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Tout ce qui a été posté par Tequila Moor
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Leçon de cinéma : plan-séquence par Michel Gondry et son équipe, série "Kidding"
Tequila Moor a posté une vidéo dans Cinéma
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Les femmes et les fesses des hommes.
Tequila Moor a répondu à un(e) sujet de Lucas_2023 dans Insolites
Alors les filles, vous vous envolez plus grâce au croupion de Ryan que via son Ryan air ? -
"L'habit ne fait pas le moine ? Certes. Mais il permet d'entrer au monastère." https://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/8-janvier-1247-deguise-en-moine-le-genois-grimaldi-s-empare-du-chateau-de-monaco-08-01-2012-1416490_494.php
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Nobody Is Anybody Those of us who reside in the Unholy City, who sprouted out of the blackness of an old root cellar, or sprayed forth like dark ashes from an unclean chimney, Those of us who are permanent citizens of the Unholy City are neither Angeles nor Demons, although we are sometimes called upon to play such parts, For the purpose of some game that has been going on since the world began, acting out our roles in a drawn out, intricate stage show that we will never understand, nor ever care to understand. Nevertheless, we are really not so different from the tourists who sometimes visit our little town, and sometimes stay with us forever. Who are also born of the same blackness as we were, as everything was. Still there is one respect, in which we, the inhabitants of the Unholy City, diverge from all others in this world, who are so caught up in the game that is going on, who identify so completely with the parts they have been given to play in the stage-show universe, that they actually believe themselves to be somebody or something. We on the other hand, suffer from no such delusion, We are nobodies. We are nothings. And even to speak in such terms maybe claiming to much for ourselves. Which is to say that we are just like everybody else. While they without ever knowing or suspecting the true facts Are just like us. (Thomas Ligotti)
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@Demsky Technique analogue :
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Les femmes et les fesses des hommes.
Tequila Moor a répondu à un(e) sujet de Lucas_2023 dans Insolites
Si seulement… -
Les femmes et les fesses des hommes.
Tequila Moor a répondu à un(e) sujet de Lucas_2023 dans Insolites
Car la plupart des mecs ne savent pas mettre en valeur cette partie de leur individu, voire ne savent globalement rien mettre en valeur de leur physique… -
Justified City Primeval, suite de Justified, qui trône dans mon panthéon personnel en haut des meilleurs trucs commis pour le petit écran. On retrouve Raylan Givens des années après ses frasques chez les bouseux du Kentucky : cette fois il traîne à Detroit sa dégaine de cow-boy qui s'est gourré d'époque, où son style d'arrogant blanc-bec se heurte avec fracas à l'ambiance noire de la ville – dans tous les sens du terme, noire. Moins de gunfights mortels ou absurdes que dans la première série, mais plus d'émotions (l'arrivée de Raylan à Motor City se faisant avec son adolescente de fille, qui a hérité du père son franc-parler) et toujours des dialogues à couper au couteau. La bande son claque ; l'image est belle ; le méchant est beau, malin, taré. Enfin l'histoire à rebonds et tiroirs n'est pas sans rappeler Jackie Brown de Tarantino, ce dernier film comme Justified étant des adaptations d'oeuvres d'Elmore Leonard, grand spécialiste ricain du polar réaliste.
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I chose an eternity of This Like falling angels The world disappeared Laughing into the fire Is it always like this? Flesh & blood & the first kiss The first colors — the first kiss We writhed under a red light Voodoo smile — Siamese twins A girl at the window looks at me for an hour Then everything falls apart Broken inside me: it falls apart The walls and the ceiling move in time Push a blade into my hands Slowly up the stairs And into the room Is it always like this? Dancing in my pocket, worms eat my skin She glows and grows with arms outstretched Her legs around me In the morning — I cried Leave me to die You won't remember my voice I walked away and grew old You never talk — we never smile I scream: "you're nothing I don't need you anymore You're nothing" It fades and spins It fades and spins Sing out loud: "we all die" Laughing into the fire Is it always like this? Is it always like this? Is it always like this?
