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Tout ce qui a été posté par Blaquière
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Ce couillon il est encore en retard ! Bon j'arrive ! C'est ça l'art ! La forêt vierge est IMPENETRABLE !
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Voilà ! je tourne le dos 5 mn et ils partent sans moi ! C'est malin ! ATTENDEZ-MOI !
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Exactement ! j'allais vous le proposer ! Ma technique est des simples. Tirée d'une expérience REELLE : celle de Schwarzenegger dans Predator ! D'abord on s met tout nu ! Ouais : t les filles aussi ! Puis on s'enduit le corps de boue comme ça : Après on craint plus rien ! Les moustiques s'engluent et les serpents prennent leurs jambes à leur cou ! On ne craint que les grenouilles. (Parce qu'elles aime la boue si on a a mis partout pour que ça rime !) Mais qu'est-ce que dis ? Je voulais parler d'autre chose : dee mon expérience... Vécue ! Vous pouvez me faire confiance : dans la forêt, je suis chez moi : L’aventure africaine Dans la forêt équatoriale, dense comme une forêt équatoriale, Je Humble suivait le guide. Le chemin très étroit forait un inextricable fouillis végétal où s’enchevêtraient (entre autres) à de grandes feuilles luisantes, des tiges piquantes aiguës, des rameaux duveteux velus, enrubannés de lianes larges, torsadées, interminablement... Nous dirons que le but du voyage était de prendre contact avec le chef d’un village africain traditionnel, ou de quelque tribu isolée… Mais n’est-ce pas la même chose ? (Je Humble était peu savant en matière africaine.) Lequel chef, passait d’ailleurs pour être particulièrement accueillant, imberbe et policé. Las, l’aventure si prometteuse fut ratée. Et bêtement ! À cause de la fichue chaussure droite de Je Humble dont la semelle se décolla de tout son long sur le côté extérieur : dès lors, rien ne compta pour lui, plus que cette semelle. « Pourrait-Je faire des kilomètres en forêt — une forêt qui plus est dangereuse —, dans l’inconfort d’une semelle clapant à chaque pas ? » Quant à marcher sans chaussure, il ne fallait même pas y penser ! (Ses plantes européennes, bien trop ampoulables, étaient loin de valoir celles des autochtones… je présume ?) Off course (bien sûr) ! Une longue préparation de plusieurs mois, à tourner là en rond, dans cette clairière, eût été nécessaire qui eût permis à la couenne de durcir ! LE LOCUTEUR : Je n’ai rien pu en tirer d’autre. Au loin, le cri de Tarzan ne retentissait même pas. (Je peux pas réduire la grosseur de la police.) Bon, January, faut que tu te décides à nous embarquer ! Je tiens le public comme je peux, mais ils vont pas tarder à se rendre compte que je suis totalement fantoche comme mec !
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Je ne dirai pas qu'elle est morte mais abandonnée ! Momentanément, Jusqu'à sa résurrection. Puis sa re-mort, puis sa re-résurrection ! S'amouracher d'un mot ou le vouer aux gémonies n'est qu'une question de mode. La réalité reste. Bien sûr on peut chipoter et dire que le progrès n'est pas un progrès. Ça ne change rien à l'affaire et à l'écoulement du temps. L'évolution ! Objectivement l'évolution n'est pas un progrès mais un... changement. Une simple innovation. Et du fait que l'évolution soit inéluctable (elle est le temps) elle EST un progrès ! Parce qu'il y a eu changement et que le passé n'est plus, et que seul le présent est. Être (ou exister) est toujours supérieur, mieux que ne pas être (ou exister). C'est un progrès ! La conscience c'est la philosophie de l'histoire. Ou plus simplement l'histoire. Pour que rien ne change ! L'analyse de Klein est la bonne ! le libéralisme régnant ne veut pas que ça change puisqu'il est régnant. Mais c'est du "performatif" : il ne suffit pas de dire qu'il n'y a plus de progrès pour que ce soit la réalité. La philosophie de l'histoire n'a jamais été aussi utile. L'innovation dit que c'est nouveau. C'est du progrès à la petite semaine. L'innovation est là, c'est (quasiment) un objet qu'on peut acheter. Tandis que le progrès, c'est faire des plans sur la comète, il n'a rien à vendre. On a simplement remplacé le progrès, flou, vague, par de la thune à s faire. Alors que l'innovation n'était qu'un phénomène marginal au progrès, elle en devient l'essentiel : le plus immédiatement rentable. En ce moment.
