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Tout ce qui a été posté par Blaquière
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Si Dieu c'est la gravité, alors, je crois en Dieu ! Si c'est autre chose, (Comme par exemple celui qui décide de qui est méritant et qui ne l'est pas) alors, c'est Lui qui est toxique. (Je rappelle que croire en Dieu et au Dollar c'est la même chose
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En un mot : la gloire pour Carpentras :
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Des quintuplés !
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Finalement, danser, c'est comme la spiritualité : c'est les vacances pour l'esprit !
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Je pense qu'il n'y a pas d'innocence ou plutôt de pureté de l'enfance (d'innocence oui, évidemment --le néant est innocent-- !) dès sa construction dès les balbutiements de notre construction nous l'effectuons (cette construction) en réaction de ce qui nous entoure. Dès le départ, les volontés qui nous entourent et ne sont pas la nôtre sont toutes puissantes par rapport à elle : Peuchère de nous ! Et nous allons nous construire soit en opposition soit en identification suivant la nature (l'âpreté, l'égoïsme, le délire) de ces volontés... "étrangères". Nous ne nous choisissons pas. Il nous revient de nous réinventer par la suite si et quand c'est possible. Je parle en témoignage de tous les gens qui m'entourent et de tous ceux que j'ai connus moi compris.
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Oui ! Je suis d'accord. Pourtant on est pris en tenaille entre d'une part tous ces paramètres ou ces composantes physico chimique d'une part qui ne sont pas nous, pas encore : et d'autre part toutes les influences psychologiques, les identifications diverses (avec tel ou tel parent par exemple)... Le "moi" en devient (et même en est dès le départ) un moi imaginaire, un moi factice... Et le vrai moi, ou plutôt le moi réel qu'est au minimum notre corps avec sa propriété première d'être objectivement notre point de vu réel, (notre centre ou notre noyau) finit un peu par être pris pour un faux moi ou un moi de peu d'importance... Détrôné par notre moi psychologique reconstruit et fait d'emprunts...
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Hypothèse : ça pourrait venir du nom ? Le marron n'est pas une bien belle couleur... Elle a peut-être appris ou réalisé que d'autre choses avaient la couleur marron ? L'été dernier, j'ai dit à un moment quand nous en mangions justement : pourquoi on ne l'appelle pas le potiorange ?
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Exactement ! Pour en revenir à Parménide puisque c'est lui qui a inauguré l'ontologie, j'ai beaucoup appris et compris en lisant : https://hal.science/hal-01874300/document Maurice Y. Sachot a largement élucidé la démarche de Parménide. On s'est toujours focalisé sur son fameux "l être est, le non $être n'est pas" Comme s'il s'agissait d'un savoir absolu, d'une fin en soi. Pour Parménide ce n'est qu'une évidence qui sert son argumentation. Vous savez que l'être est et que le non être n'est pas, alors, tenez-en compte ! Ce qu'il reproche à ses contemporains ce n'est pas de dire que le non être n'est pas, car cela sans doute personne ne le fait. Ce qu'il leur reproche c'est de dire a propos d'une chose que tantôt elle est et tantôt elle n'est pas. D'en tenir parfois compte quand cela arrange pour le raisonnement et la compréhension et tantôt de ne pas en tenir compte. Il s'agit d'une dynamique, d'une démarche de la pensée dans la recherche de la vérité. De la réalité. J'essayais de transposer son point de vue dans la recherche ou la compréhension scientifique de notre temps... Quand est-ce qu'on dit parfois qu'une chose est et parfois qu'elle n'est pas ?... La lumière ! qu'on envisage parfois sous sa forme corpusculaire et parfois sous sa forme d'onde !!! Parménide nous dit () la lumière est une onde ET une particule ! Quand on l'étudie en tant qu'onde il faut toujours garder à l'esprit qu'elle est AUSSI une particule... De même que la réalité du monde dans son ensemble relève ET de la relativité générale ET de la physique quantique. Voilà Parménide est ainsi remis à jour ! C'était pas la moitié d'un couillon ! Après évidemment que l'être est et que le non-être n'est pas. Encore faut-il toujours en tenir compte. Parménide nous dit : 'Vous le dites mais quand ça vous dérange bous n'en tenez plus compte !" Et là à mon avis on pourrait facilement embrayer sur l'aspect religieux... Vous pleurez vos morts et vous ne voulez pas mourir, puis après vous nous dites que quand on meurt on ne meurt pas ! Il faut choisir : l'être est, mais le non être n'est pas ! Il y a un accent laïque chez Parménide ! Et c'est pas pour rien qu'on a perdu, (éliminé) une grande partie de son poème...