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La chanteuse Sinead O'Connor est décédée à l'âge de 56 ans
Tequila Moor a répondu à un(e) sujet de soisig dans People
Ouaip. Certaines personnes, faut leur expliquer gentiment pour qu'elles comprennent quelque chose. D'autres, faut les insulter car c'est la seule chose qu'elles comprennent. Et pour revenir à l'art de Sinead O'Connor : -
Rentre dans un bar au hasard, un rade crasseux jauni à la Gauloise Les discussions s'arrêtent : une assemblée de poivrasses me toise (tin tin tin) Accoudés au comptoir, plus de 6 bières au compteur Cette grosse brochette de nases me prennent peut-être pour un 'steur On entend les mouches voler, les blattes caner de leurs métastases (zzzzz zzzzz) Direct, je rodave qu'ils vont me chercher des noises J'me dirige vers le jukebox attifé de néons bleus et roses Et soudoie sa fente de catin contre un air de jazz J'installe ma grande carcasse au-dessus du ruban de zinc Auréolé Avec l'intuition et l'impression qu'la situation va devenir Olé-olé Le gilet noir qui porte sans doute le deuil de son Amabilité Se dirige vers moi et m'demande sèchement ce que je désire Ingurgiter J'lui dis : "ferme ton claque-merde et sers-moi un 'sky et des kawuètes" Il me balance une droite qu'avec le cendrier, j'arrête Je saute par-dessus le comptoir tel un Cosmocat Attrape le magnum de pastis et lui fracasse sur le coin de la gueule Le larbin pisse le sang et couine sa mère Tandis que les piliers me reluquent tous de travers J'espérais que ça serve d'exemple Mais Moustache – le Justicier de Service – dit qu'il va me foutre une trempe J'lui fais : "tire ta mère de là avant qu'je te foute la gueule comme ton cul" Le gars ne bluffe pas : il m'sort sa carte de lardu Généralement y'a le calibre spécial shmiture qui va avec Mais Moustache est un cow-boy et me braque d'un .357 Ni une ni deux, je sors mon noeud Et commence à pisser sur sa paire de santiags de rasdep' Il m'dit : "arrête tout de suite ou j'te fais exploser la tête Remballe ton engin et enfile donc ces menottes" J'lui réponds : "minute papillon, faut que je me jette un sky Je règle l'addition en gentleman et après – promis – on s'taille" Il m'dit : "OK, parce que pour toi c'est le dernier avant long time" Donc j'hésite entre JB'lar et Ballantine's (heu...) Ce poivrot s'enfile un jaune cul sec sans l'avoir noyé Dans 2 minutes, c'est sa pouliche qui va larmoyer (ouais) Il me tient en joue, son regard dans le mien Tout en me préparant mon jus à une seule main Me v'là servi – moment choisi pour m'allumer une tige : Le liquide et l'allumette voltigent ! Le type pige, mais trop tard ! Le gus s'enflamme tout en se mettant des gifles – balèze ! J'me pâme Récupère son arme Et file à l'anglaise... J'prends le métro, garave le brolique dans mon fut' Direction l'Assemblée Nationale – ou Chambre Des Putes Là, j'escagasse un journaleux d'un coup de crosse dans le tarin Lui chourave sa carte de presse, ça fera moins de baratin Je m'installe parmi les Parrains dans l'hémicycle Les dévisage un par un : ça y est, je vais commencer mon cirque Je me dirige vers l'oratoire pour couper court à leurs discours Leur président, un bâtard, me demande : "Mais, mais... mais qui êtes-vous ?" "Un peu de respect, fiston : moi j'suis ton père Car sache que ta mère avait une chatte à la place du coeur" Le gus se met à chialer, j'lui dis : "piaille pas, connard Crache donc ta Breit' et ton