tison2feu
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Dieu et les Aryens, avec Frédéric Lenoir et Marie Drucker
tison2feu a répondu à un(e) sujet de Maroudiji dans Philosophie
Salut Zenalpha! Oui. Ce qui me semble intéressant, c'est de parvenir à établir, pour chaque démarche/méthodologie scientifique utilisée, des distinctions nettes entre hypothèse forte et hypothèse faible, avec son lot d'hypothèses intermédiaires. Il est bien évident que plus nous remontons dans le temps et plus nous entrons dans le domaine de la science-fiction. Exemple d'hypothèse forte: reconstruction d'une proto-langue (grammaire + environ 3000 mots communs) à partir de plusieurs langues regroupées en une seule famille. Datation, grâce à la glottochronologie, environ 6000 à 9000 ans avant J.C. (3000 mots, cela correspond au nombre de mots de base utilisés par un homme adulte, ce taux moyen pouvant descendre à 5 ou 600 mots chez l'enfant ou certains forumeurs ! ). Hypothèse moins forte: reconstruction d'une macro famille (grammaire + environ 2000 mots communs) à partir de plusieurs proto-langues. Datation: environ 15 000 ans. Ce sera le cas de regroupement, par exemple, de l'afro-asiatique et de l'indo-européen en une seule macro-famille. (....) Hypothèse extrêmement faible : Regroupement de toutes les macro-familles en une hyper famille originelle (seulement quelques mots communs). On se rend compte que plus les langues sont regroupées en macro familles, et plus les hypothèses faiblissent. -
Dieu et les Aryens, avec Frédéric Lenoir et Marie Drucker
tison2feu a répondu à un(e) sujet de Maroudiji dans Philosophie
Bonjour! Même si l'hypoyhèse des premières langues multiples a pu être envisagée, elle semble désormais abandonnée en raison des dernières données de la génétique qui permettent de suivre pas à pas le déplacement des populations depuis 200 000 ans (avec un foyer originel unique et africain). Même en remontant plus avant, le berceau reste encore l'Afrique. -
Dieu et les Aryens, avec Frédéric Lenoir et Marie Drucker
tison2feu a répondu à un(e) sujet de Maroudiji dans Philosophie
Salut Blaquière! Parmi les multiples questions toutes plus judicieuses les unes que les autres posées par toi, je me permets d'en relever une (même si tu connais pourtant mon intérêt prononcé pour les langues non indo-européennes d'Europe, notamment le basque!). Je comprends parfaitement l'attitude prudente de tout linguiste comparatiste consistant à dire que nous ne savons presque rien des locuteurs de telle ou telle proto-langue, ceux-ci étant décrits généralement comme nomades, sans morale particulière. Mais dans le domaine des langues indo-européennes, des travaux très importants ont été fait à propos de cette spécificité à laquelle tu fais allusion (sans parler de "positif" ou "négatif", puisqu'un linguiste a tôt fait d'apprendre à ne jamais porter de jugement de valeur en la matière mais à décrire et analyser seulement des états de langue). Pour preuve Le vocabulaire des institutions indo-européennes, 2 vol., 1969, par l'éminent linguiste Emile Benveniste, dont la méthode a consisté à ressaisir, par le moyen de l'étymologie, la justification des termes qui en indo-européen réfèrent à une réalité donnée (I : économie, parenté, société ; II : pouvoir, droit, religion) à l'appui d'un maximum de textes anciens disponibles (aussi bien les textes homériques que le Rig Vega, etc. et tant d'autres écrits). Impossible de résumer ces deux volumes en quelques phrases! Pour se faire une idée, le vol 1 est disponible gratuitement sur Internet: https://archive.org/details/BenvenisteEmileLeVocabulaireDesInstitutionsIndoEuropeennes1969_201803/page/n0 Je pense que c'est de la façon dont Benveniste a abordé la question qu'il sera un jour possible d'en savoir bien davantage sur le mode de vie des locuteurs du proto-indoeuropéen (et bien sûr des 150 autres proto-langues étudiées à travers le monde). Et puisque l'amalgame nauséabond entre linguistique indo-européenne et idéologie raciste continuera inlassablement d'être véhiculé par des personnes ignorant tout de la linguistique et de ses méthodes comparatives extrêmement pointues, dois-je rappeler qu'Emile Benveniste, qui est l'une des figures les plus emblématiques de l'étude du proto-indoeuropéen, s'est élevé contre toute tentative de récupération idéologique de ses travaux et que par surcroît, étant d'origine juive, il fut exclu en 1945 du Collège de France par le régime de Vichy. -
