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Tout ce qui a été posté par Oncle_Julien
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Depuis l'enfance , visites régulières d'une entité .
Oncle_Julien a répondu à un(e) sujet de Oncle_Julien dans Esotérisme & Paranormal
:cool: "Yop", modérateur, a écrit (je cite) : < Il existe pas mal de témoignages de gens dans leur lit qui ressentent un poids, mais le plus souvent sur leur poitrine. J'ai déjà lu sur les jambes également. Apparemment, ce n'est pas une entité fantômatique mais une paralysie du sommeil ou encore autres incidents physiques/nerveux. Comme on n'est pas très fort pour interpréter les signaux de notre corps, surtout quand ils sont bizarres, on imagine tout de suite plein d'histoires. Hum, d'ailleurs, je vais peut-être déplacer ce sujet dans Littérature => Vos écrits. :cool: Cher "Yop". Il serait peut-être dommage de priver les amateurs d'ésotérisme de récits plutôt bien rédigés, explicites et attractifs. Ceci sans prétention aucune. Votre obligé :cool: -
L ' Amulette sacrée livre son secret ancien ... C'est lorsque Solange découvrit l'amulette sacrée de Toutencarton que commencèrent à se manifester de curieux phénomènes . Faisant part de sa découverte à Maurice , maître-nageur sur la ligne Paris-New-York , Solange ne se doutait pas de la conséquence de son acte . Maurice , occupé à pomper l'eau de sa cave , suite à l'inondation dûe à l'orage de la veille , retire son masque et son tuba . Solange lui demande de garder le masque et le tuba , car la nudité de Maurice , bâtit comme un athlète , pourrait la troubler . Maurice se met à étudier le curieux objet . L'amulette est sans aucun doute un porte-clés publicitaire "Banania"de la troisième dynastie avant Jacques Dutronc . Lorsque Maurice introduit l'objet dans le bac à légumes de son réfrigérateur , Solange se met à réciter une fable de Jean De La Fontaine dans une langue inconnue . Le corbeau et le Renard . Maurice qui , pourtant , parle onze langues , et absolument toutes en Français , ne comprend pas un traître mot . Soumettant Solange au rayons ultra-violets de son scaner à impulsions pélagiques , Maurice découvre la cause du mystère . C'est dans les sous-terrains de l'église de Rennes-Le-Chateau , entre la tour Magdala et l'ancien présbytère de Béranger Saunière , que se trouve la clé de l'énigme . Le symbole du Prieuré de Sion est représenté sur le tableau de Nicolas Poussin : "Les bergers d'Arcadie" et sur le porte-clé "Banania" , trouvé par Solange . Solange reste convaincue qu'une partie du trésor des Templiers est caché dans le vide sanitaire des toilettes de Madame Marthe . En effet , Madame Marthe , la boulangère se disait "Cathare" et organisait des "consolamentum" dans la crypte de sa chapelle privée . Maurice reste très sceptique en descendant dans la fosse . En effet , Maurice , très pragmatique ne croit pas à toutes ces chimères . Rien n'est plus trompeur que les fausses sceptiques . Maurice préfère les vraies ... Vêtu de sa combinaison de mécanicien "Feu-Vert" , Maurice explore les abords immédiats de la boulangerie . Solange , dans la solitude de la crypte , prépare une de ses délicieuses fougasses aux olives noires dont elle a le secret . Lorsque soudain , semblant surgir du sarcophage , apparaît le fantôme de Vlad l'empaleur , plus connu sous l'amusant sobriquet de "Dracula" . Aussitôt , Solange , profitant de cette opportunité , demande à Vlad de surveiller la cuisson de la fougasse pendant que cette dernière invoque l'esprit d'Emma Calvé . Emma Calvé apparaît en chantant la Traviata . Le mystère est enfin levé lorsque Dracula avoue à Solange que le secret de Rennes-Le-Chateau a été enterré sur la lune , en 1969 , par Lance Armstrong , juste après que ce dernier eut gagné son dernier Tour de France . Lance Armstrong est souvent confondu avec son frère Louis qui jouait de la trompette à la Nasa . Maurice , content du dénouement heureux de cette sombre histoire , retourne pomper l'eau de sa cave . :cool: Tous droits réservés - © - 2013 - Depuis mon Blog - :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
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:cool: Gisèle Mouyet ne manque pas d'un certain culot ! En effet, Gisèle, très exhibitioniste, se promène toute nue sous ses vêtements. Coutumière du fait, Gisèle Mouyet ne rate pas une occasion de se balader complètement à poil sous ses fringues. Il n'est pas rare de croiser Gisèle, totalement nue sous ses vêtements, au supermarché, en ville, à l'église ou encore au musée ! L'autre jour, sur le PORC de Nantes, Gisèle, complètement à poil sous ses fringues, s'exhibait à la tombée du jour. A marée basse en plus ! Curieusement, Gisèle ne s'exhibe qu'à proximité des installations portuaires... C'est beau un PORC breton, le soir, au coucher du soleil à marée basse... :cool: Tous droits réservés - © - 2013 - Depuis mon Blog - L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
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Depuis l'enfance , visites régulières d'une entité .
