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yacinelevrailefou

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Tout ce qui a été posté par yacinelevrailefou

  1. Dans Chamonix, je traverse, je marche le temps. Sur les nets chemins, ruelles éclairs, le dôme blanc mêle nuages et halos pointus. La brume et le soleil se noient en des glaces intérieures : ma vue de dedans est déjà sur Montenvers. J'y monte la grandeur de mon adoration et quand j'en descends, c'est la gloire du Magnifique. Il y a de curieux aux détours des bâtisses ; au loin suspendu aux virages de ses sentiers et du village, petit centre riche et actif ; l'attrait du temps que l'on a peur de ne plus voir. Je regarde alors souvent, au gré de mes inquiètudes, de mes promenades ; le Mont Blanc de peur qu'il n'y soit plus, de peur de ne plus le voir, qu'il ne se montre plus à moi ou bien, que je parte de cette ville comme ce fut le cas de beaucoup d'autres, de toutes les autres. Alors, le souvenir dans le dos, je me retourne pour m'assurer qu'il est toujours là, qu'il m'assure toujours, là. Là pour ne pas perdre le temps a regarder ailleurs ce que cet immense éphémère disparaîtra un jour certain - éternellement et tout comme moi. Et avec lui mourir peut-être sur la charpente du toit de l'Europe... Peut-être.
  2. Misère et pauvreté. * Au premier acte, aucun des personnages ne sauraient être nommés, on les considèrera par le lien qu'ils ont entre eux : -Le grand-père. - L'oncle. - Le petit-fils. * Un feu de cheminée éclaire une pièce où cinq chaises sont disposées autour d'une table. Un large couloir en prolonge l'espace qui donne vers une porte fenêtre où un vaste jardin enneigé. * Acte I, scène I. -Grand-père - Tu vas finir en prison ! -Petit-fils- Pourquoi ? -Grand-père- Tu fraudes le train ! -Petit-fils- Je n'ai pas les moyens de le payer, ni le chez-moi qui pourrait m'en dispenser l'obligation... Pas d'adresse, pas de travail, pas de sous, pas de travail, pas d'adresse... -Grand-père- Et les services sociaux ? -Petit-fils- Tout m'est bloqué... Mon nom, mon visage exotique, vous... Et c'est parce que tout m'est dû que devant trop, l'on ne m'en donne pas même la considération... En voudrais-je exprimer le simple et juste droit que l'on en bloquerait l'écoute. Et à défaut, les plus justes s'en feront mérites à ne point me reconnaître valeurs. La justice m'ordonne de faire, et son autorité m'en empêche. -Oncle- Tu es indigne de nous, du pays ! Pour moi, tu es mort ! -Petit-fils- Où cette haine trouve-t-elle honneur ? -Grand-père- Ta mère te connais parfaitement et pour m'entretenir régulièrement avec elle, nous te connaissons aussi. J'ai d'ailleurs eu de tes affreuses nouvelles la semaine dernière... N'étais-tu pas à Monaco à insulter les dames du Secours Catholique ? -Petit-fils- Ma mère ? Cela fait une éternité ennemie que je ne l'ai vu. Ma piété filiale m'y obligeant, mes dernières excuses lui sont parvenues il y a plus d'un an... Courrier sans réponse... -Grand-père- Mais, à Monaco, tu as faits encore des sottises... -Oncle- Du grabuge ! -Petit-fils- Je n'avais plus un kopec et vu ma couleur de peau, mes yeux corbeaux, même avec l'aide de Molière en déclamant de ses "Femmes savantes" les vers; la dame à jurer ma perte ! M'interdisant l'accès de son honorable boutique par le barrage flétrie de tout son corps, je lui ai poliment fait courtoisie en l'informant que je ne mangeais pas de ce pain là et que de sa vertu était ma chasteté... Voilà tout. -Oncle- Et le poste de police de Monte-Carlo... c'est ma chasteté