Dieu et les Aryens, avec Frédéric Lenoir et Marie Drucker
tison2feu a répondu à un(e) sujet de Maroudiji dans Philosophie
Je te remercie, Garalacass, de m'avoir fait découvrir non pas Demoule mais ce spécialiste de la reconstruction du proto-chinois Laurent Sagart, qui mentionne lui aussi l'importance desdites règles de correspondance phonétiques en linguistique comparée (A noter que Demoule n'y consacre qu'une seule ligne dans son ouvrage de 750 pages...). C'est toujours émouvant de mettre un visage sur une personne que l'on est amené à lire et à apprécier. Voilà pour le petit aparté, puisque comme toi (ou Deja-utilise), je ne faisais que passer afin de répondre au mieux à contrexemple. Je regrette un peu de ne pas avoir pu donner davantage de précision sur le berbère chleu et l'arabe au Maroc, même si j'entrevois l'extrême difficulté qu'il doit y avoir à appréhender la question brûlante des emprunts. Les spécialistes de ces langues auront reconstruit d'abord un proto-berbère et un proto-sémitique sans lesquels il aurait été impossible de reconstruire un proto-afroasiatique. Parmi les grands spécialistes du proto-afroasiatique figurent A. Yu. Militarev and O. V. Stolbova. qui ont contribué à la reconstruction de 2671 racines proto-afroasiatiques (Au cas où cela pourrait intéresser contrexemple, cf. le site http://starling.rinet.ru/cgi-bin/response.cgi?root=config&morpho=0&basename=\data\semham\afaset&first=1 ). Et si je me suis étendu un peu sur le proto-afrosiatique, c'est parce que se posent, exactement comme pour le proto-indoeuropéen, les mêmes problèmes de méthodologie pour une approche pluridisciplinaire (Encore un article qui pourrait intéresser contrexemple : https://journals.openedition.org/bmsap/564?lang=en ). -
Dieu et les Aryens, avec Frédéric Lenoir et Marie Drucker
tison2feu a répondu à un(e) sujet de Maroudiji dans Philosophie
Bonjour, Voilà une question on ne peut plus pertinente. Pour ce qui est de la comparaison du lexique de deux langues apparentées, on dit que deux termes sont en correspondance quand ils sont issus, par une série de changements phonétiques réguliers, d'un même étymon de la langue mère. Ainsi, le latin quis et le grec tis sont issus d'un radical tiré de la racine indo-européenne *kwis; ils sont en correspondance. Le linguiste comparatiste a découvert ainsi une correspondance régulière entre le son QW latin et le son T grec, et cette correspondance s'applique pour tous les mots latins commençant par QW et tous les mots grecs commençant par un T. C'est ce qu'il sera convenu d'appeler une règle de correspondance consonantique. L'étude comparée des langues indo-européennes a donc permis de mettre en lumière une multitude de règles de correspondance consonantiques et vocaliques (pour se faire une idée, cf. le tableau de ces correspondances phonétiques dans les langues indo-européenes figurant dans l'article Wikipedia consacré à l'indo-européen commun: https://fr.wikipedia.org/wiki/Indo-européen_commun#Méthode ). Ces règles de correspondance phonétiques sont accompagnées de nombreux ajustements en fonction de divers critères (place de la consonne ou de la voyelle dans le mot, rôle de l'accent tonique, harmonie vocalique, tons dans le cas de langues à tons, etc.) nécessitant l'élaboration de nouvelles lois phonétiques (Cf. liste dans l'article supra). De plus, ces correspondances phonétiques ne sont valables que