Oncle_Julien a répondu à un(e) sujet de Oncle_Julien dans Esotérisme & Paranormal
Episode 6 Ce 26 décembre , je m'étais levé de très bonne heure . J'avais passé une nuit agitée car je ne cessais de penser aux cadeaux que j'avais reçu pour Noël . Tout particulièrement ce grand Mécano . J'aimais ces jeux de réflexion qui , tout en suivant un plan de constuction précis , permettaient quand même une grande créativité . Je n'arrêtais donc pas d'imaginer mes prochaines réalisations . Je pensais à ce puzzle de mille pièces , qui , une fois recomposé , serait une reproduction magnifique de La Joconde , de Léonard De Vinci . J'adorais les puzzles et les maquettes de bateaux anciens . Je partageais cette passion avec mon père et nous prenions grand plaisir à y passer du temps . Réalisant de superbes pièces qui encombraient les meubles du salon ... Isabelle et ses parents venaient manger pour midi . Puisque ces parents étaient aussi mon parrain et ma marraine , je savais que l'après-midi serait un de ces indiscibles moment de bonheur , propre à l'enfance . Toutes ces pensées , tous ces projets me rendaient fébrile et impatient . Je me levais et rejoignais maman déjà à la cuisine . Les délicieuses brioches , dégoulinantes de miel et de confiture , trempées dans le chocolat chaud , le grand verre de jus d'orange , me permettaient de retrouver un peu de sérénité . Vers onze heure du matin , le carillon de la porte fit entendre sa petite musique . Je me précipitais dans le hall d'entrée précédé par mon petit frère toujours prompt à être le premier partout . C'était Isabelle , son petit frère et ses parents . Ils avaient des paquets plein les bras . Encore bien des surprises à découvrir avant le repas de midi . J'emmenais Isabelle dans ma chambre pour lui montrer mes cadeaux . Elle me parlait des siens avec une grande précision . Souvent , elle et moi , passions le jeudi après-midi à jouer avec mon Mécano . Isabelle emmenait le sien . Elle était très inventive et ne manquait pas de m'étonner par ses idées et ses initiatives . Nous étions là , à admirer la belle boîte de mon puzzle La Joconde , lorsque soudain , sans raison , du plus haut rayon de l'étagère , un gros livre d'Art , tomba lourdement au sol . Nous restions silencieux à regarder le livre ouvert sur une reproduction de ... La Joconde ! Ces synchronicités étaient déjà fréquentes dans mon enfance . A tel point que , aujourd'hui , avec le recul , il est impossible de leur prêter l'intervention d'un quelquonque hasard . Ces synchronicités sont d'ailleurs , certains jours , tellement fréquentes , qu'elles ne m'étonnent plus vraiment . Elles font partie de mon quotidien . J'évoquerais leurs amusantes présences tout au long de ma vie dans les épisodes à venir . Isabelle me raconta que , durant la nuit , dans sa chambre , elle avait entendu marcher dans la pièce d'à côté . Hors , chez elle , du côté d'où venaient les bruits de pas , il n'y avait pas de pièce d'à côté . C'était le jardin ! Maman et ma marraine vinrent toquer à la porte de ma chambre . Elles entrèrent enjambant l'inventaire de mes cadeaux étalés au sol . Nous invitant à nous rendre au salon afin de découvrir les nouveaux cadeaux et à nous laver les mains avant de passer à table . L'après-midi , avec la superbe boussole reçue en cadeau , parmis les autres du set de "l'explorateur" , avec Isabelle , nous allions dans le jardin pour jouer à nous orienter dans cette froide journée de décembre . Puis , en plus de la boussole , je voulais essayer la grande torche électrique . A cet effet , nous nous rendîmes à la cave . Isabelle et moi , tels des "Indiana Jones" , nous parcourions les recoins de la cave . Nous "explorions" avec soin lorsque soudain , venant de la vieille armoire , il y eut deux coups frappés avec violence . Nous sommes restés sans bouger . Isabelle , courageuse , s'avança vers le vieux meuble . Je l'éclairais , suivant ses mouvements . Elle s'arrêta devant l'armoire . Elle frappa contre la porte . Deux coups . Presque immédiatement deux coups furent frappés comme en réponse . Là , s'en était trop . A toute vitesse , prenant nos jambes à notre cou , nous passions par le garage en courant , contournant les deux voitures , pour nous retrouver dehors , haletants et blancs de peur , dans le froid vif . La nuit commençait à tomber , il était seize heure trente . Nous sommes revenus au salon . Papa avait sorti ses guitares . Mon parrain et lui en jouaient ensemble . Maman et ma marraine bavardaient ensemble devant de gros albums de photographies . Mon petit frère et le petit frère d' Isabelle faisaient fonctionner le train électrique reçu pour Noël . Comme toujours , Isabelle et moi restions silencieux , secrets , gardant pour nous ce que nous venions encore de vivre . Par précaution , nous décidâmes , elle et moi , de rester dans le salon , avec tout le monde . Il ne se passa plus rien de notoire jusqu'à la fin des vacances . Ce ne fût qu'un mois et demi plus tard , à la période des congés de Carnaval que ... -
:cool: Le vaccin contre les entorses Simon Zobaimou (1785 - 1845) Simon Zobaimou naquit le 26 octobre 1785 par une belle journée de printemps, dans la petite ville de Nantes en Gironde. Issu d'une famille monoparentale nombreuse, Simon Zobaimou se trouva très tôt une passion pour la biologie moléculaire. C'est vers l'âge de quinze ans que Simon Zobaimou mit au point le premier vaccin contre les entorses. Ce qui lui apporta son premier prix d'excellence. A l'âge de vingt ans, aidé par son ami physicien, Simon Zobaidur, il mit au point la molécule qui allait servir, cent cinquante ans plus tard, à la fabrication du Viagra. Simon Zobaimou est mort, atteint de priapisme, le 23 janvier 1845, par une magnifique journée de juillet. Ci-dessous Simon Zobaimou dans la force de l'âge. Tous droits réservés - © - 2013 - Depuis mon Blog - L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
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:cool: Contrôler l'apport calorique. Contrôler son apport en hydrates de carbone est un premier pas vers la maîtrise de son poids de corps. Prenant l'exemple d'une personne mesurant 1,80 m, pesant 70 kgs, ayant une activité sédentaire, devrait limiter avec soin son apport calorique journalier. Et tout particulièrement dans le domaine des hydrates de carbone (pâtes, riz, pain, féculents, etc...) Priorité doit être donné aux légumes cuits à l'eau ou à l'étuvé. En grande quantité. Priorité doit être donné aux crudités en salades (huile de noix et huile d'olive). En grande quantité. Bien sûr, les fruits de saisons seront une source de vitamines non négligeable. Evitons les produits laitiers d'origines bovines au profit des fromages de chêvre. Qu'ils soient à pâtes cuites ou à pâtes crues. Pour la flore intestinale et pour l'estomac, c'est beaucoup, beaucoup mieux ! C'est une bonne idée de supprimer définitivement le lait. C'est la nourriture du veau et non de l'humain. Le lait fragilise les défenses immunitaires et favorise le terrain infectieux. S'il s'avère difficile de supprimer le lait de vache, le lait de soja sera un excellent substitut. Pour la plupart des fonctions (recettes, patisseries, etc...) Limiter, (et si possible éviter), l'ingestion de la viande, aliment inutile et source de complications rénales, d'acide urée (arthrose) et de mauvais cholestérol. Pour un apport bénéfique de protéïnes, assimilables en plus grande qualité et en pourcentage plus important, donner