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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Soirée télé, envie d’une chirashi... et d’un verre de blanc moelleux aussi.
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Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
Écrit-il la Bible fichée sous son aisselle transpirante... Note : Ne vous permettez plus. -
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Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
Pas de bol, Jesus aurait des soucis d'érection. -
Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
Plutôt... rigoureux, va t-on écrire. -
Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
Le fait-elle exprès ? Est-il impossible d'être indulgents avec les nouveaux ? -
Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
Le regard que porte sur nous la société peut nous orienter, nous amener à adopter des comportements qui ne nous correspondent pas vraiment. Il y a un souci permanent de coller à la norme. L'image sociale ne reflète pas toujours ce que nous sommes vraiment, femmes et hommes compris. Au sujet des hommes, il me semble que les hommes virils, quand ils le sont à bon escient, ne ressentent pas constamment le besoin de s'en targuer, ou être des pubs vivantes pour les barbecues Weber. Vous trichez, il faut conserver la première et la dernière lettre, sinon c'est incompréhensible. C'est ovilia qui vuet nuos friae psaesr un tset ? (C'est chaud quand même). -
Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
Sérieux ? -
Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
Ne vous excusez jamais d'être en faveur de l'égalité en droits et en libertés. -
Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
Bonjour, L'auteur rappelle que des hommes ont eu aussi à pâtir du regard inquisiteur de l'Église, pour qui il n'y aura jamais que la procréation qui vaille. Les mariages arrangés étaient très usuels autrefois, il s'agissait de pactes, d'alliances de clans, de familles. Des richesses, l'appui, la protection ou des territoires, encore, contre la promesse d'une lignée, celle de la perpétuation du nom à travers le temps. Ces hommes, souvent plus âgés, devaient éprouver assez de désir pour la femme -parfois stricte inconnue- qui leur avait été choisie (et plus vite que cela encore !). Dans des conditions pareilles, il ne fut pas étonnant que des hommes aient quelques soucis de montées orgasmiques. Au-delà de l'impuissance, de l'orientation sexuelle également, ainsi que de l'andropause, existait déjà la stérilité dont les femmes furent les principales inculpées (répudiées, accusées d'être des sorcières puis supprimées). Certaines trouvèrent des amants, une parade. Par le mariage, le mari et l'épouse se doivent mutuellement. Ils s'y sont engagés devant Dieu. Obligation de résultats. Les enfants furent preuves aux yeux de tous d'un mariage réussi. Les moyens de contraception aujourd'hui sont fortement déconseillés par l'Église et malgré les maladies sexuellement transmissibles qui courent, elles, toujours. Quand il s'agit de tremper le biscuit, c'est juste pour faire un enfant, sinon on s'abstient... (Spiderman, c'est toi là-bas dans le noir ?). C'est l'homme qui se devait/se doit de mener la danse. La position du missionnaire est toujours vivement encouragée par les religieux les plus fervents. Les femmes vertueuses se couchent sur le dos, immobiles, c'est bien connu. Les femmes entreprenantes étaient potentiellement Lilith, Jezabel, aux yeux de tous (quand les hommes eux pouvaient défourailler à leur guise). Au travers la religion, c'est souvent la Femme, mauvaise par essence, qui entraîne l'homme, l'humanité, vers sa perte. Lilith est l'un des symboles féministes, pourchassée par la milice d'un Dieu paternaliste qui la sommait de revenir au domicile conjugal -l'Eden- alors qu'elle fuyait un Adam hyper contrôlant (lui refusant d'être l'égale). Pour la peine, puisqu'elle résistait, elle vit chacun de ses enfants, morts nés. Châtiment divin pour avoir fui la couche conjugale (tremblez mesdames !). Elle fut aussi représentée depuis avec des cornes et des sabots, sous la forme d'un succube, vue comme une femme licencieuse (la luxure est l'un des 7 péchés capitaux). On disait qu'elle mangeait les petits enfants dans leur sommeil, ou qu'elle les enlevait, pour faire peur. Elle