Crabe_fantome

Où comment avoir tort parce qu'on est émotionnellement instable. La plupart des gens sont d'accord sur le font: les parents veulent la fête des mères, c'est les parents, c'est eux qui gèrent leur enfant, pas les prof. Le boulot du prof c'est d'en faire un citoyen, pas d'en faire un être humain sensible. ça c'est le boulot des parents. Maintenant à gueuler comme un putois, à se filmer sur des réseaux sociaux, à se mettre en scène avec son narcissisme à course aux likes, à insulter les autres, potentiellement à mentir ou à transformer la vérité, le mec vient de perdre la bataille des idées. Là je regarde la vidéo, j'ai juste envie d'aller apporter mon soutient à la prof.

oui c'est outrancier... Blague à part je pense qu'il y a un coté "converti" dont on dit qu'ils sont plus fervents que les croyants. Et donc ils vont avoir tendance à aller toujours plus loin. Un peu comme ces féministes qui finissent par estimer qu'il faut prendre le pouvoir aux hommes. Jusqu'où aller trop loin et montrer qu'on est "pure" dans notre pensée et notre détermination. Et peut être aussi que ne pas virer ces profs auraient été jugé comme étant complice du fascisme anti LGBT+++ Les gens n'aiment pas ceux qui ne prennent pas parti, ceux qui marchent sur la crête sans tomber d'un coté ou de l'autre. De là les décideurs sont obligé de s'engager, et plus ils vont s'engager fort, plus ils seront respectés et entendu.

C'est une tendance passive agressive qui consiste à dire aux autres qu'ils ne sont pas bienveillants (agressivité) et comme on utilise la bienveillance ça laisse entendre que nous, on l'est, qu'on sait ce que c'est au point d'affirmer qui l'est et qui ne l'est pas. Sauf qu'effectivement, à la seconde où tu affirmes que telle personne ne l'est pas, tu ne l'es pas/plus.

Je respecte ton ressenti. Pour la considération, tu ne peux pas la maitriser: si tu fais preuve d'empathie devant moi, il y aura peut être de l'admiration, un jugement positif. ça fait parti des qualités "tendances" comme la bienveillance... bienveillance que tout le monde se jette à la gueule pour signifier que eux sont bienveillants et pas les autres, ce qui en soit n'est pas tellement bienveillant.

Révolutionner le modèle des médias sera le début d'une dictature. Aujourd'hui nous avons une pluralité de médias, chacun ayant sa sensibilité. Effacer ça pour faire un modèle que NOUS décideront est un acte fasciste. On a l'impression d'être au dessus, de savoir ce qu'il y a de mieux pour les autres, on veut le pouvoir pour changer les gens... y a un fasciste qui dort en nous.

Disons que c'est flatteur pour les "empathiques" que de se voir aussi comme des altruistes, Larousse va peut être dans cette direction. Et Larousse n'est pas non plus un dictionnaire philosophique, elle (il?) donne une définition facilement accessible au plus grand nombre. Et globalement on accepte tous cette idée qu'un empathique c'est quelqu'un de bien parce qu'il a cette capacité à ressentir la détresse des autres. Sans forcément s'encombrer de la faisabilité de la chose.

Techniquement c'est effectivement la seule chose qui pourrait faire exister l'empathie, du moins la rendre accessible. Larousse dit ceci: empathie nom féminin (calque de l'allemand Einfühlung) Faculté intuitive de se mettre à la place d'autrui, de percevoir ce qu'il ressent. Une faculté, je crois, impossible à mettre en place. Je crois qu'on sera dans l'illusion de percevoir ce qu'il ressent. Toi par exemple si tu me racontes ta dernière rupture, je pourrais ressentir des trucs en me mettant à ta place. Mais je n'ai absolument pas accès à ton enfance, tes manières de t'accrocher aux autres, tes peurs et tes blessures, tes postures, des défenses ni évidemment ta vie de couple jusque dans votre intimité amoureuse. Tout ce que tu feras c'est éclairer mes propres souvenirs et tout ce que je ferais c'est m'enorgueillir d'être quelqu'un d'empathique alors que je ne fais que regarder le nombril de ma propre vie.

J'ajouterais que si l'empathie est la capacité de se mettre à la place de l'autre, elle n'existe pas parce que ça impliquerait d'avoir précisément le même vécu pour savoir comment je ressens un évènement. Rien que les ruptures d'ados ça fait marrer les gens (discrètement) alors même que l'ado est en train d'avaler des médocs pour faire cesser la douleur. Et pourtant l'empathie nous renverra sur nos propres ruptures, nos propres souffrances, mais quelqu'un qui a vécu 50 ruptures lié à son comportement égoïste n'est pas quelqu'un qui a vécu 1 rupture alors même qu'elle avait tout donné. En outre l'empathie nous renvoie même vers l'immoralité et/ou l'illégalité: ma petite nièce s'est fait violer, mon empathie m'entraine vers la colère, et je décide de la venger en allant tuer le violeur. En prenant le risque que ma petite nièce cherchait à se venger d'une tromperie, ou le risque que je tue quelqu'un qui ressemblait au violeur...