la préférence aux légumineuses, (lentilles vertes, lentilles blondes, grains de soja, haricots secs, etc...). On les dénomme "protides"... La viande, tout comme l'alcool, le tabac ou les drogues, est un produit d'addiction. Il sera, dans les premiers jours, pour des questions d'accoutumance, difficile de s'en passer radicalement. Ainsi, en observant ces simples règles de bon sens diététique et alimentaire, toute l'année, nous garderons le même poids à deux ou trois kilogrammes prêts. Sachant qu'il est normal que le métabolisme fonctionne à un rythme différent de la saison froide à la saison chaude. Les calories inutiles et les graisses cachées iront toujours se loger directement dans la bouée, autour des hanches, sur le haut des cuisses ou sur le ventre. Il est donc d'une grande importance, afin d'éviter les régimes "yoyo" et leurs mauvais effets sur la santé, d'observer toute l'année une diététique rigoureuse mais plaisante. Tout cela, conjugué à une scéance quotidienne d'exercices physiques, permettra de rester en pleine forme. Pour la vie. Evitons les sodas, les Cocas et autre boissons contenant des sucres, des édulcorants ou des colorants... Courage... :cool: ATTENTION Avant de changer de régime alimentaire et de se lancer dans l'entraînement physique, il est préférable de consulter son médecin. Il existe d'excellents médécins homéopathes, médecins diététiciens ou encore de médecins du sport. Leurs avis, leurs suivis et leurs conseils sont une source non négligeable d'évolution. :cool: Tous droits réservés - © - 2012 - Depuis mon Blog - L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
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Alain Testin et son vaccin contre les foulures
Oncle_Julien a posté un billet dans MES SOIREES SAUCISSES
Alain Testin (1784 - 1865) Alain Testin est né le 8 juillet 1784 par une froide nuit de janvier. Alain Testin vit le jour à Grenoble dans le Finistère. Issu d'une famille de droguistes, le jeune Alain Testin, dès l'âge de huit ans, se prit de passion pour la chaussure de ski. Vers l'âge de quinze ans, alors que le jeune Alain Testin était chanteur de rock dans un orchestre Tyrolien, il croisa le regard de Josiane Frouchiez. Josiane Frouchiez, fille du cordonnier du bourg, lui fit immédiatement cadeau de dix sept paires de chaussures de ski. Alain Testin épousa Josiane Frouchiez en seconde noce après son diplôme de boulanger-zingueur. Il avait vingt six ans. Le couple n'eut aucun enfants et s'occupa d'un élevage de dindes dont certaines devinrent Miss France. Alain Testin mourru de mort naturelle dans un accident de ski nautique le 17 décembre 1865, par une chaude journée de juillet. Ci-dessous, Alain Testin vers l'âge de vingt huit ans lorsqu'il découvrit le vaccin contre les foulures de la cheville. -
Alain Troverti (1812-1867) Alain Troverti vint au monde par une splendide journée d'été, dans la nuit du 8 janvier 1812. Issu d'une famille de moines vivant à Lyon, dans la Gironde, Alain Troverti grandit dans l'indifférence générale. D'un père et d'une mère italiens, Alain Troverti était de caractère joyeux et optimiste. Dans la petite maison familiale, dès l'âge de huit ans, le jeune Alain Troverti se prit de passion pour la plongée en apné. Rapidement, le garçon maîtrisa cette discipline au point d'être nommé sacristain de l'église saint Kévin. C'est à l'âge de vingt deux ans qu'il rencontra Simone Douneux et qu'il l'épousa après de brillantes études de mathématiques. Alain Troverti passa une vie heureuse au près de sa femme qui lui donna deux magnifiques garçons dont une fille qui vint au monde à l'âge de cinq ans. C'est le 21 juin 1867, jour du solstice d'été, par une froide nuit de décembre, que Alain Troverti trouva la mort, par hasard, sans l'avoir vraiment cherché. _____________________________________________________________ Alain Tension (1764 - 1825) Toujours soucieux de partager mon érudition livresque avec mes contemporains, j'aborde ici la personnalité controversée du légendaire Alain Tension. Alain Tension a vu le jour dans la nuit du 18 novembre 1764 par une belle matinée de printemps. Issu d'une ancienne famille de tisserands, ses parents tenaient la boulangerie-zinguerie du petit bourg. Alain Tension est né à Quimper dans le Vaucluse. Troisième enfant d'un couple de bourgeois, Alain Tension, en fils unique, pû rapidement bénéficier d'une éducation qui le conduisit à des études brillantes. C'est vers l'âge de quatorze ans que le jeune Alain Tension, par le plus grand des hasards, lors d'une expérience aquatique sur les grenouilles, découvrit la prise de courant 220 volts. Rapidement, Alain Tension comprit le bénéfice qu'il pourrait en tirer. Tant pour ses expériences que pour éclairer sa chambre ou encore brancher son ordinateur. Sans évoquer le lecteur CD ou l'aspirateur qui était son sex-toy préféré... Alain Tension , grace à cette découverte, derrière l'armoire, à dix centimètres au-dessus de la plinthe, devint un brillant diplômé de l'université de Jouy-sur-Yvette, petite commune dans le magnifique département de la Seine-et-Garonne. Alain Tension perdit la vie, qu'il ne retrouva jamais, dans son manoir de Toulouse, en Normandie, par un soir d'automne, le 28 mars 1825. Dans l'indifférence générale... ___________________________________________________ Alex Comunier (1768 - 1823) Alex Comunier est né le 26 janvier 1768, dans une famille de curés. Originaire de Brest, dans le Gers, d'une famille où l'on était curé de père en fils, le jeune Alex Comunier s'illustra très tôt pour sa manie de collectionner les porte-clés. Alex Comunier inventa la copocléphilie, cet art de collectionner les portes-clés. Il écrivit à ce propos, à l'âge de seize ans, sa première encyclopédie en douze volumes de sept cent pages chacun, l'historique du porte-clés à travers le monde. Rapidement, Alex Comunier devint célèbre et fut amené à donner des conférences dans toute l'Europe. C'est d'ailleurs Alex Comunier qui donna au jeune Wolfgang-Bang Amédeus Mozart, avec qui il voyageait en solitaire, sa toute première clé de Sol accompagnée d'un magnifique porte-clé en ivoire de mamouth fossilisé. Les deux amis se faisait des soirées aux spécialités italiennes. Il n'était pas rare d'entendre Alex s'écrier, à propos de Wolfgang-Bang, en mangeant: < Mozart est là ! >... Alex Comunier récidiva quelques années plus tard en offrant au jeune Ludvig-van-Byte-au-vent sa toute première clé de Fa accompagnée d'un splendide porte-clés en nacre jaune incrusté d'abalone du Texas. Alex Comunier, coutumier du fait, fit également cadeau de la clé d'Ut à la belle flutiste virtuose qui l'accompagnait partout, la jeune et célèbre Anne-Fée Lation. Alex Comunier s'éteignit le 12 avril 1823 dans son manoir de La Tourelle en Sologne dans sa ravissante petite ville de Namur. _______________________________________ Vladimir Poutine ( 7 octobre 1952 ) LE DISCOURS LE PLUS COURT JAMAIS PRONONCE par Vladimir Poutine Le temps est venu pour nos leaders élus de prêter attention au conseil de Vladimir Poutine. Est-ce si effrayant que cela ? Le 4 août 2013, Vladimir Poutine, le président russe, s’est adressé à la Dūmā relativement aux rapports tendus avec des minorités en Russie : "En Russie chacun doit vivre comme des russes. N'importe quelle minorité, de n'importe où, si elle veut vivre en Russie, marcher et manger en Russie, devrait parler le russe et devrait respecter les lois russes. S'ils préfèrent la