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Tout ce qui a été posté par Tequila Moor
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Bonne question. C'est un état que je recherche mais qui dans le même mouvement me tue peu à peu : cela dépend quelle partie de mon être est concernée. Ainsi ma part sûre de ses choix, consciente, menée par la raison, volontaire jusqu'à l'orgueil & délicieusement misanthrope se trouve fort contente de cet état, le désire, et s'arrange pour le conserver une fois atteint. Tandis que ma part instinctive, animale, inconsciemment grégaire, funambule jusqu'au danger mais menée par toutes les pulsions de vie, hurle en permanence quoiqu'en silence qu'elle dépérit de plus en plus, et que ça débouchera probablement sur une fin peu proprette. En gros, c'est compliqué.
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BLADE RUNNER Au-delà de la Fiction (documentaire ARTE Cinéma)
Tequila Moor a commenté un(e) a video de Tequila Moor dans Cinéma
Tiens, bah je t'en rajoute une, alors. -
Dans ce cas, puis-je te recommander d'écouter Pierre Lapointe, car l'Eddy me semble s'être beaucoup inspiré de ce dernier ? En plus, le pierrot est plus beau, et plus élégant.
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BLADE RUNNER Au-delà de la Fiction (documentaire ARTE Cinéma)
Tequila Moor a commenté un(e) a video de Tequila Moor dans Cinéma
Oui, je n'ai pas bien compris pourquoi. La vidéo est disponible ici : https://tube.nuagelibre.fr/videos/watch/bc5f72e0-7736-4a15-9b53-2cac7fc94b03 -
I walked by Harborview Hospital I heard the Agnus Dei Oh, sister of mercy I've been gone too long to say And all around this place, I was a sad disgrace They're singing, they're singing Away up on the hill They're building, they're building A mystical union, beautiful and still But down here in the dirt, they'll say it doesn't hurt The devil's ascended Upon some crystal wings In the citadel lightning Splits a cloud of butterflies and fiends And with a vacant stare, I'll leave a flower there They're riding, they're riding A hellhound down the hill They're sinking, they're sinking Into the ocean, beautiful and still And yet it's hard to leave in wealth or poverty I walked by Harborview Hospital And stopped at Ninth and James Oh, sister of mercy I've been down too far to say Are they supposed to be as sick as you and me?
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Non, puis faut savoir rester poète. Même si je puis comprendre que certain(e)s préfèrent le cercle dans "le cercle des poètes disparus". Cf supra.
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Certes, mais moi c'est à cause du rapport avec le sexe : comme disait l'autre, parfois "on fait ça par où qu'on mange".
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Oui, mais tu as eu raison aussi, de parler de la bouffe : j'y pense aussi tous les jours...
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Sexe, musique, mort.
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Oui, c’est voulu je pense. Mais c’est audsi raccord avec son esthétique néo-vintage, permettant de montrer plus précisément qu’il s’agit d’écho d’une époque passée dans le premier clip & de clichés d’un bonheur simple dans le second, où l’on se souvient mieux du visage du chien que de celui du maître.
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Printemps prochain, 20 après Elle est lève-tard, lui lève-tôt À peine sort-elle du coltard Qu'il se remue déjà au boulot Bénévolat ou associations Elle s'active, de ci de là Tandis qu'il s'entraîne au triathlon Aussi, leur vie est douce caresse 3 enfants et tout l'amour qui reste À donner : en cadeaux ou en liesses Puis en taquineries ou en siestes Elle est couche-tard, lui couche-tôt Elle l'aura changé en motard Lui ne l'a pas ralliée au vélo Il rentre mais s'impose silence Elle dort : il lui bise le ventre Elle s'éveille en toute innocence... Ainsi, leur vie est douce caresse 3 enfants et tout l'amour qui reste À donner : en cadeaux ou en liesses Puis en taquineries ou en siestes Ils ont mots sereins ou petits voeux L'un pour l'autre quand elle est chagrin L'une pour l'autre s'il est soucieux Et puis ce projet, bien singulier Au printemps prochain, 20 après Enfin dire "oui" et se marier...
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Dans le même genre : Traduction Paroles : Celle-ci était ma mère Celle-là, mon père Une autre, le jour où les enfants sont restés trop tard dans leur première voiture Si tu voulais poursuivre Les lignes sur mon visage Celle-là est due à l'alcool Ces deux-là à la cigarette Celles-ci sont celles de mon divorce Quand tout le monde se battait Il n'y a pas de cachette Pour les lignes sur mon visage Celles-ci sont pour les rires Que j'emporterai dans l'au-delà Des plis faits par des amis J'ai eu des hauts et des bas Il y a des triomphes et des disgrâces Dans les lignes de mon visage Et celles-ci sont mes sourires Quand je regarde ton visage
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chers compatriotes, allez-vous vous déplacer pour voter aux élections européennes
Tequila Moor a répondu à un(e) sujet de guernica dans Politique
Peut-être. Faut voir. Ça dépend. Il fera probablement beau. Il est facile de se trouver plus sympa à faire. En même temps la démocratie, surtout en version européenne, c’est rigolo. Ça donne l’illusion d’être citoyen libre et respectable. Donc peut-être. -
Certes, mais je ne disais pas ça pour crapougner le sujet, mais pour un autre sujet, ou tout simplement pour toi.
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Ce « grandeur et décadence, comme d’hab » mériterait plus de développement : appliqué ici à un thème de SF, il est déjà intéressant, mais on sent qu’il pourrait être décliné sur d’autres thèmes inhabituels, pour un résultat tout aussi drôle… Allez M’ame Mite, au boulot !