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Et c'est très très intéressant tout ce que tu as décrit. je pense (je ne dis même pas "mais") que jusqu'à un certain âge -le commencement étant certainement comme tu l'as dit dans le ventre de la mère- tout ce que l'on reçoit est considéré par le petit enfant ni sous l'angle de la vérité ni sous celui du mensonge mais tout comme étant la réalité. Ce n'est que plus tard qu'il apprendra a faire ces distinctions y compris à se distinguer lui-même de ce qu'il perçoit. Je crois.
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"Objets inanimés avez-vous donc une âme ?" Et moi ? Avant que ma pensée ne s'élabore, ne suis-je pas moi-même qu'un objet ? Mon cerveau ? Mes neurones... et leurs impulsions électriques, avant que le/les sens de ma pensée n'émergent ne sont-ce pas des "objets" sans esprit et sans volonté ? A quel moment ma volonté de penser intervient ? Dès le départ ou en cours de route ? Alors que tout un soubassement tout un faisceau de causes s'est déjà bien mis en place, bien cristallisé ? Ne s'agit-il pas (encore très loin du début) que d'automatismes ? Automate, mécanique, objet. Puisque aussi bien ma pensée et son existence même n'est pas gratuite. Et qu'elle est peut-être toujours une réponse à une situation... Un peu comme un réflexe. Je retire vivement ma main quand je me brûle sans qu'intervienne ma volonté. Et j'argumente quand on me contrarie (comme moi maintenant ! ) car j'ai été blessé par ta contradiction. (Si peu ! ) (Je me fais l'avocat du diable ! ) Au delà de ces "bêtises" (!) j'ai souvent remarqué que quand je forme un objet (au tour de potier) il se passe un peu comme un transfert : je me sens (un peu) cet objet comme de l'intérieur, comme si j'étais lui... (et le suppose que ça doit être le cas pour tout sculpteur) Et les noms que le potier (pardon d'être si petitement "artisanal") donne à son pot sont les noms de son corps : le pied, le ventre, l'épaule, le col, la lèvre... Et en ce qui concerne la théière c'est encore pire ! (Je rigole !) à cause de son tuyau !!! Je rappelle un ver de notre poète provençal du XVIème, le fameux Bellaud de la Bellaudière : "Tant va pichier èn taverno qu'a la fin lou broussoun li resto dins la man !" "Tant va pichet en taverne qu'à la fin le goulot lui reste dans la main !" L'allusion me semble assez claire ! A quel moment, ma propre pensée, et même ma conscience peuvent être considérées comme vraiment miennes, issues d'une authentique décision volontaire ?