Loi de la Sharia et vivre selon les préceptes musulmans alors nous leur conseillons d'aller vivre là où telle est la loi nationale. La Russie n'a pas besoin de minorités musulmanes. Les minorités ont besoin de la Russie et nous ne leur accorderons pas de privilèges spéciaux ni n’essaierons de changer nos lois pour les adapter à leurs désirs, peu importe leurs hurlements contre notre prétendue 'discrimination'. Nous ne tolérerons pas de manque de respect à notre culture russe. Nous devrions savoir tirer les conséquences des suicides de l'Amérique, l'Angleterre, la Hollande et la France, si nous voulons survivre en tant que nation. Les musulmans reprennent ces pays mais ils ne prendront pas le contrôle de la Russie. Les coutumes russes et nos traditions ne sont pas compatibles avec leur manque de culture ou leurs coutumes primitives. Lorsque cette honorable assemblée pense à créer de nouvelles lois, elle doit prendre essentiellement en considération l’intérêt national russe et, considérant que les minorités musulmanes ne sont pas des russes, elle ne doit pas prendre en compte la Sharia, la loi des musulmans. » C’est par une ovation debout de cinq minutes que les membres de la Dūmā ont salué ce discours de Vladimir Poutine. Certains, de plus en plus nombreux, posent une question récurrente : < N’est-il pas triste de devoir faire référence à un ex communiste pour prendre conscience de nos problèmes en Occident ? >. Loin de toutes formes de terrorislme intellectuel, nous laisserons à chacun la liberté de se faire son opinion... :cool: _______________________________________________
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:cool: Mon Kiki est gentil Des souvenirs de mon caniche Kiki. Kiki était un petit caniche à poils frisés. Court sur pattes, ce dernier n'était pas sans évoquer une saucisse poséee sur quatre pattes . J'avais adopté Kiki quelques temps avant de rencontrer ma compagne. Nous l'aimions beaucoup. Je garde un bon souvenir de cette délicieuse époque . Avec ma compagne, nous manifestions un grand attachement pour mon caniche. Je l'avais baptisé Kiki car c'était facile à prononcer. Ma compagne, tout comme moi, aimait beaucoup s'occuper de mon Kiki. Nous l'emmenions partout où cela est possible. Au restaurant. Chez le coiffeur, dans la salle d'attente du docteur et, bien sûr, en vacances. C'était Kiki par ci, Kiki par là ... Ma compagne trouvait mon Kiki très affectueux. Calme et joueur. Toujours friand de caresses. Le dimanche matin, mon Kiki avait même souvent droit à un traitement de faveur. Des faveurs particulièrement longues qui lui faisait dresser le poil de plaisir. La truffe humide, mon Kiki manifestait son contentement par de doux mouvements. Dès qu'il était heureux, mon Kiki remuait la queue... Il n'était pas rare d'entendre ma compagne s'adresser à mon Kiki à la troisième personne en disant :< Qu'est qu'il veut le Kiki? >, ou encore : < Il va bien le Kiki ? >, sans oublier les : < Il est content le Kiki ? >... Avec ma compagne, nous aimions bien aller promener mon Kiki. Lorsqu'il pleuvait, par contre, mon Kiki était tout mouillé. Lorsqu'il neigeait, toutefois, mon Kiki était tout froid. Mon Kiki semblait même plus petit lorsque la température était sous glace... Mon Kiki n'aimait pas trop les bords de mer lorsqu'il y avait du vent. Mon Kiki était très rapidement perdu dans l'immensité des plages Vendéennes de Saint-Jean de Mont. Couché sur la plage, très rapidement, avec la brise, je constatais que mon Kiki se couvrait de sable. Ma compagne, toute heureuse de rendre service, devait donc secouer mon Kiki pour faire tomber le sable qui s'était amassé dans les poils. Cela nous faisait beaucoup rire. En effet, ma compagne secouait mon Kiki des deux mains. Un hiver, avec ma compagne et mon Kiki, nous étions partis une semaine dans les Alpes. Je déposais souvent mon Kiki sur la luge, coincé entre ma compagne et moi. Cette dernière, assise devant, moi à l'arrière, serrant bien mon Kiki contre elle, nous parcourions les pistes à toute vitesse. Mon Kiki, poils au vent, dévalait les pentes neigeuses, avec bonheur. Sans bonnet avec juste son coll roulé. Souvent, ma compagne déposait de doux bisous sur mon Kiki. Cela nous amusait beaucoup. A tel point que, à chaque fois que nous étions de retour, nous déposions mon Kiki dans la petite niche où il se sentait si bien. Nous nous en occupions très bien. Au restaurant, par exemple, discrètement, je plaçais mon Kiki entre mes jambes. Ma compagne, de temps en temps, passait sa main sous la table pour caresser mon Kiki. Dans les files d'attentes, à la poste ou à la CPAM, par exemple, je tenais mon Kiki entre les mains, pour éviter que des personnes ne lui marchent dessus. Parfois, lorsqu'il faisait doux, au printemps ou au début de l'été, je mettais mon Kiki sur le balcon. La voisine appréciait toujours beaucoup. Voyant le Kiki, elle lui faisait de l'oeil... Kiki, tout content, remuait alors souvent la queue. Une bonne bête ... Tous droits réservés - © - 2013 - Depuis mon Blog - :cool: Ci-dessous, Chantal Mouyet et mon Kiki. :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
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Les traductions littéraires de Chantal Mouyet
Oncle_Julien a posté un billet dans MES SOIREES SAUCISSES
:cool: Les traductions littéraires de Chantal Mouyet. Chantal Mouyet habite dans le charmant petit bourg de Barque-Les-Ecluses dans le magnifique département de la Seine-et-Garonne. En décembre, Chantal a perdu son emploi de Maître-nageur à la Bibliothèque municipale. Très rapidement, Chantal, aimant la littérature romantique du dix-neuvième siècle, se mit à écrire quelques essais, quelques nouvelles. Monsieur Trichon, l'éditeur des éditions COLOR-CLIMAX, après lecture de plusieurs "nouvelles", conseilla Chantal dans le choix d'une carrière de traductrice. En effet, Chantal intervient quelques fois sur le Tchat de quelques sites sous d'amusants pseudos. Profitant des cinq lignes maximums, possibles, pour développer une idée littéraire. Quelques fois, une vraie fulgurence de sa pensée... Ses traductions, hermétiques pour le lecteur lambda, sont autant de messages à l'attention de ceux qui savent décrypter les hiéroglyphes et l'écriture cunéïforme des tablettes de Sumer... Un don de traductrice inné et certain. Chantal a donc décidé de suivre les conseils de Monsieur Trichon. Après avoir traduit l'intégrale de Gustave Flaubert en Mandarin ancien (du septième siècle), Chantal s'est très rapidement lançée dans la traduction de Emile Zola en Péruvien du XVIII ème siècle. Un succès. Après avoir également traduit l'intégrale d'Enrico Macias en Florent Pagny moderne, Chantal s'attaque à présent à l'intégrale de Guy de Maupassant en Tyrolien du dix-neuvième siècle. Un véritable challenge ! Un authentique défi. Ce travail phénoménal commence avec "LE HORLA", texte plutôt fantastique que n'aurait pas renié Edgar Allan Poë. Puis il y aura la traduction de "UNE VIE" et "BEL-AMI"... Autant de difficultés d'écritures. Sachant que le Tyrolien du XIX ème siècle est beaucoup plus guttural que le Tyrolien moderne. Tyrolien moderne qui devint beaucoup plus structuré, voire académique, à partir de 1948. Tout spécialement avec les travaux de Franz-Marc... Nous souhaitons, à Chantal, une réussite exemplaire. Un exemple qui saura donner espoir à toutes celles et à tous ceux qui font leurs premières armes littéraires sur le forum. Parfois avec un certain talent... Tous droits réservés - © - 2013 - Depuis mon Blog - :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 . -