A sujet provoquant, réponse provoquante: et s'il n'y avait ni l'un ni l'autre? S'il n'y avait ni temps ni force? Je suis parti de l'idée que force et temps était très différent et n'avaient rien en commun, je me suis même demandé si la volonté n'était pas plus nécessaire que la force puisqu'en appuyant sur un bouton (le levier assez grand pour soulever la Terre) j'ai toutes les forces du monde. Et puis je suis revenu au départ: le big bang. Une sorte d'explosion donnant naissance à l'Univers et projetant soleils, planètes et débris dans toutes les directions. La force et le temps en fusion, ensemble, déplaçant les mondes. Et finalement tout l'univers se déplace sans force, une pichenette et voilà les corps célestes filer dans leurs directions pour l'éternité sans la moindre force. Je reviendrais sur le temps plus tard. Ainsi filent les étoiles et les planètes et les galaxies avec la légèreté d'une plume dans le vide, ainsi la vie est née (au moins sur notre planète), et ainsi nous nous agitons sur notre 3ème rocher à partir du soleil avec l'illusion d'une liberté de faire les choses. Mais si nous étions à l'image du reste de l'univers et que chacun de nos mouvements étaient déjà prédéfini dans les lois de l'univers? Ainsi nous nous déplaçons et nous faisons les choses avec des illusions de force, alors même que ces choses devaient être faite avec la même absence de force qui déplace les galaxies et ce qui les compose. Tout étant prédestiné, de nos ancêtres à nos descendants, tout est déjà écrit et marqué dans le temps. Un temps qui finalement n'existe pas. Nous y voilà: le temps participerait à l'illusion que nous sommes libre et que nous pouvons/devons faire les choses. On a besoin de temps pour faire les choses disais tu, mais lorsque ces choses se feront de toute manière, le temps ne sert plus à rien. Ainsi nous avons l'honneur d'être les spectateurs de nos vies, des rêveurs prisonniers de nos têtes, qui regardent l'univers défiler. Et comme dans les rêves le temps n'existe pas non plus, du moins il est suffisamment tordu pour ne pas jouer son rôle de parfait métronome, nous pourrions décider de rejouer les scènes de notre passé ou de notre avenir, et pourquoi pas celles de nos autres vies, passées et futures. Et pourtant le temps est une invention purement humaine

C'est compliqué parce que le droit des animaux est un droit humain, que les humains donnent aux animaux. C'est pas vraiment un droit des animaux finalement. Le droit est strictement humain, et régit le reste de la planète.

C'est marqué dans le bouquin commun aux 3 religions monothéistes: Genèse chap 2 verset 2: Dieu acheva au septième jour son oeuvre, qu'il avait faite: et il se reposa au septième jour de toute son oeuvre, qu'il avait faite. C'est pas une invention non plus. Maintenant y a sans doute des tas d'explications. Ce serait dommage de s'arrêter au 1er degré. Sauf erreure de ma part, se reposer en hébreux c'est Shabbat. Composé de 3 lettres qui signifient dans l'ordre: le feu et la transformation (du mouvement donc), la maison bénit où dieu repose (sa création), et enfin la vérité et la complétude. Y a sans doute à creuser par là.

D'accord T'avais raison depuis le début, j'ai pas fais attention, je suis désolé C'est précisément celle là que j'avais en tête en imaginant les gars se faire sauter

Ouais... effectivement c'est ridicule. Ou outrancier, je te laisse décider par toi même.

non mais si t'avais pas envie de parler dis le simplement ou ne répond pas. Mon propos stipulait du ridicule. Maintenant appelle ça de l'outrance si tu préfères avoir raison tout le monde s'en fout en fait de qui a raison.

C'est plus une provocation intéressante qu'une moquerie, ça part de cette remarque sans doute millénaire que tout le monde a dû se poser: comment un dieu a besoin de se reposer? S'il est fatigué, c'est qu'il est faible mais il ne peut pas être faible puisque c'est dieu tout puissant?! Là on passait 1 à 1000 jours. Pour le coup je n'ai pas peur de dieu, mais je ne considère pas les religions comme ayant réussi à connaitre dieu. Elles sont super intéressante pour comprendre les humains, mais pas dieu. Je reste une sorte de croyant vague ni vraiment agnostique, ni vraiment déiste.