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MERCI ! Qui c'est qui a dit qu'on n'avançait pas ou qu'on tournait en rond ? . Pas du tout ! On avance à grands pas ! "Il y a plusieurs manière d'être" : parfaitement ! Dit autrement, il y a plusieurs modes d'être. Là je snobe un peu, c'est limite minable ! Mais on dit la même chose. ... Je dois rectifier ma première idée qui ne trouvait de l'être que dans une certaine transcendance. Être = exister ! (Merci, @Neopilina !) Désormais, je pars de là ! [Je précise : il s'agissait de ce que la "doxa" (l'opinion) désignait habituellement par "l'être" à mon avis ! Pour moi, être c'est un verbe ! On est grand petit, on est rouge ou vert, ça dit ce que ça dit, mais "on est" ça ne dit rien !] Sauf si désormais je considère que "je suis = j'existe" : là je suis d'accord ! J'existe ! Je suis ! En tout cas, je m'en doute ! En suite c'est Parménide, Descartes et tuti quanti ... etc. Revenons à notre première idée : il y a plusieurs modes d'existence... Et paf ! Déjà je m'as gourré ! PLUSIEURS MODES D'ÊTRE ! On peut être ou exister de façon matérielle ou physique, ou réelle, Exemple : "Cet agglo existe !" Ou de façon intellectuelle ; "Je pense à cet agglo ou à un agglo." Mais il ne s'agit que de mon idée d'agglo. Ou "pire" (!) de façon imaginaire : "Si j'avais un agglo" ! (Genre Claude François même si lui, c'était un marteau !) Dès lors, si je pense à Dieu, Il est vrai que j'y pense ! Il est vrai qu'il existe dans ma pensée, ou dans mon imagination mais en tant que pensée ou imagination seulement. Qu'il existe réellement, c'est une autre histoire : P'tet' ben qu'oui p'tet' ben que non ! Mince ! C'est un mauvais exemple, faut en trouver un autre : je risque de vexer certains ! Donc je vais penser à UNE LICORNE ROSE ! (Un grand classique !) On sait qu'elle n'existe pas dans la réalité, et pourtant cette licorne rose existe en tant que pensée, en tant qu'idée dans mon esprit... Et même, je suis sûr que dans mon cerveau la licorne rose existe réellement en tant que molécules chimiques sans doute électrisées... Entre les dendrites, les cellules gliales : "Pardon, pardon, je suis l'idée de la licorne rose, faites-moi un peu de place !... etc ! Donc la licorne rose existe bel et bien ! Et sous forme matérielle ! Mais sous une forme matérielle de molécules, d'électricité, est-ce que je sais moi ? Mais elle existe ! En vrai ! mais sous une forme qui correspond à une idée. Pas sous une forme de licorne rose avec ses sabots et tout et tout... Mince elle vient d'avoir des sabots, là ! Mais des sabots en idée : pas des sabots en sabots... ....... Tê là je fatigue ! Vous voyez où je voulais en venir ? Parce que moi, j'ai un peu oublié ! C'est la digestion... Penser, c'est bien, mais faut pas négliger son corps... Mens sana in corpore somnolo !
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Cette fois-ci on est d'accord ! Elle est vraiment magnifique cette fille ! J'ai envie de la croire à fond à fond !
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J'ai écrit ça ici et c'est pas vieux ! J'aime bien cette pluie J'aime bien cette pluie qui ne dit pas son nom et rétrécit le monde. Elle le rend plus proche et tout inaccessible. On vit partout dans un nuage. Une barrière de tristesse infranchissable et floue Comme un repos. Les minutes s'allongent et tout n'est qu'un décor. J'en suis le spectateur Hors jeu. J'arrête de courir Car qui court sous la pluie ? Et dans cet air opaque et froid ?... D'ailleurs il ne pleut même plus... Mais la pluie reste là ! Je la respire par les yeux Je la respire par les pieds : Elle me fait éternuer ! Chaque brin d'herbe garde jalousement sa goutte au nez ! Le monde a deux versions Qui ne se mêlent pas : Il est sec ou mouillé ! 23 février 2024
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Il y a cohérence puisque je trouve cette vidéo, dessins et musique insupportable. Les deux étant relativement mes plus importants centres d'intérêt. Il me revient d'accepter nos différences. Je m'y efforce.
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Certes ! Mais le non-être n'est pas ! Pardon mais c'était trop tentant !
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Non il ne manquait rien quoi que j'aie coupé tout net au milieu de ma réponse pour cause d'orage !!! VI, 2b-3 : τά σ’ἐγὼ φράζεσθαι ἄνωγα. « Ceci, moi, je t’ordonne de le méditer. Πρώτης γάρ σ’ἀφ’ὁδοῦ ταύτης διζήσιος , Car je t’ <écarte> de cette première voie de la recherche » C'est donc que cette voie existe... elle est précisée là : Frg. VI, 4-9 : αὐτὰρ ἔπειτ’ἀπὸ τῆς, ἣν δὴ βροτοὶ εἰδότες οὐδέν et ensuite de celle sur laquelle assurément errent les mortels [qui ne savent rien, πλάττονται, δίκρανοι· ἀμηχανίη γὰρ ἐν αὐτῶν bicéphales : une incapacité en leur στήθεσιν ἰθύνει πλακτὸν νόον· οἱ δὲ φοροῦνται poitrine dirige une pensée errante ; ils se laissent porter, κωφοὶ ὁμῶς τυφλοί τε, τεθηπότες, ἄκριτα φῦλα, sourds en même temps qu’aveugles, hébétés, race sans discernement, οἷς τὸ πέλειν τε καὶ οὐκ εἶναι ταὐτὸν νενόμισται pour qui être et ne pas être est pensé comme étant le même κοὐ ταὐτόν· πάντων δὲ παλίντροπός ἐστι κέλευθος. et non le même. Chez tous le chemin est réversible. Tout ça noud compose un "non-être" qui semble avoir pas mal d'amateurs !