La vérité sur les citations (et leurs auteurs)
Oncle_Julien a posté un billet dans MES SOIREES SAUCISSES
:cool: Les citations de Lao Tseu, de confucius, de Jesus, ou encore de Zaratoustra. Les aventures des trois mousquetaires de la citation cu-cu-la-praline. Trois mousquetaires qui, comme chacun le sait, étaient quatre. Voilà donc les aventures de nos pieds nickelés de la citation populaire. Dans une soirée, dans un repas de famille, sur un forum ou encore lors d'une réunion, il n'est pas rare que, pour faire son "cultivé", un individu ne fasse une citation attribuée à un des trois zigotos de l'intitulé de cet amusant topic. Il est donc d'une nécessité absolue de replacer tout cela dans un contexte historique. Un jour que Lao Tseu était aux toilettes, entrain de feuilleter le dernier numéro de "Play-Boy", il lui vint à l'esprit le dicton suivant : < Un jour, j'irai vivre en Théorie, car en Théorie, tout se passe bien > ! Zaratoustra, son disciple, qui tenait le rouleau de papier, nota immédiatement ce dicton pour le rendre populaire. Ici, le lecteur peut légitimement se poser quelques questions subsidiaires. Rassurons-le, Zaratoustra, en parfait disciple, suivait Lao Tseu dans tous ses déplacements... Chacun sait que Zaratoustra était un farceur qui n'hésitait jamais à faire des farces aux disciples de tous les naïfs, de tous les crédules, voire les paumés qui se promenaient pieds nus dans les déserts en faisant des prophéties délirantes. Prophéties délirantes qui n'étaient pas sans conséquences graves pour l'avenir de l'humanité. Un jour, Zaratoustra, ivre mort, prenant l'A 35 à contre-sens, déclara aux gendarmes qui tentaient de le faire souffler dans le ballon : < Je n'ai jamais abusé de l'alcool ! Je peux vous jurer qu'il a toujours été consentant > ! Ce à quoi, Jésus, assis sur le siège passager, dans un état d'ébriété avancé, rajouta, avec ce ton sentencieux que nous lui connaissons bien et qui nous a toujours beaucoup amusé : < La pression, il vaut mieux la boire que la subir > ! Là, pour les gendarmes, c'était pousser le bouchon un peu loin. Les agents de la force publique embarquèrent les deux ivrognes. Les deux lascars passèrent la nuit en cellule de dégrisement jusqu'à l'arrivée de Lao Tseu qui déclara aux policiers : < Ils ne boivent jamais à Outrance ! Ils ne savent même pas où c'est > ! Une fois les trois compères sur le trottoir, il se dépêchèrent de rentrer dans le premier bar. Comme à leur habitude, les trois pochetrons se mirent à mettre une ambiance pleine de facéties, de bons mots et de chansons paillardes. Chansons paillardes, dont la fameuse "En revenant de Nantes" qui a amusé des générations d'étudiants... Il n'était par rare que les trois zigomards, appellés par les raisons professionnelles de leurs qualités de prophètes, de philosophes ou de Messies, ne se rendent aux quatre coins des régions habitées. Leur manager les faisait d'ailleurs tourner dans les salles les plus prestigieuses et les endroits les plus fréquentés. Un jour, en première partie d'un humoriste célèbre, nos trois larrons, sur la place Saint-Pierre, à Rome, faisaient leur show avec le succès que nous connaissons. Lao Tseu, jamais en reste d'une improvisation, s'écria : < La lampe torche > ! Zaratoustra s'empressa de rajouter, devant une foule en délire mystique, rappelant un concert des Beatles : < Le PQ aussi > ! Ce qui fit bien rire la centaine de millier de fans massés devant le Vatican... Une anecdote amusante m'oblige à raconter que Josiane Frouchiez, présente au milieu de la foule, se demandait comment, et où, pouvoir aller faire un pipi urgent. Un jour que Lao Tseu, dans sa Mercedes bleue "nuit", dont l'intérieur de cuir de vachette offrait un confort incomparable, roulait entre Carcassonne et Narbonne, il eut, à la hauteur de l'abbaye de Fondfroide, une révélation. Lao Tseu était d'ailleurs coutumier du fait. Pas une journée sans une révélation. L'histoire nous a d'ailleurs laissé les nombreux témoignages oraux de ces révélations donnant naissance à ces citations qui nous font tant rire. Ce jour-là, la révélation était tellement forte, tellement pressante que Lao Tseu fut obligé d'arrêter sa grosse berline Allemande au bord de la route. Là, se soulageant de cette révélation contre un arbuste, Lao Tseu conclua, en secouant les dernières gouttes, par cette pensée : < Il faut que je pense à emmener la bagnole chez Maxauto, cette semaine, pour vérifier le gonflage des pneus >. Son ami, ce sacré farceur de Confucius, n'était pas en reste, question dictons pour amuser la galerie. Un jour qu'il se les grattait discrètement, sur la plage de Saint-Jean-de-Mont, magnifique bord de mer de la belle Vendée, il lui vint le dicton suivant : < Parler à un con, c'est un peu comme se masser la turbe avec une râpe à fromage. Beaucoup de souffrance pour peu de résultat >. Comme Confucius pensait à haute voix, le mec qui passait à ce moment-là, sa rape à fromage sous le bras, se retourna pour lui lançer : < Je t'emmerde, connard > ! N'ayant pas reconnu le célèbre humoriste-philosophe... Parfois, le soir, lorsque Confucius montrait la voie Lactel à Lao Tseu, ce dernier regardait son yaourt à 0 % ... Ce qui n'empêchait pas Lao Tseu de tenir des propos qui amusaient beaucoup Confucius. Une nuit où la voie Lactel était au fromage blanc allégé, Lao Tseu, se tournant vers son comparse Confucius, eut cette citation qui devint célèbre (et populaire) : < Zoé demanda à Robinson de la croire et Robinson Crusoé >. Confucius, très amusé, essuyant l'index qu'il venait de retirer de Zaratoustra, eut à son tour cette citation qui devint universelle : < Le Lundi, je suis comme Robinson Crusoé, j'attends Vendredi >. Lao Tseu s'écria : < Là, c'est moins bon ! Tu baisses Confucius, tu baisses > ! Ce sur quoi, Confucius, changeant de doigt, mettant son médius dans Zaratoustra, répondit avec un clin d'oeil à notre attention : < Robinson échangerait Vendredi maigre contre mardi gras > ! Là, un peu confus (cius), Lao Tseu garda un silence méditatif. Zaratoustra gémissait... Tous droits réservés - © - 2012 - Depuis mon Blog - :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 . -
:cool: L'art de la flatulence. Depuis des années, en parfait virtuose, je cultive l'art de la flatulence. Attention, je tiens à préciser que je cultive cet art dans le plus parfait "clacissisme" et le plus parfait "académisme". Dès la veille de la prestation publique, je prépare ma partition avec une diététique appropriée. Rien ne réussi mieux à mon "instrument" qu'une délicieuse salade de champignons. Ingérée de préférence en soirée. Ainsi, après une bonne nuit de transit intestinal, les "munitions" sont prêtes. Il faut imaginer le principe de la cornemuse. Ce sac d'air qu'il faut savoir vider de façon musicale avec doigté. Donc, à l'heure du "concert", de préférence à la messe de 10 h, au cinéma, au théatre ou lors d'une conférence, je peux interprêter ma partition au maximum de mes possibilités. Sans forcer ma respiration. Ce qui est d'une importance primordiale. Du plus profond de mes entrailles, je peux sentir ce grondement sourd qui va aller en s'amplifiant. Je peux le sentir se déplacer dans mon ventre, suivant les courbes magnifiques de mes intestins. Là, en sachant qu'il n'y aura aucun risque pour le slip, je me mets en équilibre sur une