larfeuille dare-dare" Le côté gauche du Bâtardodrome rigole de ma vanne crédible J'leur dis : "finie la rigolade, tout le monde raque, et vite !" Je passe dans les rangs récupérer le butin : "Et c't'hiver ça fera moins de fourrure sur le dos de vos catins..." Je tire ma révérence en les gratifiant d'un bras d'honneur : "Merci bande de trimards, ce fut un vrai moment de bonheur !" Je sors comme je suis rentré Grâce au passe de l'autre gugusse Avant de continuer ma journée J'dépose la fraîche à Emmaüs... Pas le temps de dire ouf : me v'là dans le quartier d'affaires Compagnies pétrolières, chefaillons & autres raclures Bien décidé à faire les miennes, je rentre dans le building Prends l'ascenseur : étage du directeur général, bien sûr (ding ding) Sa secrétaire – à peine 25 balais – bombe anatomique de qualité supérieure M'offre une vue plongeante sur un 95D qui m'laisse plus que songeur (hmmmmmm) Mais rev'nons à nos moutons : "petite, appelle-moi le grand patron, Dis-lui qu'il faut qu'on jacte et que j'ai pas son temps pour faire le con" Avec audace, elle me répond que Mister Mes-Couilles est occupé Qu'il faut prendre un rendez-vous... voire même essayer de rappeler ? "Heu... écoute poulette, t'es bien trop mignonne pour que je t'abîme Ta jolie petite gueule de starlette, alors remballe tes disquettes, allez hop !" J'enferme la princesse dans son nouveau palais Le bureau du technico de surface : un placard à balais J'éclate la lourde du boss d'un coup de tatane made in Taïwan "Repose ce phone avant que je t'avoine, Ernest-Antoine" Il bafouille et postillonne son haleine pur malt Mais ravale sa langue de hyène à la vue de mon Colt (clic clic) J'appuie sur la détente : la fenêtre part en éclats Le rond de cuir fait dans son froc et m'ouvre son coffre fissa La bouche métallique du coffiot s’entrebâille Dentition anarchique de lingots en bataille (pfffiou) "Et ben mon salaud, va falloir passer à la pratique, hein Remplis le sac à dos car on t'éjecte du cockpit" (et qu'ça saute) Sans saisir la métaphore, Oncle Picsou s'exécute Croyant sauver sa gueule de porc en m'achetant comme une pute Il me tend le sac plein : 40 kilos d'or en briques J'lui dis : "garde-le ma couille, c'est le tien" avec un p'tit air ironique "Dirige-toi vers la fenêtre que je viens de redécorer Maow Airlines t'offre ton premier saut en parachute doré" (zouuuuuuuu) Là-dessus Je libère la princesse et lui décerne une galoche (pauvre type, va !) Je m'arrache Avant que les poulagas ramènent leur ganache Sur le parvis J'troque la Breitling contre un bicross tuning J'bifurque au grec J'ai déjà torché tout mon planning Un quart d'heure après : j'me pose sur un banc parigot Déglinguant mon sauce-samouraï en observant les badauds Là-dessus une jeune fille d'à peine 40 piges me sourit Je tape un clin d'oeil à Bibiche, le front plissé à la Bacri (dzzzing) En grand prince de la malbouffe, j'lui propose de goûter mon 'dwich Elle refuse et me confie que les grecs, c'est pas son kif Mais que niveau culinaire, elle est bien plus branchée Fraises Chantilly & Champagne