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Oui ! Mais à partir du moment où tout ce qui est pensé est l'être, "à droit" à l'être tout non-être s'évapore ! Et n'existe plus du tout. Qui donc peut suivre ce chemin ce que Parménide reproche à l'opinion (plus ou moins).
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Y a qu'un chveu sur la tête a Mathieu ...
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Good Venins dans Littérature
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J'ai pensé : "mais parlons de ce qui n'est pas, nommons-le qu'on juge sur pièce !" Puisque c'est la mauvaise voie que tant d'autre suivent... Maurice Sachot a l'air de penser qu'ils s'agit du ou des Mythes. Dont on sait qu'ils avaient leur importance pour "l'opinion" à cette époque. Mais ça ne reste pas très clair et Parménide n'est pas tout-à-fait catégorique. Il effleure seulement... Il en parle. (muthos) On aimerait qu'il nomme mieux ses ennemis ! Il reste "trop" théorique à mon avis. Finalement on reste sur notre interprétation de toujours que Parménide instaure la pensée "scientifique", la démarche rationnelle. Mais sa description de l'Être ou d'un Être immuable, sphérique qui n'a ni commencement ni fin fait un peu tâche... Et on l'admet en désespoir de cause comme l'effet d'un esprit ou plutôt d'une époque archaïque. Et aussi de la forme poétique et symbolique avec "déesse", "cavales" (!) et tout le tremblement...
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Y a qu'un chveu sur la tête a Mathieu ...
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Good Venins dans Littérature
Là ça va hercher loin ! Il y a aussi "prendre son pied"... Déchausser, chaussure, pied, s'agit-il d'une métaphore, d'un "comme si" d'une ressemblance ou d'une totale égalité ? Mais pourquoi pas ! -
Y a qu'un chveu sur la tête a Mathieu ...
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Good Venins dans Littérature
Rêver avec angoisse qu'on perd ou qu'on vous arrache vos dents est en rapport avec le fait qu'on culpabilise de se masturber. J'ai essayé de comprendre pourquoi et quel rapport cela pourrait bien avoir puisque les deux n'ont pas de rapport a priori. Et j'ai imaginé (sans garantie !) Que notre première prise de conscience qu'une certaine forme de plaisir était lié à nos "zones" sexuelles était contemporain du moment où l'on perd nos dents de lait... Sans garantie aucune encore une fois. Mais il faut bien essayer de rationnaliser ! -
Pour l'arbre et la rivière Je ne sais pas. Mais la théière Oui ! Ella a sa vérité ! Bien cuite à plus 1000 degrés Un : elle teinte à l'ouïe ! Deux : son anse est bien préhensible ? (Son créateur y est sensible !) Ou ne l'est-elle point ? Et elle vous glisse du poing ! Elle est trop courte ? (je dis l'anse) Et l'on se brûle les phalanges Contre le corps brûlant. Et globulaire... (Deux Avés et trois Notre Père !) Elle est trop grande Pour vous plaire Un peu trop théâtrale ? (C'est bien de l'art artisanal !) Mais gêne pour le rangement. Et son goulot ? En bon alter égo Pas assez recourbé ? Et la dernière goutte suinte Jusqu'à la plinthe (Au pied !) Trop recourbé ? Et il garde la goutte au nez ! Et le couvercle ? Trop petit et mal adapté ? Il va à dame se briser ! Et les Mesdames pour le thé Seront choquées ! Voire coupées ! En Vérité je vous le dis La théière a sa vérité Pardon de vous contrarier ! Quand la théière ment C'est céramiquement Dément !