fesse. La gauche de préférence. En serrant les fesses afin de ne laisser passer que le strict nécessaire de "vent". Cela me permet de moduler longuement la nuance sonore. Le résultat est souvent au-delà de mes espérances. Inodore... Partant du Do le plus profond de la clef de Fa, longuement je module la note pour l'emmener vers le Si bémol de la clef d'Ut. C'est un véritable frisson de plaisir, intense et viscérale, qui m'anime à ce moment d'interprétation sublime. Le Si bémol laisse toujours une effluve d'oeuf-mollet qui persiste dans les espaces étroits. Pendant que j'émets cette première salve, au fond de mon être, je peux déjà sentir la préparation de la salve suivante. Puis, dans un long chapelet de notes, plus classiques et plus académiques les unes que les autres, j'arrive à la Coda du premier mouvement. Les effluves sont suaves et persistantes... Dans la salle, c'est la stupeur. Les regards se croisent, interrogateurs, suspicieux et inquisiteurs. Qui est l'interprête de ce mystérieux concerto ? Que l'on me pardonne cet oxymore, mais j''aime cette "célébrité anonyme". Mon génie ne réclame nulle gloire, je ne suis pas un de ces vulgaires pêtomanes populaires qui font la joie des music-halls. Non, je suis un esthète, un "sculpteur" de la flatulence. J'ai déjà remporté de nombreux succès. Je me souviens de cette conférence sur l'ozone où, en parfaite harmonie avec le sujet, je ponctuais chaque intervention du conférencier d'une magnifique modulation vibrante et sonore, le plus souvent en Fa dièze. Un magnifique Fa dièze, pur et divin, ne peut s'obtenir qu'avec un véritable cassoulet Toulousain, ingéré la veille au soir. Attention toutefois aux conséquences humides. Les effluves effroyables peuvent faire repérer l'interprête... Un beau Sol, généreux et précis, ne peut s'obtenir qu'avec des pruneaux, ingérés la veille au soir. Toutefois, il faudra se méfier des noyaux qui peuvent générer une légère occlusion passagère mais pénible durant l'interprétation. Les effluves en sont immondes mais passagères... Personnellement j'évite le Mi bémol et le La. En effet, je n'aime pas la paëlla ni le couscous. Et surtout pas en soirée. Si l'on désire "jouer" dans ces tonalités, je ne saurais trop conseiiler le port d'un masque à gaz... Les personnes désireuses de savourer un concert privé, n'hésitent surtout pas à me contacter. Je pense entreprendre une tournée des "salons" pour 2014. Tenues correctes exigées... Contacts par MP uniquement... Tous droits réservés - © - 2012 - Depuis mon Blog - :cool: L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie) sans le consentement de l'auteur, constitue une violation de la propriété intellectuelle. Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal. La divulgation d'informations relatives à la vie privée constitue un délit sanctionné par les articles 706-102-1 (Informatique) et 88-227 .
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Depuis l'enfance , visites régulières d'une entité .
Oncle_Julien a répondu à un(e) sujet de Oncle_Julien dans Esotérisme & Paranormal
Episode 5 Par ce froid jeudi de fin d'après-midi de décembre , maman avait proposé d'allumer la cheminée dans le salon . Cette cheminée restait , la plupart du temps éteinte . Très belle décoration pour un salon meublé de façon très "rustique" , cette cheminée ne fonctionnait qu'en complément de chauffage . Tout particulièrement lorsque nous avions des invités ou encore de la famille qui venait à la maison . Elle était du plus bel effet et j'adorais y voir brûler les bûches de bois de hêtre dans ces craquements si caractéristiques . Pour la première fois de l'hiver , maman voulait la faire fonctionner . Un "test" qui nous mettait à la fête . A cet effet , ma mère m'avait demandé si je voulais bien descendre à la cave afin de charger la corbeille à bois . Je m'emparais de la corbeille en rotin , posée entre le porte-tisonniers et le montant de la cheminée . Avec mon petit frère nous étions tout heureux de pouvoir participer à cette première flambée . Nous nous précipitâmes dans l'escalier descendant à la cave . Là , nous nous dirigeâmes vers la pile de petit bois , derrière la chaudière . Il faisait déjà nuit et maman , en haut de l'escalier , nous demandait de ne pas en ramener de trop . Seule l'ampoule du plafond de la cave diffusait une faible lumière . Mon petit frère remonta le premier avec une poignée de petit bois , tout heureux de rendre service . Moi , je déposais , au fond du panier , des toutes petites bûchettes que je choisissais avec soin . Absorbé par cette activité ludique , je me concentrais sur ce travail amusant . Soudain , provenant de la vieille armoire , au fond du local de la chaudière , là où maman conservait des choses aussi diverses qu'une paire de bottes en caoutchouc , des manches de rechange pour des balais , des boîtes en fer , un grondement sourd se fit entendre . En même temps , il y eut un souffle glacial . J'eu immédiatement la chair de poule . Cette impression pénible de ne pas être seul . Il y eut comme un fracas à l'intérieur du vieux meuble . Comme si une pile d'assiettes s'effondrait , tombant d'une étagère . Sans demander mon reste , avec le petit bois que j'avais déjà , je remontais à toute vitesse , volant littéralement au-dessus des marches de l'escalier . J'arrivais haletant dans le salon . Maman me regarda en me demandant ce qui se passait . Je fis un sourire forcé et je déposais ma corbeille avec le petit bois . Enfant plutôt mutique , âgé d'une dizaine d'années , je ne trouvais ni les mots , ni le courage de révéler ce qui se passait parfois autour de moi . Là encore , je me contentais de ne rien dire , prétextant simplement l'impatience de voir ce premier feu de l'hiver dans la cheminée . Maman , revenant de la descente de la cave me demanda encore pourquoi , malgré ses demandes répétées , je n'avais pas éteint la lumière de l'escalier . Le lendemain , entre midi et deux , je descendais à la cave avec mon petit frère . Il faisait bien clair et nous étions en plein jour . J'ouvrais la vieille armoire . Tout y semblait dans le parfait ordonnancement dont ma mère était coutumière . Une fois de plus , donc , profitant d'un moment de solitude , cette entité était venue se manifester à mes sens . Je la détestais pour ces lâchetés . Pourquoi toujours moi ? Lorsque je n'y pensais pas ? Lorsque j'étais seul ? Pourquoi faire peur à un enfant sans défense ? Le mois de décembre se passa sans autres manifestations jusqu'au lendemain de Noël , où ... -
Je crois qu'il y a un fantôme chez moi.
Oncle_Julien a répondu à un(e) sujet de Mathilde9804 dans Esotérisme & Paranormal
Chère "Mathilde9804" Vous aurez remarqué que les tentatives d'explications sont, en règle générale, beaucoup plus "fumeuses" que les faits eux-mêmes. Surtout lorsque ces tentatives d'explications plus "fumeuses" les unes que les autres, émanent de personnes à qui il n'arrive jamais rien dans ce domaine. Ne tentez pas de savoir, par vous-même, ce que c'est, ni qui est cette entité. Par contre, chaque soir, brûlez un peu de sauge et faites une prière à la divinité de vos croyances. Si les phénomènes devaient persister, faites appel à une personne pratiquant les exorcismes. En général, les moines trapistes (Cisterciens), sont d'excellents "purificateurs", n'ayant peur de rien et ce comportant en véritables "Rambo" du surnaturel. Bonne chance "Mathilde9804". -
Depuis l'enfance , visites régulières d'une entité .
