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Anna Kronisme

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Tout ce qui a été posté par Anna Kronisme

  1. Un Ange qui ne rime pas... et qui bluffe très mal (je comprends que tu te sois fait plumer). Bienvenue.
  2. Oui, tout ceci n'a pu arriver bien après qu'on leur ait appris à parler... "enfin, j'me comprends". Je ne sais pas lire les hiéroglyphes, t'façons. Mais, en dehors du fait que je trouve ton travail sympa, il est évident qu'un simple nom n'a pas d'autre but, pour l'individu, que celui d'être nommé. Pris en flagrant délit d'hypocrisie émoticônale, c'est du propre ! Vous n'avez pas écrit dans le vide.
  3. J'ai pourtant bien écrit qu'en dehors du regard de l'Autre, rien ne vaut lorsque les règles sont déjà posées. Vous avez bien su faire comprendre au forumeur qu'il était un "usurpateur" au sujet des nombres premiers, non ? Pas besoin d'une notice ou de faire intervenir la modération, il a appris sur le tas avec l'aide des usagers. Pour moi, c'est ainsi que les choses doivent se faire... le plus simplement du monde. Nous ne gagnons jamais rien à complexifier la Loi, sinon à la rendre impropre et inutilisable. Je suis ta mère. Rhooo ! Mais, nous n'abordions pas l'éducation générale de l'enfant, nous n'en étions qu'à la plainte. Tu abuses. Je boude. Poil au dard. Dois-je te souhaiter une prochaine fois ? (*** aux doigts)
  4. Ce n'est pas tout ce qui importe, sinon, la forme n'aurait aucune importance et nous n'en serions pas à débattre de l'utilisation des émoticônes, de la syntaxe, l'orthographe, etc. S'il y a émetteur, il y a récepteur. Pourquoi voudrions-nous dire quelque chose et même aurions-nous quelque chose à dire sans un autre pour nous entendre ?
  5. "Très très égocentrique" se rapproche-t-il du "trop égocentrique" que j'abordais ci-dessus ?
  6. Jouons sur les mots, si tu veux. Si la chouinerie n'est pas de la plainte, je veux bien retourner potasser mon dictionnaire des synonymes mais la plainte a plusieurs degrés, c'est ainsi. Notre langue est suffisamment riche pour en définir les différents aspects. La plainte telle que je l'évoque sur ce sujet, depuis quelques posts déjà, est un moyen d'expression puéril, oui. Ceux qui l'emploient n'ont pas à être définis comme tels puisque nous sommes tous soumis à son usage dès lors que nous nous sentons plus ou moins perdus. L'être humain est ainsi fait et ne cesse de se retrancher dans un comportement enfantin à l'approche de difficultés, histoire de récupérer un brin de narcissisme pour affronter ce qui l'inquiète. Que la vie en forum n'est pas différente de toute société existante. Ceux qui ne savent ou ne peuvent pas s'adapter à un certain mode de fonctionnement seront tout bonnement évincés. Aucune règle ne prévient du "comment se comporter" dans un restaurant 5 étoiles ou un fast-food en dehors du regard de l'Autre. Et même une pancarte "Tenue correcte exigée" ne suffira pas à faire entendre tout ce que cela implique. J'aurais fait une rime avec "futur" en donnant dans le : "poil au(x) mur/mûres/voitures/tubulures/vergetures/Excalibur/emmanchures/chiures/etc. ". C'est mon petit côté psychorigide de la rime harmonieuse... Je ne suis pas très douée en bisounourserie... je ferai c'que j'peux, sois indulgent. ^^ Mais, je suis pour les limites, avec un grand L, même ! Elles sont structurantes et rassurantes pour tout un chacun et donc indispensables. Simplement, elles peuvent être appliquées avec neutralité voire même une certaine douceur (ce qui n'est pas l'apanage de la gente féminine, je tiens à le préciser) sans avoir recours à l'usage de grimaces ou air de mécontentement dont l'enfant en serait le fautif légitime. Une mise à l'écart (punition) peut être effective et riche d'enseignement(s) sans avoir à traiter l'autre de "vilain-pas-beau-qui-fait-rien-qu'à-m'énerver-en-faisant-plein-de-bêtises". Exemple de ce qui peut être dit : Ce que tu viens de faire n'est pas tolérable et conduira les personnes que tu fréquentes à te rejeter. Si tu ne souhaites pas demeurer seul(e), il va te falloir apprendre à agir différemment et je suis là pour t'y aider. Cela reste un exemple parmi tant d'autres possibilités et cela est applicable dès le plus jeune âge car même si l'enfant ne maîtrise pas encore le verbe, il est parfaitement réceptif à ce que dégage la voix et le corps de la personne qui l'interpelle. Le calme et la bienveillance ou, à contrario, la colère et autre émotions violentes l'atteindront immédiatement. J'espère avoir apporté plus de clarté à ce que j'estime être une des deux façons les plus saines de gérer la plainte et on se rend vite compte que cette manière de procéder peut s'appliquer à la gestion d'autres situations éducatives.