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Allo la terre ? Allo ? Allo ? Le contact est Brouilly... Allo, allo... On ne vous reçoit plus que demis sur le zinc... Voici l'titi parigot qui piave à tire-larigot Donne moi une bière que je fasse mousser mon égo J'approche du cosmos éthylique, bientôt le trou noir Le spasme...colique ! L'extra-terrestre des comptoirs ! Mets le compte à rebours : kro...nomètre les pulsions du jour 8.6 en moyenne, je nage le crawl...enbourg Et la brasse rit, l'altitude 1664, coulée en apnée : ça y est c'est parti ! Rampe de lancement, réacteur, transmutation J'ai perdu connaissance : normal c'est la pression... J'ai l'inspi qui s'vesky, qui me traîne comme un husky J'l'ai noyée dans le whisky comme Bukowski et j'dis "Bas les masques, bois d'ma vinasse, si t'en as marre d'etre vivant, Fais un virement de vin dans l'ventre, et vomis !" Luke Sky et Johnnie Walker : nous nous en-bourbon, faut colmater le foie à fond Y'a une fuite dans la vessie spatiale de la NASA, j'ai la nausée Trop de kryptonic, hey ! De gin tonic, hey..jecté du cockpit ! Exit direct, vite, et mon beat va te mettre en orbite La bière de Mars Attack, martien, un petit verre Champagne ! Dark valStar ! Sabre au laser ! Le boulaouane Kenobi Passe en cybière space Sur cd rhum pulvérise l'atmosphère, comme Arletty Boom ! Zoom ! Gros plan sur le clown Un dernier alcool de poire et j'tombe dans les pommes, boom ! Le lendemain, je me réveille la tête entre les jambes Je suis rentré du cosmos mais j'ai gardé le scaphandre J'ai mis un pied sur la lune, je me réveille mal luné : "Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'ébriété" Java C'est pas de la menthe à l'eau Java C'est du rock'n roll Java C'est l'vrai son parigot La devise ? Sexe, accordéon et alcool Je suis un fossile antique de l'âge néothylique Un rescapé du bal musette sur internet Boc à l'inter – cuttystartrek Astérohash – fulgurojoint – camouflage soufflette J'refoule le boulot autant que du goulot : j'suis pas un cadeau Le club chômage, mon bureau ma vie mes locaux, coco ! J'ai pourtant eu tous mes diplômes à la fac J'suis bac plus zinc... et licence 4 ! Un grand sportif : garçon, un ballon ! Sors le carton rouge Me mets pas sur la touche, j'absorbe comme un tampon Sers à la louche : sur la Tourtel, j'ai fait le grand pont Tu peux toujours m'décrocher du comptoir, je sors mes crampons Un vétéran hors-jeu, sorti des vestiaires Entre la gnôle de Saturne et la planète Jupiler Au bar le Penalty, tout le monde parle de mon transfert Au Bayern de Munich pour la fête de la bière ! Alerte rouge ! L'alcool-naute a perdu le contrôle ! Je quitte l'univers à pied pour l'unique verre de gnôle ! Contrôle anti-dopage, j'suis bon pour la touche ! Mon taux d'alcoolémie a crevé le ballon d'un souffle ! La partie finie : 2 Alka-Seltzer pour un zéro J'ai la barre transversale qu'est plantée dans mon cerveau J'ai mis un pied sur la lune, je me réveille mal luné : "Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'ébriété" Java C'est pas de la menthe à l'eau Java C'est du rock'n roll Java C'est l'vrai son parigot La devise ? Sexe, accordéon et alcool J'arrose tout le monde : ça finit toujours en dessous de table Vote pour mon estomac en ballottage favorable J'fais du mal au colon, l'conquistador du terroir Partout où je passe s'établit un comptoir De l'ordre du poireau, je veux que mon nez soit décoré Qu'on m'enterre au Panthéon et je servirai de pilier Né sous le signe du Verseau, j'étais pourtant bien parti Mais tous mes atouts sont tombés à l'eau... de vie ! Fallait bien que je me démerde pour vous soutirer du blé J'ai écrit cette chanson après une étude de marché : J'la dédicace à tous les alcooliques ! C'est sûr qu'au moins en France, je toucherai un large public...