Oncle_Julien a répondu à un(e) sujet de Oncle_Julien dans Esotérisme & Paranormal
Episode 4 Ce jeudi après-midi pluvieux de juin , j'étais dans ma chambre à ranger mes affaires d'école . D'ici trois semaines ce seraient les vacances scolaires . Maman m'avait demandé de faire un peu d'ordre dans les tiroirs de mon bureau et sur les étagères . J'étais absorbé par cette tâche . Depuis toujours j'aime les endroits bien rangés . Je trouve qu'il est beaucoup plus facile d'évoluer dans un espace où chaque chose est à sa place . Par contre , un peu de poussière recouvrait les objets et les livres les moins utilisés . J'avais dix ans et je savais me donner de la peine . Cela faisait toujours tellement plaisir à ma mère . Par ricochet , cela rendait mon père très fier . Ce dernier , de par sa profession commerciale , était souvent absent durant deux à trois jours . Il ne manquait jamais de nous narrer les anecdotes de ses déplacements lors de ses retours . Isabelle , ma meilleure copine d'école depuis quatre ans , aimait venir passer les jeudis après-midi chez moi . Ma maman connaissait bien la sienne et , en cette époque révolue , lointaine , les relations , dépourvues d'ambiguités , étaient simples et naturelles . Comme moi , Isabelle était excellente élève et vivait dans un foyer uni et heureux . Isabelle arriva vers quinze heure , me ramenant , le dernier magazine Tintin auquel elle était abonnée . Moi , je lui prêtais le magasine "Coeur Vaillant" auquel j'étais également abonné . Comme d'habitude , elle s'assit dans la chaise à bascule , entre l'armoire et le bureau . Nous bavardions . Elle me racontait que ses parents avaient pour projet , cet été , des vacances dans le Périgord noir où elle avait de la famille . En ces époques héroïques , les gens partaient souvent en vacances pour trois semaines ou un mois . Je lui fis part du désir des miens d'aller passer un mois en Vendée où j'avais deux tantes , un oncle et de nombreux cousins . Nous bavardions depuis une bonne demi heure lorsque soudain , sans raison , un compas , posé sur un manuel scolaire , se mit à tourner doucement sur lui-même , un peu comme l'aiguille d'une montre . Dans un silence lourd et pesant nous observions cet objet bouger tout seul , lentement , comme animé d'une vie qui lui était propre . - Chez toi aussi , il se passe des choses comme ça ! Me fit Isabelle . - Oui , parfois il ne se passe rien pendant des mois et puis il y a des choses tous les jours pendant une semaine . Lui fis-je en réponse . J'étais debout près du bureau , Isabelle vint me rejoindre . Nous n'avions jamais évoqué ces phénomènes . Elle comme moi , avions cela secrètement au fond de nous . J'avais bien évoqué ces phénomènes , un jour , avec un copain de vélo . Mais , vu ses réactions très communes chez les septiques , je n'avais plus jamais tenté d'en parler . A quoi bon s'entendre déverser un flots d'explications plus abracadabrantesques les unes que les autres . Des explications fumeuses encore plus étranges que les phénomènes eux-même . Là , nous avions enfin , Isabelle et moi , la preuve absolue que nous ne rêvions pas , que tout cela était bien réel et non la résultante de nos imaginations . Le plus souvent source d'explications ridicules de la part de ceux à qui il n'arrive jamais rien de la sorte . Elle non plus n'en parlait jamais . Cela nous rapprocha et , souvent , nous échangions de nouvelles anecdotes de ce qui venait encore de se passer . Isabelle avait vécu des choses très similaires aux miennes . Le compas cessa de tourner sur lui-même au bout de quelques minutes , indiquant de sa pointe la direction de la petite radio qui se mit , toute seule à grésiller , comme allumée sur une fréquence parasite . Isabelle et moi n'éprouvions plus aucune crainte maintenant que nous "savions" . Le fait de partager les mêmes constatations nous rassura . La radio s'éteignit au bout d'une minute . Cet après-midi là , tout cessa . Maman entra dans la chambre . Après m'avoir remercié pour ce magnifique rangement , elle nous invita à venir , Isabelle et moi , prendre le "quatre-heure" . A présent , avec Isabelle , s'était établie une complicité et nous pouvions enfin parler librement de ce qui nous posait question depuis si longtemps , dans nos vies d'enfant . C'était beaucoup plus facile d'affronter ces phénomènes , maintenant que nous pouvions les relater . Dans les semaines qui suivirent , il ne passa plus rien de notoire . Ni chez Isabelle , ni chez moi . Mais , les "choses" n'allaient pas en rester là . Elles n'allaient pas tarder à se rappeler à nous ... -
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Oncle_Julien a répondu à un(e) sujet de Oncle_Julien dans Esotérisme & Paranormal
- Episode 3 - VISTE, UN JOUR DE MALADIE Ce jeudi matin , au petit déjeuner , j'éprouvais un léger mal de tête . Nous étions au mois de janvier . Une période plutôt froide . Déjà la veille , mon nez n'arrêtait pas de couler et je n'avais pas d'appétit . Tous les signes avant coureurs d'une bonne grippe qui allait me clouer au lit pour la semaine . J'avais neuf ans . Ma maman décida de prévenir l'école et de me garder à la maison . Sage initiative car mon état empira rapidement . Comme toutes mères alertées par un état fiévreux de leur enfant , la mienne me conseilla de retourner me coucher . Après avoir pris ma température , il s'avéra que j'avais beaucoup de fièvre . Maman resta un moment à mes côtés , me tenant la main , me parlant doucement . Je ne tardais pas à m'endormir ... Nous avons tous le souvenir de ces jours d'enfance où , malades , nous avions le privilège de pouvoir rester à la maison . Souvent , en tant que "grands malades" nous devenions même , le temps de l'affection , jusqu'à la guérison , les rois de la maison . Ce jeudi matin , je dormais profondément . Sous plusieurs couches de couvertures , entouré d'une montagne de coussins . Un gros bruit , comme un long craquement , me tira péniblement de mon sommeil . J'ouvrais difficilement mes yeux aux paupières collantes . Le bruit de craquement continuait toujours . Je me tournais sur le dos , réunissant le peu de forces que je possédais encore afin de me redresser pour prendre appui sur mes coudes . Je découvrais les portes de l'armoire , en face de mon lit , légèrement ouvertes . Les volets ouverts permettaient à la lumière laiteuse de ce matin de janvier d'éclairer parfaitement la chambre . Au moment où je fixais les portes de cette armoire , le bruit de craquement cessa brusquement . Ces portes étaient toujours fermées . Toujours . Si ce n'est pas moi qui y veillait , c'était ma mère . L'intérieur de l'amoire était sombre . Pourtant , avec la luminosité , j'aurai dû entrevoir sur la droite , la penderie , sur la gauche , les étagères . C'est comme si une ombre noire voilait tout cela . Une vingtaine de centimètres séparait les arrêtes des deux portes entrebaillées . J'eu cette désagréable impression de ne pas être seul . Je précise cette désagréable impression parce que , à chaque fois que j'avais affaire à quelque chose d'inexplicable , ce sentiment était récurrent . Réunissant mes faibles forces , me concentrant sur les portes je prononçais ces mots doucement et clairement : < Portes , portes , fermez-vous ! Laissez-moi tranquille ! > . Quelle ne fût pas ma stupeur de voir les deux portes , doucement , se refermer . En temps habituel , lorsque je les fermais cela se faisait absolument sans bruit . Là , curieusement , cela se fit dans un long craquement sinistre . < Allez-vous en , laissez-moi tranquille , je suis malade ! > fis-je encore fermement . Je n'avais ni la force , ni l'envie de vivre de tels phénomènes aujourd'hui , faible , fiévreux et malade . A peine eu-je prononcé ces mots , qu'il y eut un bruit sec , le rideaux de la fenêtre bougea comme agité par le souffle du vent . Hors la fenêtre était fermée . Tout cessa . Je me sentais à nouveau bien seul . Ma mère , attirée par le bruit , entra dans ma chambre pour me demander ce qui se passait . N'osant pas parler de cette nouvelle aventure insolite , je prétextais un mauvais rêve . Il était dix heure trente du matin . Maman resta près de moi . Rassuré , rapidement , je sombrais à nouveau dans un profond sommeil . I Il n'y eut plus aucun phénomène durant les jours suivants . Mais ... -
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Oncle_Julien a répondu à un(e) sujet de Oncle_Julien dans Esotérisme & Paranormal
________________________________________________________________________________________________ Episode 2 Visites nocturnes . Ce mercredi après-midi , je rentrais de l'école . Ma maman , déjà prête , s'apprêtait à se rendre chez le docteur pour y mener mon petit frère atteint d'une grippe . Je devais rester seul à la maison et faire mes devoirs . A cette époque , il n'y avait pas école le jeudi . Je me réjouissait de passer cette heure tout seul . Je savais que si je ne terminais pas la totalité de mes devoirs , je pourrais le faire le lendemain . Je vis s'éloigner ma mère et mon petit frère . J'étais au portail avec Kénavo , notre teckel à poils ras . Ce dernier s'agittait étrangement , tournant autour de moi . Le chien se précipita au haut de l'escalier . Lorsque je montais les marches pour rentrer dans la maison , Kénavo se mit à aboyer vers moi comme si j'étais un étranger . Le chien devenait même de plus en plus menaçant . Presque agressif . Arrivé dans la maison , le chien se précipita à l'extérieur , dans le jardin . Je mis cette étrange attitude sur le compte d'une sorte de saute d'humeur . J'entrebaillais la porte afin de lui permettre de rentrer , lorsqu'il le désirerait . J'allais à la cuisine , je m'installais à la table pour goûter , tout en sortant mes cahiers de mon sac d'écolier . Assis , j'eu l'étrange impression d'être observé . Je me retournais et regardais l'encadrement de la porte . Il me sembla que quelqu'un venait de disparaître précipitamment . J'avais le sentiment diffus d'une présence . Ce n'était sûrement pas Kénavo que j'entendais aboyer dehors ... Je me précipitais dans le couloir . Là , encore une fois , j'eu l'étrange impression que quelqu'un venait de disparaître dans l'escalier qui menait à l'étage . Prenant mon élan , je me précipitais vers la porte entre-ouverte . Evitant de regarder dans l'escalier . Je restais assis sur les marches de l'escalier extérieur . J'entendais des bruits curieux à l'intérieur de la maison . Des bruits que je n'arrivais pas à identifier . Je restais là , assis , tremblant légèrement . Je n'arrivais pas à me calmer . Je ne savais pas si c'était la température plutôt agréable de cette mi-avril ou ma peur . J'attendais le retour de ma maman . Heureusement ma voisine qui passait dans la rue , rentrant elle aussi de l'école , m'aperçut et vint s'assoir avec moi pour causer de nos devoirs d'école . Ma maman , à son retour , s'étonna de me trouver là au lieu de faire mes leçons . Le prétexte d'Isabelle , la voisine , tombait à pic ... Le phénomène ne reproduisit jamais de cette manière . Mais , dès jeudi matin , il prendra une forme différente . Un souvenir qui m'épouvante encore aujourd'hui . ________________________________________________________________________________________________________ -
Depuis l'enfance , visites régulières d'une entité .
Oncle_Julien a posté un sujet dans Esotérisme & Paranormal
___________________________________________________________________ Episode 1 Visite nocturnes . J'avais six ans et, avec mes parents nous venions d'emménager dans une maison à un étage, dans un petit village . Mon petit frère n'avait encore que trois ans . Il était un peu mon complice en plus d'être mon compagnon de jeu . La maison devait avoir une vingtaine d'années et était située juste en face de l'école primaire . Pratique . Je possédais ma chambre à l'étage . Je me souviens avoir toujours préféré tirer les épaisses tentures plutôt que de fermer les volets battants . Ma maman ne manquait jamais de venir me souhaiter la bonne nuit, vers vingt et une heure et de vérifier que les tentures étaient bien tirées . J'étais couché dans mon lit, allongé sur le dos et ma chère mère me déposait un délicat baiser sur le front . Le sommeil me gagnait alors souvent rapidement . Ce soir-là, maman avait laissé la porte de ma chambre entre-baillée afin que je puisse profiter de la musique du début d'un film que j'aimais beaucoup . Nous étions dimanche soir . La fatidique phrase sentencieuse avait résonné : < Au lit , demain il y a école ! > . Il m'était donc interdit de regarder Jean Marais et son complice Bourvil ... J'avais les yeux fermés et laissais mon imagination vagabonder un peu . Soudain, à la hauteur de mes pieds, je sentis le poids d'un corps s'assoir lourdement . Je gardais les yeux fermés . Tétanisé de peur, j'entendais ma mère s'entretenir avec mon père dans la pièce au-delà du couloir . Mon frère, lui, dormait depuis plus d'une heure déjà dans sa chambre . Il ne pouvait pas s'agir de ma maman ni de mon papa . Le corps, lourd, que je sentais là, ne pouvait pas, non plus, être celui de mon petit frère . Le phénomène semblait durer longtemps . Je n'avais plus notion du temps . Je me souviens m'être sentit observé . Je n'avais absolument pas le courage d'ouvrir les yeux . Pour l'enfant que j'étais, l'angoisse était terrible . Je n'osais pas appeler . Je n'osais pas faire le moindre geste . Je tremblais . J'avais très froid . Nous n'étions pourtant qu'au début octobre ... Finalement l'entité s'est levée doucement et est partie . Ma maman vint me border une dernière fois . J'avais si peur que j'avais l'intime conviction d'être obligé de garder ce terrible secret . Je demandais à maman de laisser la porte ouverte ... Finalement, je m'endormis . Ce terrible souvenir perturba plusieurs de mes journées suivantes . Scolarité, jeux et activités étaient sans cesse perturbés par ce terrifiant souvenir . Il me fallut apprendre à vivre avec lui . Heureusement ce souvenir s'estompa au fil des jours . Pendant quelques mois, rien ne se reproduisit . Ce ne fut qu'un répit . ___________________________________________________________________________________________________________________________________