Out of Paprika

Pour moi c'est un très bon film, par le même réalisateur que Festen qui m'avait marquée. C'est suédois, rien à voir avec Hollywood! Ça ne fait pas du tout l'apologie de l'alcool, juste réfléchir sur les effets pervers de la désinhibition et l'addiction. Le final m'a arraché une petite larme. J'oubliais, la bande son est très sympa aussi.

Non, le schéma du mari éploré qui participe aux recherches et finit par s'enliser dans ses mensonges.

Une autre affaire Daval?

Le mieux serait quand même "qu'il" évite la cruauté humaine, religion ou pas.

"Sweet tooth" moi aussi j'ai trouvé le thème prometteur mais ne suis pas allée au-delà du 1er épisode, qui m'a fait l'effet d'un conte pour enfants.

Depuis le temps que j'y pense, je vais m'y mettre

Attitude d'enfant gâté qui n'a pas été habitué à ce qu'on lui dise non. C'est ta faute

Je ne connais pas la situation, mais apparemment c'était pas un service de lui reprendre une voiture.

Il a 30a, tu ne peux pas sérieusement l'aider s'il ne se prend pas en main. On parle d'un adulte.

À moi non plus, ça m'aurait envahie. Je préfère gérer sans personne dans les pattes!

C'est ce qu'il y a de plus difficile, du coup comment lui faire confiance si on lui met le nez dans ses mensonges?

Elle est encore bien jeune, peut-être lui expliquer toutes les conséquences d'une fugue....

Non ce n'est pas paradoxal, j'en ai moi-même 2 et ça me suffit largement. Par contre j'aurais été très triste de ne pas en avoir, puisque je les désirais vraiment, surtout la 2e. Je suis issue d'une fratrie de 4 enfants, bien élevés sur le plan éducatif et tous avec un pet au casque côté affectif et confiance en soi, on se demande bien pourquoi.

C'est très balèze de savoir ce que les gens pensent vraiment.

Bien sûr que c'est un carcan, et c'est surtout très culturel : une femme sans enfant, c'est forcément triste ou anormal. Les répercussions sur les enfants peuvent être terribles, je trouve bien plus monstrueux d'avouer à son enfant qu'on regrette de l'avoir mis au monde que de ne pas en faire. On peut avoir des moments de regrets, évidemment, surtout à bout de nerfs, mais ce n'est pas à l'enfant qu'il faut le confier.

Trool?

Mais personne ne jette la première pierre, Pierre! Non je ne juge pas non plus, surtout pas dans ce domaine si intime.

C'est une façon très "conventionnelle" d'exposer les choses, on peut aussi dire rupture de contrat. ça, c'est pour la forme ; le fond est aussi complexe qu'un être humain.

Bien sûr que non, c'est une démarche personnelle et certainement très égoïste, mais rarement pour blesser qui que ce soit! Il y a d'autres moyens.

La série est bien ficelée, l'époque respectée, tu te sens dans la peau du hippie!

Par contre j'ai bien aimé ça Le démarrage est un peu lent, sordide, on se demande un peu où ils veulent en venir. Et au fur et à mesure on est de plus en plus dérangé, je ne peux plus saquer Tahar Rahim! Il joue trop bien

J'ai essayé, pas accroché du tout

saloperie, va. Quand tu prends les transports en commun c'est pas triste non plus : "chien", "chienne", et j'en passe. La scène qui m'a le plus marquée, et qui date pourtant, c'est une jeune handicapée qui s'est pris une série de baffes dans la figure par une jeune black qui la traitait d'imbécile, pour une histoire de main sur la barre. La jeune handicapée mentale s'est mise à pleurer en hurlant comme une gosse de 5 ans et l'autre continuait, c'était horrible. Evidemment il a fallu intervenir.