peut-être ? -Petit-fils- Pardon, mais le vagabond au faciès délinquant etc...c'est moi ! Ce n'est sûrement pas la vigile du St Esprit ! -Grand-père, soudainement inspiré- Amen... -Oncle, désolé- Papa... -Grand-père- Bon... Et dis moi, tête de linotte... Ne t'étais-tu pas fait un copain, là où tu logeais à Montauban ? -Petit-fils- Lui ? Monsieur Cacauète ? Il tête encore le sein de T'chita... Mais tu es, à mon sujet, au courant de tout bienque très mal informé... Je perds ma santé sur les routes, dans les gares, et tu rêves de me laisser en prison, mon oncle ne me pense déjà plus et, si je suis encore, fait tout son possible pour j'en demeure chaque jour un peu moins. Et pourquoi cela ? -Oncle- Oui, pourquoi ? -Petit-fils- Parce que la folie d'une autre fait sa réputation sous les faux-semblants de ses soins et bons mensonges, se disant pour moi. Elle lutte alors pour vous tous, le pays... à ma perte. Ma mère se l'ai juré et j'en suis alors le seul menteur, vous et le monde qui la tenez pour véridique... -Oncle- Mais pas du tout... Il y a des preuves ! -Petit fils- Celles-ci, en m'accusant, m'innocentent et condamnent... Mais à forcer la misère du Saint, on ne reconnait du voleur que la morale... -Oncle- La morale du voleur n'est sûrement pas celle d'un Saint ! -Petit-fils- En effet, et n'est pas saint qui veut... A ce sujet ma mère... -Grand-père- Et bien... Quoi ? -Petit-fils- Cette sainte femme ne forcerait-elle pas ma misère, et n'ai-je pas porté beaucoup de la sienne ?... Comme sur toute la planète, il y a des preuves en ce pays qui sont très clairement expliquées, pour peu que toutes les attentions qui y sont peut-être encore porté en dégage de par leurs esprits la juste clareté... ma misère. -Oncle- Voleur ! -Petit-fils- Ah ! Me voilà fait comme un rat... Et comme le vice, je voudrais courir loin de St Estephe et me meurt, prisonnier au fond d'une bouteille. Famille ! Votre lumière m'aveugle ! Les trop nourri accusent toujours la famine, mes ténèbres. Souffrez donc que, pour moi, je fuis l'obscurité maternelle... C'est, croyez-le bien, une démarche salutaire qui seul me concerne : la saine garantie de la naturelle beauté de mon esprit, en mon âme et conscience... Que vous y restiez, brûlant des ailes dont vous vous ignorez, cela n'en fait pas moins les miennes. Même mieux, elles n'en sont que plus larges et... claires ! Mais avant de finir en terres, géôles patriarcales ou autres établissements paroissiales ou médicales... loin de la maison de vos saints sentiments et des privations financières; j'aurais une requête dont vous connaissez parfaitement la teneur et qui me tient extrêmement à coeur. Pour vous faire mieux comprendre ; ce peut être le noeud de mon malheur, mais sachez que ça l'est certainement ! -Oncle- Quoi encore ? -Grand-père- Encore ! -Petit-fils- Oui. Et toujours... jusqu'à ce que Justice m'en soit satisfaite ou bien que la mort s'en occupe. -Oncle- Aller... annonce, ma soeur tirera la première. -Petit-fils- Ma mémoire se doit de cultiver l'insigne de mes ancêtres, leurs honneurs qui m'ameneront en terre... Je ne veux pas être enterré sous le faux-nom, celui que je porte de par la folie stupide de cette mère qui travaille à me mourir prématurément. Que, puisqu'il vous est insupportable que je veuille porter ma sincérité au monde, au moins, donnez la moi mort. Et cela, tout voleur que je suis, que vous m'en faîtes et que pour ma mère s'y forçant, je semble être. -Oncle- ... -Grand-père- ... -Petit-fils- Je veux être enterré selon ma religion, l'Islam et être connu, ou