durant une période de temps bien précise, au moment de la formation des langues en question. Ces règles de correspondance ne s'appliquent pas dans le cas d'emprunt lexical. Par exemple, le son K du latin vulgaire a évolué en CH français (Latin canis --> français chien). Mais tu as en français le mot canin qui a conservé le son initial du latin; ce mot, ou doublet lexical, est un emprunt récent dans l'histoire de la langue française, apparu au XVe s. sous l'influence des progrès scientifiques et de l'humanisme érudit. La mise en lumière de ces règles de correspondance phonétiques vaut pour toutes les grandes familles linguistiques à travers le monde, permettant de reconstituer des proto-langues qui font elles mêmes l'objet de comparaisons. Chacune de ces proto-langues (afro-asiatique, bantou, sino-tibétain, ouralien, altaïque, etc.) sont des constructions basées à partir de faits de langues, et n'ont donc absolument rien à voir avec des mythes. -
Une graine de palmier a atterri dans le jardin. Naissance d'une feuille palmée. Grâce à la bonne chaleur (et à l'eau du forage), le bananier a fait un petit ! Plantes grasses toutes frisées !
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Bonsoir, J'ai du mal à saisir en quoi les attributs de l'espace temps de la RG modifie l'esprit du raisonnement global tenu par Kant dans l'extrait cité (réflexion sur l'immensité de l'univers et sur l'universalisme de la morale). Ces attributs de l'espace temps de la RG me donne tout autant une sensation de finitude. Que la vision cosmique de Kant ait été réfutée, soit ! Mais ce qui importe, dans l'extrait en question, est cette prise de conscience de la place insignifiante de l'homme dans l'univers. Et je trouve le raisonnement tenu par Kant - avec ses enchaînements logiques, et notamment sa réflexion morale qui en découle - d'autant plus admirable que ce raisonnement pourrait être tenu aussi bien par un athée, un agnostique ou un croyant.
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Bonjour, Lorsque Kant écrit "le ciel étoilé au-dessus de ma tête", il parle au premier degré, au sens propre et non figuré. Il veut dire simplement qu'en regardant de façon sensible ce ciel/ce monde infini, il prend conscience de sa finitude, de la petitesse de la place qu'il occupe dans le monde. Rien à voir avec le regard symbolique d'un père autoritaire qui punirait ou récompenserait, d'autant que celui qui agirait à la seule fin d'être récompensé - donc de façon intéressée - aurait, dans l'optique kantienne, une conduite on ne peut plus immorale. «Deux choses remplissent le cœur d'une admiration et d'une vénération toujours nouvelles et toujours croissantes, à mesure que la réflexion s'y attache et s'y applique : le ciel étoilé au-dessus de moi et la loi morale en moi. Ces deux choses, je les vois devant moi, et je les rattache immédiatement à la conscience de mon existence. La première commence à la place que j'occupe dans le monde extérieur des sens, et étend la connexion où je me trouve à l'espace immense, avec des mondes au-delà des mondes et des systèmes de systèmes, et, en outre, aux temps illimités de leur mouvement périodique, de leur commencement et de leur durée. La seconde commence à mon invisible moi, à ma personnalité, et me représente dans un monde qui possède une infinitude véritable, mais qui n'est accessible qu'à l'entendement, et avec lequel je me reconnais lié par une connexion universelle et nécessaire. La première vision anéantit pour ainsi dire mon importance, en tant que je suis une créature animale, qui doit restituer la matière dont elle fut formée à la planète, après avoir été douée de force vitale pendant un court laps de temps. La deuxième vision, au contraire, rehausse ma valeur, comme intelligence, par ma personnalité dans laquelle la loi morale me révèle une vie indépendante de l'animalité, et même de tout le monde sensible» (Critique de la raison pratique).
