle »
apis 32 a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Politique
Ce feuilleton là est de moins en moins intéressant et crédible. Je vais regarder plus belle la vie, moi... -
A propos de vibrations, le coup de coeur de ce week-end : Cracade. Un classique de chez classique dans les cantères de Bigorre ou du Béarn, mais avec des arrangements qui donnent des frissons...
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Emilie, ( petite brunette au deuxième rang ) est avant tout chanteuse trad. J'avoue qu'ici, elle peut faire des fausses notes, je ne les entendrai pas... Mais elle n'en fait pas : quand je descend une note trop tôt à la basse, elle me le dit ( en me nommant ) alors que nous sommes 35 stagiaires et qu'elle me tourne le dos ! Je la préfère en trad, elle est plus souriante !
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Je travaillais sur 3 écoles, en regroupements d'adaptation ou en co-intervention dans les classes. Je n'avais pas de cahiers à distribuer ou à corriger, mais de projets individuels à rédiger, mettre en oeuvre et évaluer pour constituer les dossiers individuels. Pour la mise en oeuvre, je rédigeais aussi les projets de groupe, avec des situations qui me permettaient de travailler les objectifs de chacun. Les projets de co-intervention étaient aussi rédigés avec les instits concernées. Je participais parfois ( à la demande des instits ) aux évaluations nationales, et j'en proposais d'autres pour celles qui le demandaient : en particulier les tests de Boehm et le MEDIAL ( toutes les instits de CP et CE1 me demandaient de le faire passer) Je participais à toutes les équipes éducatives dans les 3 écoles et rencontraient les parents avant ou après s'ils me sollicitaient. ( Je refusais systématiquement d'échanger sur un élève entre deux portes ) Non, ce n'était pas le même travail, et c'était passionnant, mais je ne chômais pas !
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Je me souviens de parents qui accompagnaient les voyages scolaires... Après le voyage de retour en bus où les adultes commençaient à être fatigués, mais les enfants pétaient toujours la forme... ces parents là devenaient très respectueux et admiratifs des enseignants !
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Alors, les accords qui frottent, ( 2 notes qui se suivent ), c'est maîtisé. Vox Bigerri n'existe plus, mais ces 4 là, je peux te dire qu'ils maîtrisent exactement ce qu'ils font. Ils n'évoluent d'ailleurs pas que dans le trad, et pas que l'occitan.
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Je n'ai pas de réponse, mais ça ne me paraît pas impossible : grosse migraineuse, j'ai appris à diminuer ma consommation de triptans de plus de la moitié en... soufflant. Le corps humain est une machine bien mystérieuse, mais si on est à l'écoute du sien, certains conseils et techniques résonnent bien. La respiration est souvent une clé : l'animateur du stage de chant, ce week-end, nous a fait remarquer que le nouveau né peut hurler longtemps sans s'essouffler. Puis, en grandissant, nous desapprenons à respirer...
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Tu as raison, ce sont deux expériences différentes, mais qui coexistent... Et qui sont plus intenses si tu arrives à déconnecter du cerveau : Si je suis dans une écoute "cérébrale", j'ai du mal avec les notes qui frottent pour les apprécier, il faut que je soit dans la respiration, que je lâche prise. De même, mon oreille n'aime pas les aigus et j'ai beaucoup de mal avec un instrument traditionnel, le fifre. J'ai pris l'habitude de le "recevoir" dans la paume des mains.
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Les choeurs sont magnifiques ! J'ai un peu de mal avec la soliste, ( avec les sons aigus en général ) En traditionnel nous n'avons pas de voix de tête : Dans un choeurs mixte des hommes sont à la haute, des femmes à la basse
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C'est pourtant dans le chant que cette expérience est la plus forte, pour moi. D'abord dans la pratique du chant polyphonique. Depuis que je prend des cours de chants, j'ai enfin trouvé "ma" voix que j’arrive à timbrer ( grave ). Et même pendant l' échauffement, en stage ou en atelier, quand les voix s'harmonisent ( ou même "frottent" légèrement, sur certains accords, c'est une expérience vraiment agréable et régénérante. Et maintenant, en concert, je reçois également ces vibrations, même si je ne chante pas....