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Quand on dit "faites un max de bruit" pour dire "applaudissez" Ou les "non-voyants" ou les "mal-entendants" ou encore "en même temps" C'est de la novlangue... Curieusement, Orwell voyait s'installer ce monde à partir du socialisme ce qui était alors très vraisemblable alors qu'on le voit nous envahir aujourd'hui à partir du capitalisme-libéralisme-financier. Qui peu à peu ne nous permettra plus de penser une alternative. Un libéralisme "double plus bon"! La seule théorie politique acceptable n'est plus désormais l' ANGSOC mais l' USlib !
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Exceptionnel ! (les deux)
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J'ai quand même l'impression que vous êtes assez d'accord ! Vous me direz que ce n'est pas une raison suffisant pour ne pas se disputer... --Ce qui est blanc n'est pas noir ! --Pas du tout ! C'est ce qui est noir qui n'est pas blanc !
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Tous par le monde reconnaissent le chaud comme le chaud Aussitôt voilà le froid ! Le chaud et froid donne la grippe... (Blaquière : "Le Ta cho Ta froa")
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Gaffe : bouilleur de cru c'est la cuite assuré !
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J"aime bien savoir où je suis : Détail de la Mosquitia image satellite :
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Je voulais chercher les échanges gazeux des anaérobies, mais j'ai eu la flemme ! Je suis de plus en plus fainéant ! Enfin pas complètement, fallait que je fasse autre chose... Merci en tout cas ! Certains parlent d'une biologie possible organisée autour du silicium au lieu du carbone. Tu en penses quoi ?
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Y'n a qu'on essayé (de respirer sans O2), mais ils ont eu des problèmes...
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Je crois que d'ici 20 ans, si on arrive à analyser les atmosphères des exoplanètes, on saura si elle abritent la vie ou pas. A 80 % il suffira de voir si elles possède beaucoup d'oxygène, O2. Qui semblerait être guère produit en abondance que par les bactéries... Comme ça a été le cas chez nous.
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M'en fous ! l'Amérique du sud et l'Amérique centrale, c'est mon fantasme absolu !
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Plus je retourne ça dans tous les sens, plus j'aurais tendance à penser que la caractéristique essentielle de la conscience, (comme celle de l'existence d'ailleurs) est de s'inscrire, de se développer dans le temps. D'être momentanée, autrement dit. La seule certitude dont nous puissions nous réclamer au sujet de notre conscience c'est qu'elle existe là, maintenant, au temps "t". Cela semble peu dire, mais les conséquences sont incontournables. (Quant aux éventualités de Dieu ou de "l'âme" que l'on dit hors du temps.) "J'ai été", "je serai", ne disent rien d'effectif. Mort au ciel, ou réincarné ignorant (de mon passé) ce ne sera pas moi ici ni maintenant. Or c'est celui-ci qui m'importe... Celui-ci qui vit dans l'urgence du temps qui coule. La conscience est comme un fil du temps qui se coupe le soir et se renoue au matin. Jusqu'à sa rupture définitive et irréversible...
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Et alors ?... Et alors ?... Et alors ?... Fisher est arrivé-é-é ! Sans s'pressé-é-er !...
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C'est mon commentaire : "Resterait à élucider quelques détails : le lait dans une casserole surchauffée, bout ? D'où le "bou-let" ! Mais c'est qui le boulet ?!! Le lait s'échappe ! Quel boulet t'empêche de t'échapper ? " que je trouvais tiré par les cheveux, pas ta magnifique promenade galactique : je ne me serais pas permis ! Quant à la "Moutarde Dieu" je connaissais pas cette marque... C'était peut-être une boutade... de Dijon ? (je sais elle est éculée celle-là...)
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J'avais raté ton explication ! Mais on est parfaitement d'accord ! En te lisant, j'ai fait le voyage avec toi ! Le lait : la Voie Lactée > d'où les galaxies (le noir n'étant que le vide sidéral ou intergalactique) > Le soleil > La terre ? terminus, tout le monde descend !... Resterait à élucider quelques détails : le lait dans une casserole surchauffée, bout ? D'où le "boulet" ! Mais c'est qui le boulet ?!! Le lait s'échappe ! Quel boulet t'empêche de t'échapper ? C'est tellement tiré par le cheveux que je dois accepter que c'est moi qui dois vouloir m'échapper !!! Ou non ! C'est le contraire : je ne veux pas m'échapper ! Depuis un gros moment je me dis "faut que j'aille travailler !" Allez, j'y vais ! à plus !
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Eh ? Tu nous a pas dit comment tu le comprenais ton "rêve éveillé" ! Tu devrais essayer de nous le dire...
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Un coup de pot qu'il saute pas 30 cm plus haut ! (Bon, j'ai rien dit, c'était juste pour détendre l'atmosphère de l'enfer vert !) Ton histoire est excellente, j'y revas !... La suite ! la suite !.....
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Oui ! Là; j'étais dans la politique économique de l'empire romain ! Tu me diras : Rome, le Pape, la religion... tout se tient !