devint, en parallèle, la compagne de Samaël (pendant démoniaque d'un archange). On justifiait aussi son essence démoniaque par une terre viciée ayant servie à sa création. Vint ensuite la douce et ingénue Eve, née de la côte d'Adam... La religion a beaucoup imposé aux hommes et aux femmes. Un moyen de les contenir sans doute. Elle a aussi été créée par des hommes, pour des hommes. Trop phallocentré. Pour répondre à la problématique du sujet : Libérer l'homme... si l'on part du principe que c'est l'injonction à la virilité qui empêche l'homme (trop de pression tuant la pression). Le patriarcat, largement répandu au travers la religion, demande beaucoup aux hommes tout en rendant la Femme, invisible. Cela fonctionnait peut-être en des temps reculés, enfin surtout pour des hommes. C'est en effet un schéma totalement obsolète au XXI ème siècle. La Femme aurait tendance à s'affranchir de plus en plus, libérant l'homme, le délestant de quelques unes de ses obligations, pour une harmonie femme-homme. Liposuccion ? Même chose lors de la révolution française, après que des femmes aient apporté leur concours, elles furent renvoyées à leurs fourneaux. Le pouvoir est conservé jalousement par les hommes. La politique est affaire d'hommes. Les femmes de pouvoir, au caractère bien trempé, ont aussi fasciné : Cléopâtre, Marie Stuart... Des hommes, plus évolués peut-être, y voient toujours l'alter ego. Mince alors ce langage... Auparavant vous me faisiez penser à ma mère-grand, c'est comme si je la perdais une seconde fois #Kleenex, la force en laquelle vous pouvez avoir confiance. -
Les Allemands étaient humiliés et ruinés suite à la première guerre mondiale. Quand le peuple est en souffrance, le populisme a des airs des plus séduisants. Hélas. 13 pages plus loin...
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Je viens de finir la saison 2 de Big little lies : quel casting encore ! Sept épisodes, c'est trop court cependant. Ainsi que la saison 4 d'Outlander : il arrive toujours des choses improbables aux héros, heureusement que cela se finit toujours sur une note positive. J'ai débuté Years ans years, qui est une série vraiment captivante. Bien qu'il s'agisse d'une dystopie, c'est parfois plutôt drôle. Killing Eve, également : c'est l'histoire de la traque d'une tueuse à gages. Ce n'est pas la série du siècle, elle se regarde plutôt bien.
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J'ai regardé l'émission de lundi en replay ne connaissant pas M. Sifaoui -autoproclamé pourfendeur de l'Islam politique- qui a eu la riche idée d'écrire un livre sur Zemmour. Passé l'échange de politesses et la colère à peine contenue -"Je n'ai rien contre vous M. Zemmour" et en retour "Je n'ai rien contre vous, ni personne d'ailleurs"- et la grande vexation de Sifaoui puisque Zemmour aurait refusé de le recevoir auparavant -enfin ce n'est pas de sa faute, il ne gère pas ses rendez-vous- s'en est suivi un débat, un dialogue, un échange s'en sont suivis des monologues sur ce qu'est vraiment l'Islam, dans une cacophonie incessante. Selon Zemmour, l'Islam est par essence politique et son contradicteur n'était pas du tout d'accord et a crié aussi à l'amalgame. La journaliste a eu droit de se taire, c'était clairement le message que lui a envoyé Zemmour. Y a pas d'débat. Enfin je n'ai pas aimé l'émission -moindre mal puisque je l'ai lancée en tâche de fond- et espère que des gens ne se sont pas arrêtés de vivre pour regarder cela.
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Un véritable assommoir, plus efficace encore qu'un somnifère. Sinon le livre n'est pas en rayon mais est disponible à la demande chez les grandes enseignes culturelles.
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Les super vilains sont finalement très humains. Sinon pour vous, restent Gargamel, Dark teletubbie ou encore la bouteille d'Orangina dans le spot qui est trop méchante parcequeuh. En vous remerciant pour le spoil.
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Une fois. Deux... fois. Trois ! Et quatre fois... (Ouf !) Vous n'aviez pas le sentiment d'être en boucle ? Il y a toujours au moins une raison à la criminalité. À la folie également. Raison qui peut être sociétale, effectivement.
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Faut-il se débarrasser des philosophes ?