reconnu au besoin, comme le fils de mon père et non celui d'un imposteur, ce qui me donna folie trop longtemps, étant à tort sincère avec le mensonge; le nom de l'imbécilité et de la folie de ma mère. En vérité, le mot perverse n'est pas loin de ma bouche. Car blessant il pourrait en être plus proche, mais il perdrait, avec votre compagnie, en vérité. De la folie de ma pauvre mère que trop longtemps je porte, soulagez-moi ! De ce nom, de ce mensonge, imposture qu'ici-bas je souffre et que, au moins, une fois ne plus être, je ne veux encore porter pas ! Ma sincérité m'a déjà perdu, et, plus que retrouvé aujourd'hui, en mon âme et esprit, ayez le corps d'en être autant que moi afin qu'elle ne vous perde pas ainsi que moi en ce monde, et plus en avant, outre-tombe. -Oncle- Schluss ! -Grand-père, sourire satisfait et moqueur- Aller... Au lit bonhomme ! Demain, tu prendras le train. -Petit-fils- Je n'ai pas de sous... -Oncle, ironisant- Prison ! -Grand-père- Non, mais ce n'est pas la question, on te prendra un billet pour... Mais au fait, où veux tu aller ? -Petit-fils- Non loin d'ici, visiter un être cher. -Grand-père- Pas question ! On est bien gentil de t'avoir ouvert la porte, de t'emmener à la... -Oncle- Prison ! -Grand-père- ...gare. Tu prendras le train, et voilà tout ! -Petit-fils- Merci, d'ailleurs pour ce morceau de pain et ce bout de fromage... Trois jours que je ne pouvais me reposer. Je peux me servir un verre de limonade ? -Oncle- Plus tard. -Petit-fils- Quand ? -Oncle- Jamais ! -Petit-fils- Dis, grand-père,...une douche, c'est possible ? -Grand-père- Bon, d'accord. Mais tu as 6 minutes. Pas une de plus ! -Petit-fils- Vraiment, merci beaucoup, le ciel vous le rendra !
  3. Me voilà en Q.I. Après mes évasions successives de plusieurs prisons française, me voici enfermé en Q.I. Je n'ai qu'un couloir borgne où seul les lampes m'indiquent le jour. Je n'ai qu'un couloir pour nuit et jour. Un mince couloir... Et seul. Je suis seul. Un bâtiment pour moi. 3 fois par jour une personne vient poser mon plateau repas. Il est cagoulé et ne parle pas. Me voici en Q.I. et pour longtemps. J'ai énormément grossi, je ne pense plus ou si peu. Lors de ma dernière mise aux arrêts, l'on m'a fait plusieurs injections. Une femme discrète, à mon interrogatoire me les a administrées. Ma nourriture est infesté de médicament de type psychiatrique : je ne pense plus. Ma tête est comme raidie. Je ne peux pas faire de mouvement avec elle sans entraîner tout mon corps. Ma mâchoire est si lâche que je ne peux parler. Ils ont mis un terme à ma vie, moi qui suis mort en entrant ici. Mort vivant ainsi que plus l'avenir se précise plus mes capacités à vivre s'amenuisent. Moi, un Grand Bandit réduit à l'impotence. - Voilà bien deux années que je ne parle à personne, que je ne vis plus, dans ce couloir long comme un abîme, fin comme l'instant et déjà s'ajoute à la mort de l'Esprit, la mort du corps. Je végète et n'attend même plus ma libération. Ils ont décider de me casser à vie, jusqu'à ma mort. Ils ont bousillé ma santé. Mon erreur fut d'avoir un autre mode de vie, hors la société, hors sa loi... Cette loi qui jamais ne sera mienne bienque me contraignant à la mort. Condamné maintenant à perdre l'Esprit qui meut et les idées et le corps. - Voilà bien 28 années que je me plie à ce que l'on ne cessera de me reprocher vu l'empreinte du mal qu'ils m'ont fait. Je n'ai plus d'avenir, plus de passé et aujourd'hui que l'on me livre à la liberté, jour de ma sortie, me voilà mort. Que l'on m'enterre en Q.I. comme détenu libéré.