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C'est ton "constamment" qui ne va pas ! En ce qui me concerne,la plupart du temps je laisse courir. Mais j'ai aussi expliqué : ça me fascine que des êtres doués de raison s'enferment comme prisonniers dans ds croyances déraisonnables. En fait je suis un incorrigible optimiste : je suis là en... spectateur ! Je voudrais assister au moment où... Paf ! la révélation va avoir lieu, au moment où je verrai un croyant s'exclamer : "Mon Dieu ! mais j'étais complètement à l'ouest !" Je lui souhaiterai alors "bienvenue dans la vrai humanité !" Tu comprends bien que j'en rajoute exprès, là ! En fait j'aime comprendre, c'est aussi simple que ça. Et ce que j'ai compris surtout c'est que l'esprit, la conscience, (et bien sûr l'inconscient) comment tout ça fonctionne, ça n'est pas simple. Mais il faut voir, constater, expérimenter. Le seul fait par exemple de penser que l'on a un "bon fond" ou un "mauvais fond", c'est vouloir coller un schéma préétabli. Il suffit de se trouver (de s'inventer, de s'imaginer" un bon fond, et l'on devient une sorte d'élu... C'est là qu'il est le problème de l'ego. Et malicieusement, avec l'air de pas y toucher. Imagine que je te dise : "c'est pas ma faute si je suis trop bien ! Ça m'est tombé dessus comme ça ! Le coup de pot, quoi !" Qu'est ce que tu dirais ? Eh bien, c'est un peu l'effet que tu me fais. (Et à d'autres sans doute aussi.) Là j'essaie juste de comprendre comment on peut sérieusement tenir ce langage étonnant. La seule base acceptable ... moralement, c'est de considérer que nous sommes tous à peu près équivalents (mis à part les fous à lier qui finalement ne trompent personne). Il n'empêche qu'on peu imaginer une gradation régulière depuis les "très sages" jusqu'aux très fous (à lier)... Perso, je me situe (presque par principe) dans la moyenne ! Ma seule ambition -raisonnable-- c'est de passer à "moyen plus"! Et si j'y étais déjà un peu, de pas trop redescendre... (C'est vachement motivant ! ) Pour ce qui est des extraterrestres, il y en a sûrement ! Qu'ils soient venus ici ou y viennent c'est un autre problème. En revanche, Dieu, Non ! Là, je suis catégorique !
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Je vais commencer par tordre des fourchettes à distance, après, je m'attaque à mon inconscient ! Promis !
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Je ne pensais pas avoir vu aussi juste : "Tant que le Soi est inconscient, il correspond au Surmoi de Freud” (Le symbole de la transsubstantiation dans la messe 1941/1953). A mon avis la notion junguienne de Soi st un peu fourre-tout et conduit à la confusion. La "totalité de l'être" en quelque sorte, ça fait surtout plaisir à entendre... Je préfère à cette "unification forcée" (dont la fonction est de fonder l'unité d'une notion d'âme absolument hypothétique ) la "décomposition" (!) ou plutôt l'analyse freudienne qui reste en l'état morcelé. (Il n s'agit pas de vivre mais de comprendre) Le Ça (avec son Moi Idéal archaïque tout puissant, "périmé") le Surmoi (avec ses composantes sociales -la Loi-); et le Moi (seul vraiment foyer de la conscience avec en particulier son Idéal du Moi). Ce qui permet de distinguer plus clairement les "instances" structurelles (hypothétiques : restons prudent!) des composantes plus dynamiques. Considérer que l'ensemble de l'Inconscient puisse devenir conscient relève je crois du fantasme. Parce que l'inconscient (en tant que réel) n'a aucunement besoin de devenir conscient et qu'il l'est (conscient) en quelque sorte "par avance' ! Je pense à la faim comme pulsion basique... Elle est (existe) ou n'est pas (n'existe pas). La rendre consciente c'est la vouloir et ça donne la boulimie ou la refuser, et c'est l'anorexie... La troisième voie (pour la rendre consciente) , ce sera la sublimation, et ça donnera la ... gastronomie ! Mais on voit bien qu'il y a déplacement ou transfert. La faim reste sans doute la même, et générée inconsciemment. Sa "version consciente" ne lui est qu'un exutoire, qu'une réaction, qu'une réponse : elle n'est pas la faim elle-même. Elle la transforme en apparence en autre chose comme la... gourmandise ! (Un péché !) La forme inconsciente (la faim vitale) y a-t-elle tellement "gagné" ? (Bien entendu, les motivations qui veulent ou refusent la faim seront à chercher ailleurs, dans d'autres instances pas dans le ça qui est comme l'innocent du village ! Dans le Surmoi, l'Idéal du moi ?)