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Guillaume_des_CS dans Philosophie
Les pensées philosophiques sont intéressantes quand elles aident à la réflexion, sont tremplin et non béquille. Et puis il ne faut pas perdre de vue que la société telle que l'aurait connue Aristote, a tout de même légèrement évoluée. -
La musique classique,c'est pas si mal.....
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Decade 63 dans Musiques
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J'échangeais à ce propos avec ma soeurette qui est allée le voir ce week-end : même ressenti. En énumérant l'article, elle m'a confirmé que c'était complètement idiot. Rien ne mène sur la piste des Incels, pour elle. Il y aurait effectivement une scène violente, qui lui aurait vaguement rappelé Irreversible (à cause de l'objet employé). Elle a également vu des films bien plus violents au cinéma. La plupart du temps c'est en effet très subtil ou laissé en suspens. Pour elle, Joaquin Phoenix est exceptionnel, il habite réellement le rôle. En ce qui concernerait une éventuelle justification de la violence : on peut compatir, éprouver de l'empathie pour le Jack Napier, sans agréer pour autant à ce qu'il est devenu (le Joker). Il s'agit aussi d'expliquer, plus que de justifier. Bien des tueurs en série ont aussi eu des passés épouvantables (ça explique mais ne justifie pas). Le public, en principe, sait faire la nuance.
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Je me suis foutu à poil pendant la messe !
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de metal guru dans Société
Caméras infrarouges et système de surveillance... je n'y avais pas pensé et en effet, c'est plutôt logique et nécessaire en cas d'agressions, vols, et même de malaises ("On n'entendait plus tata Simone dis donc"). Il y a sûrement obligation légale d'en informer la clientèle (souvent c'est affiché à l'entrée de l'établissement). Dans la même logique "qu'il fait noir alors ce n'est pas de l'exhibitionniste", "les aveugles sont des serveurs comme d'autres, ils ne voient rien, donc ne sont pas choqués de quoi que ce soit". Ce n'est pas super la classe de profiter ainsi de la cécité de ces individus, c'est même particulièrement vicieux, est-ce que la loi prévoit quelque chose en particulier afin de protéger les personnes les plus vulnérables dans ce genre de cas de figure ? (si ça c'est déjà produit auparavant). -
Le Joker est sans doute le vilain le plus "charismatique"/le plus aimé du public, dans l'univers de Batman et peut-être même au-delà. Plus connu que le Pingoin et encore Double Face -eux aussi ennemis jurés de Batman- plus connu que tous les vilains rencontrés dans les autres comics. Son succès est sans conteste et cela fait déjà bien longtemps que cela dure (combien de cosplay du Joker alors qu'il était incarné par Jack Nicholson ou Heath Ledger ?). Même chose pour son pendant Harley Quinn et encore Catwoman. Les super méchants ont toujours fasciné et d'autant quand ils ne manquent pas de reliefs. Dans mes souvenirs le Joker n'est pas spécialement un masculiniste extrémiste -un incel- et est devenu ce qu'il est parce qu'il est tombé dans un bain d'acide (peut-être que je me trompe). Il s'attaque aussi bien aux femmes, qu'aux hommes. Il y a une folie palpable. Son rire est dérangeant. C'est un gangster patenté et nombreux sont ses sbires. Il fait également d'Harley Quinn, sa favorite. Il me semble que le film à venir, avec Harley Quinn, "Birds of prey" est très teinté "girl power". Des spectateurs auraient quitté la salle, suite à une scène d'environ 15 minutes, particulièrement dérangeante. Certains parlent d'une justification du "terrorisme". En France, le film est interdit au moins de 12 ans, au Royaume Uni au moins de 15 ans et aux States, au moins de 17 ans. Je m'interroge quant à ce différentiel, plutôt important d'ailleurs tant il s'agit de comparer la France et les États-Unis. Douze ans c'est peut-être un tantinet trop juste. Le grand Jack a très bien incarné le Joker. Heath Ledger lui a apporté quelque chose de très sombre. Joaquin Phoenix est un acteur sensationnel (The village, Walk the line etc...), certains ont parlé de performance quant au rôle plutôt que d'interprétation. Je ne suis pas encore allée voir le film mais j'irai.