  4. 2097. Dans un monde où les robots sont humains d'apparence, les robots ont développé la conscience. Mais ils n'ont pas d'âme, comment une clef à molette ou une pierre pourrait en avoir ? Or, les robots de par cette conscience veulent en avoir une. Ils "veulent" à défaut de "croire" car ils sont incapables de croire. Ils produisent, ils ne vivent pas. C'est alors que la technologie les fît lire. Ils savent lire. Ils lisent le monde, ils ne parlent pas, ils lisent. Ils ne répondent à quoi que ce soit, ils lisent la réponse qu'ils ont en information. Face aux humain, peu de différence. Les robots lisent le monde avec la seul intelligence. Une intelligence basé sur des sens "technologique". Les robots veulent les mêmes droits que les humains, ils veulent être humains et le sont d'après eux ; plus encore, se disent supérieurs au humains. Pour différencier les humains des robots, seule la vérité confond ces derniers. Les robots ne peuvent que vouloir et non croire. Les robots font alors preuve de mauvaise foi, l'homme est homme car il ignore sa création alors que les robots ont connaissance de leur création. Ils savent qu'ils sont en premier lieu le produit de cette connaissance, celle de leur création, et c'est d'ailleurs par cela qu'ils se reproduisent. Leur conscience est la connaissance de leur création. Ils ont la conscience de l'homme quand celui-ci s’évertue à faire. Leur conscience est la condition de l'homme travailleur, celui qui use et produit sa propre technologie : l'homme-faire. Les robots n'agissent que par volonté qui est défini par la connaissance et la logique. La guerre "des robots" commence : la chasse au mimétisme. - Comment les hommes ont été créer ? No information. - Comment les robots ont été créer ? Technologie humaine.
  5. Pour moi, la vérité existe, et même l erreur est sous la vérité. Tout est vrai même l erreur. Et le pire est que l erreur existe... Il ne tient qu'à nous de vivre la réalité en adéquation avec ce qui est vrai. Encore faut il savoir ce qui tient de l erreur ou plus bonnement de ce que la réalité a de faux, a moins qu' il nous failles uniquement tenir compte de la vérité. La question essentielle serait alors de connaître la vérité, ce qui est vrai face à l erreur qui y contribue de la même manière. La vérité est défini face à l' erreur ainsi que l' erreur contribue à la vérité puisque l erreur existe ou plutôt nous faisons le choix qu elle existe selon notre interprétation erronée du réel ainsi que nos incapacités a nous réalisé pleinement (a être en accord avec la réalité)
  6. de plus ta métaphore de la goutte d'eau et de l océan n est pas pertinente dans son ensemble car cela tient du monde. Comment essayer de comparer avec la logique quelque chose ou une entité dépassant l univers entier ? Nul n est égal a un sauf lui-même, et encore bien mieux nul n est égal a lui, rien ne peut être semblable ou égal, il est le seul. Pourtant nous sommes Monde ! Et voilà bien la preuve de l unicité dans la multiplicité dissocié totalement de l unicité. Le monde est pluriel, le Tout est immense dans son infinité mais ce qui est unique en differe totalement. pas de vacuité c est transendantal.
  7. dissocier Dieu du monde ne consiste pas à le nier. De plus le temps ou l acte créateur, logos ou verbe, pourrait être le dissociant du dissocié . Dieu est un, il est supérieur à l infini, l infini + 1 : il n est pas Tout, il est au dessus. Le nombre est infini et seul Dieu connaît le nombre. Et donc Dieu est Un.
  8. ...Terroriste. Il n'y a pas de feu sans flamme et me voilà confronté à la police. Il fouille mon appartement. Tout mon appartement. Ils me signifient que je suis un danger, que je refuse le cadeau de la vie, celui de vivre en une bonne société. Ce sont des gars de la sécurité intérieure, des super-flics de la section anti-terroriste. Cela faisait des mois que mon appartement était sur écoute. Ils ont tout entendu, les va-et-viens de mes amis, de mes camarades, de mes frères. Rien n'a pu leur échapper. Je pense que je suis pris. Ils n'ont pas encore trouvé les armes que je cache mais ils jubilent sur ma bibliothèque remplie de volume dérangeant. Dérangeant d'une vérité qui m'obsède. Une vérité qui lutte. Qui lutte contre la société, celle où je vis ; Ma société... Tendance suicidaire a dis le psychiatre lors de ma garde à vue. Peut-être est-ce vrai. Mais je doute que cette « tendance » soit en tous lieux attachée à ma personne. Mon idéal, lui, est à construire, à naître. Même si il faut que je tue ou que je sois tué, c'est une chose qui nous dépasse