C'est plutôt une très bonne initiative pour la définition, parce qu'effectivement sur le papier c'est ce qu'on devrait tous faire. Mais malheureusement, dans tous les jolis mouvements t'as des extrémistes qui sont perpétuellement en recherche de "justes causes" pour tout casser. L'écologie pareil, le féminisme pareil... J'attends juste ce moment où des bénévoles de la SPA vont venir se faire sauter dans des abattoirs en hurlant "CHIHUAHUA!"

La bonté d'âme n'interdit pas le ridicule. On est tous d'accord pour préserver la planète et éviter de la polluer. Quand on arrive à arroser une toile de maitre de soupe en boite, le ridicule est dépassé. Et du coup quand tu commences une série netflix avec une bande copains homo, bi, trans, noir, juif, pakis, riche, pauvre, c'est aussi pénible... et plus récemment on a demandé à une IA, programmée pour faire de l'inclusivité, de représenter des soldats allemands de la seconde guerre mondiale: Donc oui parfois la gentillesse déborde dans le ridicule.

C'est pourtant la définition de l'enfermement. Je fais un choix éclairé et je m'engage en me mariant: et je ne peux plus fréquenter d'autres femmes (sous peine de me faire défoncer la tronche par ma femme). Tu fais ce choix pour être heureux, pas pour être libre.

Moi alcoolisé, j'ai plus de chance de m'endormir sur elle que de la faire monter aux rideaux. Si l'alcool est connu pour désinhiber et pécho, il est aussi connu pour ramollir sévèrement la bite et assécher les teuches. nb: prévoir de garder son tel à proximité pour appeler les urgences en cas de blocage ^^ C'est pour les pauvres Bollywood!!! Avec ça tu fais ta belle dans les quartiers glauques de Bombay.

Même 6000 ans, ça reste balaise. Et si je compte bien il a dû se reposer 1000 ans le 7ème jour?! ça sent la faignasse à plein nez quand même

Pour le moment on serait 2 et y a peu de chance que son mari saute de joie à l'idée qu'on se retrouve alcoolisé pour la première fois dans la même pièce ou dans le même film avec @hanss Malgré tout j'envoie quand même nos CVs on sait jamais, une fois star elle pourra enfin faire sa belle sur Hollywood Bld

Dès qu'on fait passer ses idées ou sa religion ou sa politique avant ses gamins, ça pue sévère de la bite. ça a bon dos l'autisme pour dire de la merde quand même...

Zéro alcool, jamais, depuis toujours. J'ai dû gouter à tout ce qui existe parce que ceux qui ne boivent pas savent que tout le monde autour de nous tient absolument à ce qu'on boive comme eux. Et rien ne me plait. Au pire je déteste moins tout ce qui va se rapprocher du bonbon, genre Sauternes, Monbazillac ou Saussignac. Peut être qu'un jour je ferais comme @hanss on se fera enfermer dans une pièce à double tour avec une bouteille de rhum et à notre sortie on nous file le dvd de tout ce qu'on a fait et raconté ^^

Tu peux transmettre un compte titre et un PEA sans imposition (puisque tu ne transmet que des parts d'entreprise). Mais effectivement lorsqu'il n'y a personne pour transmettre, et lorsqu'on a les miches au chaud pour le reste de sa vie, le pognon est fait pour être dépensé.

C'est vrai aussi. Dans un stage j'ai même cette vision d'étouffer "mon enfant". Reste que j'aime décortiquer les choses, ça répond à mon besoin d'hypercontrole. Mais j'y travaille aussi. De moins en moins j'oppose les choses. Tout à l'heure encore je réalisais que je donnais des choses aux gens que j'aime pour éviter qu'ils me demandent des choses. Ce qui fait de moi à la fois un altruiste et un égoïste. De là je pense comprendre qu'on puisse être sincère et insincère à la fois. Ce matin encore j'aurais pu me présenter auprès d'une demoiselle comme étant quelqu'un d'altruiste, insincère que j'étais. Désormais je souhaite me présenter comme étant les deux. Et je dis la vérité pas par moralité, mais par flemme. Si la flemme fait de moi quelqu'un qu'on jugera honnête tant mieux. Sinon tant pis. Egoïstement aussi, ce qui va me plaire dans ma moral emprunté à St Augustin, c'est la même honnêteté qu'il y aura chez l'autre et finalement une espèce d'assurance d'être aimé pour moi, et non pour ce que je pourrais apporter. Au même titre que je souhaite aimer l'autre telle qu'elle est et non pour ce qu'elle pourrait m'apporter. J'aime l'idée d'une pureté amoureuse. Si je l'aborde avec mon pognon, la taille de ma bite, mon bagou qui la transforme en déesse, en se mettant avec moi, elle se met avec mon pognon, ma bite et mon blabla. Ce qui n'est pas acceptable pour moi.