Mite_Railleuse

Je suis bien incapable de dire pourquoi, mais ça j’aime !!

Sinon, tu sais déjà où tu veux l’installer cet endroit cocooning ?

Toi, t’as l’air d’être comme moi, un bidou sur pattes…

@Kira Si tu as un petit coin, je trouve ça « cosy ». C’est simple, fonctionnel et joli. Un endroit doudou…

Dans ton salon ?

Tiens, ça me fait penser à Comés. aussi ! Mon premier tatoo… La couverture est en couleur mais le reste en noir et blanc…

Y mangeaient pas des chocolatines ?

J’avais bien compris...

Si la croyance aide et reste entre soi et soi, ça me va, rien à redire

On choisit de faire un marathon. On choisit aussi dans la grande majorité des cas, de faire un enfant. On ne choisit pas d’avoir une maladie, un accident, de perdre un être aimé. C’est simple pourtant. Mais si tu veux absolument avoir raison, pas de problème. Quant à « m’effacer », dans tes rêves ! Et @#LNt’a répondu.

C’est vrai qu’imaginer dieu en ado extraterrestre boutonneux (oui, un ado est toujours boutonneux, de quelque endroit de l’univers qu’il vienne), est assez réjouissant !

Ça s’appelle donner aux mots leur sens. Sinon, rien de curieux. J’interviens quand je veux, et je réponds à qui je veux. Nous sommes sur un forum et c’est son ADN.

Moi aussi j’ai mes sources...

Aux dernières nouvelles, il se serait fait griller () par Torquemada ! Bebelz aurait été séduit par sa créativité dans l’exercice de la question... C’est un esthète quand même ce diable de Belzébuth

Ah vi, mais on sait pas ! Pareil, dieu c’est un extraterrestre qu’a mal tourné !

Un challenge est un objectif que l’on se fixe. Une épreuve nous tombe dessus. Ce n’est pas la même chose.

Ok, ça s’entend. Jamais de petits breaks, pour se reposer, se laisser porter ? Tout est un combat ?

Pourquoi ?

C’est étrange tout de même ce diktat de "l’épreuve", qui serait seule source d’apprentissage, d’éveil, de progression... Et vers quoi ? Il est possible d’avoir des mots, des exemples, des notions réelles, dont on peut discuter sans rester dans le flou ? Sans avoir droit au sempiternel, "si tu comprends pas tout seul, je ne peux rien pour toi ?" Les instants de bonheur, de bien-être, de plénitude, de quiétude, de sérénité, de joie, ne nous apportent rien ? N’ont aucune influence sur nous ? Ne peuvent pas nous "bonifier" ? Nous devons obligatoirement souffrir pour cela ?

Je crois qu’il ne faut jamais vraiment avoir souffert, pour penser que la facilité est « caca boudin »…

Oui.

Je n’aurais pas répondu si je n’avais pas été intéressée. J’ai peut-être mal compris. Que veut dire « ne pas révérer la facilité » ?

Si, c’est très « chrétien ». Et je ne dois pas être « personne » alors, parce que si j’ai le choix entre en chier ou faire facilement, je n’ai pas l’ombre d’une hésitation. Faut être space pour préférer souffrir, non ?

Il faut enlever le "si" alors. C’est lui qui induit le conditionnel.

Certainement pas, inspecteur Colombo...