  7. J'ai aimé te lire, Dentelle de mots. Et cette dimension d'aimer les mots est abordée, dans ton développement, d'une façon trop égocentrique. Dans l'affirmation que le lecteur est un mangeur de vomissure, un renifleur de pet, un trieur de déchets, il y a comme un refus de se positionner, soi, en tant que lecteur. Lorsque nous lisons, nous ne sommes que très peu centrés sur l'auteur lui-même, en réalité. Nous cherchons à nous découvrir, nous reconnaître et parfois même à nous comprendre. C'est lorsque nous n'y parvenons pas ou au contraire lorsque nous y parvenons totalement que l'élan d'aller vers l'auteur va naître. Nous allons vouloir savoir qui il est afin de nous identifier à lui ou au contraire le rejeter pleinement. Alors, oui, les mots sont dérisoires puisqu'ils ne nous représenteront jamais dans notre entièreté... aussi bien pour celui qui les écrits que celui qui les lit mais, pour autant, dès lors qu'ils sont posés, ils permettent la libération d'une inconnue composante de notre être. Cette inconnue devenue connue et "nommée" pourra laisser place à l'exploration d'une nouvelle inconnue. Les mots, que nous les écrivions ou les lisions, sont un moyen d'évolution à ne pas écraser du pied.
  8. Je l'ignorais... Je serai plus attentive et plus "attentionnée" lors de mes prochaines réponses, désormais. Il n'y a rien de mieux pour développer en lui une culpabilité qui fera la fortune des consultations psy. ^^ Mais je ne veux pas, à mon tour, te culpabiliser. Je maintiens que tout ce trouve en CGU et en une phrase, ici : En respectant simplement cette règle, la rubrique philosophie se porterait à merveille puisqu'il suffit de lire les sujets et la façon dont ils sont développés pour "savoir" comment y participer et pour les non-initiés, je dirais que c'est forgeant que l'on devient forgeron. Pas besoin de plus de développement quant au comment aborder cette rubrique. Je n'avais pas capté l'animal qui se cachait derrière tes écrits pour l'envoyer rugir en Asile... si je t'ai invité à lire ce sujet, c'est qu'il est une démonstration "parfaite" de ce qui est abordé dans ton topic.