tous. Elle se doit d'être et j'en suis le vainqueur. Mon idéal, une société nouvelle, d'éthique éminente et ferme que je dois faire peser au monde est aux mains de la sécurité de l’État. Maintenant, on ouvre ma cellule, on me rhabille : de hauts fonctionnaires souhaitent me voir à l'aveu. Je suis encadré par des militaire avec qui je circule dans la prison jusqu'à un bureau. Une table puis une chaise. Je suis abasourdie ; la fatigue, le stress... Enfin, du stress peu m'en reste ; je me sais condamné et ce n'est rien face à mon idéal, mon choix des armes, celui de la lutte ultime et juste. Sur la table, une drôle de machine. L'un de mes interrogateurs me confirme qu'elle a fait ses preuves en Algérie...Électrique... A chaque réponse, je croule sous la douleur. Mes parties intimes fument et je tremble sous les chocs. Cette machine est froide, insensible à la douleur, elle est branché sur le secteur. En moi, dans un délire de souffrance, je repense à l'énergie atomique, l'uranium spolié par les industries de ma Société à l'Afrique. Et cette machine qui me hante encore dans les murs de ma prison. Ici, je dois passé 10 années de ma vie. Non comme un vulgaire passeur de cannabis bienque c'est entre autre ce qui m'y a conduit, mais comme un activiste antisocial. D'ailleurs à ce propos, je reçois 500 euros par semaine d'un mandataire inconnu. La police est sur le coup, le parloir sur écoute. Les micros sont au dessus de nos têtes, mais c'est peine perdue. Je ne reçois de visite d'aucuns de mes camarades de lutte. En prison, je fuis les pensées de la torture que j'ai subit pendant ses interminables heures de garde à vue. Je n'ai donné le nom de personne ni divulgué aucun de nos dispositifs autres que mafieux. Je savais ses derniers démantelées. C'est à ce titre que je suis protégé en prison. Ici, les forces du crime me mettent à l'aise. Je n'ai rien à demandé et rien à vouloir sauf ma liberté et la disparition de mes noirs souvenirs. Période sombre où je jure à un compagnon de cellule qui me demandait si je ne voudrais pas finalement travailler pour l’État que jamais je ne pourrais travailler pour ces salopards. Ils sont mes ennemis mais une fois libre, je ne me mêlerai plus de rien. Je rêve à une existence tranquille. 8 années ont passé. Enfin je passe l'avenue de la prison à pied ; je sort de ce trou vivant. La porte s'ouvre. Personne ne m'attend. Personne ne me dit où aller. « Récupérable !» comme dirait Sartre. Me voilà libre.
  9. mdr mdr mdr, excuse moi arthur mais là, je me marre a fond les ballons !!! Non, plus serieusement, si t'es fier de ce que tu votes, on est en temps de paix , dans un pays democratique, je laisse a ta conscience le soin de te torturer par toute la mauvaise foi que tu m'as deversé ce soir...mdr mdr... Je te conseille une lecture : Maurras. A ce qu'il parait les royalistes ont le vent en poupe en ce moment... Et pour ta gouverne, Le Front National de l'époque était allié des communistes.
  10. Et par exemple, j'en donnerai qu'un, Virgile Barel ! Tout en n'oubliant pas la dissolution du parti en 39 . C'est alors que les communistes aux armées explique le caractère réel de la guerre....puis sorti les FPTF (franc tireur et partisans français...
  11. Bon, si on en est a sortir les dossiers, le pcf avait la ligne de moscou encore sous le pacte de non agression, c'est ça ta dernière trouvail ? Bin, j'te la donne... Mais va pas me faire croire que les cocos ne se sont pas battu pour la resistance et contre ce qui deviendra le fn... Idéologiquement, tu vas pas me l'a faire a l'envers, du style les collabos c'est vous et nous bin, on été au front jusque le discours de ce bon marechale en 40 comme de bons français
  12. Peute etre et le crois tu ce n'est pas une atitude aussi noble qu'elle y parait car ce n'est pas seulement le seul motif de son agression : elle portait le voile et c'est pour cela , je presume , qu'on l'a agressé... Un crime antisémite mais là c'est contre une musulmane... tu vois le topo ? C'est un peu comme si on agresser un maitre d'école parce qu'il est maitre d'école (sans autre motif que ça) et encore maitre d'école est une fonction, un metier pas une profession de foi. Un exemple plus pertinent hélas : les moines de tiberine. Pourquoi sont ils morts ? Cette femme pourquoi a t elle été agressé ? Qui condamne cela , j'veux dire les autorités ? Y a pas un super lobby sur puissant tel les juifs mais a la musulmane ? Bref, les injustice pleuvent sur cette pauvre femme... esperons un coup de pouce de la patrie reconnaissante pour elle et sa famille .