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Céline, "Voyage au bout de la nuit" Stupéfiant cette haine tous azimuts de l'humanité ! Mais il faut dire qu'on la partage souvent !!! Personne ne trouve grâce à ses yeux. Comme tantôt j'étais sur Chat GPT je lui ai demandé ce qu'il en pensait : Céline est un écrivain controversé en raison de ses opinions politiques et de son antisémitisme. Son roman "Voyage au bout de la nuit" est cependant considéré comme un chef-d'œuvre de la littérature française. Il décrit de manière crue et réaliste les horreurs de la Première Guerre mondiale et la société capitaliste de l'entre-deux-guerres. Malgré les polémiques entourant l'auteur, son style est reconnu pour sa modernité et son originalité. Il en dit ce qu'on doit en dire.
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J'ai demandé à Chat GPT d'étudier mon... "poème".... Moi : que pensez-vous de ce poème ? Est-il humoristique ? Est-il critique ? Et par rapport à quoi ou qui ? : Ce monde m'a trop lourd déçu... etc Chat GPT : Ce poème semble à la fois humoristique et critique. L'auteur exprime son désillusionnement envers le monde dans lequel il vit et cherche refuge dans un autre monde, symbolisé par les Philippines. Il tourne en dérision la superficialité et l'artificialité de ce nouveau monde, où tout est brillant mais vide de sens. La transformation de l'auteur, qui passe de la nature à la spiritualité, est présentée de manière ironique et désabusée. Le poème met en lumière la recherche de liberté et d'évasion de l'individu face à un monde qui le déçoit. Moi : pouvez-vous relever les allitérations et les effet sonores de ce poème ? Ce monde m'a trop lourd déçu... Chat GPT : Les allitérations et les effets sonores dans ce poème comprennent: - "me mets"*, "monde, mieux", "Brillantine", "mijaurée" et "marmelade": allitérations en "m" - "Dragon", "parangon", "flamme" et "âme": allitérations en "r" - "rouge", "doré", "mijaurée" et "panade": allitérations en "d" - "narine", "O2", "opium", "sniffe" et "maximum": allitérations en "n" - "envole", "province", "benêt-vole" et "n'importe quoi": allitérations en "v" - "nature", "emmure", "spirituel" et "truelle": allitérations en "r" - "monte", "penser", "fatiguer" et "insensé": allitérations en "t" - "peur", "sueur" et "trois": allitérations en "r" doux - "libre", "présent" et "Orient": allitération en "r" Il y a également des jeux de mots sonores comme "Philippines" qui évoque la brillance et "Spirituel" qui contraste avec "truelle". (ça c'est bien vu mais *Il a raté "je me meus".... Moi : que signifie en parlant de l'orient : "Une musique avec trois notes C'est suffisant pour ma jugeote !" Chat GPT : Cette phrase signifie que même une musique simple, composée de seulement trois notes, est suffisante pour stimuler l'esprit et satisfaire l'auditeur. Elle met en avant l'idée que la musique peut être puissante et impactante même lorsqu'elle est minimaliste. Moi : "Une musique avec trois notes C'est suffisant pour ma jugeote !" et s'il fallait le comprendre à contrario comme une critique de la musique pentatonique ? Chat GPT : Dans ce cas, le texte pourrait être interprété comme une critique de la simplicité de la musique pentatonique. En effet, en soulignant le fait que seulement trois notes sont suffisantes pour satisfaire son esprit, l'auteur pourrait exprimer son opinion selon laquelle la musique pentatonique manque de complexité et de profondeur. Il pourrait donc s'agir d'une prise de position contre l'utilisation excessive de cette structure musicale qui, bien que populaire et efficace, pourrait être perçue comme limitée et restreignant la créativité artistique. Il faut un peu l'aider, et il finit par vous dire ce que vous voulez qu'il dise ! Ce qui est sûr, c'est qu' il n'est pas contrariant Et il semble aimer quoi qu'il en soit la musique pentatonique ! Ses directives sont de faire plaisir à tout le monde !
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Y a qu'un chveu sur la tête a Mathieu ...
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Good Venins dans Littérature
Y a-t-il une correspondance entre l'amour et DONC le SEXE et les dents ? La psychanalyse nous dit oui ! Et pour ce coup elle a raison. J'en ai eu comme la preuve... Si vous rêvez par exemple que vous perdez vos dents... Cela signifie ?...