  9. Lorsque j'écris que la plainte est le mal absolu, j'use d'un langage outré à la façon de Mackey dans South Park, m'voyez. ( )Cependant, j'ai développé tout à fait sérieusement que la plainte entraîne une stagnation aussi bien pour celui qui l'origine que pour celui qui la subit. Toujours ici. Et bien entendu, j'évoquais la plainte pratiquée ici, sur ce site et surtout dans ce topic même si nous la rencontrons souvent à l'extérieur, chez nos amis, dans nos familles, collègues de travail, etc. Une plainte puérile, à l'image de l'enfant chutant à l'exercice de ses premiers pas. Se plaindre de mauvais traitements psychologiques ou/et physiques n'a pas la même fonction, elle sera davantage la dénonciation d'un bourreau qui enfreint les lois et mérite d'être puni. A ne pas confondre, donc. Ensuite, non, je n'oublie pas les autres façons de traiter la plainte mais, j'ai proposé les deux seules manières saines d'y faire face. La petite liste non exhaustive que tu dresses relève d'un dysfonctionnement psychique de l'individu qui s'y emploie. Malheureusement. J'ai très bien compris tout ce qui se jouait quant à la réalité de la suggestion de ce topic et crois-moi, je comprends aussi bien les doléances des uns comme des autres. Cependant, après 25 pages, rien n'est résolu et cela restera ainsi. Pourquoi ? Parce que le seul et unique mode d'emploi se situe en CGU, pas ailleurs. Le respect n'a de sens que pour celui qui le comprend. Allez, moi aussi je t'invite à lire un topic, il ne fait pas (encore) 25 pages : Dialogue avec lobotomie_
  10. Je suis d'accord avec toi, concernant le tag, aucun doute là dessus. En revanche, je m'oppose à une section Sciences Humaines ou du moins, je n'y suis pas spécialement enthousiaste et ne débattrais pas en sa faveur s'il fallait convaincre qui ou qu'est-ce. Je parodiais deja-utilise tout gentiment car il me fallait un argument de plainte pour une démonstration assez bien commise (j'ai du talent) à Marioons. Alors pourquoi pas de Sciences Humaines, pour moi ? Parce que la Philosophie est la mère de toute cette petite racaille (psycho, socio, psycha, etc.) et lorsque je constate que mes dix doigts suffisent à dénombrer les intervenants de la rubrique philo, je me dis que c'est aussi bien qu'un sujet de philosophie soit traité avec un peu de psychologie, de sociologie, d'anthropologie, de psychanalyse et parfois même de mathématiques, de politique et de littérature. Non, vraiment, c'est bien ainsi...
  11. Mhm... il y a une confusion, ici, dans ton développement. Traverser la route est de l'ordre d'un apprentissage, de la transmission d'un savoir et en aucun cas du conseil. Ta mère, en te disant de regarder à gauche puis à droite, ne t'a certainement pas dit : "Je te conseille de faire ainsi mais ce choix t'appartient." Elle t'a certainement dit : "C'est ainsi qu'il faut faire." POINT. Une fois libérée de sa contrainte éducative, tu pourras alors remettre en cause, comme dans ton exemple en Angleterre, la solidité de sa transmission et son insuffisante connaissance sur la manière de procéder ailleurs dans le monde. Le conseil fait appel au libre-arbitre contrairement à l'injonction.
  12. Si l'on y regarde de plus près, qu'il y a-t-il de différent entre "cet espoir vain d'être entendu" et la malhonnêteté/tromperie, la violence, etc. ? Et, pour faire cesser le braillard, tu pourras relire ici mais, schématiquement : - A la façon de Bisounours (maman) : Tu lui fais un bisou ou lui chante une berceuse (tendresse dont parle Marioons) explicitement, cela revient à désamorcer la rage planquée derrière la plainte. On peut également utiliser la dédramatisation. - A la façon de Lacan (papa) : Tu flanques à la porte "Et reviens me voir quand tu auras quelque chose à dire !", ignorance de la plainte. Comme tu veux, tu choises. Ce qui est certain, c'est que la façon d'aborder la rubrique philosophie n'est en rien différente de la façon d'aborder toute autre rubrique, à mon sens. Dans n'importe quel sujet de n'importe quelle catégorie de n'importe quelle rubrique et sous-rubrique, ce qui gênera la discussion sera toujours du même ordre et malgré tout ce que l'on en pense, sans grain de sable pour faire grincer les rouages, nous ne pourrions pas faire évoluer la machine.
  13. Plus avant, tu défendais l'idée que l'on peut expérimenter la mort et désormais, tu affirmes l'inverse... honnêtement, c'est très compliqué (pour moi) de te répondre et plus généralement de développer un sujet avec toi, alors, le premier paragraphe dont tu parles, c'est lequel, au juste ?