  13. Mais il n'y a pas de quoi ! Tu es tout excusé ! Et a vrai dire , je te comprenais, mais vois tu , il y a de l'affectif et cela brouille quelque peu les paramètre de comprehension. Moins qu'un malentendu ce fut un échange passionnant avec toi. Garde la pêche et perso, je me recueille face a ce crime xenophobe ou plutôt islamophobe bien plus que raciste.
  14. Le pcf est un parti patriote, il l'a prouvé dans le sang sous vichy.... Tu sais contre le gouvernement de Vichy, Pétain , la droite ligne du fn ? Alors arrete stplait
  15. écoute vérik, ch u pas d'humeur a joué au plus fins avec vous (toi et les autres), j'te dis que c'est confirmé, point barre. Après tu m'as l'air de ceux qui se fiche pas mal du contenu aussi atroce soit il pour faire ta gue guerre stupide de je ne sais quoi... Ecoute bien : une femme enceinte s'est faite agressé (parce qu'elle porté le voile ne conformité avec ses preceptes religieux, c'est sa liberté , faut pas jugé )à Argenteuil : ELLE A PERDU SON ENFANT !!!! T'as entendu ? T'as écouté ? T'as compris ? Tu (ré) agis comment ?
  16. Bon les gars (et les filles) c'est confirmé : Inna Lillah Wa Inna Ilayhi Rajiroune La sœur agressée jeudi dernier à Argenteuil qui était enceinte, a perdu son enfant...qu'Allah lui donne la patience et rende SA Justice !
  17. J'hallucine !!! L'ignorance est a ce point ? Le fn, si c'est pas un parti xenophobe , c'est quoi ? Le nazional socialisme télétebbies ? Tu te fout de moi ou de toi ; là ... J'dis ça parce que là c'est se foutre de la gueule... mais de qui ? Voilà la question .
  18. Chez les arabes, ça marche au bouche a oreille, et ça fonctionne mieux encore que ton portable... C'est le tel arabe Mais c'est pour ça que j'ai dit "pas a 100%". De plus imagine... Imagine c'est vrai. Comme dans un roman noir : enceinte et voilée, agressé par des nazillon elle perd son enfant... J'vous dis , ça commence a sentir le faf par ici... Povreuh Frânce
  19. Je tiens ça de com sur fb.... J'ai un réseaux qui va loin dans la communauté musulmane...
  20. bon , dans l'aveuglement general, je persevere : a s'qui parait (selon mes dernières nouvelles), la femme voilée agressée a Argenteuil aurait perdu son bébé. Au lieu de parler avec des bas du front qui persiste dans leurs betise du voile simple= voile integral, une femme enceinte vient de perdre son enfant (c'est pas une info a 100% sur, je repete : pas a 100 % mais pas non plus a moins de 75 %) a cause de ce genre de gugus qui craignent un max, parce que un voile integral ou non n'a jamais été un motif pour legitimé une agression, et là pour le coup c'est tres grave : y a un mort. Voilà, a cause de personne plus conne que leur ombre, ces luky luk de l'injustice ont fait fort ... Je reste persuadé que... non je vais me taire, la colère est mauvaise conseillère
  21. A ce qu'il parait, la femme voilée agressé a Argenteuil vient de perdre son bébé.
  22. Le fn s'est tellement banalisé ainsi que leur idées xenophobes que les gens n'ont plus honte de voter pour ces connards, même pire , c'est face camera, les yeux dans les yeux qu'ils le disent devant la france entière. -oui, ch'u raciste et j'passe au 20 h de poujadas ! Tu vas voir qu'ils vont nous faire comme avec les homosexuelles et tutti quanti, y aura un delit de fascistophobie, et bin moi j'dis comme H F T : si ça continue faudra qu'ça cesse !
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