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Plus j'écoute ta musique sur ce poème d'Arnaut Daniel, et plus je tombe sous le charme. Cela vaut la peine de cliquer sur ce lien si discret mais si riche de sentiment.
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Oui, cela serait intéressant de comparer avec ta chanson ! Ci-dessous la video en question :
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Très bonne initiative que d'avoir souligné les mots qui posent difficulté pour un locuteur provençal. Cela permet de conclure que, en dépit de quelques particularismes ou termes tombés en désuétude, les parlers d'oc constituent néanmoins, depuis plus de 1000 ans, un vaste continuum linguistique - permettant l'inter-compréhension - aussi bien dans l'espace que dans le temps. C'est vraiment remarquable que tu puisses traduire à partir de ta langue natale ce chant du périgourdin Arnaut Daniel. Pourrions-nous traduire avec la même aisance un poème écrit il y a mille ans en langue d'oïl à partir de notre langue "française"? Assurément pas! J'ai trouvé sur Youtube ce poème d'Arnaut Daniel mis en chanson, avec traduction par le romaniste Pierre Bec (qui parlait gascon): http://www.trobar-aquitaine.org/fr/troubadours-jongleurs/arnaut-daniel/174-troubadours-et-jongleurs/arnaut-daniel/les-cancons/336-en-cest-sonet-coind-e-ler A propos du vers "qu'Amors marves plan'e daura", P. Bec traduit "marves" par "sans hésiter". J'ai trouvé une autre traduction de ce vers par Gérard Gros dans une anthologie littéraire: "L'amour à l'instant polit et dore (ma chanson)..." https://edisciplinas.usp.br/pluginfile.php/3705408/mod_resource/content/1/Lyrisme_HFL.pdf Dans le dictionnaire d'Honnorat, "marves" est traduit par "immédiatement, promptement, sur le champ".
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Le bananier continue de faire des feuilles environ tous les 10 jours grâce à l'eau du forage et à la chaleur (les températures continuant ici d'avoisiner les 30° dans la journée). A sa sortie, la nouvelle feuille se présente comme un majestueux rouleau vertical très serré. Un jour peut-être, la nouvelle feuille sera remplacée par une inflorescence et un régime de bananes !
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Ce matin, l'une des tourterelles farfouillait au milieu des feuilles et racines de violettes !
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L'homo inginous (homme ingénieux) du sonnet de Bellaud m'a fait penser aussi à la littérature picaresque qui est en train d'éclore en Espagne à la même époque. Ingéniosité, ruse, débrouillardise, bon sens populaire, ironie, sens critique, verdeur de langage - même si Bellaud diffère du pícaro par sa grande culture -, autant de valeurs et qualités qui transparaissent à la seule lecture des sonnets proposés par toi. Ces valeurs REALISTES contrastent du tout au tout avec l'IDEALISME platonicien, le juste milieu aristotélicien, l'esprit chevaleresque et les vertus chrétiennes. On assiste partout en Europe à un décentrement du juste milieu, de cette mesura (la juste mesure), faite de modération, retenue, respect, indulgence, honneur, loyauté, courage - le juste milieu aristotélicien ayant été entièrement réfuté, un siècle auparavant, par l'humaniste italien Lorenzo Valla.
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Avec modération, il va sans dire! Comme le plant de verveine citronnée est encore très fourni en grosses feuilles, je vais préparer un nouveau litre !! (pour l'offrir cette fois).
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Un petit tour de jardin : fleur de sauge, campanules, dernières fleurs de Jacobinia carnea (ou Justicia carnea), et du raisin bien mûr.
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En tout cas merci Ines pour cette recette que j'ai suivie le mois dernier. Après filtrage, j'ai dégusté le doux nectar (40° quand même !) et le résultat est au-delà de toute espérance. Une saveur de menthe très forte, mais en plus savoureux encore ! Tu es la reine des chanoinesses !