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ON AVANCE Elle m'est revenue, la parole indicible, Que simplement vivre n'est pas belle raison : Se suicider semble n'être que solution À une interrogation peu intelligible. Ainsi être hédoniste mou, sans conviction, Ou vivre simplement, devient inadmissible : Le sort inévitable restant destruction De nos vies, de la vie, de l'univers tangible. Sol absorbera Terre : ultime incréation. Toute étoile mourra, ça se compte en trillions D'années ; puis le cosmos, cru comme inextinguible, Se désagrègera. Avenir putrescible. Tout est déjà, car toujours fut & sera, mort : Fin, dans le présent, dans le début, fusionnée. Ainsi considéré, le temps peut s'effondrer Et nous pouvons songer, et prendre aux dents le mors. Existence n'est plus centrale en ces idées Pas plus qu'expiration : nous voici matamores. En-dehors de l'esprit est la réalité, Au-delà de nous : qui devenons oxymores. Vivants-morts, nous voyons le monde en ce qu'il est : Hostile... Etranger... Ni possession ni foyer... Est-ce qu'il fut prévu de nous avoir à bord ? Devaient-ils penser, ces éléments du décor ? On s'en fout, s'en balance ! Trop fou pour qu'on y pense ! On respire, on avance ! Le cerveau n'aime pas ce que ça signifie, Le pauvre nié sait qu'on lui joue un tour pendable : Il se veut unique, n'est qu'un objet friable, Bout de mise en scène qui se croit à l'abri. Là, extinction de sens devient envisageable Quand sens envisage d'être extinction : déni Las qui entraîne extinction de l'envisageable Et seule s'envisage extinction, notre amie. On la voit ainsi se dresser, inéluctable : Certains donc vont l'aimer, la trouver désirable, Pour ne pas accepter l'absurde de la vie. On recherche l'oubli quand l'effroi nous saisit, La perte de contrôle mène au masochisme... Pourquoi quelque chose en lieu et place de rien ? S'il n'y avait que rien, on le voudrait donc sien ? Il semblerait que oui : d'où vient ce nihilisme ? Du fait qu'on refuse d'être simples pantins, Préférant même devancer le traumatisme Plutôt que d'admettre l'existence de liens A nos pieds, à nos mains, et jusque dans nos truismes. Autant anticiper, fidèle comme un chien, L'appel du sens en acceptant le vil destin : Inviter dans le présent la mort, tel un isthme Nous reliant à celle future – étrange prisme. On s'en fout, s'en balance ! Besoin fort d'évidences ! On respire, on avance ! Et voici que se trouve piégé le vouloir : Lui qui cherche tant à dépasser la souffrance, Lui qui se flatte d'être plus que flatulences – Soudain ! – il comprend bien qu'il n'a aucun pouvoir. "Accepte ton fatum" s'écrie l'intelligence Ou n'importe quel truc qui nous sert de savoir : Juste un soin palliatif... En vrai, l'incohérence Est notre seule amie, et ne peut nous déchoir. Poussières stellaires passionnées d'ingérence En vie de l'univers, nous sommes en partance Pour des siècles et siècles de vain désespoir Jusqu'à l'exquise fin qui saura nous échoir. On s'en fout, s'en balance ! Ton texte sent le rance ! On respire, on avance !
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https://fr.wikipedia.org/wiki/19-2
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The dark descends through the promised land Down kingdom come and the acid ban I'm Babylon, burned inside out Nothing to kill it! I hit the city In Marianne I dug the hole And watched her trip on my heart of stone And in the end, all that crawled was my skin I couldn't kill it! I hit the city I hit the city Ghost arrives at its bitter end To the promised land and the dark descents I'm Babylon, burned inside out Nothing to kill it! I hit the city I hit the city I hit the city I hit the city I hit the city 1, 2, 3, 4 I hit the city
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Qui dit temps dit vieillesse, qui dit vieillesse dit... ULTIME OCCUPATION Il faut s'occuper de nos vieux Qu'ils aient de la joie avant tout Orgasmes, plaisirs insidieux Mains secourables : bouche-trous Il faut s'occuper de nos vieilles Qu'elles s'évadent de l'EHPAD Que leurs muqueuses soient merveilles De nouveau : vermeils hit-parades Il faut s'occuper de nos ruines Profiter de leur expérience De sans dents – antiques coquines Porteurs de couche ? Eveil des sens Un jour, tu en seras aussi De la cabale, du parti Découvres-toi gérontophile Si tu meurs avant ? Nécrophile Il faut s'occuper de nos vieux Qu'ils jouissent avant le non-être Eux aussi eurent des aïeux S'en sont-ils occupés ? Peut-être Il faut s'occuper de nos vieilles Elles aussi eurent jeunesses D'orgies : drogues, nuits sans sommeil Sexe à plusieurs, ou bouillabaisse Il faut s'occuper de nos ruines Leur éviter la solitude Leur offrir un présent génuine Sensuelle sollicitude Un jour, tu en seras aussi Du cercle, de la coterie Où la vie ne tient qu'à un fil Où l'absurde mort se profile Il faut s'occuper de nos vieux Qui sont nos jumeaux, dans ce jeu Du temps qui fuit, perdus cheveux Bouquet de rides grisailleux Il faut s'occuper de nos vieilles Altruisme, direction soleil Caresse appuyée au réveil Zone érogène sans pareille Il faut s'occuper de nos ruines Ultime occupation gredine Mieux voir où s'en vont nos bobines Bientôt, demain : mise en sourdine Un jour, tu en seras aussi Du clan, voudras de la magie De l'amour contre les –plégies Tendresse contre les folies
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Proposition Calendrier de l'Avent
Tequila Moor a répondu à un(e) sujet de eriu dans Arts et Artistes
J’aurai beaucoup moins de temps pour participer au prochain en janvier, mais pourquoi pas ?