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J’glandais sur un banc en pleine descente de parachute J’avais envie d’me souiller la nuque En bon partisan des luttes : m’fallait un bain d’foule Histoire de vider l’écaille de mes moules On m’avait parlé d’une bonne cave Qui faisait dans le Chinon Le Bal des Mythes : bah allons ! J’avais peine à lire, mais je note l’abus En cherchant la quille au milieu d’un vieux fût Une compagne pour boire ma bibine en pleine déroute De quoi braquer le calmar, débiter de la goutte J’ai posé mes nouilles sur le quai : Taisez vous en bas ! Un petit calcul et on s’en va... Ni dieu ni maitre Moi je contre-pète (t’es qu’un contrepitre) Ni dieu ni maitre C’est au coeur du bouillon Qu’on réveille la bête... Ni dieu ni maitre Moi je contre-pète (t’es qu’un contrepitre) Ni dieu ni maitre C’est en touchant le fond Que naissent les plus grandes quêtes... La cuvette était pleine de bouillon De belles frites avec des moules grosses comme des belons Des mineurs au visage pâle Devisaient avec des matricules aux valeurs testimoniales : "Salut Fred ! Salut Patrick !" Ah bah je vois qu’y a tous les habitués du Bal des Mythes... Sacrée colline de bottes, on empilait les culottes Et au milieu des tentes à foison, elle mâchait sa côte : Elle s’appelait Sabine, paraissait taquine J’aimais les nippons, elle adorait la Chine Elle rêvait d’avoir un maçon du coeur... Garçon ! Un Génépi, que ma joie demeure ! Ni dieu ni maitre Moi je contre-pète (t’es qu’un contrepitre) Ni dieu ni maitre C’est au coeur du bouillon Qu’on réveille la bête... Ni dieu ni maitre Moi je contre-pète (t’es qu’un contrepitre) Ni dieu ni maitre C’est en touchant le fond Que naissent les plus grandes quêtes... Arrivé chez elle, j’voulais m’faire bêcher l’élite Marre de ronger des airs à la mode, des boules antimites Et l’clan sortait de sa grotte Pour bien diner, faut être peu ! Elle m'dit Des frites, ça te botte ? Alors, j’lui couche le thon dans la pièce du fond Mais le coureur de fond sentait la lieuse de chardons... J’ai raté ma bise, ma buche dans le cou Et comme un cowboy, j’ai lancé mon feutre aux sioux Elle voulait bien qu’on se revoit : J’avais l’choix dans la date, elle voulait aspirer mon terme Et comme j’aime pas trop bouffer de la rillette Bah, j’lui ai remis un marc après la dinette ! Ni dieu ni maitre...
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Après avoir gagné 12 millions d’euros au loto, il a presque tout perdu et doit retravailler
Tequila Moor a répondu à un(e) sujet de January dans Actualités - Divers
5 maisons à 500Ke ? Je vois ce que c’est : le problème est qu’il avait trop d’amis… -
Que faut-il faire pour se faire bannir ici ?
Tequila Moor a répondu à un(e) sujet de Guepier dans Aide et Suggestions
Et c'est moi qui me fait bannir pour t'avoir filé l'idée, hmmm ? Essaye encore. Ou pas. Et qui plus est, d'arti-chaud ! -
Que faut-il faire pour se faire bannir ici ?
Tequila Moor a répondu à un(e) sujet de Guepier dans Aide et Suggestions
Avec un gros pétard de mortier (interdit comme il se doit) allumé dans le cul, afin de rendre ridicule de façon définitive le coupable avant de lui faire connaître des températures très peu clémentes, même en plein réchauffement climatique... -
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Que faut-il faire pour se faire bannir ici ?
Tequila Moor a répondu à un(e) sujet de Guepier dans Aide et Suggestions
C'en était une, oui. En mode ironique, évidemment. Sinon, je suis certain que l'insulte vraiment crade et avilissante marche aussi, surtout envers quelqu'un de l'équipe, mais bon... je garde ça pour mon propre départ. -
Que faut-il faire pour se faire bannir ici ?
Tequila Moor a répondu à un(e) sujet de Guepier dans Aide et Suggestions
Il ne faut pas souhaiter la mort des gens, ce n’est jamais assez méchant. -
Je plains d'avance chéri... je sens qu'il va être "Ken".
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Je ne suis pas assez fou pour aller au Texas.
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Si je suis dans un bon jour, je pense que je ne ferais rien et que ça me fera même rigoler. Si je suis dans un mauvais jour, je vais avoir un geste réflexe probablement dommageable pour son anatomie. Si je suis dans un pays anglo-saxon ou nordique, dans un pub glauque et que la meuf est une locale, je lui éclate la tronche sur le comptoir : dans ces endroits, il n'y a aucune différence entre hommes et femmes en termes de baston, et elle ne va certainement pas s'arrêter à une baffe... [EDIT] je précise que, dans le premier cas, ça ne me fera pas rigoler parce que c'est une femme, mais parce qu'il faut bien évacuer l'adrénaline d'une façon ou d'une autre.