  14. Je pense que tu as en effet été prise en exemple pour servir les propos de quelques uns. Mais, il ne s'agit pas d'un tribunal dans lequel tu es assise au banc des accusés. Si certaines de tes interventions n'ont en effet rien apporté au(x) sujet(s) de philosophie au(x)quel(s) tu as participé, quel mal y a t-il à le rapporter ici dans ce topic au titre plus qu'explicite : Comment aborder la rubrique Philosophie ? Tu sais, il m'arrive de "troller" en toute connaissance de cause et parfois, je ne m'en rends pas compte et c'est ainsi que j'ai appris qu'il y avait toujours un risque à ouvrir sa gueule s'exprimer. Accepter que nos propos ne soient pas toujours bien accueillis nous libère d'une pression à faire toujours bien, toujours mieux pour ne décevoir personne. Non ?
  15. Mais... Mais... Tu m'envoies lire un sujet de 22 pages ! Alors je t'en remercie car j'ai ainsi pu comprendre ce que fout désormais la Philosophie en Arts et Culture (c'te honte ^^ ) et puis comme j'avais quelque chose à dire alors je l'ai fait et je pense qu'y répondre sur le topic de Dentelle de mots aurait été surenchérir dans le trollisme dont je m'étais déjà rendue coupable... Cela n'aurait pas permis d'apporter de la matière ni de progresser. Tout ramener à soi n'est pas systématiquement égocentrique lorsqu'il s'agit de l'en faire ressortir. J'évoquais le fait d'une interrogation de soi sur la raison profonde d'un agacement envers certaines interventions et surtout en philosophie. Ce qui éviterait tout simplement de répondre violemment à la dite intervention ou au contraire de l'ignorer puisque l'interrogation de soi amènera généralement celui qui la pratique à comprendre que cela n'amènera ni matière ni progrès au sujet en cours. Chuuuut... ! Non, la plainte, c'est le mal absolu. Devant un bébé qui chouine, tu n'as qu'une option : le faire cesser. Au sujet d'une catégorie Sciences Humaines, je te parodiais, deja-utilise, ne m'en veux pas... Mais par contre, oui, je crois au destin. "Troll tu es, Troll tu demeureras. Honni soit qui mal y pense !" [bible du forumeur intempestif - Verset de la zone 51] On n'y échappe pas, en tout cas.
  16. tentative n°1 ( espérant toujours ne pas froisser mon interlocutrice prise en exemple ): ( http://www.forumfr.com/sujet618686-le-cercle-vicieux-des-pensees-moribondes.html?view,findpost,p,9214842 ) Oh, deja-utilise... ! Synthétisées ainsi, je trouve nos conversations vachement sympas, non ? Ton interlocutrice n'est pas froissée car elle aime toujours bien que tu prennes la peine de la citer tout en rose. Et je confirme que sans ce petit air tout penaud figuré par l'émoticônne, je n'aurais fait qu'une bouchée de notre ami... parce que jsuis comme ça, moi, un peu anthropophage sur les bords... Mais, il se laisse cuisiner avec beaucoup de patience. Hein que tu aimes bien, deja-utilise ?
  17. Bien sûr que j'y suis réceptive. Et comment ! Tu as consenti à t'engager dans l'expérience de la réflexion et de la pensée (moribonde) et je t'en remercie car cela débloque la situation. Pas de piège car j'ai pensé, au début, te demander de me décrire ton expérience de l'homosexualité ou la zoophilie... j'ai revu ma requête rapidement parce que j'étais beaucoup plus sûre que tu n'aies jamais accouché. ^^ Jamais tu ne sentiras dans ta chair ni dans ton esprit et tes sens ce que mettre un enfant au monde provoque mais, pour le comprendre, tu as recueilli divers témoignages, tu as assisté à plusieurs accouchements et observé alors ce qu'il s'y produisait. Tel un scientifique. Tu as acquis une connaissance. Mais, au moment même d'expliquer de quoi il s'agit, tu n'as pas d'autre choix que de faire appel à des représentations. Tu vas passer par ta propre expérience (ton vécu : coliques néphrétiques, dentiste, etc.) pour te rapprocher le plus près possible de ce que tu cherches à définir or, tu le sais, les coliques néphrétiques ou la peur du dentiste n'ont que très peu à voir avec un accouchement... ah non, tu ne le sais pas. Pour la mort, c'est le même processus. L'expérience que l'on peut en faire ne concerne que la pensée et là, nous rejoignons enfin ton sujet. Que je passe par Lacan importe peu, ce n'est qu'un détail en fin de compte car j'évoque un chemin que la pensée pourrait emprunter afin de ne pas tourner en rond : Commencer par la mort, en faire le deuil. (Et pour l'encyclopédie, on s'appelle, on s'fait une bouffe ! ^^ ) Personnifier la mort est une bien belle façon de l’appréhender. Cela la rend plus humaine...