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Quel chamboulement en l'espace de trois siècles! Ce poème de Bellaud est le contrepied en tous points du Roman de Flamenca et autres chansons de l'époque. Foin des longues périodes de continence volontaire - propre à l'exaltation passionnelle dans l'amour courtois !
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On voit encore ici l'importance de la promesse ("si vous promettez"), tout à fait semblable au serment signalé plus haut. D'un côté, il doit jurer de ne pas outrepasser les droits qu'elle lui concèdera, et de l'autre ces droits concédés consistent à faire tout ce qu'elle voudra. Cela laisse à la dame une totale liberté de manoeuvre à commencer par le fait, pour elle, de rester libre de se donner ou pas le premier jour, ou même de refuser de se donner. C'est elle qui mène la danse de bout en bout !
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D'autant que le nom Flamenca est formé sur le mot occitan signifiant "flamme" ! Les droits que concédait l'amante au troubadour n'était pas exactement ceux du mari, mais c'était au bon vouloir de celle-ci. Elle pouvait pousser plus loin les choses et ne pas prodiguer seulement les caresses considérées comme permises lors de l'épreuve d'amour (baisar, tener, abrasar, manejar).
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Je n'ai pas de mal à imaginer cette compétition bien réelle entre troubadours. Mais finalement, le "meilleur" troubadour n'est-il pas celui qui, sans brûler les étapes, parvient à rencontrer sa dame en chair et en os (épreuve de l'amour) ? Et comme les dames sont nombreuses, cela fait de nombreux troubadours à pouvoir prétendre être les meilleurs! Si la dame a décidé d'agréer son amant en acceptant finalement de le rencontrer, c'est bien qu'il est le meilleur, à savoir le plus vertueux, c'est-à-dire le plus digne de confiance et le plus capable de respecter la parole donnée. Le Roman de Flamenca (moitié du XIIIe s.) est à cet égard très instructif. C'est la dame qui prend l'initiative de l'épreuve de l'amour, en conviant son amant à prendre place auprès d'elle, non sans lui avoir fait jurer qu'il n'outrepasserait pas les droits qu'elle lui concédait. Comme la dame est nue, l'amant aussi, et le lieu secret, nous imaginons aisément la dose d'héroïsme qu'il y a pour l'amant à respecter son serment (encore que, si l'émotion du coeur est trop forte et véritablement sincère, il est toujours possible que l'exaltation sexuelle ne soit pas toujours au rendez-vous dès la première rencontre).
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Ces deux vers m'ont intrigué et j'ai cherché à en connaître le contexte car nous savons que, dans les codes de l'amour courtois, obligation est faite au parfait amant de s'humilier devant sa dame, celui-ci devant se garder de tout orgueil. Or, en lisant les deux vers suivants, il me semble que Bernard de Ventadour s'en sort pas trop mal : que plus me tra·l cors vas amor e melhs sui faihz a so coman. Traduction trouvée : le coeur me tire plus vers l'amour / et je suis mieux fait à ses ordres. Le poète semble dire qu'il n'y a pas de quoi tirer vanité d'être le meilleur chanteur puisque son culte de la chanson idéalement belle n'est que l'expression de l'extrême raffinement de son sentiment amoureux !
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Salut Garalacass ! Oui, c'est tout à fait ça, l'ajout du violoncelle transcende littéralement ce morceau. Le résultat final obtenu par Blaquière et le violoncelliste est magnifique (Faut dire que le violoncelle me fait craquer systématiquement!).
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Ines Presso avait proposé une recette à base de feuilles de verveine citronnée + alcool de fruits + sucre à laisser macérer pendant un mois. C'est amusant que tu parles de cela, parce j'ai appliqué cette recette le mois dernier et le moment est bientôt venu de filtrer le tout ! Liqueur de verveine : - 60 grandes feuilles - 30 petits morceaux de sucre - 1 litre d'alcool de fruit - 30 jours de macération et on filtre.