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Je suis partie à 62 ans et j'étais instit spécialisée
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Quand j'ai commencé le yoga, il y a 3 ans, j'étais très rétive au chant des mantras. Cette habitude me paraissais bizarre et incongrue... J'ai accepté de jouer le jeu, et petit à petit, j'ai réalisé que cette connexion à la vie qui vibre en moi était ce que je recherchais depuis toujours dans la musique, la danse et le chant. Depuis, ces activités ont pris pour moi une autre dimension et je les vis de façon beaucoup plus intense. Êtes vous aussi à la recherche de cette vibration vitale et dans quelles situations l'expérimentez vous ?
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C'est pas bien, ce qu'il a fait...
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J'ai toujours adoré mon métier j'ai aimé jusqu'au bout travailler avec les collègues et les enfants. Mais j'étais fatiguée et les deux dernières années, quand je ne bossais pas... il fallait que je me repose. 8 ans plus tard, je suis en bien meilleure forme : Une nourriture plus saine, yoga et danse, une meilleure qualité de sommeil .... Mon rythme a ralenti, mais j'ai plus d'énergie et moins de douleurs articulaires ( enfin, sauf les lendemains de bals... )
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Je ne savais pas quoi répondre, mais j'ai bien fait de continuer de lire...
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Je veux bien laisser Notre Dame aux catholiques et à leur pape... Comme parfois je suis bien contente qu'ils nous prêtent une église qui vibre bien pour un concert polyphonique de musique sacrée ou pas...
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Le goût n'est pas que dans le gras... pour moi, il se trouve dans les épices et dans les herbes aromatiques dont je fais un grand usage.
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Non, c'est comme ça que je le préfère. C'est le confit que je trouve à la fois gras et sec...
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Ben... si, elles sont frites, dans une friteuse. ( une vieille, pas électrique, une friteuse quoi ! ) Elles sont croustillantes au dehors et moelleuses au milieu...
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Mes enfants et mes petits enfants disent que je fais les meilleurs frites du monde... Et en plus, je fais "des frites carrées" ( coupées en petits cubes )
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Moi qui vit dans le Gers, je nous fais parfois cuire un magret : j'enlève tout le gras, je coupe dans l'épaisseur et cela me fait 2 steaks de canard... Par contre, les frites, c'est àla graisse de canard...
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Je ne suis pas non plus un cordon bleu. ( mais je suis gourmande ) D'ailleurs, je mange cru au maximum. Mon plus grand plaisir, en ce moment, ce sont les desserts... mangés sur l'arbre. Les figues ( qui ne sont bonnes que comme ça ) et les prunes "volées" le long du chemin... Je ne suis pas obnubilée par ma santé, mais j'ai besoin de ne pas me sentir trop lourde... pour pouvoir danser !
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Mais pourquoi cuire à l'eau un légume qui peut être cuisiné de 100 manières différentes, simples et délicieuses... En soupe froide, ( avec du fromage de chèvre), en flan, revenu à la poêle avec un peu de curry, à la béchamelle, dans une ratatouille ou un couscous, en salade, cru en petits dés ou cuit en tranches, grillé, au four...
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L'idée qu'une cuisine saine et vivante doit être triste et sans goût a la vie dure. Personnellement je prends plus de plaisir à préparer des repas de remontée de jeûne ou des repas végétariens qu'à la cuisine conventionnelle. De même, si j'évite les "repas végétariens" dans les festivals quand ils consistent juste à être "privé de viande", je les choisis dans ceux qui composent de vrais repas complets ( légumes, céréale et légumineuse ). Ils y sont en général délicieux... Et après la "gersiflette" et le sanglier rôti des gasconnades de Lectoure, je vais avoir le plaisir de déguster, le week-end prochain, les délicieux repas véggé de trad'Azun ! Mon foie va un peu se reposer...