  18. Je ne sais pas quoi dire... jamais je n'aurais pensé que l'histoire d'Aergie précédait l'Humanité... ou qu'elle en permettrait même la naissance. Puisque 2 minutes suffisent à expliquer notre monde, prenons la mesure de notre importance et à ton image, Zenalpha, soyons-en les fervents acteurs. Je regrette un peu que mon rôle de spectatrice/lectrice d'Aergie s'achève ici car j'ai pris tant de plaisir à vivre son histoire dans mon coeur et mes pensées mais, il faut bien qu'une histoire se termine pour qu'en débute une autre... Alors, je te remercie encore pour ce voyage.
  19. Mhm... Il semble que l'administration du site ait joué avec les codes d'édition... la mise en page est centrée et même en éditant, je ne parviens pas à éliminer les balises visibles. ^^ <div>Un ptit bug.</div>
  20. Alors là ! Si tu savais tout ce que j'ai imaginé quant à l'âme d'Aergie et le pourquoi du comment elle ne s'était jamais incarnée auparavant... absolument rien à voir avec son histoire réelle, j'étais loin, loin, loin. Trop d'imagination... ^^<div><br></div><div>Ce que tu nous donnes à comprendre est bien plus beau dans sa tragédie... à la fois fille de l'Amour et fruit d'une expérience de laboratoire, Aergie devait découvrir le sens de son existence afin d'exister, d'Être. </div><div><br></div><div>En route vers la suite et fin... pressée en traînant...</div><div><br></div><div><br></div>
  21. Alors gageons que la simple phrase "Veux ce que tu peux" ainsi que la réflexion qu'elle alimente servent d'impulsion extérieure.
  22. "Les conseilleurs ne sont pas les payeurs." Ou comment le conseil n'est finalement qu'une petite étincelle permettant éventuellement d'allumer ou rallumer sa propre lanterne mais en aucun cas, la lanterne à suivre aveuglément.
  23. Les interrogations que tu poses permettent une belle ouverture et il y en a une précisément sur laquelle j'ai "p't'être bien quelqu'chose à dire" mais avant, il y a un désaccord à clarifier. Lorsque tu écris : "Vouloir ce que l'on peut, c'est au contraire se contraindre, se limiter dans la perception de ce que l'on croit pouvoir." Il y a deux aspects dans "Veux ce que tu peux" puisqu'en retournant la pièce, il se lit "Ne veux pas ce que tu ne peux pas". Alors même si l'on reste dans une perception faussée de ce que "l'on croit" pouvoir et tout logiquement ne pas pouvoir, celui qui se pense bon à rien saura se dégager d'une sacrée chape de plomb. En renonçant à tout ce qu'il ne peut pas, sa volonté se verra grandement libérée et c'est dans cette liberté, absence de contraintes justement, qu'il pourra accéder à ce que tu appelles la réalisation réussie de l'impossible. Alors comment savoir ce que l'on peut ou pas ? Je viens d'ébaucher plus ou moins la réponse puisqu'il s'agirait d'admettre tout simplement que l'on ne peut pas. Ce n'est qu'à travers la tentative et l'échec que ce que l'on peut va se manifester. Alors, finalement, est-il nécessaire de se faire aider lorsque l'on peut s'aider soi-même ?
  24. Zenalpha, tu as l'art de faire grandir mon impatience et de ce fait, ma patience. J'emporte toutes les questions que tu nous poses en te promettant de ne pas trop y réfléchir afin de me laisser surprendre car même si j'aime laisser mon intuition mener la barque, j'aime aussi me sentir perdue lorsqu'un guide est tout près...
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